Commentaires sur ses livres

Globalement assez déçu de ce dernier tome, la fin arrive trop vite et pas toujours convaincante au niveau des explications. Beaucoup de choses sont laissés en suspens (que deviennent les 2 autres fondations pendant que Trévize recherche la terre, etc..). Et l'explication du choix de Trévize par rapport au choix de Galaxia est assez bancal et soudain

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(nous ne sommes pas seuls dans la galaxie et mieux vaut être uni qu'isolé..)

J'ai eu beaucoup de mal à apprécier ce tome par rapport au 3 premiers.
Les 150 premières pages ne sont pas forcément très utiles au récit (Golan Trevize est un super amant, on a compris...).
Dans un second temps, la quête de la Terre est très intéressante, mais la fin est un peu abrupte et un virage à 180 avec le début de la saga.

Je suis donc assez mitigé sur cette saga qui peut totalement se scinder en deux tendances.

Cette histoire est centrée sur une histoire d'amour impossible puisqu'entre deux personnages issus d'époques différentes.
Il est parfois difficile de percevoir et de comprendre toutes les conséquences qu'ont l'action des personnages dans le temps sur la réalité elle même.
Toutefois, cet ouvrage reste globalement compréhensible (évitez tout de même de l'offrir à un enfant de moins de 15 ans.) et le scénario est original mêlant science fiction, amour et suspense.Personnellement, j'ai bien aimé ce livre qui aurait cependant gagné à être plus clair.

Fondation est une série qui a vraiment bien vieilli par rapport à d'autres romans de SF. Même si ce tome 2 est moins prenant que le premier volume, il reste agréable et captivant. La trame suit le scénario du premier. Il y a de belles surprises, des inattendus et aussi des choses un peu plus prévisibles dans cet ouvrage. Il me semble que le lecteur se doute assez facilement du rôle véritable tenu par un personnage qui est sensé dévoiler son jeu qu'à la toute fin du livre. En dehors de ça, Asimov reste fidèle à son sujet et son écriture assez épurée fait que cette série reste vraiment attractive et ne perd rien de son intérêt. Asimov ne se perd jamais dans des descriptions inutiles. Le décor ne fait pas désuet et l'univers d'Asimov reste très novateur. On s'aperçoit combien cet auteur fut l'inspirateur de nombreux de ses successeurs.

C'est une découverte et c'est un tome bien sympa mais pas pour moi, je passe. Ecouté en audio.

Voilà une manière très particulière d'aborder la question du temps et de notre relation au temps. Ce n'est pas exactement du voyage temporel, ce n'est pas non plus une question d'immortalité, c'est différent.... et passionnant.

Deuxième volet de cette saga, j'adhère encore plus que le premier, j'aime ce bousculement de l'histoire que je craignais cyclique.
J'adore l'antagoniste de cette histoire !

📕 Dans ce livre, Isaac Asimov nous invite à découvrir l’histoire politique et sociale de Rome de sa création par Romulus en -753 av. J-C jusqu’à sa transition vers l’Empire en -27 av. J-C par Octave.
📖 On découvre les différentes personnalités, telles que Jules César, Pompée, Cicéron (entre-autres) qui ont un rôle majeur dans la lutte pour le pouvoir, les réformes politique et sociale ; ainsi que les différents événements qui ont façonné toute cette période, de guerres de conflits.
📕Isaac Asimov nous présente un essai historique, pas de la Science-fiction mais de l’Histoire avec un grand H !
📖J’ai vraiment aimé ce livre. C’est une lecture passionnante, riche avec une écriture qui rend accessible cette période pleine d’événements de personnalités (que l’on retient plus ou moins) et de rebondissements.
Petit plus dans ce livre que j’ai apprécié, des illustrations bien faites qui accompagnent les différents chapitres pour visualiser l’évolution et les différents pays (les noms ne sont plus tous les mêmes de nos jours).

J'ai beaucoup aimé la saison 1 de la série Apple, je savais que l'adaptation était très différente du livre d'origine alors j'ai voulu essayer pour comparer. J'aime beaucoup la Fondation dans le livre, je peux comprendre que certains n'aient pas aimé son adaptation, j'y ai beaucoup aimé la politique. C'est ce que j'ai préféré dans la série, je n'ai pas du tout aimé la Fondation où se passent les intrigues d'action, alors que la politique est plutôt concentrée du côté de l'Empire, c'est pour ça que j'ai préféré cette partie de la série.

On commençait à supposer que quelque chose manquait qu'une force supplémentaire existait et faisait pencher la balance, notamment avec l'apparition de cet ennemi implacable. Quel dénouement !

Une deuxième partie, de nouveaux personnages qui existent dans la lignée de leurs ancêtres, héritiers d'une pensée et d'une détermination. L'empire étend son ombre au dessus de Terminus.

Comment aborder une saga qui s'étend sur des millénaires ? Asimov a pu trouver un fil qu'il a tiré au long de l'histoire de l'humanité dans sa conquète des étoiles. C'est pour moi un des plus grand space opéra qui soit.

C'est toujours assez amusant de voir comment on imaginait le futur dans le passé.
Les différentes nouvelles posent un certains nombre de questions très intéressantes.
Un peu long en terme de rythme, beaucoup d'échanges scientifiques qui peuvent perdre, mais l'histoire est très intéressante. À tester si ces éléments ne vous dérangent pas.

Ce n'est jamais évident d'indiquer la bonne liste car dans un recueil, il y a des nouvelles intéressantes, et d'autres moins.
Dans l'ensemble, elles sont plutôt bonnes avec une préférence pour "2430" et "Prenez donc une allumette".
C'est un auteur qui nous a quitté mais je prend toujours autant de plaisir à découvrir ces nouvelles.

Une magnifique fin de cycle. Des robots presques humains, voir plus humains que certains humains. Les prémisses de fondations sont bien présentes ou plutôt on reconnaît les raccords fait par 'Fondation et Empire', notamment la Loi Zéro. La belle clôture d'un chef d'œuvre de la science fiction.

De manière analogue au cycle de Fondation avec '' l' Aube '' et '' Prélude '', ou au cycle de Dune avec les œuvres de Brian Herbert, je ne me pencherais pas - ou du moins dans l'immédiat - sur '' Le Robot qui Rêvait '' ni '' Nous les Robots ''.