Tous les livres de Hélène Lavery
Je m'appelle Stéphanie. J'ai 13 ans. Max, mon chien, est mort. C'est vrai. C'est même un peu moi qui l'ai tué. Enfin, avec l'aide de mes parents et du vétérinaire. Il était malade. Très malade. Alors, on a opté pour l'euthanasie. Je m'en veux. J'en veux à ma mère et à mon amie qui n'a rien compris. J'en veux à la vie qui est injuste. Pauvre Max! Est-ce que lui m'a pardonné? Au moins, il dort du sommeil de l'ange.
Peut-on vraiment parler de deuil lorsqu'il s'agit d'un animal? Quand on a passé plusieurs années auprès d'un compagnon à poil ou à plumes, il y a attachement et donc véritable deuil. Un deuil qui n'est pas toujours compris par les autres. Un deuil que l'on doit vivre en famille ou en solitaire.
C'est à ce deuil que Stéphanie, 13 ans, doit faire face à sa façon et à son rythme. Puis un jour, l'espoir revient.
Un roman touchant et plein de compassion
A quinze ans, Jade est tombée dans un piège. Pas celui que l'on tend parfois aux animaux dans la jungle, mais un plus sophistiqué : celui de la Toile. Dans son cas, ce n'est pas le filet des braconniers qui menaçait de l'étouffer, plutôt un selfie d'elle à moitié nue qui a circulé sur le Web sans son consentement. Un simple clic et elle a été plongée dans une mer de mépris avant d'être harcelée. Alors qu'elle s'enlisait dans l'angoisse et la peur, elle a aperçu une main tendue et elle s'y est agrippée comme à une bouée.
Désormais consciente de ne pas être seule à vivre un tel cauchemar, elle mettra tout en oeuvre pour retrouver sa confiance dans les promesses de la vie.
Marquée au fer rouge est une réflexion sur l'intimidation, dont celle sur les réseaux sociaux, qui même si elle varie selon le lieu et l'époque demeure inchangée et un appel à tous de la dénoncer.