Guillaume Apollinaire
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Note moyenne : 6.66/10Nombre d'évaluations : 687
4 Citations 337 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres

Une autre facette du talent d’Apollinaire qui ravira certains et en choquera d’autres. Simple ce récit est surtout bien écrit.
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La première lecture était mauvaise. Comme pour beaucoup d'entre nous, elle a pris place dans les études, mais c'est en éduquant son palais littéraire qu'on parvient à saisir la beauté et la particularité du recueil.
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J’ai toujours dit que je n’aimais pas la poésie. Je trouvais ça très ennuyeux à lire et souvent incompréhensible. J’ai acheté "Alcools" pour le bac de français, en tant que lecture cursive. Évidemment je ne l’ai pas lu. Mais cependant, vu que j’avais, contre toute attente, aimé "Les cahiers de Douai" de Rimbaud, j’ai pensé qu’il serait interessant de lire du Apollinaire qui semblait assez similaire.
Et j’ai bien fait. Je ne m’attendais pas à ce que ça me parle autant. C’est pourquoi je le place en argent, car ce livre m’a tout simplement donné le goût de la poésie!
Bien sûr je n’ai pas aimé tous les poèmes, mais je me suis même reconnu en Apollinaire dans la plupart d’entres eux. Je le relirais avec plaisir et suis curieuse de découvrir de nouveaux poètes!
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Une très belle lecture pour clôturer mon été !
Dans "Alcools", Apollinaire oscille entre continuités et ruptures. Ainsi, l'ouvrage, publié en 1913, reprend-il malgré tout de nombreux topos littéraires du siècle précédent (engagement et révolte, admiration des femmes, de la nature et de la nuit dans un cadre très romantique). D'un autre côté, on retrouve de nombreuses idées innovantes, et plus adaptées à l'époque de cet ouvrage. On penche vers le Surréalisme tout en gardant des traditions romantiques et symboliques.
Apollinaire a une très belle plume que je trouve accessible, contrairement à celle de certains poètes (Baudelaire, Rimbaud dans les "Illuminations"...), dont l'écriture est plus lourde et difficilement décryptable. Il est innovant dans sa manière d'écrire, puisque la plupart des poèmes ont un nombre de syllabes asymétrique, une versification inédite et, plus surprenant encore, aucun signe de ponctuation. Petit bémol pour ce dernier point : la lecture s'en trouve légèrement alourdie, et il est plus compliqué de comprendre la syntaxe du poète.
Certaines de ces poésies sont moins intéressantes que d'autres, mais je garderai un très bon souvenir de quelques-unes qui m'ont marqué !
Je vous conseille de découvrir ce recueil de poèmes, il vaut bien un détour !
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J’ai bien aimé ce recueil de poèmes, les thèmes abordés sont variés et faciles à lire
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N'étant pas grand amateur de poésie, j'ai été surpris par la manière dont ce receuil a réussi à m'entraîner, malgré quelques poèmes énigmatiques que je n'ai pas pu saisir. De temps en temps on rencontre des fragments que l'on a déjà entendus, parfois même associés à des souvenirs. Le bestiaire qui se trouve a la fin de mon édition est quant à lui très parlant, en dépit de la brièveté des poèmes.
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Ce qui commence bien gentiment finit dans une débauche de sexe, de foutre et de jouissances.
Avec des fluides, du goût, des odeurs, du poil, du ferme et du gras.
Dispensable, même s’il m’a parfois tiré un sourire au coin d’une page noid.ch
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“Alcools” de Guillaume Apollinaire est un recueil révolutionnaire qui brise les conventions poétiques traditionnelles, fusionnant modernité et lyrisme. À travers des poèmes tels que “Zone”, il célèbre la ville industrielle, l’aviation et les avancées technologiques, tout en explorant des thèmes universels comme l’amour et la nostalgie. Sa poésie innovante, caractérisée par l’absence de ponctuation et l’utilisation du vers libre, ouvre la voie à de nouvelles formes d’expression poétique.
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La Loreley est un poème qui m'a transporté comme s'il avait le pouvoir de prendre mon corps et de l'emmener dans un endroit paradisiaque.
Automne malade me rappelle les feuilles des arbres qui tombent et les magnifiques couleurs de cette saison qui m'inspire beaucoup.
Dans Hôtels, les quelques personnages dont Apollinaire parle m'ont fait penser à une famille et je trouve ce poème original puisqu'il nous rappelle de façon implicite de chérir nos proches, d'une manière ou d'une autre.
Si le recueil était ...
un film : Gatsby, le magnifique une musique : la vie en rose de Édith Piaf une couleur : celle de la pierre ambre un objet : une feuille de papier
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Pour une première initiation à la poésie d'Apollinaire, j'avoue avoir eu un peu de mal. J'ai pu être très touchée par certains poèmes, et totalement insensible à d'autres sans comprendre leur intérêt. Je ne suis qu'une simple initiée à la poésie, je me devais donc de découvrir ce classique. Je regrette grandement les analyses en cours de littérature qui nous faisait voir sous un nouveau jour une œuvre qu'on avait trouvé insipide. Je reviendrais à Apollinaire peut-être dans quelques années, pour le redécouvrir.
Afficher en entierOn parle de Guillaume Apollinaire ici :
2017-05-03T13:28:18+02:00
2016-06-03T19:07:32+02:00
2016-04-22T17:14:26+02:00
2016-04-19T19:18:27+02:00
2009-08-27T17:23:51+02:00
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Dédicaces de Guillaume Apollinaire
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Editeurs
Gallimard : 34 livres
Flammarion : 3 livres
Larousse : 3 livres
Berg International : 2 livres
Folio : 2 livres
Belin : 2 livres
Bartillat : 2 livres
Pocket : 2 livres
Biographie
Poète et écrivain français
Né à Rome, Italie le 26 août 1880
Décédé à Paris le 09 novembre 1918
Fils naturel d'un prince italien, il ne vivra qu'aux côtés de sa mère et de son jeune frère sur la Côte d'Azur. Bien qu'étant un élève des plus brillants, Guglielmo Alberto Wladimiro Alessandro Apollinaire de Kostrowitzki, que tout le monde appelle Wilhelm, quitte le lycée. Il délaissera néanmoins sa vie de bohème pour un poste de précepteur de français. Il part alors en Rhénanie aux côtés de la famille de la vicomtesse de Milhau. Rentré à Paris, il se découvre une réelle passion, l'écriture, qu'il se plaît à exercer en vue de publications : poèmes et articles. Dès lors s'ensuivent quelques rencontres prometteuses : Alfred Jarry, Max Jacob, Pablo Picasso... Mais pour subvenir à ses besoins il se fait embaucher dans une banque. Apollinaire décide alors de créer deux revues, l'une se consacre aux spéculations boursières et l'autre se voue à la poésie : 'Le Festin d'Esope'. Ecrivain de l'avant-garde, il publiera bon nombre de poèmes regroupés dans plusieurs recueils 'Alcools', 'Poète assassiné', 'Calligrammes'. Son ouvrage 'Les Mamelles de Tirésias', drame surréaliste, fournit à André Breton le nom même du mouvement qui perdurera par la suite. Après avoir été enrôlé dans le conflit de 1914-18, il meurt de la grippe espagnole.
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