Cher Lecteur,
Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.
Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.
Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.
Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe BookNode
P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.
Dans ce court essai, il montre qu’on gagnerait à mettre en avant les termes d’« écarts », de « fécondités » et de « ressources ». Par leur biais, c’est une culture ouverte et dynamique qui est ainsi promue, et qui, de fait, évite de tomber dans les deux grands pièges qui lui sont tendus aujourd’hui : la mondialisation et le communautarisme. Il substitue de cette façon à l’expression souvent galvaudée d’« identité culturelle » celle de « commun partagé », plus à même, selon lui, d’envisager la culture.
Avec originalité et pertinence, François Jullien nous offre donc la possibilité de regarder la culture sous un autre prisme que celui de l’identité et milite pour une ouverture à l’altérité culturelle.
Il n'y a pas d'identité culturelle
L'auteur compare ces transformations du point de vue occidentale et chinoise. Alors que l'un voie ces transformations comme un passage bien défini dans le temps, l'autre les voies plutôt comme une forme de transition n'ayant ni début ni fin.
Deux pensées qui se diffèrent sur de grands thèmes philosophiques.
Une lecture intéressante mais qui manque parfois de clarté et de simplicité.
Les transformations silencieuses
Au final, l'auteur n'est en rien responsable de cette incompréhension, car j'ai peu de connaissance. Mais je n'abandonne pas………..
Il n'y a pas d'identité culturelle
Il n'y a pas d'identité culturelle
Le résultat est ardu, parfois, avec des passages plus accessibles et des conclusions bousculant souvent nos conceptions habituelles du temps.
Du temps : éléments d'une philosophie du vivre