Griffo
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Quelques chiffres
Note moyenne : 7.19/10Nombre d'évaluations : 213
0 Citations 96 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres

Sans doute le tome qui résume le mieux l'aventure vécue par Giovanni entre son opposition aux hommes rouges, l'esclavage subi et la tentative d'évasion.
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Ce tome est plus cérébral que les autres et évoquent la richesse spirituelle des religions et philosophies approchés par le jeune aventurier. Les dessins ont sans doute été en partie inspirés par les décors réels de l'Alhambra.
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Au final, le dessin soigne la beauté des personnages et l'ambiance du décor. Par contre le final de l'intrigue est assez décevant et le message spirituel a peu décousu ou confus.
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Une espèce de suite de "Beatifica Blues" qui n'en est pas vraiment une, même si cette œuvre précédente est citée et que Zelda Kurovski refait son apparition. L'ambiance est plus cyberpunk que post-apo et il n'y a pour ainsi dire pas de lien direct. Mais ce premier tome fleure bon les Nineties avec un petit côté "Blade Runner" plutôt plaisant. Le rythme est plus soutenu et les personnages finalement plus intéressant que dans la BD originelle. Une chouette petite curiosité.
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Toujours cette ambiance très punk et très Nineties, avec une galerie de personnages hauts en couleur, parfois un peu trop sans doute pour la bonne marche de l'histoire, mais c'est nerveux, bourré de rebondissements, on n'a pas le temps de s'ennuyer. Définitivement plus efficace que "Beatifica Blues". Le dessin est perfectible, mais il a ce côté un peu crade qui colle bien au récit. Une bonne série B.
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La recherche d'une résolution (plutôt compliquée sur ce scénario alambiqué) emmène l'histoire sur des sentes parfois un peu trop compliquées à suivre. Dommage, car le charme des décors et des personnages hors-norme est particulièrement développé dans ce dernier tome. "Samba Bugatti" reste une vraie curiosité à arpenter malgré le risque de croiser l'un ou l'autre monkey un brin trop barré !
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Un second tome très plaisant, 9n en apprend davantage, sans pour autant trop sur notre quatuor.
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7n tome consacré à l' abominable juge Aaron....qui est horrible. Nos personnages sont en mauvaise posture même s'ils rêvent d'un dernier tour de piste.
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Enfin le dernier tome...et tellement de frustration...au final on ne saura jamais... De trop nombreuses questions demeurent sans réponses...c est dommage.
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J'ai un avis mitigé après la lecture de cette bande dessinée. J'ai apprécié l'idée de mise en abyme utilisée par la scénariste. Mais j'ai trouvé l'ensemble trop succinct. Pour le coup, 1 ou 2 tomes supplémentaires consacrés au personnage d'Honoré de Balzac auraient été les bienvenus pour le développement de l'histoire.
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Griffo
et autres évènements
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Editeurs
Glénat : 29 livres
Le Lombard : 12 livres
Dupuis : 11 livres
Dargaud : 3 livres
Soleil : 3 livres
Delcourt : 3 livres
Vents d’Ouest : 2 livres
Boulevard des Bulles : 1 livre
Biographie
Né le 21 mai 1949 à Wilrijk, Werner Goelen alias Griffo a fait ses classes à l’Académie des Beaux-Arts d’Anvers où il a été admis à l’âge de 15 ans. En 1971, sitôt ses études achevées, il entre dans la communauté artistique Ercola, et commence par produire pour la presse «underground». Parallèlement, il réalise des illustrations pour des revues féminines et des caricatures de rock stars pour «Humo», hebdo télé néerlandophone. Mais, c’est au Lombard que son parcours dans la BD débute réellement... Lorsqu’il se présente au Lombard, Griffo tombe à pic : Mittéï qui, après Attanasio, a repris les gags de "Modeste et Pompon" lancés en 1955 par Franquin, s’en va chez «Spirou», on cherche un jeune dessinateur susceptible de lui succéder. En 1975, outre une planche par semaine de "Modeste et Pompon", il assure l’animation de mini-récits humoristiques pour le trimestriel «Tintin-Sélection». En 1984, Griffo propose ses services à la rédaction de "Spirou". Philippe Vandooren qui en est alors le rédac'chef, lui commande la mise en images d’un scénario écrit par un certain J. Van Hamme et initialement conçu pour la télévision. Son titre : «SOS Bonheur». Deux ans plus tard, il dessine "Les enquêtes de Munro" imaginées par J.-F. Di Giorgio (3 albums). C’est alors qu’il fait une rencontre déterminante, celle de Jean Dufaux. Ensemble, ils entreprennent la série «Beatifica Blues» pour Dargaud. Glénat la rééditera en 1992 et la poursuivra sous le titre de «Samba Bugatti». Pour cet éditeur, ils ont entre-temps inventé les exploits galants d’un gentilhomme vénitien du 18e siècle dénommé «Giacomo C». En 1994, pour la collection «Aire Libre» de Dupuis cette fois, le duo signe «Monsieur Noir». En 1996, au Festival d’Angoulême, Griffo fait la connaissance de P. Cothias avec qui il réalise l'épopée de «Cinjis Qan» et «La Pension du Docteur Eon», pour la collection Signé du Lombard. Griffo est aussi le dessinateur de "Vlad" pour la collection Troisième Vague du Lombard. Elle est scénarisée par Yves Swolfs. Griffo est également de la partie pour le lancement de la nouvelle collection d'heroic-fantasy du Lombard, "Portail" avec la série "Ellis" (octobre 2006) scénarisée par Sébastien Latour.
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