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Toutes les séries de Georges Bordonove

52 livres
64 lecteurs

La dynastie mérovingienne, fondée par Clovis, a duré deux siècles et demi (481-737). Roi des Francs Saliens, ce dernier parvient à conquérir la Gaule romaine et à l'unifier. Son baptême, sous l'impulsion décisive de son épouse Clotilde, est un événement capital : il permet la christianisation de l'Europe. Ses fils, après le concile réuni par leur père en 511, l'année de sa mort, parachèvent son œuvre grandiose mais se lancent dans des luttes fratricides. C'est ainsi qu'à travers les tumultes de leurs règnes se dessine la France. Chef de guerre victorieux - Soissons (486), Vouillé (507) -, homme politique avisé, protecteur du catholicisme, Clovis est, en Occident, l'héritier des empereurs de Rome. Il est aussi la préfiguration de Charlemagne.

59 livres
30 lecteurs
2 livres
5 lecteurs

La dynastie des Valois, qui accèdent au trône après l'extinction des Capétiens directs, est marquée par une série de rois hauts en couleur. Fils de Philippe VI, le fondateur de la lignée, Jean II, après le désastre de son pays à Crécy, réorganise les finances et l'armée et réunit à la couronne la Bourgogne et le Dauphiné. Son fils, Charles V, montre la supériorité de l'intelligence sur la force. Pragmatique, habile diplomate, il s'attache, aidé par Du Guesclin, à reconquérir les principales provinces perdues dans le passé. Lui succède Charles VI qui a l'un des plus longs règnes de l'histoire de France mais dont les dernières années sont tragiquement marquées par sa folie et la déchéance du royaume. Ecarté illégalement de la succession par sa propre mère, Isabeau de Bavière, son fils Charles VII parvient à chasser les Anglais du territoire, galvanisé par l'épopée de Jeanne d'Arc. Louis XI, à la personnalité machiavélique, montre des qualités remarquables pour un chef d'État. Soldat, économiste, administrateur, il confère au pays ses frontières quasiment définitives. Le court règne de son fils Charles VIII, qui épouse Anne de Bretagne et commence ainsi le long rattachement de la province à la couronne, s'achève sans héritier direct. Et c'est son cousin Louis XII, prince réaliste, avisé, bienveillant, qui inaugure la brillante période de la Renaissance après avoir conquis de manière éphémère la moitié de l'Italie.

2 livres

Paris est le creuset où l'histoire de notre pays s'est faite. Sa propre histoire chemine donc parallèlement à celle de la France. Elle revêt le double caractère d'un destin public et d'un destin privé. Elle se développe aussi sur deux plans : l'exotérique et l'ésotérique. Chacun des personnages qui l'animent, des événements qui la jalonnent, a pareillement deux faces : l'envers et l'endroit. Ayant choisi les moments, les hommes, les groupes d'hommes les plus signifiants, Bordonove les analyse en profondeur ; il montre quelle influence une pensée multiforme, fréquemment secrète, exerça sur eux et comment elle explique les réussites et les échecs.

Cet ouvrage, retraçant deux mille ans d'histoire, comprend deux tomes. Le premier traite de la période s'étendant de la fondation de Paris à la fin du XVe siècle. Le second, de la Renaissance à notre époque. Ce livre, plein de tumultes, de joies, de larmes, mais aussi d'une indéfectible espérance et d'un inentamable courage, a le souffle d'une épopée. Mais il est de plus l'explication lumineuse des raisons secrètes qui ont fait de Paris la ville capitale et, la préservant contre d'excessives nostalgies du passé, assurent son avenir.

Les constantes du caractère parisien s'en dégagent subtilement ; elles peuvent, à travers vingt siècles d'ombres et de lumières, se résumer d'un mot : liberté !

2 livres

Quatre règnes qui sonnent l'apogée de la France. Parti du petit royaume de Navarre, lointain cousin de la branche régnante des Valois, Henri IV conquiert pièce à pièce son royaume et relève la France des ruines engendrées par les guerres de religion. Ses trois successeurs poursuivent avec acharnement son œuvre : Louis XIII se montre un inflexible serviteur du devoir politique en se sacrifiant au bien de l'Etat. Louis XIV, roi à chaque instant de sa vie et travailleur infatigable, incarne le Grand Siècle même si l'éclat engendré par ses cinquante premières années de règne est terni par une fin tragique, suscitée par des guerres désastreuses. Louis XV, enfin, conscient de la nécessité d'amorcer des réformes qui seront reprises par les Révolutionnaires et Napoléon 1er, permet à l'économie nationale de prendre son essor ; il rattache la Lorraine et la Corse à la France. Pour les seconder, tous ces princes savent promouvoir des ministres de grande envergure (Sully, Richelieu, Mazarin, Colbert) qui consacrent leur intelligence et leur énergie au rayonnement de la France dans le monde occidental.

2 livres
4 lecteurs

La destinée du fils de Louis XVI et de Marie-Antoinette est l'une des plus tragiques et des plus énigmatiques de notre histoire. Enfant-roi disparu à dix ans, Louis XVII régna fictivement de 1793 à 1795. Aujourd'hui encore les plus folles hypothèses, les plus fallacieuses légendes continuent à circuler sur son sort. Otage et victime, il eut pour lui d'innombrables partisans entièrement dévoués à sa cause. Il n'était rien, mais ce rien fit trembler les maîtres de la Convention jusqu'à sa mort. Georges Bordonove, faisant table rase de trop nombreuses allégations, relate cette courte vie à partir de documents irréfutables, avec son objectivité et sa clarté habituelles, sans pour autant en atténuer l'intensité hautement dramatique et émotionnelle. Complétant sa démonstration exhaustive, il raconte aussi ce qu'il appelle " le roman de Louis XVII ", c'est-à-dire l'histoire fabuleuse et picaresque des prétendants successifs, dont le plus célèbre fut Naundorff. Ainsi le lecteur peut-il, sur pièces, se faire une opinion sur tous les mystères et prolongements d'une vie et d'une mort, dont l'émouvant souvenir n'en finit pas de hanter la mémoire collective.

Tous les livres de Georges Bordonove

Au-delà des légendes, de l'hagiographie ou de la calomnie, Georges Bordonove trace un portrait en profondeur des templiers au XIIIe siècle, qui vit la fin du royaume latin de Jérusalem et des Croisades. Analysant la Règle du temple en ses différentes versions successives, puisant dans l'histoire de l'Ordre les exemples les plus significatifs, il décrit, à travers la carrière d'un templier type, la vie quotidienne dans les commanderies d'Occident et d'Orient. L'auteur montre quelles étaient les attributions des dignitaires et leur mode d'élection. Il donne ainsi un schéma complet de l'organisation et des activités templières : agricoles, bancaires, maritimes, religieuses et militaires. Ce livre offre un tableau vivant de ce que furent réellement ces dons Quichottes de la foi, acharnés à défendre l'honneur du Christ.

Lorsque Philippe le Bel fit arrêter les Templiers en 1307, l'Histoire tournait une page : les temps modernes, illustrant le triomphe du temporel sur le spirituel, commençaient. L'ordre militaire le plus prestigieux de la chrétienté avait défendu le royaume de Jérusalem pendant près de deux siècles, au prix de très lourds sacrifices. Puissance internationale, elle ne relevait que du pape dont l'autorité, quelques années plus tôt, avait déjà été ébranlée par l'attentat d'Anagni contre Boniface VIII. Dès lors, le roi de France n'eut de cesse de l'abattre définitivement. Le procès des Templiers est la suite logique de cette politique. Leur arrestation massive, minutieusement préparée, fut une gigantesque opération policière ; elle stupéfia l'opinion, prit de court Clément V, nouveau pape faible et malade, accabla l'honnête mais vulnérable grand Maître de l'Ordre, Jacques de Molay. S'ensuivit une parodie de justice stalinienne avant la lettre, orchestrée par Nogaret et l'Inquisition : accusations mensongères, lavages de cerveaux, abominables séances de tortures savamment graduées. Lâchetés et actes d'héroïsme, trahisons, coups de théâtre se succédèrent jusqu'à la suppression du Temple sans jugement et la mort sur le bûcher de Jacques de Molay en 1314. C'est ce mécanisme diabolique que Georges Bordonove met à plat avec son talent habituel. Démontrant à l'aide de toutes les pièces du dossier l'indigne falsification des charges pesant sur les inculpés, il laisse la vérité s'imposer d'elle-même, tant l'analyse lucide et impartiale des documents et des faits plaide en la faveur des victimes de la tragédie, qui pérennise, au fil du temps, l'idéal templier et son éventuelle survivance.

Lancée en 1208 par le pape Innocent III, la croisade contre l’hérésie cathare fut la première guerre « sainte » prêchée par l’Église de Rome à l’encontre d’un peuple chrétien.

Massacre de Bézier, siège de Carcassonne, autodafé de Montségur : la croisade dégénéra vite en une sanglante guerre de conquête qui embrasa l’actuel Languedoc et les régions voisines. Pendant un demi-siècle s’affrontèrent les défenseurs de la civilisation occitane et les assaillants venus du Nord, c’est-à-dire les « Français », qui cherchèrent à déposséder Raymond de Toulouse de son comté. Lorsque les derniers cathares, capturés un à un, périrent sur le bûcher, un nouvel ordre s’est installé, celui des rois de France.

Une jeunesse romaine, suivie d'une existence picaresque, incertaine, aventureuse, où un capitaine de lansquenets, Giulio Mazarini, fait son apprentissage de diplomate au service de l'Eglise, puis cherche sa voie avant de devenir le disciple de Richelieu qui le fit nommer cardinal.

Parrain du futur Louis XIV et quasi désigné par Louis XIII de son vivant, il devient Premier ministre sous la régence d'Anne d'Autriche. Plus fascinant que Richelieu, Mazarin " régna " dix-huit ans en maître absolu, sauva le royaume de l'anarchie pendant la Fronde, triompha des Habsbourg d'Autriche et d'Espagne, sut enfin préparer le Roi-Soleil à régner sans Premier ministre. La paix des Pyrénées, qui fut son chef-d'œuvre, marqua l'apogée de la France en Europe. Ses contradictions, ses ambiguïtés, sa fortune colossale, ses appétits démesurés de collectionneur d'art, ses obscurités même ajoutent à la séduction de ce personnage qui sut être, à l'égal de Richelieu, l'un de nos plus grands hommes d'Etat.

Quatrième de couverture

Entreprises à l'origine pour reprendre le Saint Sépulcre aux musulmans, les croisades furent aussi une riposte de la chrétienté à la menace persistante que l'islam faisait peser sur l'Occident. Evénement unique dans l'Histoire, elles mirent sur les routes d'Orient des centaines de milliers de pèlerins, armés ou non !

Les croisés, ayant fondé le Royaume de Jérusalem en 1099, durent assumer sa défense pendant deux siècles. Ils ne cherchaient pas à « coloniser » la Syrie et la Palestine, ils voulaient que Jérusalem redevînt le berceau des chrétiens, que la terre qui avait vu naître, vivre et mourir le Christ leur appartînt, comme La Mecque appartenait aux musulmans.

La France prédomina constamment en Terre sainte. Les rois de Jérusalem, les seigneurs, les paysans et les artisans étaient pour la plupart de souche française. En sorte que les croisades sont notre Chanson de geste ; des personnages hors du commun les animent : Pierre l'Ermite, Godefroy de Bouillon, le grand Saladin, le sublime Roi Lépreux Baudouin IV, l'admirable Saint Louis. Les martyrs, les héros y côtoient les brigands, les traîtres, les assassins jusqu'à l'ultime sacrifice de Saint-Jean d'Acre.

Dans un exemplaire souci d'objectivité, Georges Bordonove fait état des chroniqueurs latins comme des historiens arabes. C'est pourquoi; sous leur plume, enthousiasme, ferveur, générosité s'appliquent successivement à l'un et l'autre camp, responsables tous deux, selon le lieu, l'heure et les circonstances des mêmes turpitudes, des mêmes dissensions. Un souffle d'épopée traverse chaque parcelle de cette fresque immense, glorieuse et pathétique, voilée d'ombres et de tragédies à la mesure même du génie et des défaillances de la France et de l'Occident qui n'ont jamais cessé depuis lors d'être impliqués dans les déchirements et les nouveaux conflits qui opposent aujourd'hui encore Jérusalem et les peuples qui l'entourent.

La guerre dite de cent ans (1337-1428) L'épopée de Jeanne d'Arc (1429-1430) Le martyre de Jeanne (1430-1431) Et t'a rendu Guyenne et Normandie (1431-1453) Le dernier procès de Jeanne (1452-1456).

Cet enfant habite un pays de brumes, de marécages, de vieilles maisons, de vieilles gens, d'une obsédante mélancolie. Il est seul, car sa famille est désunie. Chaque parole devient pour lui une blessure. Il étouffe dans cette atmosphère toujours plus pesante. Il cherche un moyen de s'évader. Quelques visages lumineux émergent de ce fond de tristesse ceux des êtres qui s'aiment, pour lesquels il peut y avoir une vie innocente ; celui d'une petite fille qui se croit au Pays des Merveilles. Ils attirent l'enfant solitaire, comme le soleil attire un insecte prisonnier. Mais l'insecte se débat vainement et succombe. Ainsi de cet enfant privé de tendresse. Pourtant son âme retrouvera le bonheur perdu. Cette tendre et déchirante histoire est une " quête " spirituelle, mais aussi une plongée dans le monde mystérieux de l'enfance...

« Moi, chat Mistouflet, j'ai pendant tant d'années assisté mon maître Georges Bordonove dans ses écritures que l'idée m'est venue de conter à ma manière l'histoire de notre amitié. Tant de belles heures passées ensemble, à la clarté de la lampe, parmi les livres et les manuscrits, durant lesquelles j'écoutais sa pensée, comme lui la mienne, toutes les joies partagées m'ont bien donné ce droit ! Nous avons traversé les mêmes enchantements et les mêmes épreuves. Il a participé à la grande et périlleuse aventure de ma vie. Ne pouvais-je donc, par le biais de sa plume, offrir ces confidences à ses lecteurs ? C'est aussi un voyage au pays mystérieux qui est le nôtre, nous autres chats, car le monde reste plein de merveilles que les humains ne savent plus voir. » Mistouflet, comme ses maîtres et ses compagnons, a véritablement existé.

1210 : Noyée dans les flammes de son bûcher, Minerve, ville forteresse réputée imprenable entre les Cévennes et les Pyrénées, capitule au terme d'un siège sans merci. Le premier acte de la tragédie cathare s'achève.

Le dernier, trente-quatre années plus tard, s'appellera Montségur. Dans ce roman superbe s'inspirant de la première phase de la croisade des Albigeois qui déchira la France il y a quelque sept cents ans, entraînant la disparition de la civilisation occitane, Georges Bordonove, sur fond authentique de la geste des "Parfaits", mêle avec une rare maîtrise l'Histoire, le sang, la foi, la volupté et la mort.

Guilhem, jeune seigneur de Minerve, accueille dans son château, par bravade plutôt que par foi véritable, une horde d'hérétiques traqués par les Croisés de Simon de Montfort. Parmi les fugitifs se trouve Esclarmonde, indicible beauté de vingt ans, ardente, rayonnante, vouée aux béatitudes célestes et non au plaisir des sens.

Mais dès le premier regard qu'il porte sur elle, Guilhem sait qu'elle lui appartiendra. Le Bûcher, livre d'une saisissante grandeur, d'une force, d'un lyrisme, d'une poésie qui subjuguent, évoque l'essentiel du drame cathare : le conflit pathétique entre l'amour selon la chair et l'amour selon l'esprit, la coexistence, parfois incompatible, du bonheur et du devoir.

Les Templiers, histoire et tragédie.

Ce livre retrace la superbe histoire des Templiers, depuis la fondation de cet Ordre par Hugues de Payns jusqu'à sa destruction par Philippe le Bel.

Une histoire nécessairement liée à celle du royaume de Jérusalem et qui prend fin avec lui, puisque la reddition des dernières citadelles franques laissa les Templiers sans emploi.

Mais il analyse aussi la règle de l'Ordre et son évolution, le rituel et la vie quotidienne des Templiers.

Il décrit une commanderie et donne la liste de celles dont les murs subsistent en France.

On assiste à l'ascension de l'Ordre en Palestine, au long des Croisades ; à son alliance avec Damas et à ses démêlés avec Richard Coeur de Lion, Frédéric II ou Louis IX ; enfin au développement de son rôle financier, qui conduit, après le retour en France, à son procès et à sa spoliation par Philippe le Bel.

L'histoire d'une passion fulgurante, d'une famille de hobereaux, d'un vieux château blotti dans un écrin chatoyant de verdure et de hautes frondaisons, sur les terres voilées d'ombre ou gorgées de lumière du Bocage vendéen, fouetté perpétuellement par les vents d'Ouest venus de l'Océan.

Dans un cadre romanesque et merveilleusement romantique, Blaise de Chablun, ultime descendant de sa lignée, va vivre une passion qui transfigurera sa destinée, un amour si éclatant que les séparations, la mort même, ne pourront plus jamais atteindre.

Aux derniers jours du royaume des Croisés, l'amour fou d'une jeune fille, qui changea en lumière le désespoir d'un roi lépreux de seize ans, vainqueur de Saladin, infortuné et sublime roi de gloire, héroïque jusqu'à la sainteté. Son regard avait le bleu du ciel, ses cheveux l'or des blés mûrs, sa voix le frémissement des feuillages au lever du soleil ou au crépuscule lorsque l'astre disparaît dans la mer. Fille de l'humble seigneur de Mauléon, accouru de France en Terre Sainte avec ses deux enfants, pour répondre à l'appel des Croisés en péril, Jeanne, dès son arrivée à Jérusalem, s'enflamme d'un pur et dévorant amour pour le jeune roi Baudouin IV qui se meurt. Lui, en dépit du mal qui le ronge, bravant la mort de toute son âme, continue à défendre pied à pied son royaume. Contre Saladin, contre les intrigues de cour, contre les trahisons de son propre entourage. La passion de Jeanne qui le bouleverse et qu'il refuse d'abord sachant qu'elle sera fatale à la jeune fille, le soutient bientôt dans sa lutte désespérée, illumine, telle une promesse d'éternité, le calvaire qu'il endure.

Poignante, sobre, empreinte d'une grandiose humanité, cette idylle flamboyante recèle la ferveur mystérieuse et mystique des impérissables récits du Graal. Comme eux, comme les héros de la légende, Jeanne et Baudouin dispensent, par delà les siècles, leur ineffable message d'amour et d'espérance.

Une longue marche vers le pouvoir et dix-huit ans d'un règne partagé avec Louis XIII, l'histoire de Richelieu serait celle d'un ambitieux comblé, s'il n'y joignait les qualités exceptionnelles et l'abnégation d'un grand homme d'Etat.

Neveu de Napoléon Ier, proscrit après Waterloo, à l'âge de 7 ans, il vécut trente ans en exil et six ans en prison, avant de devenir président de la IIe République et empereur.

En se lançant sur les traces d'un artiste obscur ayant vécu au Siècle d'Or espagnol, dont il a découvert par hasard les mémoires, le peintre et historien Louis Palalda pouvait-il deviner qu'il revivrait la même passion amoureuse que son héros ?

Avec une maîtrise exceptionnelle du contrepoint Georges Bordonove nous entraîne dans une double histoire d'amour où d'ardents et purs sentiments mènent le jeu.

Car, si les mœurs d'il y a quatre cents ans ne sont plus les nôtres, une fatalité semblable, avec des armes différentes, s'acharne cependant contre les amours qui la défient. Et les liens spirituels qui relient l'inaccessible patricienne d'autrefois à la jeune aristocrate d'aujourd'hui ne sont pas sans danger.

L'ombreuse et tortueuse Tolède prête à ces deux histoires son splendide décor : les couleurs de ses ciels orageux, l'opulence de ses palais secrets...

Avec l'intensité d'émotion et la langue élégante et sûre qu'on lui connaît Georges Bordonove nous associe à ces jeux du désir, de la passion et de la mort dont la terre castillane semble la patrie d'élection.

Sur le mauvais chemin qui descend vers la Loire, Lazare de Chablun, hobereau de l'Ouest, est partagé entre l'émotion de retrouver son vieux manoir et l'inquiétude des temps : la Convention, d'évidence, se prépare à condamner Louis XVI.

Sans espoir, mais de tout son cœur, Lazare va prendre les armes avec tout un peuple en sabots, épris de sa liberté de conscience et de foi.

Laurence, fille d'un député de la Législative, va l'aimer alors que tout les sépare. N'écoutant que son cœur, elle va se jeter à ses côtés dans un combat qui n'était pas le sien.

Historien, romancier puissant du Bûcher et de La Caste, Georges Bordonove nous donne ici une poignante histoire d'amour, en même temps qu'une flamboyante chronique de la tragédie vendéenne.

Source : Le Livre de Poche

« Quand j'évoque cette nuit, mes doigts volent sur la page comme des oiseaux dans le ciel ; cependant mon cœur bat au milieu des épines... Si remplie d'arômes était cette brise, si proche du printemps ! Si chaud, le voisinage grésillant des torches ! Et si belle, Chiomarra !... Elle était enfin devant moi. -Ses yeux épousaient ma pensée, brillant des feux purs de la passion, de tous les enchantements terrestres, de la douceur radieuse de cette nuit. Elle ne disait rien. Ses mains restaient inertes. Mais ses lèvres avaient ce menu tremblement que je connaissais si bien. Une boule descendait et remontait sous la peau blanche de son cou. Puis les larmes se mirent à couler sur ses joues ; et c'étaient les perles de notre tendresse déchirée.

- Ma Reine... ma reine aimée... Chiomarra...»

Marqué à jamais par le souvenir ébloui d'un impossible amour, un officier romain, légat de César, sénateur et préfet de Rome, raconte, au temps de la conquête des Gaules, sa funeste passion Pour une princesse gauloise,. qui sera malgré elle l'instrument de sa perte. Succombant à ses charmes, il deviendra l'adversaire des siens, ira jusqu'à trahir sa patrie et César...

Des mots, des pages, des visages qui scintillent dans la mémoire, telle l'eau claire d'une fontaine miroitant sous l’azur d'un ciel d'éternité. Sans doute le plus brillant et le plus inspiré des romans de Georges Bordonove.

L'Atlantide !...depuis Platon, le continent disparu ne cesse de hanter la mémoire des hommes. D'innombrables ouvrages ont évoqué à son propos des hypothèses aussi contradictoires que passionnées.

L'Atlantide ! Mythe ou réalité ? Monstrueux cataclysme d'origine cosmique ou disparition programmée d'une civilisation condamnée par les dieux pour sa trop arrogante prospérité, son or honteusement dilapidé, sa luxure effrénée ?

Pour ressusciter l'univers fabuleux des Atlantes, anciens maîtres du monde et des mers, Georges Bordonove, s'appuyant sur l'ethnologie et l'Histoire, les traditions orales et secrètes mais surtout sur ses propres intuitions, nous invitent à revivre, avec une superbe et terrifiante puissance d'évocation, un souffle quasi biblique, les derniers jours de Poséidonis, la ville aux Portes d'Or, capitale de l'empire englouti.

Deux hommes et une femme réussissent à s'enfuir. Ils atteignent le port dévasté, parviennent à se hisser sur un voilier, sont happés par le reflux d'un gigantesque raz de marée.

Commence alors pour eux une hallucinante aventure. Projetés sur les flots dans un chaos de fin du monde, ils affrontent, en perdition, les éléments déchaînés, s'accrochent, de toutes leurs forces désespérées, à un espoir de salut qui va s'amenuisant de seconde en seconde

Un récit qui dessine le portrait psychologique de l'Empereur. Fut-il la victime des rois ? Fut-il coupable ? Fils de la Révolution ou ennemi de la liberté ? Fut-il l'instrument du destin conduit par une force aveugle qui le porta jusqu'à la puissance suprême avant de précipiter sa chute ?

Ardente, intrépide, secrète, Marie Loisel fait partie de ces femmes qui suscitent l'admiration de tout homme qui combat à leurs côtés. Pendant les sanglantes guerres de Vendée qui déchirent l'Ouest de la France de 1793 à 1815, passionnément dévouée à la cause royaliste, elle accepte les plus terribles missions sans jamais craindre de mettre sa vie en péril.

Son amour et sa dévotion pour Roger Osbern, qui l'a sauvée de la guillotine en l'épousant, sont absolus.

A travers leur histoire, semée d'épreuves aussi tragiques qu'imprévisibles qui tantôt les séparent, tantôt les réunissent, Georges Bordonove relate de façon magistrale l'épopée des Chouans et leur vie quotidienne.

Bruissant de rumeurs nocturnes où l'on respire à pleines bouffées le parfum des bois et des campagnes, où l'on entend le chant de la pluie se mêler au fracas des armes, ce roman ressuscite une période sombre de notre pays.

Mais l'amour indéfectible de Roger et de Marie, hantés par leur inlassable combat, jette sur cette fresque bouleversante la touche de lumière qui donne aux meilleures œuvres de la littérature française toute leur profondeur et leur éclat.

Quatrième de couverture : Tout le monde connaît les Soldats de l'An II, mais non ces marins de l'An II qui eurent pourtant le mérite de sauver la première République de la famine et qui osèrent défier la redoutable marine britannique.

Or, selon Michelet, " le prodige de ce temps de prodiges" fut, précisément, la création d'une marine républicaine par Jeanbon Saint-André. Et il souhaitait qu'un jour quelqu'un entreprenne de raconter l'histoire de cette grande aventure.

C'est en somme pour répondre à ce vœu que Georges Bordonove a écrit ce livre où il retrace, non seulement les travaux du représentant du peuple Jeanbon Saint-André, mais les événements politiques et militaires qui précédèrent, accompagnèrent et suivirent la réorganisation de la flotte : trahison de Toulon, affaire de l'escadre Morard de Galles à Quiberon, combats de Prairial contre les Anglais avec, au centre, l'épisode fameux du Vengeur-, campagne du Grand-Hiver, déroute de Groix, etc.

Dans cet ouvrage, qui intéresse à la fois l'histoire de la marine et l'histoire de la Révolution, Georges Bordonove confirme une fois de plus les éminentes qualités que lui reconnut l'Académie Goncourt en lui décernant, l'année dernière, sa " bourse du récit historique 1974 " pour Le naufrage de la Méduse.

Molière, cet inconnu... Et pourtant, il est peu d'hommes de génie que nous ayons envie de connaître plus intimement, tant, avec son humanité et sa simplicité, il nous paraît proche. Mais la difficulté est grande de percer sa personnalité : aucune de ses lettres ne nous est parvenue ; sa vie personnelle est pleine de mystère..

. C'est le très grand mérite de Georges Bordonove d'avoir percé (grâce à des documents conservés aux Archives nationales) certains de ces secrets et de restituer, à travers les témoignages de l'époque et l'œuvre elle-même, un Molière vivant, familier, aux prises avec des problèmes de logement, d'argent, de recrutement, de sentiments, de rivalités littéraires et, en même temps, un artiste génial.

L'homme et son œuvre s'en vont de compagnie, l'un éclairant l'autre et réciproquement. C'est toute une époque, toute une société, de la ville de province à la cour de Versailles, qui se lèvent et s'animent ici autour de la figure fraternelle du tendre, généreux et pathétique Molière.

Marchand, armateur, banquier, industriel, maître de mines, Jacques Coeur, né à Bourges vers 1395, a été investi des plus hautes charges publiques ; Commissaire royal et grand argentier, il restaura le commerce français après la Guerre de Cent Ans et rétablit les échanges Import-Export avec l'Orient.

Créateur avant la lettre des sociétés multinationales et des entreprises à succursales multiples, il réussit à stopper la dévaluation de la monnaie, s'efforçant en même temps d'instaurer une justice fiscale.

Génial administrateur doublé d'un inégalable esprit d'entreprise, mécène, constructeur (son palais de Bourges est le plus beau monument civil de l'époque), il fut couvert d'honneurs et passa pour l'homme le plus riche du royaume.

Arrêté sous un prétexte futile, il fut condamné, au terme d'un simulacre de procès, à une énorme amende, à la confiscation de tous ses biens et au bannissement transformé par ordre du roi, Charles VII, en emprisonnement.

Sa chute brutale, sa captivité aggravée de tortures, son extraordinaire évasion et sa mort lointaine ajoutent une touche tragique à sa destinée prodigieuse, non sans étroite similitude avec celle que connaîtra, un peu plus de deux siècles plus tard, l'infortuné FOUCQUET

De celui que la légende a retenu sous le nom de Barbe-Bleue, Georges Bordonove juge qu'il fut "le plus shakespearien des Français", tant il est vrai que la vie de Gilles de Rais aurait pu offrir la matière d'une tragédie.

Ce descendant de Du Guesclin, né dans une des plus riches et puissantes familles du XVe siècle, serait sans doute demeuré dans l'histoire par le seul éclat de ses nombreuses victoires militaires obtenues aux côtés de Jeanne d'Arc, avec qui il partagea l'insigne et royal honneur d'arborer sur son blason un semis de fleurs de lys.

Mais son mythe, Gilles de Rais le doit à sa monstruosité : avec la complicité de ses serviteurs, il enlevait des enfants qu'il violait et assassinait lors de terrifiantes orgies.

Le plus étrange est qu'il semblait conscient de faire le mal, et, au milieu de ses crimes, se mortifiait et dilapidait sa fortune en œuvres pieuses et autres dons.

C'est ce personnage stupéfiant qui revit sous nos yeux dans cet ouvrage en forme de roman, où l'auteur, à partir d'une riche documentation historique, conduit une enquête imaginaire et interroge Gilles et les principaux témoins de sa vie. --Thomas Ferrier

Analysant la Règle du Temple, en ses différentes versions et additions successives, puisant dans l'histoire de l'Ordre les exemples les plus significatifs, G. Bordonove décrit, à travers la carrière d'un Templier type, la vie quotidienne dans les commanderies d'Occident et d'Orient.

L'auteur montre quelles étaient les attributions des dignitaires et comment on les désignait, le mode d'élection du Maître, la réception d'un simple chevalier. Il donne ainsi un schéma complet de l'organisation comme des activités templières : agricoles, bancaires, maritimes, religieuses et militaires.

Au-delà des légendes, de l'hagiographie, de la calomnie, il trace un portrait en profondeur des Templiers, à la fois exaltant et vigoureux, dans la période cruciale de leur histoire : ce XIIIe siècle qui vit la fin du royaume latin de Jérusalem et des Croisades, et leur propre déclin. Ce n'est pas un plaidoyer en leur faveur.

C'est une poursuite passionnée, passionnante, de ce que furent réellement ces Don Quichotte de la foi, acharnés à défendre l'honneur du Christ.

Prodigieux Talleyrand qui, avec Napoléon, marqua d'une empreinte ineffaçable l'une des périodes les plus tourmentées de notre histoire ! Né sous Louis XV, mort sous Louis-Philippe, à quatre-vingt quatre ans, il connut huit régimes, six souverains et fut six fois ministre des Affaires étrangères, ne rentrant dans l'ombre que pour resurgir en pleine lumière. Doué d'un flair infaillible, il faisait et défaisait les rois, les abandonnant dès qu'ils s'abandonnaient eux-mêmes. Son duel avec Napoléon (le diplomate contre le conquérant), son action, ses choix répondaient à l'idéal de liberté et de paix qu'il avait hérité du Siècle des Lumières. Intuitif, visionnaire, ayant " de l'avenir dans l'esprit ", il prédit l'actuelle fédération européenne, la montée en puissance de l'Amérique, les dangers du panslavisme. Au Congrès de Vienne, il sauva la France du démembrement. Premier diplomate de son siècle, il se montra aussi le dernier grand seigneur par son élégance et son faste. Sphinx de la politique, il fut à la fois l'acteur et le témoin impassible des événements de son époque.

En 1940, Winston Churchill proposa au président Reynaud un projet d'Union "indissoluble" entre la France et l'Angleterre. Ce projet mettait fin sentimentalement - puisqu'il ne put aboutir politiquement - à la traditionnelle rivalité franco-anglaise sur les terres et les mers. Car ce que l'on appelle "la Guerre de Cent Ans" ne fut que l'épisode le plus fameux et le plus aigu d'une guerre de six cents ans. L'abaissement de l'Europe est largement imputable à cette lutte aussi féroce que stérile.

Cependant, il fut un temps où les rois d'Angleterre se considéraient comme princes français; où, de part et d'autre de la Manche, on parlait la même langue: où tout était possible pour nos deux peuples, à commencer par une alliance étroite et durable qui eût changé le cours de l'Histoire.

George Bordonove montre dans cet ouvrage comment la haine, les appétits de conquête et de gloire supplantèrent des affinités évidentes et des intérêts communs. Evoquant les phases essentielles de ce long combat, traçant le portrait des personnages qui l'assumèrent, il a recensé les occasions perdues, les possibilités délibérément rejetées, pour conclure sur la nécessité vitale d'une Europe enfin unie, au-delà des nationalismes.

Avant Vercingétorix, la Gaule n'a pas d'histoire. Son origine se perd dans la nuit des temps, se confond-même avec la préhistoire. Sa population disséminée à travers tout le territoire ressemble à un puzzle de clans et de tribus disparates.

Mais lorsqu'en 53 avant Jésus-Christ, le plus illustre de nos aïeux parvient à rassembler sous son autorité unique une armée de volontaires accourus des quatre coins du pays, c'est le coeur de la Gaule tout entières qui s'éveille et se met à battre pour la première fois.

Dès lors, nous le sentons, commence véritablement l'histoire de la France.

Coupable ou victime ? « S'il avait été condamné à mort, je ne l'aurais pas sauvé », telles furent, dit-on, les terribles paroles prononcées par Louis XIV à l'égard de Nicolas Foucquet, surintendant des Finances, homme d'affaires et mécène, politicien de haute volée, bâtisseur génial du château de Vaux-le-Vicomte. Remontant aux sources les plus sérieuses, laissant aux documents et aux actes précis tout leur pouvoir d'évocation, Georges Bordonove fait revivre avec passion et perspicacité la prodigieuse destinée et la mort chargée d'énigmes de celui qui fut l'un des personnages les plus considérables de son temps. Au fil d'un récit mené tambour battant, où le burlesque côtoie sans cesse le tragique, surgissent autour de lui, étonnamment vivants, Mazarin, Louis XIV, Anne d'Autriche, Louise de La Vallière, Madame de Sévigné, Molière, La Fontaine, et bien d'autres grands personnages de l'Histoire. Que savait donc Foucquet ? Quel secret d'État, touchant sans aucun doute à la personne même du roi, détenait-il ? A-t-il succombé sous les coups d'ennemis irréductibles, ou bien a-t-il inconsciemment tissé lui-même la toile inexorable qui devait le condamner à devenir un mort vivant ?

A la fin du siècle dernier, dans les farouches solitudes de l’antique forêt de Brocéliande, un vieux veneur, dévoré d’amers secrets mais animé encore d’une impétuosité juvénile, affronte, dans une chasse mémorable, un loup démesuré qui hante la région. Composée comme une symphonie en quatre mouvements, cette histoire authentique, pleine de fureur et de tendresse, est la plus étrange des histoires d’amour. Histoire cruelle et sublime où viennent se confondre les destins de l’homme-loup et du loup devenu presque un homme. Si forte, si sensible en est l’évocation, si grandiose et poignant le dénouement, qu’une fois la lecture du livre achevée on se prend malgré soi à écouter encore résonner, au loin, l’adieu déclinant des trompes et les derniers abois de la meute engloutis par le crépuscule.

Entré au séminaire pour s’arracher à la misère paysanne, Jean Talvard travaille à quitter la soutane. Il deviendra d’abord le précepteur du fils du maire, puis l’indispensable adjoint de ce dernier, et enfin son gendre. Tout en guidant machiavéliquement son beau-père parmi les problèmes que pose l’occupation allemande, Jean Talvard plante déjà des jalons d’une prochaine carrière politique. Il entre au bon moment dans un maquis où il prendra figure de héros, marquant plus de conviction que de courage. Mais il y connaît aussi...

Il y a mille ans, les premiers Bénédictins prenaient pied, au péril de la mer, sur le Mont de l’Archange. Ils viennent d’y revenir (notre photo) pour célébrer le glorieux anniversaire de la fondation du sanctuaire. Pèlerins d’hier et d’aujourd’hui, par centaines et centaines de milliers, revivent dans ce “Roman du Mont-Saint-Michel”, où revit aussi toute l’histoire du Mont, religieuse, artistique, politique. Ici, sur ce haut-lieu, pendant des siècles, l’histoire de la France a retenti comme nulle part ailleurs, s’amplifiant à la mesure du ciel et de la terre. Et c’est dans ce livre que ces histoires mêlées, confondues, trouvent leur plus juste expression. Désormais, on ne pourra plus comprendre le Mont dans sa totalité sans avoir revécu, avec Georges Bordonove, l’extraordinaire aventure de ce lieu qui est devenu l’authentique “symbole de la France”.

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