Gisèle Cavali
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Note moyenne : 7.17/10Nombre d'évaluations : 48
1 Citations 37 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
J'ai bien aimé lire ce livre mais j'aurais préféré qu'il ne soit écrit que dans une langue. Je l'ai terminer et j'ai hâte de lire le deuxième. Je le conseille a tous ceux qui aime les jeux vidéo d'aventure avec des chevaliers et un peu médiéval.
Afficher en entierJ'ai bien aimé ce roman qui comporte une intrigue originale, passionnante et trépidante. Du suspense et des rebondissements.
Afficher en entier10 histoires pas toutes top, il y en a 2-3 moins bonnes, mais ce livre reste en général, agréable à lire.
J'ai particulièrement aimé l'histoire "L'épée de la pucelle" et " Urbin le fétaud.
Afficher en entierÇa dois faire bien deux ans que j'ai lu ce livre, mais j'en garde un très bon souvenir. On y apprend beaucoup sur le moyen-âge, et on est loin des récits de chevaliers qui tombent amoureux d'une paysanne... c'est très réaliste, on y ressent toute la magie du moyen âge, mais aussi la crainte qui l'entour.
J'ai fait un très grand bon dans le temps grâce à ce recueil de nouvelles qui est, de plus facile à lire.
Afficher en entierhttps://jukeboxcornerblog.wordpress.com/
J'avais ce livre dans ma bibliothèque depuis 9 ans... date de la dédicace pour preuve ! Il m'a été offert par ma mère qui pensait probablement qu'il me plairait énormément. Mais voilà, il ne m'a jamais attirée. Pendant un temps j'ai hésité à en faire don sans même le lire. Mais un je ne sais quoi me retenait toujours. Peut-être l'idée que quelqu'un l'avait spécialement choisi et fait dédicacer pour moi...
Cette année j'ai pris la bonne résolution de participer aux différents challenges de Booknode afin de vider un peu ma PAL et Rêve d'or se retrouve en bonne place pour être enfin lu.
Dans cette histoire, nous suivons le récit du jeune Jacques 15 ans, français, qui se trouve en 1898 sur le territoire sauvage et hostile du Yukon au Canada, isolé dans une concession au milieu de la forêt avec son seul chien pour compagnie, creusant pour trouver de l'or et racontant son quotidien dans un journal.
Les toutes premières pages, je ne suis pas très emballée. C'est sous forme de journal, le style d'écriture me rappelle un peu ces lettres de poilus que j'ai pu lire durant mes recherches sur la 1ère guerre mondiale et tout n'est que sous-entendus, vague, flou. L'autrice cherche délibérément à ne rien révéler de ce qui a mené notre héros dans ce lieu, cette situation, essayant d'éveiller la curiosité du lecteur. Il lui faut une trentaine de pages pour y parvenir avec moi. En fait il lui suffit d'évoquer les coutumes des indiens Kutchin pour subitement me prendre d'un intérêt sincère et avide. Et je dois avouer ma profonde frustration et mon dépit quand le récit s'arrête sur un gros cliffhanger pour reprendre sa narration un an plus tôt.
Le livre est découpé en plusieurs parties. Certaines sont le journal du héros et d'autres sont sa correspondance à sa famille et ses amis. Le tout nous permet de suivre au fil des événements marquants le quotidien de Jacques dans le sud de la France, puis son départ forcé avec son père, la traversée de l'Atlantique en bateau, l'entrée sur le territoire américain en tant que migrant parmi tous les migrants, le voyage jusqu'à Panama pour ensuite rejoindre San Francisco par la côte et enfin l'entrée dans le Grand Nord canadien et le périple pour parvenir aux concessions à exploiter pour trouver un filon d'or.
Ma progression dans le livre a été très lente jusqu'au moment où notre héros rencontre le personnage de Paul (au tiers du récit), un autre français âgé qui a déjà connu la ruée vers l'or 50 ans plus tôt. Avec ce personnage arrivent les vieilles histoires de chercheurs d'or, commence aussi la vraie aventure car il pousse le héros et son père à sortir des sentiers battus pour emprunter des chemins plus périlleux.
Et puis la suite du récit est une escalade. Au fur et à mesure qu'ils se rapprochent de leur but, ils croisent d'autres de leurs semblables venus de tous horizons, ayant traversé des océans, ayant renoncé à tout pour accomplir leur rêve d'or et de richesse. Ainsi ils côtoient la pauvreté, la famine, le banditisme, l'escroquerie, le malheur, la mort en pagaille et surtout, le pire, l'indifférence.
Cette soif d'or et de richesses réveillant ce qu'il y a de pire et de plus bas dans l'être humain...
Au final je suis très satisfaite de la lecture de cette fiction qui délivre des messages très forts. Si le démarrage a été laborieux, j'ai littéralement dévoré la suite. L'autrice s'est énormément documentée avant d'entamer l'écriture et ça se ressent car les personnages, les lieux, les événements sont cohérents ce qui confère à ce livre une qualité historique indéniable.
Afficher en entierJe n'ai pas trop apprécié ce premier tome.
Le plus gros défaut est pour moi que l'auteur ne s'est pas du tout documenté sur les sujets qu'elle aborde, et ça se sent. On en fini même par se demander "a-t-elle jamais joué à un jeu vidéo en ligne?", au vu du manque de crédibilité de son univers. Je veux bien qu'on parle de suspension consentie de crédulité, mais là, on en est au delà.
Les personnages, quand à eux, sont particulièrement clichés et manquent fortement de profondeur. J'ai eu particulièrement du mal avec Théo, l’héroïne, qui pour moi reste une jeune adolescente capricieuse, borné, colérique et stupide. Alors que le lecteur a parfaitement compris l'essentiel de l'intrigue dans les premiers chapitres, elle reste perdue, et pose sans arrêt des questions aux quelles le livre vient de nous donner les réponses.
Enfin, on trouve dans ce livre beaucoup trop d'incohérences et de facilités scénaristiques, et ce qui semble être un manque de soin et de relecture se transcrit aussi à travers une masse colossale de coquilles, et je pense qu'ici, la maison d'édition aussi est en faute, et que ce livre est sorti bien trop vite, avant d'être achevé.
Afficher en entierUn bien meilleur tome que le précédent. Il est évident que l'auteur était bien plus intéressée par la culture australienne que celtique, et qu'elle a mené des recherches bien plus approfondie, ce qui donne plus de réalisme à ce monde. Elle s'est aussi libérée de la contrainte du jeu vidéo, domaine qu'elle ne maîtrisait pas du tout, et on le ressent comme une bouffée de fraîcheurs. On comprend aussi que le travail a été enfin assuré au niveau de l'éditeur car le récit n'est plus truffé ni d'incohérences, ni de coquilles. Si les personnages restent très caricaturaux (l'adolescente fonce dans le tas, le chef peu sur de lui, le vieux sage...), ils sont désormais beaucoup moins insupportables (probablement car on ne suit plus guère le point de vue de Théodora).
Cependant, c'est pas parce que c'est mieux que c'est bien, et ce n'est surtout pas suffisant à mon goût pour sortir la série du Bronze, et c'est pourquoi j'attends de lire le dernier tome pour me faire une opinion complète.
Afficher en entierce livre et l'un des meuilleures que j'ai lu!!!
Afficher en entierJ'ai bien aimé cette lecture, certaine mon captivée plus que d'autre, il en reste que j'ai beaucoup aimé et recommande. Lecture légère de courtes histoires qui parfois mon surprise. Bonne lecture ;)
Afficher en entierUn gamin de treize ans se retrouve à l'hôpital après avoir pris une balle perdue au cours d'un règlement de compte. Provisoirement aveugle, il en demeure le principal témoin et devient un cible à abatte à son tour.
J'ai eu un gros sentiment d'angoisse (ce qui est rare quand on lit un roman destiné aux 10-12 ans) devant ce môme traqué, que tout le monde croit affabulateur, voire menteur et impertinent, et j'ai éprouvé tous les degrés d'empathie face à ce gosse effroyablement seul face à un danger mortel.
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Gisèle Cavali
et autres évènements
Aucun évènement prévu
Editeurs
Rageot : 4 livres
Plon jeunesse : 3 livres
Magnard jeunesse : 2 livres
Magnard : 1 livre
Albin Michel Jeunesse : 1 livre
Hachette Litterature : 1 livre
Libre expression : 1 livre
Les Éditions Libre Expression : 1 livre
Biographie
Gisèle Cavali est née en 1955 en Lorraine. Un père dans la sidérurgie, émigré italien, et une mère très créative, rêveuse, conteuse… Au moment des grands licenciements dans la sidérurgie lorraine, ses parents bougent pour le midi de la France où ils vont exercer le métier de gardiens de villas. Gisèle Cavali a alors 13 ans et elle est placée en pension au lycée Capron à Cannes, où elle restera jusqu’en terminale. Elle y rencontre Brigitte Aubert dès la 5ème, qui restera une compagne d’aventures créatrices (pièces de théatre, comédies musicales, scénarios, films, co-écriture de romans, etc.).
Gisèle Cavali obtient le diplôme National Supérieur d’Expression Plastique à Nice en 1982. Elle exerce par la suite plusieurs métiers comme ouvreuse de cinéma, animatrice de radio libre ou décoratrice pour le cinéma. Elle a réalisé plusieurs courts métrages et écrit des scénarios dont un qui lui a valu d’être lauréate de la Villa Médicis Hors les Murs en 1988.
Elle a publié en 1999 son premier roman au Seuil sous le pseudonyme de Lauren Conti. Elle écrit principalement pour la jeunesse et anime aussi des ateliers d’écriture en milieu scolaire.
Mariée, mère de 2 enfants merveilleux nés en Haïti, elle vit à Cannes.
Elle aime écrire pour la jeunesse des romans policiers, cherchant un genre ou elle pourra rendre ses lecteurs captifs dès les premières pages. Elle adore aussi les romans d’aventure et les romans fantastiques abordant des thèmes historiques. Dans ses livres, le thème de l’adoption ou de l’abandon est souvent traité en filigrane.
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