Toutes les séries de Ilya Green
Une plage, un seau, une pelle et deux enfants qui jouent. Bulle et Bob creusent, patouillent, tapotent... Ils se disputent, un peu, s'amusent, beaucoup. Leurs plaisirs sont tout simples : laisser des traces dans le sable, s'échapper devant la mer qui monte, construire un château... Tel est le cadre estival de ce conte musical destiné aux plus petits. Natalie Tual raconte de sa voix acidulée cette délicieuse histoire et chante des petites chansons légères comme des bulles. Les mélodies sont enjouées, et les rythmes balancent, façon rumba... On y entend des percussions de galets, de sable ou d'eau. L'ambiance chaude et tendre de cette histoire est joliment mise en valeur par la création graphique, le trait naïf et les motifs joyeusement colorés d'Ilya Green.
Tous les livres de Ilya Green
Aujourd'hui, Olga propose de faire du jardinage grâce à quelques graines de salade qu'elle a trouvées dans sa poche. Personne n'aime tellement les salades, mais tout le monde adore s'amuser dans le potager... surtout Sophie !
Aujourd’hui, Olga a mis son tee-shirt de pouvoir, le tee-shirt STRONGBOY. Maintenant Olga peut commander tout le monde : ses copains, le chat, l’oiseau et même les fourmis !
Entre abus de pouvoir et besoin de s’affirmer, les enfants comme les parents trouveront là un petit traité d’humour et de philosophie.
Chez Achile, il y a du bruit et du désordre tout le temps, on ne peut même plus s'entendre penser. Quand il en a vraiment assez, le petit garçon aime se promener le long de la rivière verte et silencieuse, et retrouver Angelo, un drôle de bonhomme tout vert, qui exauce les voeux… Un album plein de poésie pour s'évader.
Petit Frère a trouvé un masque tout blanc qui lui permet de se transformer en l’animal de son choix. Il amuse beaucoup ses camarades mais ne sait pas s’arrêter à temps. Il vole des baisers, soulève les jupes des filles, cherche à commander et se fait peu à peu rejeter… L’histoire des métamorphoses d’un petit garçon qui se cherche entre séduction et colère.
Olga et ses amies ont décidé d’organiser un concours de beauté ! Jolies robes, petites couettes et petites étoiles exigées. Aussi, quand, Gabriel et le Chat demandent à participer, tout le monde est un peu embêté. Les garçons, ça peut pas être beau ! Entre les garçons et les filles, la guerre de beauté est déclarée ! Une fable astucieuse sur les diktats de la mode qui touchent les enfants dès le plus jeune âge.
Dans le décor d’un arbre aux feuilles multicolores, un bébé fraîchement sorti de son cocon part en quête d’un « nouvel endroit » où il se sentirait moins à l’étroit. En compagnie de son ami le chat, il passe d’une « maison » à l’autre : le tronc de la chouette trop petit, le terrier des loirs trop noir… Finalement, l’enfant, un peu fatigué, trouve une paire de bras qui le mènent « au plus beau des endroits (…) un endroit parfait pour lui et pour son chat ! ».
Quand on est Ti Poucet, il vaut toujours mieux se promener avec trois petits cailloux dans sa poche...
« Il me suivait partout. J’étais né avec lui. Je ne pouvais pas vivre sans lui. Il n’avait pas de nom. C’était juste Doudou. » Doudou, il est doux, réconfortant, rassurant mais jour après jour, il grossit, il grossit... Alors papa et maman décident que Doudou doit s’en aller. Mais qu’il est difficile de s’en séparer…
Quand Olga joue à la marchande, on trouve dans son magasin une chaussure rouge, une pomme neuve ou un peu mangée, des habits pour les poupées et on paye en cailloux. Mais bientôt il n’y a plus de cailloux ! Ana et le chat ne peuvent même pas jouer ! Ils ont alors une très bonne idée : ils vont monter un « pestacle » de cirque et faire payer les spectateurs pour gagner… des cailloux. Mais les événements ne se déroulent pas tout à fait comme ils l’avaient prévu.
L’était une fois une petite Bou qui livait dans la forest avec sa maïe et son païe. Un jour elle partit caminer dans la forest pour groupir des flores.
Il y a bien longtemps, dans une contrée lointaine, vivait une veuve avec ses deux filles. L'aînée se nommait O-Yuki, Neige, et la cadette 0-Hana, Fleur... Ainsi commence le premier de ces Dix petits contes à lire en compagnie, écrits au XIXe siècle par Iwaya Sazanami. Premier écrivain japonais à écrire spécifiquement pour la jeunesse, immensément populaire, il gagna le surnom d'Otogi no ojisan, " l'oncle aux contes merveilleux ". Alliant l'humour à une morale discrète, Sazanami met en scène des animaux, des éléments naturels ou des enfants joueurs, parfois cruels. Il mêle le fantastique et l'ordinaire dans la description d'un quotidien proche de l'imaginaire enfantin. C'est la première fois que Sazanami et ses petits contes à lire en compagnie sont traduits en français.
Savez-vous comment Lilo lit, lui qui ne sait pas lire ? Qui l'aide à descendre des arbres ? Comment il fabrique des bulles de silence ou collectionne les baisers ? 7 histoires pour voyager dans l'univers joyeux et secret de l'enfance.
« D’habitude, les filles, elles aiment le rose ; seulement moi, le rose, ça me sort par les yeux ! Et c’est pareil pour les princesses, les tralalas de princesses, les rubans et aussi les poupées. Mais quand en plus c’est rose, là, ça me sort par les trous de nez ! Maman dit que je suis un garçon manqué. »
Les propos vifs et vivifiants d’une petite fille qui refuse d’être enfermée dans des goûts qui ne sont pas les siens.
Affirmé, questionneur, drôle, le texte est égayé par des images qui font exploser les couleurs et qui donnent à l’héroïne une belle présence enfantine.
"Tous les enfants grandissent.
Tous, sauf un". Le romand de James Matthew Barrie adapté par Jean-Pierre Kerloc'h. Eric Pintus incarne avec force ce texte d'une poésie et d'une drôlerie incroyables. Le dialogue s'installe entre le récitant et le jazzman Charles Mingus, donnant vie à un Peter Pan impertinent et espiègle. Un fabuleux voyage au Pays de Neverland !
Olga se promenait sur le chemin. Un oiseau la suivait en espérant que, dans sa poche, elle ait du pain. Soudain, elle voit une marguerite.
Voilà, voilà… Monsieur Edgard et son canard, Maria Louette et sa grande chouette, sans oublier Victor Bator et son alligator... Un à un, comme au spectacle, tout le monde se présente au petit lecteur curieux et émerveillé, pour des instants de douce félicité. Ilya Green a construit un petit inventaire de personnages attachants en jouant avec les sonorités des prénoms, et les présente au lecteur à la manière d’un Monsieur Loyal. Les prénoms des enfants et les noms d’animaux riment et chantent aux oreilles du petit, tandis que se déploient des images aux couleurs éclatantes et des motifs tous plus jolis les uns que les autres. S’installe un véritable jeu avec une surprise à chaque page, jusqu’à la dernière qui interpelle le tout-petit et l’invite à applaudir des deux mains !
« Il y a seulement douze étoiles à l'Opéra, six hommes et six femmes. L'une d'elles est ma mère. »
La mère de Laurie est danseuse étoile. Laurie ne vit que pour cette mère " à part ", à la fois fascinante et fragile, qu'elle croit de son devoir de protéger. Lorsque sa maman lui apprend qu'elle est amoureuse, Laurie perd pied, incapable d'accepter ce qu'elle ressent comme une impardonnable trahison...
Une petite fille évoque son enfance douce et protégée auprès de sa maman, avant que celle-ci ne soit reprise par la terre… Commence alors pour l’enfant une odyssée à la recherche d’un autre monde, tout autour, plus grand, pour retrouver les mots et renaître à la vie, différemment, grâce à une rencontre et au dessin.
Toute la richesse de l’univers graphique d’Ilya Green, dans une palette de couleurs douces, pour traiter d’un sujet émouvant : la disparition d’un être cher, la séparation, le souvenir. Un très bel écrin pour abriter toute la sensibilité de l’artiste.
