Gudule
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Note moyenne : 7.34/10Nombre d'évaluations : 1 369
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- Anne Duguël
Les derniers commentaires sur ses livres
Ce livre est un livre jeunesse et sans prise de tête.
Le livre est court avec des termes facile.
Le livre est vraiment bien. Assez feelgood et très « marrant » dans le sens où certains passages avec la bibliothécaire passe assez rapidement et plein de rebondissements. Je l’ai lu y a un moment pour couper les livres triste que j’étais entrain de lire. Ça m’a permise de ne pas tombé en panne de lecture !
Je m’attendais absolument pas à ce retournement dans l’histoire. En vrai je ne savais absolument pas vers quoi je me dirigeait en prenant ce livre dans la bibliothèque du papa de mon homme. Et je n’ai pas été déçue aucun mal à lire. En même temps avec cet auteur je ne pouvais être déçue !
Afficher en entierEnvie d'une parenthèse de quelques heures de lecture avant de débuter un nouveau roman, un pavé cette fois-ci, c'est très logiquement que mon regard s'est posé à nouveau sur le recueil de nouvelles de Gudule, « Le club des petites filles mortes ».
Ayant adoré « Entre chien et louve », nouvelle extraite du livre, j'ai repris le livre et mon choix s'est arrêté sur « La petite fille aux araignées ».
Pourquoi celle-ci plutôt qu'une autre ?
Ne me demandez pas pourquoi, j'ai une peur bleue des araignées, elles me dégoutent. Je ne leur veux aucun mal, je vais jusqu'à les remettre dehors lorsqu'elles entrent chez moi, si elles ne sont pas trop grosses bien sûr ! Passées un certain diamètre, mon courage flanche, je hurle et j'appelle à l'aide.
Dans l'histoire, elles sont plutôt sympathiques et rassurantes pour Miquette (pas pour moi).
*
Miquette est la narratrice de ce récit, elle a onze ans, elle est brune comme sa jolie maman. Miquette ne dit pas tout. On ne sait pas grand chose au tout départ car la fillette a décidé de se taire et surtout de ne rien dire à Quiquequoi (ce n'est bien sûr pas son nom, il s'appelle en vrai Monsieur Coulon, et il est loin d'être cool, il est même très insistant).
« — Parle-moi de ta maman, me demande toujours Quiquequoi.
Moi, bien sûr, je ne réponds pas. Je ne réponds jamais. Mes histoires de famille ne le regardent pas.
Ici, ils prétendent que je suis « aphasique ». Ça veut dire « muette », en langage de docteurs. Quels idiots ! J'ai jamais été muette, moi ! du temps de maman, je parlais comme vous et moi. Même qu'à l'école, la maîtresse me trouvait trop bavarde. Et je chantais aussi. C'est seulement après que j'ai décidé de me taire. »
Mutique, Miquette s'oppose, résiste, fuit la réalité, fait des cauchemars. Elle parle uniquement dans sa tête et le lecteur pénètre ses pensées les plus intimes.
C'est un récit à hauteur d'enfant, je l'ai trouvé particulièrement bien mené car il est loin d'être niais et enfantin. Au contraire, cette petite fille a vécu des événements horribles, elle les raconte avec ses mots à elle, petit à petit, car certaines choses sont difficiles à avouer.
*
« … un mercredi après-midi, pendant la récré, crac, j'ai chopé Pattes-Velues. Elle faisait la sieste au beau milieu de sa toile, en plein soleil. Je n'ai eu qu'à mettre la main dessus, elle n'a même pas résisté. Je ne me doutais pas que ce serait aussi simple. »
Miquette élève des araignées, cela intrigue tout le monde, le lecteur y compris. Mais Quiquequoi la laisse faire car c'est « thérapeutique ».
Après Pattes-Velues, sa préférée, elle a attrapé Berthe, puis Marylin Monroe car il lui faut un certain nombre d'araignées pour pouvoir mettre son plan à exécution. Elle prend soin d'elles, les nourrissant de mouches qu'elle attrape avec Gogol, son seul ami.
Pourquoi élève-t-elle des araignées ?
Qu'est-il arrivé à cette petite fille pour qu'elle s'enferme dans le silence ? Où est sa mère ? Que lui est-il arrivé ?
« — Parle-moi de ta maman !
Clic-clac, je ferme tout : mon nez, ma bouche, mes oreilles. Il fait noir dans ma tête. Et les souvenirs se mettent à défiler, comme un film sur un écran. »
Je vous laisse avec ces questions en espérant avoir éveillé votre curiosité et vous inciter à ouvrir, comme moi, le livre de Gudule.
*
Cette novella de 150 pages se lit avec facilité. Gudule nous raconte une histoire poignante et douloureuse avec originalité en nous offrant un savant mélange de glauque et d'émotions où s'entremêlent vérités et fabulations, mensonges et rêves d'enfant.
Le récit teinté de fantastique et d'une petite pointe d'horreur (une ambiance sordide et dérangeante serait peut-être plus juste) est une plongée dans les pensées intimes d'une petite fille attendrissante, abimée par la vie.
L'écriture, non dénuée d'un humour cynique et grinçant, est vive, fluide, prenante, sans ambages et sans temps mort. Les mots sont enfantins, naïfs et pourtant d'une grande profondeur pour dire la peur, les peines, les non-dits et les traumatismes d'une enfance brisée.
L'autrice aime manipuler ses lecteurs, elle tisse la toile de son récit avec brio. Les pages se tournent à une allure folle tant l'histoire est prenante, addictive, intrigante. Il est impossible d'abandonner cette petite fille au milieu de son histoire et les dernières pages arrivent, prenant une fois de plus le lecteur par surprise et c'est jouissif.
Alors, n'hésitez pas à lire ce petit récit singulier, immersif, ambigu, à la fois sombre et lumineux, tendre et douloureux, tragique et perturbant, qui évoque la douleur, la culpabilité, la manipulation, la jalousie et la convoitise.
***
C'est grâce à la critique élogieuse de Nicola (@NicolaK) que je me plonge aujourd'hui dans ce recueil de Gudule. Je découvre une autrice talentueuse dont je ne peux que louer sa parfaite maîtrise de la narration, son imagination fertile et ses personnages touchants.
Afficher en entierLa télé-réalité?
Quel intérêt?
Aucun,sauf si l'angle de vue est original.
Gina,une adolescente décide de participer à ce genre d'émission.
Bonne idée?
Pas sûr,elle va se retrouver examinée,H24,son comportement scruté par les caméras.
Disons que ce roman est à lire à partir de 14 ans pour se détendre.
Au-delà de cet âge afin de réfléchir sur la futilité de ce siècle, dans lequel chacun est prêt à tout afin de faire parler de soi,et rarement avec de bonnes idées...
Le même sujet serait intéressant à traiter dans un essai sur les dérives de la téléréalité:exhibitionnisme,drogues,instabilité etc.
Je trouve un défaut à ce roman,mais je ne peux en dire plus sinon sa lecture n'aura aucun intérêt.
Afficher en entierUne histoire gentillette pour jeune public 12 ans.
Se lit très vite, chapitres courts.
Vocabulaire très simple.
Évènements prévisibles.
Habituellement, les écrits de Gudule sont plus élaborés.
Afficher en entierParticiper à une téléréalité ,c'est a priori u ne bonne idée pour une
Participer à une émission de téléréalité,une idée sympa dans la tête d'une adolescente.
Une idée encore plus dingue,si les parents sont d'accord et que le tout est couronné par une grosse somme d'argent.
C'est sympa, au début...
Problème,les caméras sont partout: dans la rue,au collège,au domicile,dans sa chambre.
Elle est au bord de la perdition,lorsque ses amis décident de monter un plan afin de la sortir de là.
Un bon moment de lecture qui en dit long sur la futilité de la société incarnée par ces émissions.
adolescente.
Afficher en entier« Le club des petites filles mortes » est le premier volume de l'intégrale des romans fantastiques de Gudule. Il regroupe huit romans, plus ou moins longs, ayant pour thème principal les petites filles mortes, mortes comme son premier sens l'indique, ou mortes telle l'innocence de l'enfant tuée avant l'heure. Il y est souvent question de vengeance, d'inceste et de drames familiaux. Parfois c'est trash et sanglant, parfois c'est bien plus subtil que ça : tout peut se jouer sur une ambiance particulière, sur la manière dont c'est raconté. De l'angoisse, de la tension, de l'oppression, des frissons, du dégoûtant, de l'horrifique : il y en a pour tous les goûts. Ces romans-là se situent à l'opposé des contes de fées : tout démarre bien dans le meilleur des mondes, ou pas du tout, mais tout se termine toujours mal, ou presque. Et quand j'emploie le mot horrifique, ce n'est pas dans le sens qui fait peur au point de se faire pipi dessus, mais plutôt dans le sens de malsain, sordide, sale, pernicieux... Pour certains de ces romans, il faut quand même avoir le cœur et l'estomac bien accrochés.
« Dancing Lolita » nous montre un aperçu de notre futur proche : un monde où un remède contre la vieillesse a été trouvé et dans lequel on peut même rajeunir, un monde dans lequel on confond les vieilles dames et les petites filles, vu que les premières font désormais le même âge que les secondes. On y suit un écrivain qui pense avoir retrouver sa mère après quarante années de recherche et une fillette qui a fugué pour fuir son beau-père pédophile. Avec ce premier roman, on est tout de suite mis dans le bain. Le dénouement est un choc, et m'a direct préparée au reste.
« Entre chien et louve » met en scène une vieille dame, nouvellement veuve, qui adopte un chien alors qu'elle n'a jamais aimé les animaux. Ce qu'elle n'a pas perçu en lui, c'est que l'âme de son mari s'y est réincarnée. Au fil des jours, elle lui raconte son histoire. Parallèlement, le chien nous donne sa version. On se rendra vite compte qu'elle est un peu différente et que le mari est passé à côté de bien des choses... Ça démarre joliment, mais les apparences trompeuses rendent petit à petit la lecture de plus en plus tendue et nous mène vers un dénouement là encore quelque peu impudent.
« Gargouille » nous emmène tout droit dans un film d'épouvante : un couvent désaffecté dans lequel est enfermé un groupe de femmes quinquagénaires qui étaient toutes des pensionnaires du dit couvent quarante ans plus tôt, un spectre, une malédiction, une vengeance, des meurtres sanguinolents. Ici, aucune surprise, on sait exactement comment tout ça va se terminer : dans le sang !
« La petite fille aux araignées » est une petite fille de onze ans, muette depuis un certain évènement traumatisant, qui élève trois araignées (toutes mignonnes !). Si elle refuse de parler, et notamment au médecin de l'institution dans laquelle elle a été placée après le drame et qu'elle nomme Quiquequoi, à nous qui sommes dans sa tête, elle nous raconte... Et l'on se retrouve ainsi dans une "drôle" d'histoire, à faire retourner les morts dans leur tombe. Racontée à hauteur d'enfant, l'histoire mêle innocence et hideur, et c'est subtilement bien tourné.
« Mon âme est une porcherie » raconte l'histoire d'une jeune fille qui s'est éprise d'un petit cochon rouge en peluche, et avec lequel un lien particulier s'est installé entre eux, puisqu'il exauce ses souhaits. C'est sans doute le roman le plus salace du recueil, et pas le meilleur non plus.
« Petite chanson dans la pénombre » nous est raconté par une petite fille de douze ans, morte il y a cinquante ans, qui hante une étable nouvellement restaurée et dans laquelle viennent de s'installer la jeune Zoé et ses parents. Un viol, un meurtre, une possession, une vengeance, il y a tout ce qu'il faut pour nous faire froid dans le dos.
« La baby-sitter » est de celles à qui on confierait tous les enfants du monde, tellement elle fait bonne impression. En l'instant, pour ce week-end du 15 août, c'est Cyril et Violette qu'elle doit garder, dans leur jolie maison en hauteur au milieu des bois. C'est un environnement qui lui rappelle bien des choses, à notre baby-sitter, qui d'ailleurs a de plus en plus de mal à faire la distinction entre le passé et le présent... La tension monte crescendo, avec l'angoisse, jusqu'à arriver à un point de non retour, où plus rien n'est rattrapable. Et s'il est souvent question des contes de Perrault ou des frères Grimm, on a tôt de s'apercevoir que certains ne sont pas si horribles que ça finalement...
Avec « Repas éternel », on termine en beauté (enfin façon de parler). On se retrouve dans une sorte de dystopie faisant souvent penser à « 1984 » et à la Seconde Guerre mondiale. Le grand sauveur ici se nomme le "Big Butcher" (et il porte merveilleusement bien son nom !). Les déportés, que l'on tasse dans les wagons à bestiaux, ne sont pas juifs. Enfin ils peuvent l'être mais ce n'est pas le critère : dans cette société futuriste, ce sont les vieux, les malades, les handicapés, les chômeurs, les SDF qui en font les frais. On ne les emmène pas à Auschwitz, mais ce n'est clairement pas mieux... Même les riches ne sont pas épargnés, bien qu'ils peuvent bénéficiaient d'un traitement de faveur s'ils y mettent le prix... Je crois que c'est le roman le moins ragoûtant de tout le recueil, j'en avais presque la nausée. La fin, surtout, est... comment dire... trop beurk. À court de coupe-faim ? Vous faites un régime ? Lisez un peu ce roman avant chaque repas : rien de tel pour vous couper l'appétit !
Dans l'ensemble, je les ai tous aimés, même si j'en ai forcément aimés plus que d'autres. Gudule a un style plutôt incisif, parfois ironique, sachant nous arracher un sourire de temps en temps, entre deux grimaces (ou deux nausées, c'est selon). Avec elle, on ne passe pas par quatre chemins, on rentre direct dans ses intrigues et dans la tête de ses personnages, qui n'en restent pas moins bien travaillés. Il y règne toujours une ambiance particulière, sous haute tension, angoissante, ou répugnante. Des romans de ce genre, je n'en lirai pas tous les jours, ça n'empêche que j'ai su bien les apprécier.
C'est grâce à Nicola (@NicolaK) que je me suis empressée de me procurer ce gros recueil. Ses billets "alléchants" m'ont même poussée à bien le placer en haut de la pile, moi qui normalement lis dans l'ordre dans lequel ils sont arrivés... Merci copine !
Afficher en entierAvec ce second volume, qui rassemble huit autres romans, Gudule nous démontre qu'elle n'a pas toujours tué que des petites filles. Et si le premier volume avait une dimension plus horrifique que fantastique, c'est l'inverse qui se produit ici, bien que ce soit toujours aussi macabre. On oublie les petites filles, et on se concentre davantage sur la folie, allant de la folie à l'état pur à la "simple" démence sénile. Dans l'ensemble, j'ai aimé mais moins. Tout s'emberlificote – réalité, onirisme, autre dimension ou fantastique – et j'ai peiné parfois à en faire la distinction. C'était certainement voulu par l'autrice, mais ça finit par fatiguer un peu. Je n'aurais sans doute pas dû les lire à la suite, j'aurais mieux fait de les entrecouper avec d'autres lectures en parallèle, je m'en rends compte maintenant. Quoiqu'il en soit, il faut admettre que Gudule sait instiller la tension et l'angoisse à son bon plaisir, et nous embarquer dans des intrigues fichtrement bien conçues, plus retorses que gores. Elle ne nous épargne pas, ni ses personnages d'ailleurs, c'est parfois très osé, mais comme elle écrit bien, dans un style très vivace, on ne lui en veut pas.
« Poison » nous emmène dans les locaux de Sexy-flash, un magazine pornographique. On fait tour à tour connaissance avec toute l'équipe. L'angoisse monte d'un cran à chaque fois que l'un d'eux meurt. Savamment bien ficelée, et plutôt soft (du moins par rapport à ce que Gudule m'avait habituée jusque-là), l'intrigue suit son cours jusqu'à un dénouement qui nous laisse pantois.
« L'innocence du papillon » joue quelque peu avec notre santé mentale. Nous suivons une famille tout ce qu'il y a de plus classique : le père, la mère et l'ado de quinze ans. L'histoire est toute gentille, au début, et nous fait parfois même sourire. Elle prend des proportions bizarres, mélange passé et présent, tous deux malléables, à ne plus savoir si on sombre dans une autre dimension ou tout simplement dans la folie... C'est assez retors, je ne suis d'ailleurs pas vraiment sûre d'avoir compris la fin.
« Un amour aveuglant » est le roman maudit de Gudule, c'est ainsi qu'elle le nomme et en explique les raisons dans son avant-propos au début de l'ouvrage. Roman qui a eu un parcours très atypique, j'étais assez pressée de voir de quoi il retournait. Là encore, on frôle la folie. Les événements se déroulent sur deux temporalités : en Équateur, en 1984, où l'on suit un jeune dessinateur qui vient de rencontrer l'amour ; et à Paris en 2004-2005, où l'on suit une lycéenne qui s'est éprise d'un auteur de BD schizophrène. Gudule joue avec nos perceptions de la réalité, c'est plutôt bien amené, d'autant que rien n'est ce qu'il paraît.
« L'asile de la mariée » nous donne à suivre un petit garçon surdoué, cobaye de ses parents, éminents scientifiques, dans un grand château duquel il n'est jamais sorti. Tout va de mal en pire, mais la roue tourne et le scénario se veut de plus en plus machiavélique. J'ai adoré.
« Bloody Mary's baby » est le titre d'une chanson d'une star du rock, mondialement connue, et dont nous faisons sa connaissance peu de temps avant qu'il ne mette fin à sa carrière, en 1969. Parallèlement, à une autre époque, en 1998, nous suivons un jeune garçon de 12 ans qui, en bravant les interdits de sa mère, se rend seul au parc à la fin des cours et où il se fait une amie particulière... Les deux intrigues finissent par se rejoindre, mais pas vraiment comme on l'imaginait. La fin fait froid dans le dos...
« Petit théâtre de brouillard » nous plonge dans l'enfance, quelque peu mouvementée, d'une vieille dame sénile. Je dois dire que c'est le roman qui m'a le plus mise mal à l'aise, certains passages étant à la limite du supportable. Heureusement, le dénouement se veut rassurant, et pour le coup totalement inattendu, Gudule ne m'ayant pas habituée à ce genre de fin, plutôt douce.
« Géronima Hopkins attend le Père Noël », et si elle l'attend, c'est parce qu'elle n'a jamais cessé d'y croire. Et pour cause, elle l'a rencontré pour de vrai lorsqu'elle avait 11 ans et trois quarts. C'était en 1949. Depuis, tous les soirs de Noël, elle l'attend... en vain... Ça fait 50 ans qu'elle rumine sa vengeance... Plutôt court mais très bien ficelé, ce petit roman peut se lire d'une traite. La fin ne manque pas de plaire, même si elle est quelque peu machiavélique.
« Les transfuges de l'enfer » sont des personnes qui ont vécu les pires traumatismes et qui, incapables de les gérer, suivent un traitement particulier à l'institut Fauré. Petit roman d'une quarantaine de pages, en deux actes et sous forme chorale, je ne lui ai trouvé aucun intérêt.
Ce recueil se termine donc avec le seul roman qui ne m'a pas plu. Je dois dire que c'est assez frustrant mais dans l'ensemble, j'ai bien aimé. Moins que le premier volume, comme je dis plus haut, le thème récurrent de la folie étant assez épuisant à la longue.
Afficher en entierJ’avais adoré a l’époque, quand j’étais encore fan de littérature jeunesse. Aujourd’hui ça me fait plus trop d’effet, je l’ai retrouvé dans une bibliothèque près de chez moi, en le relisant j’ai trouvé les personnage beaucoup trop superficiels, des enfants quoi, mais ça m’a surpris que Ida ne soit pas très mature dans sa façon de parler, ça part aussi un peu à la dérision dans les fautes d’orthographe, soit Guillaume en vraiment nul, soit il fait juste aucun putain d’effort.
Bon après il y a quand même des point positifs, la visite de la bibliothèque et le voyage à travers les classiques, c’est juste incroyable, ce livre m’a donné envie de lire les misérables plus que tout autre chose.
En soi bien, je m’en veux un peux de critiquer les œuvres de mon ancienne auteure préféré (enfin, j’avais 11 ans)j’aimais vraiment ses bouquins parce qu’ils étaient courts et facile a comprendre aujourd’hui je recherche de la complexité.
Salut,
Yohann.
Afficher en entierTreees caricatural, des perso sans aucune personnalité. Doudou fait des deus vult a tout bout de champs, description des noirs hyper cliché et une bonne dose de grossophobie a un passage également. L'histoire d'amour est hyper bizarre et perturbante quand on y réfléchis 5min... L'idée de base est super et l'intention de donner envie de lire est bien mais la réalisation est catastrophique je trouve
Afficher en entierSpoiler(cliquez pour révéler)[spoiler][spoiler][spoiler][/spoiler][/spoiler][/spoiler]
Afficher en entierOn parle de Gudule ici :
2015-05-24T17:08:40+02:00
Les gens aiment aussi
Dédicaces de Gudule
et autres évènements
Aucun évènement prévu
Editeurs
Hachette : 16 livres
Bragelonne : 16 livres
Le Livre de Poche Jeunesse : 12 livres
Nathan jeunesse : 9 livres
Hachette Jeunesse : 9 livres
Nathan : 7 livres
Flammarion : 7 livres
Editions Mijade : 7 livres
Biographie
Anne Duguël, connue sous le nom de Gudule, naît en 1945 à Bruxelles. C'est près de la capitale belge qu'elle vit jusqu'à l'âge de 19 ans, plus précisément à Ixelles. Déjà toute petite Anne se passionne pour la lecture et l'écriture. Plus tard, vers 12 ans, elle apprend à connaître des poètes célèbres tels que Victor Hugo, Rimbaud et des tas d'autres. Ceci a sans doute provoqué chez elle une sorte d'épanouissement car entre 1950 et 1965, elle rédige plus de 400 poèmes ainsi qu'une bonne dizaine de romans, dont, en 1957, le premier, "Le couvent maudit", en référence à son établissement scolaire. Ce n'est qu'en 1987 que sera enfin présenté au public son premier ouvrage, "Prince charmant, poil aux dents". En attendant cet événement, elle aura travaillé de la vente au porte-à-porte jusqu'à être journaliste en passant par des tas d'autres petits travaux. "Voyager" est un verbe qui ne lui fait pas peur, elle a parcouru le Moyen-Orient, l'Amérique du Sud et les Antilles. À présent, elle est mariée et a trois enfants. Elle a fait de sa passion un métier car elle vit maintenant de ce que lui rapporte la vente de ses livres.
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