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Hervé Le Corre

Auteur

159 lecteurs

Activité et points forts

Thèmes principaux

ajouté par Lilou 2009-09-20T20:50:25+02:00

Biographie

Hervé Le Corre est né en 1955 à Bordeaux, dans le quartier de Bacalan. Lecteur passionné, il commence à écrire à l’âge de trente ans. Il a choisi le roman policier pour s’exprimer, genre qu’il considère comme de la littérature à part entière. Il entre dans la collection Série noire en 1990 par la grande porte avec la Douleur des morts, son premier roman noir. Suivront : Du sable dans la bouche et les Effarés. Dans ces romans qui se déroulent en Aquitaine, Hervé Le Corre révèle un envers du décor particulièrement noir du monde qui l’entoure. Professeur de lettres, il enseigne actuellement dans un collège de la banlieue bordelaise (à Bègles). Il collabore, depuis sa création, à la revue Le Passant Ordinaire. L’Homme aux lèvres de saphir a été couronné par le Grand prix du roman noir du festival de Cognac.

Hervé Le Corre a obtenu le prix Mystère de la Critique 2005 pour L'Homme aux lèvres de saphir publié chez Rivages.

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Note moyenne : 6.78/10
Nombre d'évaluations : 83

0 Citations 57 Commentaires sur ses livres

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de Hervé Le Corre

Sortie France/Français : 2024-01-10

Les derniers commentaires sur ses livres

Commentaire ajouté par laurentequille 2023-04-29T17:08:38+02:00
Dans l'ombre du brasier

une page d'histoire assez méconnue racontée avec lyrisme et un suspens qui tient en haleine avec des personnages (héros) très attachants ,a dévorer sans retenue

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Commentaire ajouté par laurentequille 2023-11-01T16:12:53+01:00
Après la guerre

excellent, les horreurs de la guerre et de l'après guerre avec tous les personnages attachants ,truands ,politicards, et pauvres gens , avec malheureusement une fin un peu prévisible

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Commentaire ajouté par Juliette-68 2023-11-19T16:24:16+01:00
Traverser la nuit

Voilà un roman bien noir. L’auteur brille par la description de la psychologie des personnages. Tout y est.

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Commentaire ajouté par Matatoune 2024-01-11T16:00:23+01:00
Qui après nous vivrez

Que la découverte de ce roman fut difficile ! Mais ça, Hervé Le Corre devait s’en douter en proposant ce début si pessimiste dans Qui après nous vivrez. Cette dystopie, qui se situe au milieu de notre XXIème siècle, raconte le monde d’après, après le point critique écologique, par le récit de trois générations de femmes qui parcourt le siècle sous différentes époques. Rapidement, j’ai retrouvé la patte sociale de l’écrivain et le roman devint une ode à la solidarité sur fond de ténèbres. Lumineux !

Brins d’histoire

Celle qui ouvre le roman noir est la génération la plus proche de nous. Au cours de cette année 2032, le seuil irréversible de l’environnement est franchi ! Martin et Rebecca sont des jeunes parents ébahis devant Alice, encore tout bébé, qui s’apprête à grandir dans un monde incertain. D’ailleurs la nuit précédente, une nouvelle panne d’électricité est apparue pendant le couvre-feu et n’a toujours pas été réparée lorsque Martin rejoint son travail.

Pourtant, tous les jours, Martin accueille les allocataires et distribue, selon son évaluation, les aides gouvernementales. Rebecca est dessinatrice et illustratrice et profite de ce qu’Alice soit enfin apaisée pour finir le dernier chapitre à rendre le soir même. Seulement un soir, Martin ne rentre pas…

Raconter comme cela, rien de dérangeant ! Seulement Hervé Le Corre décrit par le menu ce nouveau monde, tellement proche de nous. Les policiers ont le droit de tirer sans sommation. La chaleur y est intenable. Les magasins sont pillés. Une épidémie fait encore plus de morts que celle que nous avons connue (200 ou 300 millions de morts en 2 ans). La natalité mondiale est au plus bas. Etc. Ainsi, la naissance de la petite Alice est un défi dans ce monde incertain.

Se présente une autre génération. Dans une forêt calcinée, près d’un village abandonné, Léo découvre une maison restée intacte, ce qui lui rappelle des souvenirs. Nour, la mère de Clara, que Marceau a trouvée, toutes les deux blotties dans un fossé, collées à un mort. Marceau, le père de Léo, est blessé par des hordes incendiaires qui ont attaqué la maison. Ils vont fuir pour trouver un ailleurs pour vivre !

Puis, Hervé Le Corre raconte la génération d’Alice adulte. Et ainsi de suite, l’écrivain reprend certains de ses récits, les laisse, les enchevêtre et au lecteur de s’y débrouiller !

Une lumière dans les ténèbres

Ce sont les femmes qui pour Hervé Le Corre assurent le fil conducteur de son récit. Des portraits de femmes courageuses, combatives et déterminées qui se chargent de la survie de leur clan. De plus, elles témoignent de la transmission pour ne pas oublier le monde d’avant ou celui que chacun a envie de retrouver, ou de trouver simplement.

Seulement, Qui après nous vivrez est un puzzle où il faut retrouver les liens. L’écrivain embrouille avec plaisir, déstabilise et pousse vers l’overdose, créant un climat littéraire sombre et désespérant. Comme une punition de ne pas avoir incité plus fortement au changement alors qu’il était encore temps !

Évidemment, les oppressions sont de retour dans ce récit avec la fin de la démocratie et le retour des dictatures. Et Hervé Le Corre met en situation les plus terribles comme toutes les violences que les femmes subissent. Néanmoins, de génération en génération, il leur fait porter l’espoir d’une ode poétique, comme le titre le suggère :

Frères humains qui après nous vivez,

N’ayez les cœurs contre nous endurcis,

Car, se pitié de nous pauvres avez,

Dieu en aura plus tôt de vous mercis…

En conclusion,

Hervé le Corre, en choisissant cet extrait du poète François Villon, illustre une traversée du futur, évoquant un espoir porté par les femmes malgré le chaos, les violences et l’oppression, tel un retour à un Moyen-Âge sombre, mais dans un autre temps.

Et, la narration d’Hervé Le Corre, malgré ce roman du futur obscur, redevient sociale et politique, comme elle a toujours été dans tous ses romans. Car, “Qui après nous” est un hymne à la puissance du collectif, à la solidarité et à la fraternité qui nous permettent de résister et de nous unir contre l’horreur. C’est même la seule façon pour ne pas être atteint par la violence ravageuse, par la destruction massive et par l’oppression aveugle.

Car dans toutes les époques racontées, ce qui permet à chaque groupe de durer et d’enfanter pour permettre la survie de l’espèce, c’est ce qui fonde notre profonde singularité, notre humanité. Alors, dans des ténèbres, Hervé Le Corre ressuscite la lumière qui brûle en nous, la chaleur qui nous relie et la solidarité qui assurera notre survie. Un excellent roman noir et social, à la fois !

Chronique illustrée ici https://vagabondageautourdesoi.com/2024/01/09/herve-le-corre-qui-apres-nous-vivrez/

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Commentaire ajouté par ladisabelle 2024-02-09T20:26:08+01:00
Qui après nous vivrez

Un livre bouleversant, perturbant.. . Dans 25 ans, notre monde s'écroule. Des femmes et d'autres vont devoir se battre , survivre dans un monde qui ne renaît pas de ses cendres. Il a fallu que je fasse des pauses durant ma lecture car ce récit est dur, terrifiant par bien des aspects. Il faut tout faire pour que cela reste une fiction...

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Commentaire ajouté par Waterlyly 2024-02-11T05:18:57+01:00
Qui après nous vivrez

Dans un monde où plus rien n’est comme avant, dans lequel les épidémies font rage et les coupures d’électricité sont fréquentes, Rebecca vient de donner naissance à Alice. Une lueur d’espoir demeure donc dans le quotidien de cette jeune femme. Pourtant, un jour, l’électricité revient à manquer, mais cette fois, le courant ne reviendra pas. Martin, son compagnon, ne rentre pas à la maison. Il est porté disparu. Dès lors, Rebecca doit faire les bons choix afin de survivre et de prendre soin du mieux qu’elle le peut de sa petite fille.

Quel roman. J’en ressors bluffée. Si l’histoire de Rebecca prendra une place importante dans l’intrigue, c’est également l’histoire de toute une lignée de femmes que nous allons suivre dans ce récit, et je peux vous garantir que les émotions seront très présentes tout au fil des pages.

L’auteur propose ici une dystopie glaçante et il décrit tout cela avec beaucoup de réalisme et de détails. Je me suis attachée aux personnages, j’ai souvent craint pour eux, et j’ai beaucoup aimé suivre les changements d’époque, dans lesquels j’ai retrouvé à chaque fois des personnages différents.

Quelle densité, que ce soit au niveau de l’écriture comme des personnages, qui sont remarquablement esquissés, jamais statiques, et qui auront une véritable évolution tout au fil des pages.

La plume de l’auteur est somptueuse. Avec des descriptions très précises, il réussit à retranscrire les divers éléments qui constituent cette dystopie. Ce roman est très dense et les chapitres sont assez longs, mais une fois commencée la lecture, il devient très difficile de lâcher ce roman.

Une dystopie glaçante, servie par une plume d’une grande densité et des personnages remarquablement esquissés. À découvrir.

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Commentaire ajouté par Christele-1 2024-02-22T13:50:03+01:00
Qui après nous vivrez

Tout commence par la grande panne, celle qui a suivi les multiples pandémies au XXI siècle. Un jeune couple Rebecca et Martin viennent de mettre au monde une petite fille Alice. Dans ce monde en décomposition Rebecca se retrouve seule a devoir quitter la ville en prise aux émeutes et aux violences grandissantes. Les années passent, la peur reste, elle accompagne toute l'écriture de ce roman, peur de mourir, peur de manquer, peur des autres. La peur contamine tout, rendant les uns vulnérables et les autres brutaux et violents. Un roman post apocalyptique d'une noirceur à toute épreuve. Je ne conseille pas sa lecture aux personnes déprimées. Personnellement c'est un énorme coup de cœur pour ce roman qui vous met le cœur et la tête à l'envers. C'est une projection de ce qui pourrait bien nous attendre si nous poursuivons sur notre lancée sans rien remettre en question. C'est réaliste, cruel, cynique et tellement vraisemblable. L'auteur met en lumière nos peurs les plus profondes avec toujours comme éclairage salvateur, les femmes. Nous allons ainsi suivre trois générations féminines, de mère en fille, les pères sont souvent absents physiquement mais restent dans le cœur et la mémoire de ses femmes. La femme tient une place importante de cette symbolique de vie, elle est la mère, la femme, l'amante, la guérisseuse, la force envers et contre tout. On suit avec effarement, les soubresauts de cette humanité dans toutes ses dérives. Une galerie de personnages attachante dont la destiné est incertaine mais avec chevillée au corps la nécessite de survie. Une belle écriture qui sait montrer avec poésie la beauté du monde et à contrario trouver les mots pour décrire l’innommable et le retour de l'obscurantisme. Un roman puissant qui pourrait bien éveiller les consciences et provoquer la réflexion. Bonne lecture.

http://latelierdelitote.canalblog.com/archives/2024/02/22/40127522.html

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Commentaire ajouté par bloodymarie 2024-04-13T16:38:10+02:00
L'Éternité (Suite Et Fin)

Déception. Nul doute que l'auteur sache écrire mais j'ai eu l'impression qu'il était passé à coté de son sujet, pourtant intéressant. L'intention est là, l'imagination aussi, l'omniprésence de la notion de solitude bien décrite, mais au final j'ai eu une sensation d'inabouti ( quel paradoxe !) et j'ai trouvé la fluidité lecture gâchée par des phrases souvent trop pompeuses .

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Commentaire ajouté par Biquet 2024-04-20T11:40:35+02:00
Qui après nous vivrez

Ce livre dont le titre est un quasi incipit de la « Ballade des Pendus » de François Villon ne pouvait qu’attirer mon attention. Quasi incipit parce que premier ver complet est « Frères humains, qui après nous vivez, » L’auteur y substitue donc un futur au présent.

Paru en 2024, il me parait fortement influencé par le roman apocalyptique « l’année du lion » de Deon Myers dont la version française date de 2017. Je retrouve également une inspiration de « Station Eleven » de Emily St John Mandel de 2016. Je n’exclus pas à l’influence de ces deux livres celle de « Le maître du haut-château » de Philip K. Dick.

Outre l’apocalypse nucléaire, ce livre traite de tout : syncrétisme religieux, avec une connotation très anti-jihadiste quant au foulard et la polygamie, misogynie, sévices sexuels, épidémie, réchauffement climatique, guerre.

Exceptés certains personnages pivots, d’autres ne font des apparitions brèves qui se terminent souvent tragiquement.

En filigrane, le jeu semble être de retrouver les filiations. Si on ne note pas les noms des protagonistes la confusion va s’installer. Pour ceux qui commence ce livre Rebecca est la mère d’Alice alias Selma. Elle l’a conçue avec Martin retrouvé plus tard sous le sobriquet de Lewis. Alice aura Nour suite à une relation avec un certain Abdel. Cette Nour enfantera de Clara après une relation avec feu Gabriel. Quant à Milan et son fils Yanis ou la paire Marianne et fils, Joseph, ils n’y apparaissent que pour se suicider.

Marceau et son fils Leo interviennent parce qu’ils accompagnent Nour et Clara dans leur périple vers Paris. La chronologie peu respectée ne facilite pas la compréhension globale du récit. Donc le seul moyen pour parvenir à comprendre le scénario est de suivre ces personnages pivots.

Beaucoup de phrases sont elliptiques, tronquées incompréhensibles.

Quelle tristesse, quelle noirceur ! Ce n’est pas le roman à conseiller en période de déprime. Si vous avez déjà le moral en berne, pour sur vous ressortirez de cette lecture encore plus dépité et avec des idées de suicide.

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Commentaire ajouté par lilysue14 2024-04-22T07:32:36+02:00
Qui après nous vivrez

2048 un soir, tout s'éteint dans un monde qui ne connaît plus que des pénuries, des crises, des pandémies. Les pannes de courant arrivent fréquemment mais cette fois-ci ça ne redémarre pas et le chaos s'installe. Rebecca et Martin vivent ce black-out avec leur bébé Alice.

2121, Nour, fille d'Alice et petite-fille de Rebecca, survit en ce monde. Elle aussi a eu une fille, Clara. Elles font route avec Marceau et Léo, père et fils.

Le roman s'ouvre sur Léo, 12 ans, vivant dans un futur post apocalyptique. Il est hanté par la mort de sa mère dont il est témoin à 6 ans. Chaque chapitre alterne au niveau chronologique avec des retours en arrière sur différentes temporalités. Cette particularité demande une certaine exigence pour suivre le fil de l'intrigue et s'imprégner du parcours de chaque personnage. Une fois que j'ai accepté de ne pas tout maîtriser et savoir le pourquoi du comment j'ai pu me plonger totalement dans ce roman d'une extrême noirceur.

L'auteur nous décrit un monde de désolation. Les ruines et les carcasses de voitures font parties du paysage. Les forêts et bois renferment des animaux cruels au sens propre comme au figuré. On ressent la crasse, la chaleur et la peur qui est le quotidien de nos protagonistes.

Le mot survie trouve ici tout son sens. Il est le fait d'un être vivant de se maintenir en vie malgré un risque accrue de mort. Chaque jour qui se lève est un combat pour sa vie, penser à "demain" est inconcevable.

Malgré la mort et les nombreux espoirs brisés qui traversent les générations, il y a de fugaces moments de contentement. Ce qui pourrait s'apparenter comme une errance sans fin ni but pour les 3 générations de femmes que l'on suit est en réalité une quête d'humanité à offrir à ses enfants, à ceux qui après eux vivront. Après avoir vécu tant de choses horribles, ces femmes ne se font pas d'illusions. Mais malgré tout elles n'ont jamais été totalement seules. L'humain a besoin de sociabilité pour rester sain et vivre.

Je me suis tout de suite attachée à Léo. Ce jeune adolescent est contemplatif. Il a un lien particulier et tendre avec la nature et les animaux. J'ai eu plus de mal avec les autres personnages au début. Puis au fur et à mesure et surtout dans la deuxième partie du roman on en apprend un peu plus sur eux, leur émotions.

Ce que j'ai aussi apprécié, c'est que ce ne sont pas des surhommes qui connaissent toutes les techniques de survie, d'agriculture, de médecine ou autres. Ils ont également leurs failles et ont dû puiser dans le pire en eux pour sauver leur vie et celles des siens. La force des femmes et leur détermination font plaisir à lire.

La fin ouverte m'a un peu frustré même si elle reste cohérente avec l'esprit du roman. L'auteur évoque plus qu'il ne décrit avec précision. Bon après je suis quasi certaine de l'interprétation à donner au dénouement au vue des mots employés.

J'avoue avoir eu le moral plombé par cette lecture. Le principe du roman post apocalyptique est de pousser à l'extrême ce qu'il pourrait arriver de pire. Mais c'est tellement réaliste par rapport à ce qu'on vit aujourd'hui que ça m'a bien fait cogiter et que j'ai eu parfois du mal à dormir sereinement. Un roman noir à découvrir.

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Dédicaces de Hervé Le Corre
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Editeurs

Rivages : 9 livres

Gallimard : 2 livres

Points : 2 livres

L'Atelier IN8 Editions : 1 livre

payot et rivages : 1 livre

Flammarion : 1 livre

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