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Toutes les séries de Hervé Drévillon

41 livres
144 lecteurs

PHILIPPE LE BEL

(1268-1314)

Philippe IV de France, dit Philippe le Bel, fils de Philippe III de France et de sa première épouse Isabelle d’Aragon, est roi de France de 1285 à 1314. Derrière la légende noire du procès des Templiers et des rois maudits se cache un souverain silencieux, secret et éminemment politique. Et les « affaires » qui émaillent cette époque suscitent les questions : Pourquoi s’en prendre au Temple ? Pourquoi ces guerres en Flandre ? Pourquoi ce conflit avec le Pape ? De ces presque 30 ans de règne émerge finalement une volonté constante et tendue vers un but unique : la grandeur du royaume de France !

13 livres
87 lecteurs

L’histoire a longtemps juxtaposé des images simples pour définir les quatre siècles écoulés de 481 à 888 : aux Mérovingiens – à l’exception de Clovis, sanguinaires, incultes et incapables, succédaient des Carolingiens glorieux, conquérants et propagateurs actifs de la foi chrétienne. Les recherches des dernières décennies, fondées sur une réévaluation des sources écrites et sur les progrès de l’archéologie, ont libéré cette période du carcan des idées reçues. Ce livre, en forme de bilan, dresse des perspectives neuves. Il montre que l’Antiquité tardive se prolonge jusque vers 600 et que « les grandes invasions », comme « la barbarisation de l’Occident » appartiennent au registre des concepts arbitraires. Au viie siècle, commence effectivement le Moyen Âge. Alors, débute une croissance appelée à se développer jusque vers 1250 : elle fait glisser le centre de gravité de l’espace français (et européen) vers le nord-ouest. Parallèlement, le christianisme achève de devenir totalement coextensif à la société.

Forts de ce contexte, mais plus encore de la dynamique de leurs conquêtes, les premiers Carolingiens rassemblent sous leur sceptre presque toute l’Europe occidentale. Cette construction brillante marque pour toujours les mémoires. Cependant, elle s’avère d’une extrême fragilité : en effet, les conditions concrètes d’un monde avant tout rural restreignent la puissance effective à une échelle territoriale étroite et réduisent le pouvoir central à une collaboration obligée avec les aristocraties locales. Quand apparaît le nom de « Francie », il recouvre une mosaïque de communautés régionales très diverses.

Ainsi, les auteurs de cet ouvrage ramènent-ils les faits aux réalités de l’époque, rejetant les anachronismes et les outrances – négatives ou positives. Ils mettent en scène une société étrangère à celle d’aujourd’hui par ses hiérarchies, ses caractères anthropologiques et ses institutions, mais à laquelle la culture et le légendaire des Français doivent beaucoup. Ils appuient leur exposé sur des textes et des cartes et sur une iconographie abondante, qui donnent à voir et à comprendre. Cette histoire renouvelée possède un attrait majeur : au-delà des représentations traditionnelles, elle s’efforce d’atteindre le réel.

108 livres
24 lecteurs

Comment un petit militaire corse a-t-il pu devenir Napoléon Ier, empereur des Français de 1804 à 1815 ? Général, consul puis empereur, cet enfant de l’Ancien ­Régime, élevé dans la République, fut un réformateur pressé, fondateur de l’Etat moderne autant que génie militaire qui domina, un temps, les monarchies européennes.

(Source : Le Monde)

2 livres
1 lecteurs
4 livres

Explorer la diversité des pratiques guerrières sur tous les continents depuis la préhistoire jusqu'à nos jours, telle est l'ambition des Mondes en guerre. Dès l'Antiquité, la formation d'empires alimenta un vaste processus de confrontations et d'échanges militaires. Avant l'ère des Grandes Découvertes, qui déclencha l'intégration de tous les continents dans un espace unifié, les empires perse, chinois ou romain avaient déjà les dimensions d'un monde. Dans les sociétés prémodernes, la guerre était profondément enracinée dans les structures de la société, représentant plutôt la norme. Pour mieux le comprendre, ce tome I s'ouvre sur les premières traces de guerre entre groupes humaines, se prolonge par l'étude des mondes méditerranéens, chinois et indiens, pour s'achever sur les conflits médiévaux, de la guerre de Cent Ans à l'expansion mongole, en passant par les conquêtes de l'Islam. Ainsi, à travers l'histoire mondiale de la guerre se dessine une histoire guerrière du monde, de la préhistoire au Moyen Âge.

Tous les livres de Hervé Drévillon

Médecin, astrologue, prophète, poète, érudit : il fallait que Nostradamus fût tout cela à la fois pour garder, près de cinq cents ans durant, une telle place au cœur des interrogations sur l'avenir du monde. Écrites au XVIe siècle, ses Prophéties expriment bien les angoisses et les maux d'une époque : la peur des guerres, des luttes religieuses, des épidémies, des catastrophes naturelles. Tous fléaux dont l'éternel retour marque autant notre époque que ces siècles passés. Mais les Prophéties délivrent aussi une philosophie de l'histoire qui permet de déceler un ordre supérieur dans l'écume des jours et le chaos apparent des événements. C'est à cette démonstration que s'attachent Hervé Drévillon et Pierre Lagrange. " Nostradamus l'avait prédit... " : cette petite phrase transforme la contingence en nécessité et atténue le malheur par la consolation de la fatalité.

Qu'on les réduise à d'abstraites stratégies ou qu'on les attribue à l'incurable cruauté des hommes, les batailles n'en ont pas moins façonné l'histoire de France. On en retient volontiers les triomphes et l'évidence d'une nation toujours égale à elle-même, au risque d'ignorer les incertitudes et les souffrances de ceux qui en furent les acteurs. L éventualité de la défaite ne confère-t-elle pas tout son prix à la victoire, et la tyrannie de la peur toute sa valeur au courage ? Avec l'intensité dramatique qui les caractérise, ces instants de guerre donnent à comprendre le réseau des structures sociales, culturelles et politiques qui parcourent les armées et, au-delà, le royaume, l'empire ou la république. Toutes les batailles furent une réinvention de la France, une brutale soumission des mythes à l'épreuve du feu, depuis le temps où l'âme de la guerre résidait dans la chevalerie jusqu'à la constitution d'une armée de la nation. Cette succession de violentes convulsions forme une histoire plus qu'un destin, une histoire de chair et de papier, d'encre et de sang.

On ne retient de Louis XIV que Versailles, la Cour selon Saint-Simon, les maîtresses, ou, dans la légende noire, les lettres de cachet, la persécution des protestants et la misère des peuples. C’est négliger le phénomène essentiel qui insuffle le règne personnel de Louis le Grand : de 1661 à 1715, la France fut presque continûment sur le pied de guerre. Ce ne fut pas une guerre en dentelles, mais une succession de sièges harassants, de marches et contremarches épuisants, de batailles sanglantes. L’effort de mobilisation fut immense : un million d’hommes et vingt mille officiers répondirent à l’appel du souverain. La conscription n’aurait pu fournir tous les soldats et, quant aux officiers, le ban et l’arrière-ban, héritage médiéval, n’étaient plus qu’un vague souvenir. Mobilisant des sources diverses (mémoires, traités, correspondances, états de services, etc.), Hervé Drévillon jette un regard inédit sur l’armée de Condé, de Turenne, de D’Artagnan, de Villars, retrace ici les engagements, les combats et les valeurs des officiers de Louis XIV. La noblesse française a manifesté un attrait constant pour le métier des armes. Les officiers n’étaient pas de « petits marquis » allant passer une saison à la guerre, échangeant les plaisirs de Versailles pour la satisfaction de leurs pulsions meurtrières. Ils s’engageaient durablement dans une véritable carrière. L’ambition ou le désir d’ascension sociale ne saurait l’expliquer : de nombreuses contraintes réglementaires pesaient sur l’avancement, il fallait acheter sa charge et entretenir la troupe. L’endettement, voire la ruine, a sanctionné plus d’une carrière d’officier. C’est bien l’honneur qui poussait au service du roi : non pas un code éthéré, mais un ensemble complexe de gestes, d’attitudes et de discours où convergeaient les valeurs nobiliaires et une méritocratie naissante. Cette étude fondamentale met à mal l’image classique de l’absolutisme, celle d’une noblesse esclave, prisonnière de la cage dorée de Versailles, tandis qu’au dessous souffrent les humbles. Louis XIV a certes domestiqué d’Artagnan, il ne l’a pas asservi. La noblesse française s’est volontairement coulée dans un moule, elle n’a pas dérogé à l’honneur. Elle s’est disciplinée parce que le fonctionnement de la machine militaire l’exigeait. Et en créant la figure de l’officier professionnel, elle a inventé l’armée moderne. Mais, au-delà, elle préfigure les règles de l’avancement, le respect de la hiérarchie, la primauté de l’obéissance sur le résultat, l’éthique du service, le culte de l’élite. Toutes notions qui imprègnent notre conception de l’État et les valeurs de nos modernes aristocraties

Le 11 novembre 1920, Auguste Thin dépose un bouquet d'oeillets sur l'un des cercueils de ses camarades morts au combat. Il vient de choisir le Soldat inconnu, qui sera inhumé sous l'Arc de triomphe. Des chevauchées héroïques aux hécatombes de 1914-1918, de la Renaissance aux campagnes napoléoniennes, la guerre, qui met aux prises des armées, n'en reste pas moins une affaire d'individus. Chacun y reçoit en partage l'espoir de la gloire individuelle et l'humiliation de n'être qu'un numéro de matricule.

Hervé Drévillon retrace cette histoire de la guerre vécue à hauteur d'homme, et s'interroge sur ce qui fait une armée : le sacrifice de soi ? L'obéissance aveugle à la discipline ? Ou bien au contraire le consentement libre, l'honneur défendu et la dignité proclamée ? Sujet du roi ou citoyen de la République, pris dans l'ordre de la guerre qui exige sa soumission, jamais le soldat ne renonce à ses droits d'individu, jamais il n'abdique sa liberté.

Grâce à une étude d’ensemble du duel et de l’escrime, enracinés dans leur univers, matériel et social, cet ouvrage montre qu’entre le XVIe siècle et le XVIIe, l’épée est un « objet total » : matériel, métaphorique, civil, militaire, civil, ludique, courtois, meurtrier. Mais surtout, au travers du paradigme de l’épée s’esquisse une histoire nouvelle de la violence irréductible durant la période moderne, violence élitaire et constitutive d’une identité sociale des groupes dominants, d’autant plus inquiétante que les duels nobles préparent les rencontres bourgeoises du XIXe siècle. Quatre cents ans seront nécessaires pour ramener à la raison les jeunes hommes violents…

Grandeur et faiblesses d'un roi absolu

Après avoir triomphé de ses ennemis intérieurs et extérieurs, Louis XIV prend seul en mains les rênes du pouvoir à la mort de Mazarin, en 1661. Dès lors, selon Voltaire, « il n'y avait plus en France qu'un maître et des sujets ». Jamais, en effet, le royaume n'avait été à ce point dépendant de la volonté, des goûts et des croyances du souverain. Ce face-à-face entre Louis XIV et vingt millions de Français ne se limita pas à une relation de domination : le théâtre social et politique mobilisait une foule de sentiments et d'intérêts.Hervé Drévillon nous invite à explorer en profondeur toute la richesse de l'histoire d'un royaume confronté à la grandeur et aux faiblesses d'un roi absolu.Une partie de cet ouvrage reprend des chapitres parus dans Les Rois absolus, 1629-1715, collection « Histoire de France », Belin, 2011.

Le grand atelier de l'histoire de France met en valeur une histoire en construction, une histoire problème, qui interroge et qui s'interroge, afin de mieux comprendre notre présent.

Le grand atelier de l'histoire de France offre les « clés » d'une recherche plurielle, diverse, inventive, qui a totalement renouvelé notre connaissance du passé.

Les sources. À partir de quels documents travaille l'historien ? Comment les exploite-t-il ? Les sources ici concernent toutes les traces laissées par l'homme et exploitables par le chercheur : les données de l'archéologie, les textes, les images, les objets, les témoignages dans le cadre d'une enquête orale...

L'historiographie. Comment, siècle après siècle, les historiens ont-ils analysé le passé ? De Clovis à nos jours, de Grégoire de Tours à Jacques Le Goff, chaque époque n'a cessé d'enquêter, de chercher à comprendre le passé. Une place centrale est accordée ici aux importantes thèses qui ont renouvelé, depuis quarante ans, notre connaissance de l'histoire de France.

Les controverses et les enjeux. L'histoire est un perpétuel questionnement : sur les hommes, sur les événements, sur la politique, sur les cultures, sur les croyances. L'histoire n'est pas un processus achevé mais une « invention » permanente, en relation avec les interrogations vives du présent : violences, guerres, crises... Une importance particulière est accordée ici aux directions nouvelles d'une recherche en devenir.

Le grand atelier de l'histoire invite ainsi chaque lecteur à partager les « secrets de fabrication » d'une science humaine effervescente. Car le passé est un laboratoire d expériences et d'hypothèses : il révèle une France « décrispée », sans prédestination « nationale », sans « vérité » préétablie. Un vaste terrain d'études et d'expérimentations, ouvert aux analyses et aux débats les plus divers et les plus féconds.

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