Henri Bosco
Auteur
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Quelques chiffres
Note moyenne : 6.2/10Nombre d'évaluations : 107
1 Citations 66 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
Sentiment un peu mitigé.
Parce que que ce soit les jolies illustrations, ou l'ambiance globale, y'a quelque chose de plutôt sympathique dans ce roman graphique. La force de la nature et la vie campagnarde au fin fond de la Provence, c'est très bien retranscrit. Et une petite touche poétique qui ne fait pas de mal.
En revanche, au niveau du scénario en tant que tel, ça reste assez ennuyeux. Plutôt longuet, un parcours initiatique comme on pourrait en trouver bien d'autres. Des rencontres, et des petites péripéties qu'on oubliera bien vite. C'est finalement un sujet qui ne me touche pas trop, et donc difficile de vraiment être embarquée dedans.
Afficher en entierAvec « La Rivière et l’Enfant », pas de «prise de tête » ! Les quatre éléments, l’eau, la terre, l’air et le feu sont le cadre de l’histoire , le temps et l’espace en sont sa profondeur. Le style d’Henri Bosco, sa sémantique, le champ littéral imprégné ou imbibé de faune et de flore, la vision de l’enfant donne à ce roman une quiétude et une douceur reposante, apaisante et lénifiante quasi hypnotique.
Henri Bosco n’était pas un écrivain de son temps. En symbiose avec la nature, très en prise avec le romantisme, ses sujets, ses thèmes souvent naïfs n’avaient rien de commun avec ceux exposés par Albert Camus, Jean-Paul Sartre, André Gide, ses contemporains, les écrivains du soupçon.
Henri Bosco était au Douanier Rousseau, peintre naïf, ce que Camus, Sartre, Gide étaient à Picasso et le cubisme.
Afficher en entierTrès bon livre mais beaucoup de descriptions
Afficher en entierUn roman qui se rapproche de L'enfant et la rivière (je l'avais lu d'ailleurs à la même période) par ses thèmes naturalistes : la découverte d'un pays inconnu et mystérieux, une sorte de Paradis perdu.
Une lecture qui mélange aventure, fantasmagorie et superstition, à ne donc pas destiner à un public trop jeune (à partir de 10-11 ans), car nous ne sommes pas dans l'univers des "Mémoires d'un âne", malgré un titre qui peut laisser croire que c'est un livre destiné aux enfants.
Afficher en entierJ'ai sur ces souvenirs de lecture un regard attendri... Dans ma mémoire, cette sensation douillette et vaporeuse, une douce nostalgie.
Un joli roman d'aventures et d'amitié.
Afficher en entierUn classique très intéressant, se lit vite et facilement
Afficher en entier« L’Âne Culotte », un livre sur l’enfance et sur la Provence, sur la terre, sur la nature, sur la faune et la flore, plein de poésie, d’amitié et d’amour mais qui, par son caractère mystique et mystérieux, n’est pas, à mon avis, avec son allégorie du Paradis, à mettre dans les mains d’un enfant : trop compliqué et trop perché !
Afficher en entierClassé en or (je relirai) à cause de la plume et des grands moments poétiques.
J'aurais voulu mettre 8.5 en écriture, mais ne pouvant pas, j'ai arrondi à 9.
Afficher en entierJ'ai lu ce livre avec mon fils (6ème) et je dois avouer que c'était aussi bien une torture pour lui que pour moi.
Certes c'est bien écrit, mais la description d'un bout de forêt sur plus de 4pages ça fait beaucoup.
Afficher en entierLa plume de l'auteur est poétique mais il ne se passe pas grand-chose. Ses descriptions de la nature sont grandioses, seul point positif.
Le comportement des personnages est assez incompréhensible. L'auteur a voulu faire du fantastique mais les évènements sont bizarres. Je ne savais s'il s'agissait de rêves ou de réalité. Et le tout est trop long !
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Henri Bosco
et autres évènements
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Editeurs
Gallimard : 27 livres
Editions de la revue Fontaine : 1 livre
Gallimard Jeunesse : 1 livre
Grasset : 1 livre
Casterman : 1 livre
Sarbacane : 1 livre
Sélection du Reader's Digest : 1 livre
Biographie
Issu d'une famille piémontaise1, il est né au n° 3 de le rue Carreterie à Avignon, en 1888, où son père était tailleur de pierre, luthier et chanteur d'opéra2.
Il a trois ans quand sa famille quitte le centre ville pour habiter une demeure beaucoup plus vaste et proche de la Durance, à l'extrémité de Monclar, au quartier de Baigne-Pieds3. Sa mère lui enseigne d'abord elle-même la lecture et l'écriture. Il entre en classe à l'âge de dix ans, rue Bouquerie, à l'école des Ortolans4.
Après de solides études dans la cité papale où il fait ses humanités grecque et latine5, Bosco obtient, en 1909, sa licence de lettres et son diplôme d'Études Supérieures à l'Université de Grenoble6, puis il prépare et réussit son agrégation d'italien à l'Institut de Florence.
Mobilisé en Orient [modifier]
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