George Pérez
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Note moyenne : 7.8/10Nombre d'évaluations : 74
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Les derniers commentaires sur ses livres
Alors là on attaque du très lourd ! La formation la plus célèbre des teen titans et le scénariste et le dessinateur les plus géniaux de DC... évidemment, c'est bon. très bon.
Les histoires sont très intéressantes. il y a les chapitres d'introduction pour apprendre à connaître les personnages, les premières aventures, les premières disputes bref la phase d'adaptation de la nouvelle formation. et puis, ils grandissent, ils ont des vrais problèmes, ils ne sont plus les acolytes mais deviennent des héros... c'est bien traité et ça chance un peu.
J'ai vraiment apprécié ces premières histoires. Merci à Urban de permettre aux jeunes lecteurs de connaître ces récits !
Afficher en entierComics triste et dur. La perte d'un coéquipier est toujours dur, surtout quand ce dernier meurt à cause de soi. L'histoire reecrite de la mort de Robin dans ce comics fait grandement réfléchir à la qualité des scénaristes et dessinateurs de chez DcComics. Un vrai coup de maître pour certain comme moi, un remake raté pour d'autres. A vous d'en décider :)
Afficher en entierJ'ai trouvé ce volume sans doute le plus intéressant. Les histoire sont vraiment bien, semant le doute dans l'équipe et montrant bien les différentes manière de percevoir les évènements de chacun. J'ai vraiment suivi tout ça avec un grand intérêt et c'est vraiment dommage que la série s'arrête.
Afficher en entierHistoire central dans le développement du chevalier de Gotham. Un comics dure qui contraste avec des cases colorées.
Afficher en entierThe Judas Contract constitue un bon point de départ pour appréhender l'équipe qui s'est constituée autour de Robin, une équipe pas encore totalement définie, qui se cherche une âme et des raisons de continuer. Certains ont des velléités de départ, d'autres se mettent en couple ou cherchent à nouer des liens un peu plus forts que la simple camaraderie. Mais le ver est dans le fruit, et l'un des membres n'est pas sincère dans ses intentions : aucun suspense puisque nous le découvrons très vite, même si ses intentions paraissent obscures (et ne cesseront jamais véritablement de l'être). Faisant bonne figure auprès de ses coéquipiers, le traître a tissé des liens étroits avec l'un de leur pire ennemi, qui lui-même est au service d'une organisation qui a juré leur perte. C'est beaucoup pour une équipe balbutiante dont le leader a encore du mal à s'affranchir totalement de ses anciens super-mentors (Batman et Superman).
Avec le recul, les épisodes se suivent un peu péniblement : ça déblatère beaucoup, parfois dans le vide, et on aimerait que l'intrigue avance plus vite. Pérez n'a pas encore atteint l'aisance démonstrative de ses plus grands succès et son trait manque encore d'élégance, cantonné d'ailleurs dans des cases étroites, mais les déchaînements de Terra (qui manipule la terre et les forces telluriques) ont suffisamment d'impact pour annoncer des lendemains plus spectaculaires.
Un épisode bonus est extrait de the Brave & the Bold datant de 1964, avec la première réunion de super-teenagers (Robin, Aqualad & Kid Flash). Malgré une mise en page assez aérée, on a vraiment du mal à se plonger dans ces récits d'un autre âge, à la naïveté confondante et aux dialogues désuets.
Afficher en entierJe n'avais encore jamais lu de comics de super héros et finalement découvrir cet univers par cette collection c'est une bonne idée. Autour d'un personnage ou d'un thème (ici Ultron et par extension Vision) on découvre les Avengers à travers plusieurs épisodes publiés à des dates différentes. Ca permet de se faire une idée de l'évolution des personnages, du dessin, des scénarios, ...
J'ai eu du mal avec les épisodes les plus anciens. Le dessin n'est pas mauvais mais j'ai juste eu l'impression à chaque case que les dessinateurs se sont contentés de placer leurs personnages dans les poses les plus héroïques possibles sans vraiment que ces poses n'aient de cohérence avec l'action. Quant aux scénarios, il sont sympas (même si ils sont simples et les personnages caricaturaux) mais la narration est malheureusement expédiée, avec même parfois l'impression qu'il manque des cases.
J'ai par contre vraiment aimé le dernier épisode publié plus récemment. Il se passe dans le futur et mêle des personnages passés, présents et futurs, et il m'a fait comprendre à quel point l'univers est devenu riche et complexe avec sa multitudes de personnages aux aventures alternatives.
Au final, je suis contente d'avoir découvert cette collection qui permet de se faire une idée de l'univers Marvel sans avoir besoin de se casser la tête pour savoir par quel bout la prendre. Je lirai les tomes suivants avec plaisir.
Afficher en entierUn tome sympathique qui nous montre les origines d'Ant-Man à travers différentes incarnation.
Dans se tome, on découvre que les scénarios des premiers Comics n'était pas des plus exceptionnels mais cela n'empêche rien à la qualité graphique.
Afficher en entierJ'avoue que je n'étais pas prête ni pour le côté vraiment très coloré des dessins, ni pour l'histoire raconter à la façon de Peter Parker dans le pire dessin animé de tous les temps puisque Batman nous raconte tout lui-même, mais on s'habitue très vite et on se retrouve même à se prendre au jeu de la narration. J'ai trouvé particulièrement amusant de voir le contraste entre les événements très sombres et les palettes de couleur aussi diverse que variées utilisé.
Côté intrigue, c'est plutôt bien écrit même si certains événements sont un peu gros et que le côté comics un peu vieux se fait sentir de par les dessins, mais aussi l'aspect très épuré de certaines cases. Malgré cela, cela n'empêche pas certaines pages d'être tout simplement splendide.
Quant à Legends of the Dark Knight n°100, j'ai personnellement tout simplement adoré. Niveau dessin, j'ai autant aimé cet aspect très coloriage au crayon particulièrement visible sur les cases avec du noir que la qualité des dessins eux même. L'histoire est touchante, très bien narrer, juste excellente.
Afficher en entierUn run assez sympa qui introduit le personnage de Tim Drake, le nouveau Robin après Jason et rien que pour ça, ça vaut le coup de le lire. C'est intéressant et j'ai vraiment beaucoup aimé les interactions entre Tim et les membres de la batfamily. Les dessins ne sont pas tous jeunes et je ne suis pas forcément fan de leurs esthétiques ni des costumes, enfin surtout celui de Nightwing, mais ça reste très sympa.
Afficher en entierPas emballée du tout par cette lecture, pourtant j'aime bien ce super-héros dans les films Marvel, je trouve que sa dualité est très intéressante. Dans cette histoire elle n'est pas du tout exploitée (ceci explique sans doute cela), d'autant plus que l'intrigue est peu originale, pas très approfondie et un peu ennuyeuse en ce qui me concerne.
Il y avait largement moyen de développer les raisons qui ont conduit le Maestro à devenir ainsi mais tout est tellement survolé qu'il n'y a pas de place pour la psychologie des personnages. Même Hulk lui-même n'a pas vraiment de personnalité et j'ai lu le comic avec un détachement regrettable.
Seul point positif pour moi : si le concept de Dystopia est assez cliché, il y avait tout de même quelques éléments créatifs avec du potentiel. Mais l'univers a été gâché, à mes yeux, par les dessins que j'ai trouvés pas franchement terrible avec des couleurs pétaradantes qui m'ont renvoyé une impression d'ensemble désagréable.
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de George Pérez
et autres évènements
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Editeurs
Urban Comics : 15 livres
Panini comics : 14 livres
Hachette : 4 livres
LUG : 3 livres
Semic : 3 livres
Eaglemoss : 2 livres
Marvel France : 1 livre
Panini : 1 livre
Biographie
George Pérez (9 juin 1954 dans le Bronx à New York) est un dessinateur et scénariste de comics américain originaire de Porto Rico. Avec John Byrne, c'est sans conteste le plus populaire dessinateur de comics des années 1980. Il dessine surtout des comics de super-héros, principalement pour DC Comics et Marvel Comics, et est connu pour son style propre, dynamique et très détaillé.
Pérez commença à être connu à partir du numéro 141 du volume 1 des Vengeurs, chez Marvel Comics. Le style de ses débuts semblait très influencé par Jack Kirby, un des créateurs majeurs de Marvel depuis les années 1960, bien qu'avec un sens plus grand de l'anatomie et un penchant à montrer un monde plus brillant et joli. Dans les années 1970, Pérez illustra plusieurs autres séries Marvel, comme Fantastic Four, où il commença à travailler avec Marv Wolfman.
Pérez partit bientôt travailler pour DC Comics. Après un passage sur la Justice League of America, la carrière de Pérez décolla avec The New Teen Titans, écrit par Wolfman. Cette incarnation des Jeunes Titans devait être la réponse de DC aux très populaires X-Men de Marvel, et Wolfman et Pérez firent des merveilles. De plus, les aptitudes de Pérez pour les crayonnés, les détails et les visages s'améliorèrent énormément durant ses 4 ans sur le titre, faisant de lui un des dessinateurs de comics les plus populaires.
Wolfman et Pérez enchaînèrent sur l'évènement des 50 ans de DC, Crisis on Infinite Earths, qui devait mettre en scène tous les personnages que possédait DC dans une histoire qui restructura radicalement la continuité de l'Univers DC. Son travail fut encré par deux des meilleurs encreurs de l'époque : Dick Giordano et Jerry Ordway.
Après Crisis, Pérez prit en charge le relancement de Wonder Woman, en mettant l'accent sur ses liens avec la mythologie grecque et ses dieux, qu'il avait déjà mis en scène dans The New Teen Titans et se débarrassa de beaucoup d'éléments étrangers de son histoire. Pérez commença par travailler avec Len Wein sur les histoires, mais finit par s'occuper seul des scénarios. Bien que n'atteignant pas la popularité des Titans ou de Crisis, la série fut un succès.
Dans les années 1990, Pérez quitta les feux des projecteurs, bien qu'il travailla sur plusieurs projets populaires, principalement Sachs and Violens et Hulk : Future Imperfect, tous les deux écrits par Peter David. Pérez retourna finalement sur un titre majeur pour le troisième volume des Vengeurs, écrit par Kurt Busiek, série sur laquelle il resta près de trois ans. Après avoir quitté la série, lui et Busiek travaillèrent sur le très attendu cross-over JLA/Avengers, paru fin 2003.
Perez essaya de profiter de sa réputation pour publier une série dont les droits lui appartiendraient, Crimson Plague, mais après un premier échec lors de sa publication chez Event Comics, son retour sous le label Gorilla d'Image Comics, ne lui permit pas de dépasser le premier numéro.
Après un léger détour par CrossGen, où il réalisa quelques épisodes de CrossGen Chronicles et Solus, il est en 2005 de retour chez DC, travaillant comme encreur de Jose Luis Garcia-Lopez sur le Return of Donna Troy, scénarisé par Phil Jimenez, considéré comme son fils spirituel, et réalisant des couvertures pour Infinite Crisis, le grand évènement annuel de DC.
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