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Tous les livres de Giuseppe Verdi

Dans l'Egypte antique, à Memphis et à Thèbes, une esclave éthiopienne, Aïda, vit à la cour de Ramsès III, servant sa fille Amneris. Toutes les deux sont amoureuses du général égyptien Rhamadès, épris d'Aïda. Au retour d'une campagne militaire contre les Ethiopiens, il ramène comme prisonnier le père de celle-ci, le roi éthiopien Amonastro. Pour le remercier, Pharaon, lui offre sa fille en mariage. Amonastro obligera le général à trahir le pharaon.

Le comte De Luna est épris de Leonora, dame d’honneur de la princesse d’Aragon. Il voudrait se débarrasser de son rival, un mystérieux trouvère (c’est-à-dire un chanteur ambulant) qui égrène des sérénades sous les fenêtres de Leonora dont il a su conquérir le cœur.  Le comte ne sait pas que celui qui suscite sa jalousie, Manrico, est en réalité son propre frère jadis enlevé par une bohémienne et que tous croient mort. Azucena, la fille de cette bohémienne brûlée pour sorcellerie, a recueilli et élevé Manrico comme son fils. Elle seule connaît le lien de parenté qui unit les deux hommes. Toujours animée par le désir de venger sa mère injustement condamnée par le père des deux frères, elle ne révèlera la vérité qu’au moment ultime où le comte De Luna fait conduire Manrico au supplice. Azucena triomphe : elle a vengé sa mère en laissant le comte assassiner son frère.

Au retour d’un combat victorieux, Macbeth et son ami Banco rencontrent trois sorcières qui leur prédisent l’avenir. Macbeth deviendra roi d’Ecosse et Banco sera le premier d’une lignée de rois. Lady Macbeth galvanisée par ces prédictions, dont elle souhaite ardemment la réalisation, pousse son mari à assassiner le roi Duncan pour s’emparer du trône. Puis, elle l’incite à tuer Banco qui parvient cependant à assurer la fuite de son fils. Vient ensuite le tour de Macduff, nouvel obstacle dont l’élimination est envisagée après l’assassinat de sa femme et de ses enfants. La frénésie meurtrière de Lady Macbeth et de son époux avide de pouvoir les entraîne dans une course sanglante qui s’achèvera tragiquement dans les tourments de leur culpabilité grandissante et la terreur inspirée par les terribles révélations des sorcières de la lande.

L’infant Don Carlo et Elisabeth de Valois d’abord promis l’un à l’autre voient leur amour devenir impossible à la suite d’un nouveau projet de mariage de la jeune fille avec Philippe II, le propre père de l’infant. Don Carlo, désespéré par cette nouvelle alliance politique qui fait de son aimée, sa belle-mère, se confie à son ami, le marquis de Posa. Philippe II dont la jalousie est attisée par la vindicative Princesse Eboli, commence à nourrir des soupçons à l’égard de son épouse et de son fils, qui l’affronte violemment en plaidant la cause des Flamands persécutés par l’Inquisition. Le loyal Posa prend parti pour Philippe II à la stupéfaction générale. Mais la terrible machine de l’Inquisition est en marche : Posa y perdra la vie et Don Carlo, menacé à son tour, disparaîtra mystérieusement entraîné par le spectre du grand Charles Quint. 

Entretenue par le riche baron Douphol, la courtisane Violetta Valéry se complaît dans son rôle de « dévoyée » (traviata) en s’étourdissant dans le luxe et les plaisirs pour oublier la terrible maladie qui menace ses jours. Au cours d’une des fêtes qu’elle donne chez elle, Violetta se laisse séduire par Alfredo Germont, un jeune homme passionné dont la ferveur parvient à la détourner de sa vie dissolue. Ayant tout abandonné, Violetta croit pouvoir vivre son amour avec Alfredo à la campagne, loin de l’agitation de Paris ; mais pour goûter ce bonheur simple et bucolique, la jeune femme doit vendre ses biens les uns après les autres. Aux soucis financiers s’ajoutent bientôt les exigences du père d’Alfredo, Giorgio Germont ; il supplie Violetta de rompre avec son fils car la liaison d’Alfredo avec une courtisane est un scandale qui rend impossible le mariage de sa jeune sœur. Violetta refuse de renoncer à son amour, puis elle finit par céder aux prières de Germont. Laissant croire à Alfredo qu’elle le quitte pour retrouver son ancien protecteur, Violetta accepte de se rendre à une fête où elle apparaît au bras de Douphol. Fou de douleur Alfredo rejoint Violetta qu’il insulte publiquement en lui jetant de l’argent au visage pour paiement de leur liaison. Quelques mois passent. Oubliée et ruinée, Violetta va mourir dans son appartement vidé par les créanciers. Seul l’espoir de revoir Alfredo la maintient encore en vie. Le jeune homme et son père arrivent enfin, mais il est trop tard. La joie des retrouvailles et le réconfort du pardon ne suffisent pas à sauver Violetta qui meurt dans les bras de son amant.

A Mantoue et dans ses environs, au XVIème siècle. Rigoletto, bouffon du Duc de Mantoue, séducteur dépravé, protège secrètement sa fille Gilda à l’abri des regards et des dangers. Aussi la malédiction du Comte Monterone à son égard terrifie-t-elle Rigoletto, dont le costume de bouffon de cour cache un père aimant et protecteur. Séduite par le Duc de Mantoue, puis enlevée par les courtisans qui la mènent jusqu’à la chambre de leur maître, Gilda s’enflamme pour son amant volage, son premier amour. Rigoletto s’estime déshonoré et entreprend de se venger du Duc, qui court se gaver d’autres femmes sitôt Gilda séduite : le bouffon engage le spadassin Sparafucile pour qu’il tue le Duc en pleine nuit. Mais Gilda, éprise jusqu’au bout de l’homme qui l’a conquise, se glisse secrètement à sa place au moment où l’assassin doit frapper, et tombe sous ses coups : c’est le corps de sa fille que Rigoletto récupère, effondré : c’est là l’ultime volet de la malédiction de Monterone.

Riccardo, gouverneur de la ville de Boston, est menacé par un complot politique que lui révèle son conseiller et ami, Renato. Mais les pensées de Ricardo se tournent davantage vers un bal qui lui permettra bientôt de retrouver Amelia, la femme de Renato, dont il est secrètement épris. Intrigué par sa réputation, Riccardo désire rencontrer Ulrica, une sorcière devineresse qui lui prédit qu’il sera tué par un ami. Au cours d’une étrange cérémonie nocturne, Riccardo découvre que son amour pour Amelia est payé de retour. Le destin se met en marche. La révélation de la passion qui unit Amelia et Riccardo conduit Renato à vouloir venger son honneur en tuant sa femme. Mais le mari jaloux se ravise et préfère unir ses efforts à ceux des conjurés qui cherchent une occasion propice pour assassiner Riccardo. Amelia essaie vainement d’empêcher Riccardo d’assister au bal masqué qui doit lui être fatal. Alors que la fête bat son plein, Renato frappe Riccardo d’un coup de poignard. Avant de mourir, Riccardo a encore la force d’accorder son pardon à Renato en lui jurant que sa femme lui est toujours restée fidèle.

"Jamais, jamais je n'écrirai mes mémoires ! C'est bien assez pour le monde musical d'avoir supporté pour si longtemps mes notes ! Jamais je ne le condamnerai à lire ma prose". A cette résolution, Verdi est resté fidèle. Il ne s'en est livré que davantage dans sa très riche correspondance, où Aldo Oberdorfer a puisé la matière d'une véritable autobiographie du compositeur.

C'est un Verdi familier, sincère, plein d'humour et de sagesse que l'on découvre au fil de ces lettres, où se reflètent tous les aspects d'une vie bien remplie : les amis, la vie quotidienne à Sant'Agata, l'expérience politique de l'unité italienne, le travail avec les librettistes, les "affaires" avec les éditeurs, et, enfin, une véritable esthétique de l'opéra.

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