Tous les livres de Helmuth Zorn
Dehors, il faisait toujours aussi froid. On conduisit les deux prisonniers russes devant un baraquement. On leur avait attaché les mains derrière le dos. En face d'eux, une douzaine de soldats allemands prirent place. Ils n'avaient pas besoin de recommandations pour viser au coeur : Ils voulaient venger leur copain !
On banda les yeux des condamnés, et le Leutnant vint se mettre en position pour ordonner
- en joue : ... FEU !
Une fois de plus, le PELOTON d'EXECUTION avait fait son oeuvre.
A la veille de la débâcle finale, alors que les Russes se préparaient à réduire les dernières poches de résistance allemande en Pologne, dans la Wehrmacht, la répression existait toujours...
Quatrième de couverture Gerfaut 1971
Dans le tunnel, ils avançaient avec les plus grandes précautions. Parfois, l'homme déchirait une page de son carnet et l'enflammait pour éclairer leur route. Ils voyaient toujours un spectacle identique; Un boyau sombre qui s'etendait devant eux et qui semblait ne jamais plus devoir finir.
Les parois, le plafond et le sol avaient été boisé, mais ce revêtement était en grande parti pourri. Ce que les jeunes gens redoutait le plus était les planche arrachées. Pour ne pas être éborgnés, ils gardaient les mains à hauteur de leur figure. En dehors du tunnel au-dessus d'eux, il n'y avait que:
LA CENDRE CHAUDE DES ISBAS et il n'avaient à attendre de pitié de personne.
Quatrième de couverture
Moins de trois minutes plus tard, les assiégés se ruaient hors des décombres du train. Ils jaillissaient de partout, plein d'une rage joyeuse à l'idée d'anéantir ceux qui avaient tués tant de leur camarades.
Les partisans, coincé entre leur deux ennemis, tiraient de tous cotés à la fois. il n'était plus question de mouvement d'ensemble, mais de fait d'armes individuels. Les Russes étaient délogé de toutes leur cachettes, et de tous leurs asiles. Ils vendaient chèrement leur peau, accoté à un chêne ou allongés entre deux racines. Dans les deux camps les morts ne se comptaient plus.
Sommations d'usage n'étaient parfois que le moyen de régler ses propre comptes au milieu de la guerre. La lutte contre les Russe ne faisaient pas oublier à certains, le différent qui opposait les S.S. aux homme de la Wermacht surtout lorsqu’un monstre comme l'haupstrumfuhrer Stumpfel utilisait toute la puissance donné par son grade pour conquérir la fille d'une "vieille culotte de peau".
Quatrième de couverture edition du gerfaut - 1968
L’acide rongea les minces parois et l’explosif éclata sourdement.
L’eau s’engouffra dans les flotteurs crevés et l’hydravion piqua du nez
Quand il s’englouti dans la mer noire, les remous firent osciller le canot pneumatique où se trouvaient quatre hommes trois vivant et un cadavre.
Le premier commando pour Yalta
Une poignée d’homme formés par le célèbre Skorzeny et que Hitler avait chargé d’assassiner son plus grand ennemi : Staline.
Ce livre vous conduira de l’armée de Vlassov où luttaient aux cotés des allemands les russes adversaires de Staline_ à la conférence de Yalta où trois homme se partageaient le monde _ puis vous ramènera en Allemagne à travers les périls et les joies des pays d’Europe Centrale, tout à l’exubérance de la Libération.
Quatrième de couverture
Toutes les puissances de l’enfer se déchainèrent. Les hommes eurent soudain l’impression que la terre tremblait, qu’un nouveau volcan allait s’ouvrir sous leurs pieds. Les explosions se succédaient, s’entremêlaient, se répercutaient. On entendait des sifflements métalliques. Des morceaux d’acier volaient dans tous les sens.
A l’approche des chars américains les allemands avaient ôté les panneaux qui signalaient ACTUNG MINEN Mais quelle curieuse équipe avait posé ce champs de mines. Des membres de la Volkstrum, vétérans de la Première Guerre ou des adolescents frais émoulus de la Hitler-jugend… Des femmes fanatiques qui s’étaient jointes à eux …des S.S. qui avaient pris le commandement du groupe
…un Rescapé du commando Skorenzy… un vieillard qui se souvenait de Sedan … Le génie militaire de l’officier S.S. infligeait de lourdes pertes aux Américains. Mais les dissensions internes n’allaient-elles pas mener la débâcle de ce groupe disparate ?