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Le Dimanche des mères
Ça vous évoque plein de choses ? Des amoureux éperdus ? Une fuite à deux ou une séparation déchirante ?
Tout ce que vous pouvez imaginer à la lecture du résumé est erroné. Ce roman est une totale surprise, donc j’essaierai de ne pas trop en dire.
La principale originalité de ce court roman, c’est la narration. On a parfois l’impression qu’elle est omnisciente, mais en fait tout est du point de vue de Jane. Sauf que cette dernière, en plus de raconter ce qui se passe, évoque aussi ce qui ne s’est PAS produit, ce qui s’est produit, ce qui va se produire. On a donc une narration un peu tentaculaire où le fantasme se mélange à la réalité et où le présent, le passé et le futur s’entrechoquent.
Heureusement que le roman est assez court pour ne pas que cela devienne excessivement fatiguant.
Et on se prend au jeu des deux Jane, la Jane du passé qui exploite de nouvelles possibilités et la Jane du futur qui pose un regard tendre sur cette journée qui a bouleversé sa vie.
Ce roman est un hommage à l’imagination, dans la forme comme dans le fond. Il illustre comment la réalité s’invite dans la fiction.
L’auteur se plaît à sublimer certains détails (presque) insignifiants. Encore une fois, si le roman avait plus long, cela aurait été lassant, mais le format permet de déguster ces descriptions qui allongent le temps, qui posent à merveille une atmosphère, la vérité d’un moment.
Je ne saurais dire si j’ai vraiment aimé ou non ce texte, car il n’y a pas vraiment d’histoire et c’est ce qu’il me manque, mais indéniablement, j’y repenserai et je le relirai sans doute !
Le Dimanche des mères
Mais dans cette période des Années Folles, les femmes cherchent à conquérir une place dans la société, et les vieux principes féodaux commencent à s'effacer. Les jeunes femmes riches peuvent conduire, les plus modestes peuvent faire du vélo, un véritable moyen pour s'évader, s'échapper au sens littéral et au sens figuré.
Jane est une orpheline, enfant trouvée, mais elle veut être libre. Libre d'aimer, de désirer et de jouir, libre de lire - même des romans pour garçons, et libre d'écrire. Cette journée particulière devient celle où une écrivaine se révèle à elle-même lorsque la femme s'émancipe, l'artiste naît de la liberté prise par une bonne.
Un beau portrait de femme donc, porté par une écriture sensuelle.
Le Dimanche des mères
Ce roman est l'illustration d'une période durant laquelle la place qu'on occupe dans la société selon les différences de classes sociales résistait encore à un certain déclin. C'est un événement incongru qui en soulève toute l'ironie, à savoir les quelques heures que passent Jane et Paul dans la chambre de ce dernier alors qu'il doit retrouver ensuite sa fiancée, celle-là même qui doit devenir son épouse dans deux semaines. C'est aussi cette image se révélant forte de Jane qui, une fois son amant parti, se promène nue dans les pièces de la maison et qui montre la vacuité de la bienséance et des convenances relatives à toute une époque qui s'essouffle face une réalité, celle de l'évolution de la société réduisant le gouffre entre les classes sociales mais que l'on préfère encore ignorer.
Mon avis sur ce court roman est mitigé car si j'ai trouvé plusieurs choses intéressantes, j'ai été déçue qu'elles tournent court et ne soient pas approfondies. Beaucoup d'idées semblaient très bonnes mais je n'ai pas apprécié beaucoup le style que j'ai trouvé inutilement trop intello pour ensuite ne pas faire mouche outre mesure. Ayant plutôt l'impression que l'auteur s'écoutait parler, je n'ai pas apprécié toutes ces répétitions et le caractère quasi obsessionnel que cela prenait parfois.
J'aurais préféré une sensualité plus délicate et subtile avec une évocation de l'évolution de la société plus contrastée et plus pertinente. Néanmoins, le roman interpelle et ne laisse pas indifférent même si je n'ai pas été totalement séduite, il est vrai.
www.ladyromance.over-blog.com
Le Dimanche des mères
Il est bien écrit, intéressant, beau, réel, etc... Une fois commencé je n'ai plus pu le lâcher.
Une réflexion sur l'écriture, avec cette touche des années 20... Magnifique.
Au début, j'avais du mal à anticiper la suite. Mais, bribes par bribes on sort de ce rêve éveillé que vit Jane pour "tomber" assez crûment d'ailleurs, dans la vie réelle.
Rapide, efficace, c'est pour moi une réussite. Je conseille hardiment !
Le Dimanche des mères
Ce roman se déroule donc sur une journée, prenant paresseusement son temps comme les personnages au sortir du lit. Mais cette journée va changer la vie de Jane de plusieurs manières, ainsi qu’elle aimerait y faire référence dans les interviews qu’elle donne des années plus tard.
Même si je me suis laissée portée par l’écriture, que je me suis vue dans cette demeure ensoleillée (on pense immédiatement à Downton Abbey), je n’ai pas réussi à me sentir plus touchée que ça par cette histoire. Les réflexions à la fin du roman sont intéressantes, en réalité j’aurais pu adorer ce roman, mais ça n’a pas pris avec moi. Je reste donc un peu ma faim, reconnaissant la plume de l’auteur, sans avoir pu y goûter véritablement.
Vous l’avez lu ? qu’en avez-vous pensé ? vous avez lu d’autres romans de cet auteur ?
Le Dimanche des mères
Hormis quelques passages volontairement crus qui dénotent avec le style d'écriture, ce roman est une réussite.
Le Dimanche des mères
J'aimerais tellement que tu sois là
L'intrigue est très simple, mais l'art narratif de l'auteur, somptueux, est une leçon de littérature.
Un très beau roman court, incroyablement émouvant.
Le Dimanche des mères
Le Dimanche des mères
Une histoire asse surprenante, rapide, court.
Un roman qui rend hommage à l’imagination.
Le Dimanche des mères
Le Dimanche des mères
Le Dimanche des mères
* EAU : comme motif incessant, envahissant, celle qu'on ne réussit pas à dominer, à soumettre, le marécage permanent (cf. l'exergue tiré de « Les Grandes Espérances » de Charles Dickens : « Car nôtre était le pays des marais... »)
* SEXUALITÉ : affaire de curiosité, vilain défaut, on ne peut pas non plus la dominer définitivement. Elle se réveille tardivement, sublimée en religion et enlèvement d'enfant.
* ALCOOL : au début la bière rend prospère. Au moment du déclin, elle rend fou les Atkinson et alii.
* DÉCLIN : c'est aussi celui de la Grande-Bretagne thatchérienne, avec une résistance qui passe par l'Histoire.
* HISTOIRE : celle qui rassemble les pièces du puzzle patiemment, qui archive, qui déduit. l'Histoire de l'historien.
Le Pays des eaux
Certes, le sujet n'était pas déplaisant : une société anglaise meurtrie par la première guerre mondiale, avec le constat du déclin de tout un ancien monde.
Il s'agit du récit de cette fameuse "journée des mères" (congé dominical traditionnellement accordé aux domestiques), vécue particulièrement, un jour de mars 1924, par Jane, une jeune bonne à la fois humble et lucide, amoureuse, libre et ambitieuse...
Le Dimanche des mères