Commentaires sur ses livres

Lecture d'attente de train et de trajet ; j'en attends généralement pas grand chose... Heureusement, parce que ça n'apporte vraiment rien d'autre que de passer le temps... Juxtaposition de clichés aussi bien sur le plan historique (Danton et sa perruque de travers, Molière mort dans son fauteuil sur scène... ce qui est faux, j'en passe et des pires) que sur celui de l'enquête. Les personnages sont au mieux stéréotypés, au pire ennuyeux... Oublié aussi vite que lu ! Sans aucun intérêt.

Un très beau roman sur l'amitié, la vie, la recherche d'un sens à son existence, et toutes ces questions qu'on se pose ado, et plus tard encore. Les personnages sont attachants, bien campés, l'histoire est prenante (malgré selon moi, seul bémol, quelques répétitions inhérentes au genre road-movie), et la fin est riche en émotions. Une belle réussite !

"Les Cathédrales du vide" d'Henri Loevenbruck est un roman captivant qui mêle mystère, histoire et intrigue avec brio. L'exploration des cathédrales et de leur symbolisme offre une toile de fond fascinante pour l'intrigue, tandis que les personnages sont bien développés et complexes. Loevenbruck parvient à créer une atmosphère envoûtante qui transporte le lecteur dans un voyage intellectuel et spirituel.

Un très bon deuxième tome où l’on retrouve avec plaisir les personnages que l’on avait laissé à la fin du premier roman. Le début est un peu mou mais tout s’accélère à la moitié du livre, difficile de décrocher

L'ambiance Lovecraft-like en un peu plus pulp fonctionne plutôt bien, la plupart des personnages sont mémorables.
La fin est cependant en demi-teinte et pourrait pencher plus vers l'horreur cosmique.

un thriller a ne pas perdre la tête
superbe enquête sous tension psychique et psychologique menait tambour battant. le personnage du livre Vigo vient de survivre à un attentat parce que il a entendu des voix le prévenir
on est happée par cette histoire et pris dans l'engrenage de savoir

Tout simplement superbe. Je suis un fan inconditionnel du style de Loevenbruck et cette histoire et touchante, prenante et tellement frustrante à la fin. Un pavé qui se dévore

La plus belle bande-dessinée qui m'a été donnée de lire et contempler !

Ce qui m'a influencée est que je connais et que j'adore la trilogie de romans fantasy qui est à l'origine des bandes-dessinées de La Moïra. Les trois tomes en bd qui sont sortis jusqu'à présent, je les ai toutes lues, sont des adaptations du premier tome de La Moïra, La louve et l'enfant. La Moïra de Henri Loevenbruck est sans conteste l'une de mes sagas de fantasy préférées. Le fait qu'elle soit Française la rend encore un peu plus spéciale. Les bandes-dessinées sont l'une des adaptations du genre la mieux réussie que j'ai vue. L'ambiance, l'énergie, l'âme des livres s'y ressentent vraiment quand on lit les bandes-dessinées. Elles incarnent vraiment l'univers original.

Les couleurs, les illustrations, le design des personnages, leurs expressions, les décors… Tout est une œuvre d'art dans cette bande-dessinée. Les lieux et les personnages sont vraiment comme on les imaginait. J'ai particulièrement un coup de cœur pour Aléa, Erwan, Faith, Imala et les sylves. Tous les dessins qui les représentent son sublimes. L'image projetée d'Aléa est aussi subjugante qu'on l'imagine. Ses yeux sont prenants. Imala est touchante, belle et adorable. Les dessins des sylves, de leur forêt, leurs arbres et leurs magies sont tellement beaux ! Il n'y a pas que leur magie qui est aussi bien montrée et pleine de mysticité. Celle d'Aléa et des druides aussi. Les lieux que Sai-mina, le monde de D'jar et tous les lieux sont vraiment bien dessinés.

Vous n'avez aucune excuse de ne pas lire ces bandes-dessinés si vous êtes fans de fantasy classique. Si vous êtes fans de la série originelle, vous vous ennuierez de l'univers, l'histoire et des personnages en lisant les bandes-dessinées et, si vous ne connaissez pas, peut-être cela vous donnera-t-il envie de lire la série de romans. Sachez que la série de romans est en un cycle de deux trilogies qui suivent. Vous en aurez tout votre comptant ! En plus, en lisant les livres vous saurez plus vite la suite des péripéties des personnages qu'en attendant le reste des bd. Surtout que la fin de ce dernier se finit un peu plus abruptement que les deux autres. C'est cruel pour ceux qui ne connaissent pas la suite !

Ce roman a un sérieux problème de rythme, les 200 premières pages sont engluées dans des longueurs et des explications sur diverses choses qui n'amènent pas grand chose à l'histoire. Après on bascule dans le fantastique puis vient la conclusion trop rapide pour être satisfaisante. L'héroïne très "bad ass" fait plus 2023 que 1925 mais apporte une touche d'humour bienvenu.

Un livre dont j ai surtout aimé l histoire ,sinon les illustrations ne sont pas vraiment géniales

Original, se lit bien et réserve des surprises

Cela a été une lecture plutôt bonne. j'ai tout de suite apprécié Edward Pierce, gentleman anglais avec son parapluie bleu. Un peu à la Mary Poppins !
J'ai aussi aimé Lorraine Chapelle, avec son air rebelle et juvénile. Mais au fil du récit, elle a commencé à m'agacer. Elle est si radicalement opposé aux croyances qu'elle ne parvient plus à mener l'enquête correctement.
Quand à l'enquête elle-même, je l'ai trouvé plutôt sympathique, mais je ne savais pas vraiment vers quoi l'auteur voulait se tourner : mythologie, fantastique, science-fiction ? Disons que ça a perdu en intensité au fur et à mesure, mais le final est pas mal, même si je pense que cela aurait du se passer autrement.

Il y’a des livres qui pourraient avoir 800 pages de plus qu’on les liraient sans mal. Loevenbruck nous raconte le 14eme siècle comme s’il y avait vécu lui même. Les personnages sont très attachants, leur quête est merveilleusement contée. La fin amène à pas mal de réflexion et d’interprétation.

Quel est le prix de la liberté ? Loyauté, honneur, liberté, le tout réuni dans une putain de virée dans une époque... C'est une tranche de vie dont on ne sort pas indemne. L'auteur nous transporte dans les aventures d'Hugo, de Bohem, d'Alex etc... Tous des apprentis bikers qui vont vivre de façon intense la violence, l'amitié et la liberté à leurs façon. Quant à la fin...que vous dire d'autre, que cette œuvre est pour moi inoubliable. Ce livre est à la fois bouleversant et magnifique. Il m'a tenu en haleine tout au long de ces chapitres.

Ce commentaire contient des spoils, à vos risques et péril ! (la conclusion donne un avis très global mais sans spoil)

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Après m'avoir longuement fait de l'oeil, je me suis finalement décidé à lire ce fameux livre. La 4ème de couverture me faisant espérer une aventure fort intéressante ce qui, dans le fond, fut le cas, mais dans la forme beaucoup moins. L'histoire se passe en 1925 et le livre se lit très bien. Une histoire de disparition sur île de 1000 habitants environ, le tout entouré de croyance Celtique voir Sumérienne ! L'histoire était très sympathique à lire bien que la fin soit vraiment violente comparé au reste du récit. Le point le plus problématique à mon sens est la position politique de l'auteur qui rend le récit relativement anachronique et qui plus est, n'était pas très utile à l'histoire, on s'en serait bien passé. Dans un premier temps, le détective anglais est homosexuel, bien, mais pourquoi donner cette information ? Personnellement qu'il soit gay ou non m'importe peu, surtout que la manière dont c'est amené est incongru. Pareil pour la jeune criminologue, c'est une féministe au franc parlé et possédant tout ce qu'il faut pour être la femme forte qui plait au woke d'aujourd'hui. Trouvé ces 2 types de personnes relativement rare pour l'époque, dans une île de 1000 personnes, c'est tout de même un hasard assez mal foutu. Sans parler de "l'histoire d'amour" entre le marin et la criminologue. Leurs échange durant le récit étant : se voir de loin, intrusion illégal chez lui et ce dernier l'étrangle pour la faire sortir de sa maison, elle le disculpe d'un meurtre non commis, pour au final qu'il donne un preuve en remerciement, et c'est à ce moment là qu'elle l'embrasse sans aucune raison. 5 entrevus dont une seul de positive et c'est le grand amour ? étonnant...d'autant plus que ça ne rajoute qu'un soupçons de drame prévisible à la fin du récit, rien de bien intéressant en somme. Un dernier point me rendant incrédule, c'est la superbe amitié bien pensante basé sur des insultes mignonnes entre le détéctive et la criminologue qui, à la résolution des disparitions, ne se connaissaient que depuis 1 semaine tout au plus. Pour conclure, outre le côté politique de gauche actuelle fortement anachronique pour 1925, j'ai trouvé ce récit peu crédible est assez prévisible sur bien des égard. C'est une assez grosse déception car l'idée de base était très intéressante, mais l'irréalisme de certaines actions, comportements ou même de la construction des personnages principaux m'a laissé très dubitatif.