Geneviève Dormann

Ce roman est magnifique, l'ambiance est très vivante. Il raconte la vie romancée, avant et pendant la période napoléonienne, de Sophie Trebuchet, mère de trois garçons, dont un qui deviendra le grand " Victor Hugo".

C'est une superbe biographie bien écrite qui nous éclaire sur l'enfance de Victor HUGO.

Roman sûrement pas évident à écrire mais facile et agréable à lire. Geneviève Dormann transporte avec brio son lecteur, ce dernier étant tantôt emporté par une lame de fond causée par une diablesse pré-adolescente, tantôt balloté dans les remous coupables d'un homme envoûté, tantôt plongé dans les abîmes ténébreuses d'une femme trahie, ou encore bercé par de douces vagues anglo-normandes. Un bel hommage est rendu, dans ce livre, aux Iles Chausey, aux marins.

J'ai adoré ce livre, qui permet de s'évader dans un pays chaud. Une histoire assez simple, mais divertissante avec toute l'histoire d'une famille. Je le conseille comme lecture de passage, entre deux œuvres plus complexes.

Histoire qui nous emmène dans une île exotique. A lire sur la plage car ce roman ne "prend pas la tête".

Étonnante la vie de cette jeune femme qui allait devenir la mère d'un géant de la littérature! En tous les cas variée passionnante et passionnée! J'ai beaucoup aimé ce roman et il m'a beaucoup appris sur l'histoire de cette période troublée.

Après une centaine de page, j'ai refermé le livre. Baucoup trop de descriptions, à mon goût, dont on peut se passer largement. Plus d'une centaine de pages lues et l'histoire n'a pas avancé du tout. Une centaines de pages pour décrire une partie de la vie de 3-4 personnages. Bref ce n'est pas un livre pour moi qui aime que l'histoire avance et ne stagne pas.

Je n'est vraiment pas réussi à lire ce livre. L'histoire n'avance pas.

La biographie romancée de Sophie Trébuchet, mère de Victor Hugo par Geneviève Dormann, parue en 1995.

Née en 1772, dans une famille bourgeoise de Nantes et décédée en 1821 à 49 ans.

Cette femme a connu différents régimes politiques de la Monarchie, à la Restauration, en passant par la Première République et l'Empire.

Une femme passionnée, qui se marie en 1797 avec un soldat républicain. Royaliste par tradition, elle ne peut épouser les idées de son mari. L'autrice d'ailleurs a du mal à la situer : la qualifiant à la fois de républicaine et de royaliste...

De nombreux voyages ponctuent sa vie (Naples, Espagne...) en fonction des nominations de son époux.

Une femme libre qui refuse de suivre son époux dans ses campagnes et prend un amant, l'adjudant général Victor Claude Alexandre Fanneau de Lahorie, un ancien camarade de combat de son époux qu'elle a rencontré en 1799.

Une mère à la fois, désordonnée, possessive et privilégiant ses passions au détriment de son couple et de ses enfants. Elle s'oppose au mariage de son fils Victor avec Adèle, la fille de Joseph Fouché.

Un roman bien rédigé, de très belles descriptions bien imagées, mais au style sec et détaché qui transmet des légendes thermidoriennes (peaux tannées…) qui a été instructif.

Je n'ai pu m'attacher à ce personnage, bien qu'atypique m'est apparu bien frivole.

On peut dire que la vie de cette petite bonne femme a été mouvementée. On ne peut que s'attacher à La mère de notre Victor Hugo national, sa personnalité courageuse et hors normes pour l'époque, ses choix et sa lutte contre les conventions, j'ai beaucoup aimé son histoire.

Le début du livre est un peu mou, avec tous ces personnages familiaux, mais dès que le récit se concentre sur Sophie, il prend du rythme et devient exaltant.

Comme toujours, j'ai tremblé sur les récits détaillant la période de la Terreur et comme souvent, je me suis dit que la Révolution Française aura été la plus grande arnaque historique de cette époque.

La vie de Sophie Trébuchet, la mère de Victor Hugo, se lit effectivement comme un roman. Le moins que l'on puisse dire c'est qu'elle n'a pas eue une vie ennuyeuse. Une lecture vraiment agréable.