Fuyumi Soryo

Dans ce tome, Mine est directement visée par Isaac. Il se sert de son amie Kimiko contre elle.

La malveillance de Isaac, de même que son visage sans expression font froid dans le dos et donnent le rythme de ce tome.

Mine, Sakaki et Shuro s'associent pour essayer de découvrir les faiblesses de Isaac. De son côté, lui, continue à manipuler les gens pour les pousser à des comportements violents.

Les explications médicales sont parfois un peu longues, néanmoins, l'histoire reste fluide et se déroule à un bon rythme : il n'y a pas de temps mort.

Dans ce tome, l'histoire se concentre en majeure partie sur les sentiments et les interactions humaines, sans manipulation : que ce soit les sentiments amoureux qui se développent entre Shuro et Mine ou la relation mère-fille violente entre Yuri et sa mère. Le tout est bien amené et la poursuite de Isaac, qui montre une évolution de son pouvoir Spoiler(cliquez pour révéler)(il peut contrôler les corps en plus des esprits), passe un peu au second plan

J'ai bien aimé l'évolution de l'état d'esprit des ES.

Après s'être immiscé dans la vie des Akiba, Shuro montre de la sensibilité et de l'affection pour son grand père ainsi que de l'amour. Il a créé un vrai lien avec ses grands-parents et se sent concerné par ce qui leur arrive.

Au contraire, Isaac, lui, se comporte avec la cruauté d'un enfant-roi. Il se sent puissant et réagit violemment aux choses qui le gênent ou le blessent.

Autour d'eux, Mine et Yuri...

J'ai hâte de connaître la suite, parce qu'à ce moment de l'histoire, je n'ai pas la moindre idée de comment elle va se terminer.

Un dernier tome plein de rebondissements.

Isaac sait qu'il va mourir. Il n'est finalement pas un clone parfait et le gène ES est en train de le tuer, mais il ne partira pas seul et veut anéantir le monde. Shuro part à sa poursuite, pour l'arrêter.

Le dénouement est assez chaotique mais conclut bien cette histoire.

Une série qui rends addict !!

J'ai accrocher au manga dès les premières pages ! Les dessins des paysages et des personnages sont superbe. Le mangaka et ses collaborateurs ont fait un travail de dingue au niveau des recherches historiques pour vérifier l'exactitude des faits et des paysages existants à cette période en Italie. Leur adaptation en intégrant le personnage d'Angelo est très intéressante. Il nous permet de s'immerger plus facilement dans l'histoire et de comprendre de plus grande facette des personnages principaux et secondaires.

J'ai hâte que le dernier tome sorte en version française ! Un peu déçu que la série se termine aussi tôt et qu'elle se voit raccourcie de beaucoup par rapport à la chronologie des faits réels ou ce situe actuellement l'histoire dans le manga. Mais l’arrêt de la série par la mangaka est compréhensible. La recherche historique sur la vie de Césare est compliqué et fastueuse même si elle est très intéressante.

J'étais passée à côté de ce shojo lors de sa première parution. J'ai donc sauté sur l'occasion de découvrir ce manga grâce à la version perfect. 

Je dois avouer que dès le début, j'ai accroché avec les personnages et les dessins. Je ne saurais pas l'expliquer, mais j'ai retrouvé la même maturité et la même profondeur que lorsque j'ai lu Nana. On sent à travers les dessins et le scénario que c'est une autre époque avec des sujets sombres abordés comme le harcèlement scolaire et sexuel, la maladie, le suicide, la jalousie etc. L'auteure parle de ses sujets sans tabou à travers deux personnages attachants et charismatique à leur manière. Leurs caractères opposés s'accordent à merveille, la force et l'esprit libre de Rei se lie à celui plus réservé et renfermé de Kira qui découvre de nouvelles choses à ses côtés, qui ressent des émotions intenses tout en leurs faisant face. 

Kira évolue aux côtés de Rei. Rei s'apaise aux côtés de Kira. Chacun améliore l'autre pour se rapprocher jusqu'à une attirance évidente. Mais si la relation se forme doucement, elle met aussi en lumière des failles chez Rei, des mystères qui l'entourent, une culpabilité qui le ronge, une situation difficile avec son père, une violence en sommeil, un défi avec la mort, le danger à travers la moto. 

Mars va être un shojo qui va remuer les lectrices. Ce premier tome pose déjà des bases pour une suite qui risque de nous faire vivre des grandes émotions.

Une édition marquante près des années, mais on s’en serait bien passé : un shojo « culte ». Archi sexiste, archi cliché, archi bateau, archi nase. Seuls les dessins sont beaux. Le mec est un voyou qui menace de mort ceux qui s’approchent de la fille qui l’intéresse (et parfois il les frappe effectivement). C’est siiiii sexy. (non.)

J’ai adoré ce premier tome! Que ce soit les illustrations, l’histoire ou encore les personnages, j’ai été captivée.

En commençant ma lecture, j’avais un peu peur de tomber dans le cliché de la fille timide et du garçon populaire, mais on en est bien loin.

J’adore le trop Rei, Kira et Tatsuya. Bien que très différents les uns des autres, ils se complètent à merveille.

La fin nous laisse présager une suite très intéressante!