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Tous les livres de Henri Bergson

Dans Les deux sources de la morale et de la religion, son dernier grand livre (1932), Bergson ne se contente pas d'établir la distinction entre le clos et l'ouvert comme critère absolu.

en morale. mais aussi en religion (et même dans chaque religion) et en politique. Il en recherche le double fondement, dans la structure immuable de notre espèce, d'un côté dans les actes imprévisibles des grands hommes de bien ou des mystiques, de l'autre. Loin de s'appuyer sur une métaphysique toute faite, ce livre la renouvelle, en discutant aussi avec les sciences de son temps, dont la sociologie ; loin de prêcher une morale désuète, il se place au cœur de son époque ; loin de cautionner une critique de la démocratie, ou de la technique, il les place au centre des choix des hommes.

Il est urgent de le relire.

Il faut remettre La pensée et le mouvant dans un triple mouvement.

C'est d'abord une tension critique : la pensée humaine, selon Bergson, manque le mouvement qui est la réalité même des choses. Mais c'est aussi un effort, toujours repris : inventer, avec une rigueur inégalée, les concepts, les méthodes pour dépasser cet obstacle, accéder à cette réalité. C'est donc enfin le sommet d'une oeuvre, dernier livre publié par son auteur, en 1934, deuxième recueil de ses essais essentiels, dont chacun a fait époque, mais c'est aussi son intuition la plus originale ; c'est surtout, en acte, la preuve que le mouvement n'est pas seulement l'objet, mais la nature même d'une pensée, qui n'accède au réel qu'en étant elle-même dans le monde et dans l'histoire, une réalité.

Henri Bergson (1859-1941) a uni au plus haut point la création des concepts (la durée) et la critique des problèmes (l'espace), les exigences de la science et celles de l'écriture, la vocation théorique et la vocation pratique de la philosophie. Prix Nobel de littérature, acteur politique, interlocuteur des plus grands de ses contemporains, il a montré en quoi la tâche de la philosophie est toujours à reprendre.

Si la vie est une évolution, alors elle doit expliquer jusqu'à la connaissance, l'intelligence, la science et la technique de l'homme, l'homo faber ; si il y a en elle de la création, alors ce n'est pas un postulat extérieur, mais dans son histoire et dans notre vie même qu'on doit l'expérimenter.

dans L'évolution créatrice, Bergson pousse ainsi la théorie de l'évolution et l'expérience de la " durée " jusqu'au bout, sans admettre ni une création transcendante ni une vie sans émergence ou nouveauté. Les conséquences traversent toute la science, la théorie de la connaissance, et la philosophie, de 1907 à aujourd'hui. La première édition critique des œuvres de Bergson, dans laquelle s'inscrit le présent volume, répond à un double principe : offrir d'abord le texte intégral du livre tel que l'a publié Bergson, dans sa pagination de référence inchangée ; le compléter ensuite par un dossier comportant des notes historiques et philosophiques ainsi que les variantes éventuelles du texte, une table analytique de l'ouvrage, une série originale d'index, une anthologie des " lectures " majeures et une bibliographie commentée.

Le rôle de la France dans l’évolution de la philosophie moderne est bien net : la France a été la grande initiatrice. Ailleurs ont surgi également, sans doute, des philosophes de génie ; mais nulle part il n’y a eu, comme en France, continuité ininterrompue de création philosophique originale. Ailleurs on a pu aller plus loin dans le développement de telle ou telle idée, construire plus systématiquement avec tels ou tels matériaux, donner plus d’extension à telle ou telle méthode ; mais bien souvent les matériaux, les idées, la méthode étaient venus de France. Il ne peut être question ici d’énumérer toutes les doctrines, ni de citer tous les noms. Nous ferons un choix ; puis nous tâcherons de démêler les traits caractéristiques de la pensée philosophique française. Nous verrons pourquoi elle est restée créatrice, et à quoi tient sa puissance de rayonnement.

L'énergie spirituelle : telle est, non pas l'évidence facile, mais le problème commun posé par Bergson dans le premier des deux recueils où il rassemble (en 1919) ses essais les plus importants.

Psychologique (ainsi sur " le rêve "), philosophique (ainsi sur " l'âme et le corps "), ce problème est surtout d'ordre pratique. L'" énergie " ne s'atteste ici que par des actions surmontant des obstables, non pas ceux d'un dualisme abstrait, mais d'une résistance concrète, qui sera bientôt celle de la morale ou (le la religion " closes ". Ainsi, à travers chacun de ces essais devenus des classiques, trouvera-t-on à la fois l'unité et la diversité d'une oeuvre encore en mouvement.

Henri Bergson (1859-1941) a uni au plus haut point la création des concepts (la durée) et la critique des problèmes (l'espace), les exigences de la science et celles de l'écriture, la vocation théorique et la vocation pratique de la philosophie. Prix Nobel de littérature, acteur politique, interlocuteur des plus grands de ses contemporains, il a montré en quoi la tâche de la philosophie est toujours à prendre.

La première édition critique des oeuvres de Bergson, dans laquelle s'inscrit le présent volume, répond à un double principe : offrir d'abord le texte intégral du livre tel que l'a publié Bergson, dans sa pagination de référence inchangée ; le compléter ensuite par un dossier comportant des notes historiques et philosophiques ainsi que les variantes éventuelles du texte, une table analytique de l'ouvrage, une série originale d'index, une anthologie des " lectures " majeures et une bibliographie commentée.

Durée et simultanéité : ce sont ici deux manières de penser les relations entre les systèmes temporels en mouvement dans l'Univers.

Einstein avant définitivement ébranlé la seconde, qu'en est-il de la première ? Telle est la question posée par Bergson dans ce livre, occasion d'une rencontre exceptionnellement profonde par son problème et ses enjeux, à travers une discussion scientifique et philosophique (un chapitre central sur " la nature du temps "), des malentendus, des cri-tiques, des erreurs mêmes, qui ont pu en rendre la lecture difficile, depuis sa parution en 1922, mais que la présente édition éclaire pour la première fois, au point d'en faire, à nouveau, un événement.

Henri Bergson (1859-1991) a uni au plus haut point la création des concepts (la durée) et la critique des problèmes (l'espace), les exigences de la science et celles de l'écriture, la vocation théorique et la vocation pratique de la philosophie. Prix Nobel de littérature, acteur politique, interlocuteur des plus grands de ses contemporains, il a montré en quoi la tâche de la philosophie est toujours à prendre.

La première édition critique des œuvres de Bergson, dans laquelle s'inscrit le présent volume, répond à un double principe : offrir d'abord le texte intégral du livre tel que l'a publié Bergson, dans sa pagination de référence inchangée ; le compléter ensuite par un dossier comportant des notes historiques et philosophiques ainsi que les variantes éventuelles du texte, une table analytique de l'ouvrage, une série originale d'index, une anthologie des " lectures " majeures et une bibliographie commentée.

Il faut remettre La pensée et le mouvant dans un triple mouvement.

C'est d'abord une tension critique : la pensée humaine, selon Bergson, manque le mouvement qui est la réalité même des choses. Mais c'est aussi un effort, toujours repris : inventer, avec une rigueur inégalée, les concepts, les méthodes pour dépasser cet obstacle, accéder à cette réalité. C'est donc enfin le sommet d'une oeuvre, dernier livre publié par son auteur, en 1934, deuxième recueil de ses essais essentiels, dont chacun a fait époque, mais c'est aussi son intuition la plus originale ; c'est surtout, en acte, la preuve que le mouvement n'est pas seulement l'objet, mais la nature même d'une pensée, qui n'accède au réel qu'en étant elle-même dans le monde et dans l'histoire, une réalité.

Henri Bergson (1859-1941) a uni au plus haut point la création des concepts (la durée) et la critique des problèmes (l'espace), les exigences de la science et celles de l'écriture, la vocation théorique et la vocation pratique de la philosophie. Prix Nobel de littérature, acteur politique, interlocuteur des plus grands de ses contemporains, il a montré en quoi la tâche de la philosophie est toujours à reprendre.

Les leçons de ce volume IV se répartissent en quatre ensembles, appartenant à divers moments de la carrière de Bergson : -- Cours sur Plotin, École normale supérieure, probablement vers 1898-1899 (manuscrit conservé à la bibliothèque Victor Cousin) -- Cours d'histoire de la philosophie grecque, Khâgne, Lycée Henri-IV, année scolaire 1894-1895 -- Leçons sur l'École d'Alexandrie, Lycée Blaise-Pascal, Clermont-Ferrand, probablement vers 1884 -- Le cahier noir, Université de Clermont-Ferrand, 1884-1885 Ce volume, comme les trois précédents, espère contribuer au renouveau des études bergsoniennes. Les deux premiers volumes de Cours ont fourni l'essentiel de l'enseignement de Bergson sur les diverses matières philosophiques (psychologie et métaphysique, morale et politique), les deux derniers permettent d'avoir une idée précise de son enseignement en histoire de la philosophie, moderne et contemporaine pour le Cours III, grecque pour ce volume IV. Table des matières INTRODUCTION I - Cours sur Plotin II - Cours d'histoire de la philosophie grecque III - Leçons sur l'École d'Alexandrie IV - Le Cahier Noir I - COURS SUR PLOTIN I - Vie de Plotin II - oeuvre et bibliographie de Plotin III - La doctrine de Plotin. Place que la théorie de l'âme y occupe IV - Plotin interprète de Platon V - L'âme du monde VI - La procession de l'âme et le principe de l'irradiation VII - L'âme universelle considérée en elle-même VIII - La chute des âmes IX - Théorie de la conscience II - LA PHILOSOPHIE GRECQUE 1894-1895 LYCÉE HENRI-IV I - La philosophie grecque avant les Sophistes II - Les Sophistes et Socrate III - Platon IV - Aristote V - Le cynisme et le Stoïcisme VI - L'École d'Alexandrie III - HISTOIRE DE LA PHILOSOPHIE (COURS DU LYCÉE DE CLERMONT) LEÇON SUR L'ÉCOLE D'ALEXANDRIE IV - HISTOIRE DE LA PHILOSOPHIE GRECQUE Introduction I - La philosophie anté-socratique II - Les Ioniens - Thalès III - Anaximandre IV - Anaximène V - Héraclite VI - Cratyle - Hippon - Idée - Diogène d'Appolonie VII - Les Éléates VIII - Xénophane IX - Parménide et Zénon d'Élée X - Mélissos XI - Les Pythagoriciens XII - Empédocle XIII - Anaxagore XIV - Atomistes. Leucippe, Démocrite XV - Sophistes XVI - Socrate XVII - Platon XVIII - La dialectique platonicienne et la théorie des Idées Notes

Durée et simultanéité : ce sont ici deux manières de penser les relations entre les systèmes temporels en mouvement dans l’Univers. Einstein ayant définitivement ébranlé la seconde, qu’en est-il de la première ? Telle est la question posée par Bergson dans ce livre, occasion d’une rencontre exceptionnellement profonde par son problème et ses enjeux, à travers une discussion scientifique et philosophique (un chapitre central sur « la nature du temps »), des malentendus, des critiques, des erreurs mêmes, qui ont pu en rendre la lecture difficile, depuis sa parution en 1922, mais que la présente édition éclaire pour la première fois, au point d’en faire, à nouveau, un événement.

" Du mécanique plaqué sur du vivant ".

Cette formule n'est pas elle-même plaquée mécaniquement par Bergson sur le rire ! Bien au contraire, c'est un Bergson à la fois psychologue, sociologue, philosophe de l'art et moraliste qui écrit Le Rire. Essai sur la signification du comique en 1900, au cœur d'une œuvre dont ce livre est une étape majeure, et d'un moment dont il traverse tous les enjeux. Une diversité infinie donc, mais plus que jamais dans une intuition, dans une écriture d'une simplicité extrême qui en font un chef-d'œuvre unique.

Dans Matière et mémoire, son deuxième grand livre (1896), Bergson montre comment notre mode de connaissance habituel, fondé sur l'espace, nous masque l'essence de l'esprit, celle de la matière, et leurs relations.

On croit que l'esprit est fait d'éléments isolés (d'où une stricte localisation cérébrale) : c'est un acte temporel. On croit que la matière est faite d'objets séparés : c'est un ensemble de mouvements, même si notre corps en isole des " images ". Dans les deux cas. l'espace nous masque la durée. Solution originale au problème classique du dualisme, appuyée sur une discussion scientifique et métaphysique, ce livre est essentiel dans cette œuvre, dans son temps, et aujourd'hui encore.

« La politesse de l’esprit n’est guère autre chose qu’une espèce de souplesse intellectuelle. L’homme du monde accompli sait parler à chacun de ce qui l’intéresse ; il entre dans les vues d’autrui sans les adopter toujours ; il comprend tout sans pour cela tout excuser. Ce qui nous plaît en lui, c’est la facilité avec laquelle il circule parmi les sentiments et les idées. La politesse sous toutes ses formes, politesse de l’esprit, politesse des manières et politesse du coeur, nous introduit dans une république idéale, véritable cité des esprits, où la liberté serait l’affranchissement des intelligences et l’égalité un partage équitable de la considération. »

Henri Bergson

Toute justification de méthode étant vaine, on se contentera de suivre des "lignes de faits", qui nous amèneront à une probabilité proche de la certitude.

Ceci étant établi, on peut s'intéresser au sujet de cette étude: la conscience. Elle est à la fois mémoire et anticipation. Quels sont les êtres conscients?

D'autres questions seront soulevées et analysées...

Les penseurs, jusqu'ici, n'ont fait que concevoir le temps; il faut désormais le vivre: tel semble être le mot d'ordre de Bergson dans le chapitre 2 de l'Essai sur les données immédiates de la conscience (1889), son premier ouvrage, où il entend "saisir la durée pure".

Notre manière ordinaire de représenter le temps est empreinte de concepts issus des mathématiques et de la physique: partant de ce constat, Bergson entame dans ce chapitre, qui est aussi une porte d'entrée à l'ensemble de sa philosophie, une réflexion sur les nombres, les horloges, les mouvements et leurs vitesses, et souligne l'impossibilité de penser adéquatement le temps par ces biais. A la représentation déformée que nous avons forgée du temps, il oppose le temps vécu de la conscience humaine, qui est le seul réel, et qu'il nous invite à ressaisir par l'introspection.

Durée et intuition : les deux notions clés de la pensée de Bergson sont ici rassemblées en un volume et deux textes : une conférence de 1911 ("L'intuition philosophique") et le fameux essai qui introduit en 1934 La Pensée et le Mouvant ("De la position des problèmes").

- Qu'est-ce donc qu'un problème en philosophie ?

- En quels termes le pose-t-on ?

- Comment le résout-on ?

- Une intelligence intuitive permet-elle de philosopher ?

Nous n'oublions rien : tout ce que nous avons perçu, pensé, voulu, persiste indéfiniment.

Dès lors, où les souvenirs sont-ils stockés ?

Peut-on les convoquer par le rêve ?

Que voit-on quand on rêve ?

A-t-on des sensations physiques ?

Rêver demande-t-il des efforts ?

Et peut-on avoir des idées, créer, en rêvant ?

C'est à la matérialité du rêve que s'attache ici Bergson. Son texte est suivi d'un magnifique écrit de Robert Louis Stevenson, Un chapitre sur les rêves, que Bergson commente et qui, plus tard, fascinera Jorge Luis Borges.

Féru de psychologie, Stevenson y pressent, dès 1888, l'importance de ce que Freud appellera inconscient.

Voici l'essai qui a rendu Bergson célèbre dans le monde entier. L'auteur du Rire y invente une nouvelle méthode en philosophie et une façon inédite de pratiquer la métaphysique.

Qu'est-ce donc que la métaphysique ?

C'est reconnaître que tout n'est pas parfait dans l'ordre du savoir, que l'insatisfaction y règne même, et qu'il faut, pour appréhender le monde, utiliser l'intuition.

Bref, ce n'est pas quitter un monde instable et mouvant pour rejoindre une réalité ferme et stable, c'est plutôt plonger au cœur des choses, saisir la vie même.

C’était le 28 avril 1912. Bergson parlait, comme souvent, devant une salle archi-comble. Une heure plus tard, dira-t-on avec enthousiasme, il avait démontré l’immortalité de l’âme. Sa célèbre conférence, "L’âme et le corps", peut se lire comme une introduction à Matière et mémoire. Elle illustre aussi que "philosopher est un acte simple".

Nous avons supposé un Espace homogène, et, avec Kant, distingué cet espace de la matière qui le remplit. Avec lui nous avons admis que l'espace homogène est une forme de notre sensibilité ; et nous entendons simplement par là que d'autres intelligences, celle des animeaux par exemple, tout en apercevant des objects, ne les distinguent pas aussi nettement, ni les uns des autres, ni d'elle-mêmes. Cette intuition d'un milieu homogène, intuition propre à l'homme, nous permet d'extérioriser nos concepts les uns par rapport aux autres, nous révèle l'objectivité des choses, et ainsi, par sa double opération, d'un côté en favorisant le langage, et d'autre part en nous présentant un monde extérieure bien distinct de nous dans la perception duquel toutes les intelligences communient, annonce et prépare la vie sociale.

Bientôt il affrontera Einstein ; mais pour l’heure nous sommes en 1920, et Bergson, soixante ans, est le philosophe le plus célèbre de son époque. Pour introduire à ses idées principales sur l’art de penser, le temps et la durée, les rapports entre science et philosophie, la créativité, la liberté, il rassemble en quelques pages les passages les plus significatifs de son œuvre (essentiellement l’"Essai sur les données immédiates de la conscience", "Matière et mémoire", et "L’Évolution créatrice"). Ce "Bergson par Bergson" publié alors chez Payot était devenu introuvable ; nous le republions ici.

"Retenir ce qui n'est déjà plus."

"Considérez la direction de votre esprit à n'importe quel moment : vous trouverez qu'il s'occupe de ce qui est, mais en vue surtout ce qui va être." Telle est la conscience selon Bergson, qui lui associé l'intuition et la mémoire. On trouvera dans ce recueil les pages les plus significatives de son œuvre sur ce thème : le premier chapitre de l'"Essai sur les données immédiates de la conscience", la chapitre 3 du "Rire", et bien sûr l'essai sur "La conscience et la vie" - trois textes incontournables d'un des plus grands philosophes du XXe siècle.

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