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Hervé Bazin

Auteur

3 363 lecteurs

Activité et points forts

ajouté par cheyenne1864 2014-01-05T11:11:08+01:00

Biographie

Nationalité : France

Né(e) à : Angers , le 11/04/1911

Mort(e) à : Angers , le 17/02/1996

Biographie :

Hervé Bazin, de son nom de naissance Jean-Pierre Hervé-Bazin, passe son enfance dans le Maine-et-Loire, à Marans. Il entre en pensionnat puis part en faculté de lettres à la Sorbonne.

Il commence par exercer de nombreux petits boulots et écrire de la poésie, une première quinzaine d'années, sans éclats. Sur le conseil de Paul Valéry, il se détourne de la poésie pour se consacrer à la prose.

Les rapports conflictuels qu'il a eus avec sa mère pendant son enfance lui inspirent le roman Vipère au poing en 1948. Ce roman connait un immense succès après-guerre et est suivi de nombreux autres qui décrivent, avec un certain naturalisme et un art du portrait psychologique, les mœurs de son époque. D'autres romans ont comme héros les personnages de Vipère au poing : La mort du petit cheval et Cri de la chouette.

Hervé Bazin est considérée comme « un romancier de la famille », thème centrale de tous ses romans. Il a écrit également des nouvelles et des essais, comme Ce que je crois en 1977.

Hervé Bazin devient membre de l'Académie Goncourt en 1960, élu au couvert de Francis Carco. Il en devient président en 1973.

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Quelques chiffres

Note moyenne : 6.9/10
Nombre d'évaluations : 867

1 Citations 414 Commentaires sur ses livres

Dernier livre
de Hervé Bazin

Sortie Poche France/Français : 2011-11-02

Les derniers commentaires sur ses livres

Commentaire ajouté par ophjus 2023-03-05T19:42:54+01:00
Vipère au poing

Un ouvrage dont je n'ai particulièrement apprécié la lecture mais le roman est bien structuré.

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Commentaire ajouté par Victor-98 2023-03-15T16:42:02+01:00
Vipère au poing

J'avais commencé ce roman étant enfant, mais je n'avais pas pu le finir. C'est avec joie que j'ai tourné aujourd'hui sa dernière page. Cette guerre familiale, arbitré par un père faible et soumis, est vraiment fascinante. La cruauté de Folcoche n'a d'égal que l'ingéniosité de Jean et ses frères. Un classique qui se lit plutôt aisément, malgré quelques références datées. J'ai appris qu'il y avait deux autres tomes à cette histoire, et je les lirais sans aucun doutes.

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Commentaire ajouté par gone-shiver 2023-03-23T21:52:49+01:00
Vipère au poing

Pour une grande oeuvre de la littérature française je n'ai vraiment pas aimé ce bouquin... je n'ai trouvé aucune émotion malgré le récit tragique et compliqué du jeune. Je ne sais pas si c'était ma "jeunesse" qui m'empêchait de ressentir la détresse du protagoniste mais j'en garde un souvenir plat...

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Commentaire ajouté par LaBellePlume 2023-03-27T22:11:57+02:00
Vipère au poing

Il s'agit d'un petit livre (237 pages) et pourtant j'ai pris du temps à le lire car je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages ni à apprécier le style d'écriture de l'écrivain qui est par moment beaucoup trop dans le détail. Je me suis ennuyée lorsque étaient décrites les mœurs de la famille bourgeoise des Rezeau, à considérer les autres "non bourgeois" comme des êtres avec moins de valeur. J'ai vu le film de Philippe de Broca (2004) plusieurs fois, et j'avoue que je l'apprécie beaucoup. Cela m'a beaucoup aidé à rester captivée par le livre. L'adaptation du livre à été bien respectée je trouve.

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Commentaire ajouté par nanapero 2023-06-24T12:03:59+02:00
Vipère au poing

J'ai aimé ce livre, la relation que la mère et son fils entretiennent est triste et réaliste , le livre aborde la maltraitance, le quotidien et le ressenti d'un enfant non aimé.

Et pourtant, l'ouvrage reste dur et grave, mais l'auteur a su se reconstruire et écrire ce livre autobiographique

Ce livre est à lire !!

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Commentaire ajouté par ladydascaly 2023-10-11T10:13:06+02:00
Vipère au poing

Un livre vraiment puissant, qui offre avant l'heure une véritable réflexion sur la notion d'héritage familial et l'importance de l'éducation, dans le contexte de la diminution progressive de l'influence de la bourgeoisie rurale, qui permet des considérations politiques au narrateur.

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Vipère au poing – La mort du petit cheval – Cri de la chouette

Cela faisait un petit moment que je voulais relire "Vipère au poing", principalement parce que je n'avais encore jamais lu ses deux suites (que je n'avais pas), mais aussi parce que je l'avais lu bien jeune et que je voulais le re-découvrir avec des yeux d'adulte. J'ai trouvé dans une boîte à livres une édition de France Loisirs de 1996 qui regroupe les trois romans, (j'en aurais presque sauté de joie !), l'occasion m'est enfin offerte de me replonger dans l'histoire de Jean Rezeau, dit Brasse-Bouillon, et de sa mère détestable, dite Folcoche.

« "Vipère au poing" retrace le combat impitoyable que livrent Jean et ses frères à Folcoche. Jean, que l'on suit de quatre à seize ans, n'est pas pour autant un enfant martyr. Il a beaucoup trop de combativité et il va faire ainsi l'apprentissage de la haine. »

Apprentissage de la haine, à défaut de l'amour qu'un fils devrait éprouver pour sa mère... Cette dernière, autoritaire, avare et perfide, ne manque pas d'imagination quand il s'agit de priver, brimer, punir ses fils. Brasse-Bouillon, que sa haine ne fera pas flancher, dont la haine envers sa génitrice grandit de jour en jour, développera un esprit aussi malin et fourbe que sa mère qui l'aidera à la contrer, à ne jamais abdiquer face à la femme qui l'a mis au monde. Lui-même le dit : c'est la guerre civile à La Belle Angerie, domaine qui appartient à la famille Rezeau depuis plusieurs générations. Avec un père soumis à sa femme et un petit frère qui n'hésite pas à trahir pour rentrer dans les bonnes grâces de sa mère, le combat est inégal. Pourtant, Brasse-Bouillon s'en sort bien, l'enfant ayant hérité de l'esprit calculateur de sa mère et lui ressemblant de plus en plus...

La haine, c'est le moteur de ce premier livre. Elle pullule à toutes les pages, elle formate le jeune garçon, qui se construit en s'appuyant sur elle. L'auteur use de mots forts à chaque fois que Jean l'exprime. Cette relation mère-fils est perturbante, terrible. Ils se livrent une bataille quelque peu épique, si sournoise, qu'on ne peut en rester indemne.

« Dans "La Mort du petit cheval", Jean, âgé de dix-huit ans, a coupé les ponts avec sa famille. Mais la tyrannie de Folcoche le poursuit toujours. Cependant, quelques femmes l'aideront à franchir le passage difficile de la haine à l'amour. Ainsi va-t-il découvrir le bonheur en même temps que la paternité. »

Nous retrouvons ici Jean en passe de devenir un adulte, qui sans ressources peine à s'en sortir, du moins au début, et dont la haine qu'il éprouve pour sa mère marque le moindre de ses choix, de ses décisions, de ses réflexions. Les femmes qu'il croise paient pour elle. Certaines pourtant l'aident, le soutiennent, lui offrent ce qu'il n'a jamais eu droit durant son enfance. Souvent irrespectueux envers elles, on le voit enfin et petit à petit évoluer dans le bon sens, grâce à l'amour mais aussi grâce à l'amitié et à la complicité qu'elles sont capables de lui donner. Ce roman dénonce les conséquences qu'une enfance sans amour maternel peut causer sur une vie d'adulte.

Souvent, Jean m'a exaspérée. Souvent, il m'a déçue également. Souvent, il montre qu'il est bien le fils de sa mère. Pourtant, on ne peut lui en tenir rigueur. Les termes "circonstances atténuantes" prennent tout leur sens. Et puis, il finit par mieux se comporter, par accepter d'aimer à son tour, sa future femme d'abord, puis son enfant. Folcoche est toujours là, et sera toujours là, il en prend conscience mais parvient mieux maintenant à le gérer. Il en est d'autant plus touchant.

« Dans "Cri de la chouette", nous retrouvons Jean vingt-cinq ans plus tard, veuf, remarié avec Bertille dont il élève la fille parmi ses propres enfants. Mais voilà que Folcoche fait irruption chez lui. Trahie, dépouillée par son fils préféré, elle offre la paix. Mais fidèle à sa nature profonde, elle sème bientôt la discorde et la méfiance... »

C'est le roman qui m'a le moins convaincue, en grande partie parce que je n'ai pas reconnu la personnalité des deux protagonistes principaux. J'ai trouvé Jean bien trop faible, trop influençable, trop éloigné de ce qu'il était auparavant, bien trop ramolli, je n'ai pas retrouvé sa combativité. Ce n'était pas lui, plus lui. Il en est de même pour Folcoche, qui d'avare est devenue plus que généreuse, et que l'amour envers sa petite-fille qui représente pourtant tout ce qu'elle exècre a été pour moi incompréhensible. Elle reste calculatrice, son adage n'a pas changé (diviser pour mieux régner), mais ça n'a pas suffi pour la rendre cohérente à ce qu'elle est réellement. Pourtant, l'intrigue et les thèmes abordés sont captivants (relations familiales dissonantes, héritage et patrimoine familiaux, vie de famille). Je l'ai lu aussi vite que les deux précédents, l'auteur continuant de décortiquer l'âme et la psychologie de ses personnages avec apreté.

Dans l'ensemble, malgré un dernier tome légèrement décevant, j'ai apprécié ma lecture. J'ai aimé la façon dont l'auteur amène les choses, les décrit. Il a une très belle plume, riche et travaillée. J'ai aimé la narration à la première personne, nous permettant d'être au près de ce que ressent Brasse-Bouillon, nous permettant de ressentir toute la haine et le mépris qu'il a envers sa mère, nous permettant de comprendre ses réactions et comportements. Malgré tout, son histoire n'est pas difficile à lire, car je n'ai pas perçu Jean comme une victime (il en est pourtant bien une, car maltraitrance aussi bien physique que psychologique a bien lieu). Tout vient de la combativité et de la haine qui font de lui toute sa force, sa niaque, sa détermination. C'est terrible, parfois douloureux oui, amer, poignant, mais jamais Jean ne tombe dans le mélodramatique, la plainte ou la mélancolie. La lecture se veut facile, autant que percutante et puissante.

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Commentaire ajouté par Shanen 2023-11-04T17:56:58+01:00
Vipère au poing

Vipère au poing est un classique à part entière. Hervé Bazin raconte ici dans un style violent et percutant (à l'image de son enfance terrible) cette période de sa vie passée sous l'autorité de sa mère, Folcoche, cette femme tyrannique, sadique, tortionnaire qui n'a de mère que le nom. Entre eux deux, c'est une rivalité sans fin, une haine de tous les instants mais aussi une admiration réciproque. Car Jean, alias Brasse-Bouillon, est le digne fils de sa mère : ne reconnait-il pas lui-même partager les mêmes qualités et défauts ? Décidé à ne pas se laisser faire, notre narrateur haut comme trois pommes part a déclaré la guerre à sa mère.

Je me suis surprise à admirer et en même temps à détester ce jeune garçon : tantôt ingénieux et hilarant dans sa croisade contre Folcoche, il se révèle aussi méprisant et méprisable, de par sa misogynie, acquise au contact de cette dernière. Mais comment pouvait-il en être autrement ? Le narrateur n'est que le résultat d'une éducation où l'amour est remplacé par la haine. Difficile de ne pas le comprendre et de ne pas vouloir scander avec lui V.F ! Vengeance à Folcoche !

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Commentaire ajouté par La_cath_a_strophes 2024-01-23T08:22:42+01:00
Au nom du Fils

Aujourd’hui je vous invite à pousser la porte d’un foyer peu ordinaire ! Mais d’abord, voici Daniel, jeune homme élevé dans les jupons de sa maman et qui lui voue un amour sans bornes. Alors quand maman voit d’un mauvais œil l’union de son fils avec une « boiteuse », Daniel renonce. Il va plutôt épouser Gisèle qui à l’heur de plaire à la belle-mère… Et puis c’est pratique, elle habite en face, il n’y a qu’à traverser la rue.

Seulement Gisèle s’ennuie ; bien sûr, avec la naissance des jumeaux elle a de l’occupation, mais bien vite ça ne suffit plus, alors elle finit par reprendre le travail pour fuir ce foyer monotone. Quand Daniel est mobilisé et sans permission, il apprend avec étonnement qu’il va être papa, et lorsque Gisèle met au monde un petit garçon, Bruno, il n’a plus aucun doute ! Fait prisonnier, il rentrera quatre ans plus tard, dans son foyer qui ne sera plus jamais le même, parce que Gisèle est décédée dans un bombardement.

C’est Laure, la jeune sœur dévouée de la défunte qui va désormais s’occuper du foyer de Daniel ; un homme toujours aussi terne. Mais bizarrement, le soleil qui va illuminer sa vie sera Bruno, alors qu’il sait qu’il n’en est pas le père biologique ; et il va passer sa vie à se faire aimer de cet enfant qu’il adore !

Voici un très beau roman sur la paternité ! Les sentiments ne se commandent pas, Daniel aime ses jumeaux, oui, mais pas autant que Bruno, et il s’en rend compte ! Est-ce qu’il ne veut pas que l’enfant s’aperçoive qu’il n’est pas le père ? Est-ce qu’il en fait plus pour qu’on ne l’accuse pas de privilégier les deux autres qui sont de son sang ? Même pas, c’est plutôt un amour viscéral qu’il ne s’explique pas et il devra lutter pour que cet amour ne désavantage pas les autres et ne pèse pas trop sur les épaules de Bruno.

Bref, un très beau roman sur la paternité et l’amour sous toutes ses formes. Certes il y a très peu d’action, mais le côté philosophique est magnifiquement traité et le tout est vraiment prenant !

À lire confortablement installé(e) les pieds dans des pantoufles, avec un plaid sur les genoux, en dégustant une tarte amandine aux pommes accompagnée d’un verre de cidre (ou de jus de pommes). Bonne lecture !

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Commentaire ajouté par Im-a-Sassenach 2024-02-21T10:43:44+01:00
Vipère au poing

Un livre extrêmement dur à lire mais aussi touchant et inspirant de par la volonté farouche de l'auteur/personnage principal à ne pas se laisser écraser par sa vipère de mère. Ou quand l'humour et l'espoir prennent le pas sur la terreur !

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On parle de Hervé Bazin ici :

Les plus belles couvertures de livres
2015-02-09T18:25:47+01:00

Dédicaces de Hervé Bazin
et autres évènements

Aucun évènement prévu

Editeurs

LGF - Le Livre de Poche : 28 livres

Grasset : 16 livres

Seuil : 9 livres

France Loisirs : 3 livres

Le Livre de Poche : 1 livre

Malesherbes : 1 livre

Hatier : 1 livre

Odège : 1 livre

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