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Toutes les séries de Gérard Bonal

27 livres
4 lecteurs

Historia vous invite dans ce numéro Spécial, à travers les péripéties de Blutch et Chesterfield, les héros des Tuniques bleues, la bande dessinée de Cauvin, Salvé et Lambil, à revivre l’époque légendaire du Far West. Une manière de découvrir, planches par planches, comment la nation américaine s’est formée et de suivre deux des épisodes les plus marquants de cette épopée, les guerres indiennes et la guerre de Sécession qui oppose l’Union (États du Nord) à la Confédération (ceux du Sud).

De la conquête du « grand désert » qui s’étend du fleuve Mississippi au Pacifique dans la première moitié du XIXe siècle, à la bataille de Little Big Horn, marquant la victoire des Amérindiens, de la déclaration de guerre à l’ultime représentant des Tuniques bleues, George Patton, adepte d’un nouveau cheval de fer, le char de combat, suivez l’avancée des pionniers du Far West. Une série d’articles signés des meilleurs spécialistes de l’histoire des Etats-Unis.

Avec à suivre, un cahier découverte consacré au Texas et à son univers impitoyable : conquérants espagnols, émigrants américains et dangereux Indiens avec une visite guidée de San Antonio, terre de missions.

Tous les livres de Gérard Bonal

«Dans ce formidable mouvement d'idées, ce foisonnement artistique, politique, littéraire, philosophique, théâtral qui explose à Saint-Germain-des-Prés, vers 1944-1945, avec le retour de la liberté, il y a place pour tout et pour tous : "la bande à Prévert" et "la famille Sartre", les premiers tableaux de Bernard Buffet et les derniers dessins d'Antonin Artaud, Juliette Gréco, "la Dame noire", et Cora Vaucaire, "la Dame blanche", le Café de Flore et le Bar Vert, les existentialistes, les communistes, les lettristes, les chanteurs, les acteurs, les réalisateurs, Jean Cocteau et Gabriel Pomerand, le Tabou et la librairie Le Divan, le jazz bop et le jazz New Orleans, Sidney Bechet et Boris Vian, Simone de Beauvoir et Marguerite Duras, les femmes du monde en tailleurs new-look et talons aiguilles et les "rats de cave" en jupes portefeuilles et baskets... Fraternité. Fraternité de façade, mais fraternité quand même.»

Il est mort si jeune, il est mort si vite que son image s'est arrêtée, définitivement fraîche et séduisante. De cet éternel Rodrigue, le temps a fait un mythe.

Pour la première fois, une biographie entreprend de retracer l'histoire de ce jeune homme blagueur et distrait qui, préférant les rigueurs du TNP à la fortune des studios, deviendra le plus illustre de nos comédiens, passionné, rigoureux, engagé dans la vie comme dans son art.

La Société des Amis de Colette rend hommage à la fille de Colette, Colette de Jouvenel, l'éternelle Bel-Gazou.

Quelques écrits, des pensées sur sa mère, des lettres ( à Bernard Gavoty, Léon Delanoë et Jenny Bellay) constituent cette plaquette éditée en souvenir de Colette de Jouvenel.

Nulle date anniversaire n'impose un hommage à Gérard Philipe, dont la disparition brutale en 1959, à l'âge de trente-sept ans, bouleversa le monde. "Ange foudroyé ", " prince de la scène et de l'écran ", "héros romantique", "légende d'un demi-siècle", " éternelle jeunesse les termes n'ont pas manqué depuis sa mort pour saluer celui qui fut un inoubliable Lorenzaccio, mais aussi le Fabrice de La Chartreuse de Parme ou le jeune amant du Diable au corps. De l'ange de Sodome et Gomorrhe (Jean Giraudoux,1943), son premier succès à la scène, jusqu'au secrétaire Vasquez, sa dernière prestation dans La fièvre monte à El Pao (Luis Bunuel,1959), ce comédien d'exception trace son chemin au cours de quinze années bien remplies au théâtre (vingt pièces) et au cinéma (trente films). Pour la France des années cinquante, désireuse d'oublier vite "les événements ", les films qu'il interprète offrent un refuge dans l'humour et l'histoire en costumes, et son souvenir théâtral vit encore dans la mémoire des spectateurs d'alors, pour qui les représentations du Cid ou du Prince de Hambourg restent des moments de légende. Avec son épouse, Anne, cinéaste, ethnologue et écrivain, il plonge au cœur des mouvements politiques et sociaux qui agitent le monde : guerre froide, péril atomique... Entre le modèle américain et le modèle soviétique, le consumérisme et l'utopie communiste, Gérard Philipe fait son choix et le fait percevoir jusque dans le métier : il entre ainsi au TNP et s'engage aux côtés de Jean Vilar dans une vision renouvelée du rôle social du théâtre. Sa beauté, une vie brève et une carrière fulgurante ne sauraient à elles seules expliquer l'attrait qu'il exerce aujourd'hui encore. Sa séduction tient sans doute à la "résistance" que Gérard Philipe oppose à toute réduction simpliste de son personnage, sur lequel des proches, témoins, écrivains, spécialistes, portent ici des regards croisés, remarquablement servis par une illustration puisée en grande partie dans les collections de la Bibliothèque nationale de France

Mary Cassatt, Natalie Barney, Renée Vivien, Winnaretta Singer, Isadora Duncan, Gertrude Stein, Alice Toklas, Romaine Brooks, Edith Wharton, Anne Morgan, les soeurs Klumpke… Le Paris de la Belle Époque vibre sous les assauts de ces Américaines éprises de liberté. Elles sont riches, artistes, philanthropes. Elles peignent, écrivent, dansent, jouent de la musique, tiennent salon, aiment. Paris est une fête pour ces femmes aux moeurs libres qui fuient l’Amérique puritaine. Le salon de la princesse de Polignac où se retrouve toute l’avant-garde musicale, Fauré, Ravel et Debussy ; l’atelier de la rue de Fleurus où Gertrude Stein arbitre le match Picasso-Matisse ; le temple de l’amitié de Natalie Barney, rue Jacob, où l’on croise Colette, André Gide, Ernest Hemingway, Adrienne Monnier, Jean Cocteau… Autant de lieux qu’elles ont rendus célèbres dans le monde entier grâce à leur énergie et leur talent

Colette (1873-1954) a donné à l'autofiction ses lettres de noblesse, raconté sa vie sans cesse et à toutes les occasions, se réinventant en créatrice de produits de beauté à son nom, ou improvisant comme il lui chantait. A l'aune de nos vies contemporaines, celle de Colette figure sans nul doute l'avant-garde. Dans cette nouvelle biographie, l'auteur a pris le parti de montrer combien sa vie, suite de scandales, de coups de force, de traits d'audace aussi bien littéraires que personnels dessinait une trajectoire volontaire. Cette cohérence est d'autant plus évidente que Gérard Bonal a voulu écrire cette biographie comme un récit - presque un roman avec ses épisodes dramatiques, ses ruptures amoureuses, ses succès professionnels : dés les années 20, Colette figure au sommet des auteurs à succès. Un roman où tout est vrai et qui s'inscrit fortement dans le contexte français : la province de la fin du XIXème siècle, la Belle Epoque, la Première Guerre mondiale, le crash de 1929, l'Occupation.A l'appui de cette thèse, la rigueur des informations puisées aux meilleures sources (correspondances inédites retrouvées qui révèlent des aspects jusque-là inconnus, témoignages inédit des contemporains.), vérifiées et croisées à quarante années de recherches colettiennes ( on peut en effet dater de 1973, année du centenaire de la naissance de l'écrivain, l'intérêt de l'université pour Colette). Des recherches parfois désordonnées, en tout cas géographiquement dispersées en France, aux Etats-Unis, en Australie, et qu'il convenait de remettre en perspective. Ainsi sont revisités et réévalués les grands thèmes colettiens : la mère, les bêtes, l'amour, l'homosexualité tandis que l'on découvre, qu'avant tout le monde, l'écrivaine s'est interrogée sur le genre. Un travail neuf et vif qui révèle, soixante ans après sa mort, une Colette sinon inconnue, du moins plus secrète, plus brutale, plus vraie, plus contemporaine que celle qu'a fabriqué l'imagerie pieuse de « la bonne dame du Palais-Royal » et que le monde entier vient visiter à l'instar d'Audrey Hepburn ou Truman Capote. Mais au final combien est plus intéressante cette femme forte et qui ne dépendait que d'elle seule. Avec plusieurs ouvrages consacrés à Colette, Gérard Bonal a derrière lui une longue fréquentation de l'ouvre et de la vie de l'écrivain- récemment il a dirigé les Cahiers de l'Herne consacrés à la romancière et écrit plusieurs ouvrages mais aussi des documentaires, et pièces de théâtres - mais il ne lui avait pas encore consacré de biographie. Fermer

2 octobre 1925, sur la scène du théâtre des Champs-Élysées, le public, venu en nombre, découvre Joséphine Baker dans La Revue nègre. Elle a 19 ans, c’est un triomphe. Elle danse le charleston, vêtue de sa seule peau brune, portant sa nudité comme une panthère noire sa fourrure. En 1931, elle chante J’ai deux amours. Une star internationale est née.

Gérard Bonal, dans une approche personnelle et presque sentimentale, liée à ses souvenirs d’enfance, livre un portrait par touches de la « Vénus noire ». Il nous entraîne sur ses traces, de l’enfance pauvre à Saint-Louis, Missouri, jusqu’à la lutte pour les droits civiques aux côtés de Martin Luther King. On embarque avec elle en 1925 sur le paquebot qui l’emmène vers l’Europe, dans un voyage qu’elle espère sans retour, pour fuir la misère et la ségrégation. On l’escorte dans le Paris nocturne des Années folles, celui des théâtres de music-hall – le Casino de Paris, les Folies Bergère –, des night-clubs de Pigalle, au bras de ses amants, Georges Simenon ou Giuseppe Abatino, dit Pepito, son impresario et mentor pendant dix ans. Dès 1941, l’icône des Années folles rejoint les services secrets de la France libre. Militant inlassablement pour la fraternité universelle, elle adoptera après la guerre douze enfants venus du monde entier, sa fameuse « tribu arc-en-ciel », qu’elle installera dans le château des Milandes, en Dordogne.

À sa mort, le 12 avril 1975, une vague d’émotion submerge le pays, des funérailles nationales sont décrétées. Aujourd’hui, la petite danseuse de Saint-Louis qui a conquis Paris en une soirée sera la première femme noire à reposer au Panthéon.

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