Commentaires sur ses livres

C'est un sujet délicat et intéressant qui n'est pas souvent abordé dans les romans.
J'ai trouvé que l'auteure traite ce sujet de façon superficielle en n'allant jamais jusqu'au bout des événements qu'elle relate.
Le déni de grossesse certes, mais le discours de Louise, l'adolescente, arrive tardivement et est finalement noyé dans les discours-points de vue de son entourage. Et finalement, elle n'en dit pas grand chose. On a un déni ./
Louise n'est pas particulièrement attachante, ni les personnages secondaires, à part Samuel, son camarade de classe, qui cherche à comprendre et à savoir.
Quant aux parents, ils ont également un discours dans le déni face à l'existence de l'enfant.
Quant au pourquoi du "comment" il est abordé en 2 pages à peine comme si c'était une broutille, un détail insignifiant !

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Louise a été violée, droguée avec du GHB.
Une incohérence dans ce roman : Louise n'a que quelques jours pour décider si elle renonce à garder l'enfant en accouchant sous X, et le bébé peut être ainsi adopté ; et le récit dure plusieurs semaines, et la décision arrive en fin de roman.
La fin est bâclée.
Je n'ai ressenti aucune émotion, c'est froid.

Une histoire riche en émotions qui n'a pas manqué de me faire pleurer...

Comme l'auteure l'a si bien écrit dans la dédicace de son roman faite à mon fils, c'est : "Une histoire de rivalités impitoyables ET d'amour, malgré tout."
Il est inimaginable de se dire que ce genre de relations se nouent encore de nos jours entre des parents et leurs enfants et il est encore plus frappant de voir que des parents puissent monter leurs propres enfants les uns contre les autres afin d'atteindre leur but.
A vous de voir si l'amour triomphera ou pas !

Encore un super tome d'Isabelle Pandazopoulos avec des thème fort comme l'échec scolaire, l'immigration et même le terrorisme.
On s'attache énormément à ces 4 jeunes et leur professeur préparant le concours d'eloquence.
Le discours final donne tout un sens au livre et à son titre et est très émouvant.
Encore une petite pépite de l'autrice !

Une véritable pépite que ce Roman d'Isabelle Pandazopoulos !
Je vais essayer de faire un avis sans trop Spoiler.
On suit la vie de 3 jeunes femmes pendant la période de l'après seconde Guerre Mondiale / Guerre Froide.
A travers ces 3 points du vue des jeunes filles on apprend les conditions de vie en France / Allemagne et en Grèce pendant cette époque.
J'ai fait Allemand LV1 et je peux vous dire que je n'étais pas au courant de tout cela.... La liste des victimes indiquées dans le livre m'a beaucoup retourné. J'ai également vécu 2 mois a Athènes et je n'étais pas au courant de la situation de la Grèce et de tout ce qu'ils ont eu à subir.
Nul doute qu'il y a une "patte" personnelle de l'autrice d'origine Grècque et vivant en France !
Il file en diamant direct tellement ce Roman m'aura marqué !

Je découvre un nouveau roman d'une de mes autrices préférées "Isabelle Pandazopoulos" cette fois-ci dans le genre du Polar.
Ce n'est pas un genre qu'elle a l'habitude d'écrire ni même que j'ai l'habitude de beaucoup lire.
Dans ce Roman on va s'attacher à Zakarya et tenter de savoir s'il est innocent ou non. Ce roman court se lit très vite et est très prenant.
Il explore des thèmes forts comme l'immigration, l'éducation dans les quartiers "pauvres", la drogue, la violence, la boxe, les violences familiales etc.
C'est vraiment une petite pépite à lire je le recommande !

Un personnage très puissant, une histoire bouleversante et une écriture magnifiques comme toujours avec Isabelle Pandazopoulos.
Je vous le recommande !

Encore un très bon Roman d Isabelle pandazopoulos il est court et se lit très rapidement en même temps il est très bon !
On est embarqué sur l histoire de ces 2 frères, la thématique familiale et les relation père / fils. Le côté sportif du tennis est très original surtout de le comparer à la scolarité. Vraiment un petit coup de coeur !

J'ai décidé de retenter l'aventure avec "Parler comme tu respires" d'Isabelle Pandazopoulos.
J'avais en effet abandonné ce livre il y a un an, je pense que ce n'était pas le bon moment pour moi. J'avoue que le thème ne m'attirait pas particulièrement, pourtant c'est très original, on ne voit pas souvent des romans parlant des personnes bègues, et je trouve que c'est une bonne initiative d'en parler pour sensibiliser les gens.

Mais j'ai eu du mal à m'identifier aux personnages, je ne me suis pas vraiment attachée à eux, Sibylle me frustrait souvent même si j'avais beaucoup d'empathie pour elle, elle faisait des choix que je ne partageais pas du tout. Et pour les autres personnages, aucun ne m'a marqué. Ah si, il y avait Emma, la copine du collège, mais on n'en entend plus parler après quelques chapitres... dommage !

Certains passages étaient très prévisibles, donc ça aussi cela m'a déçue.

Je n'ai pas trop saisi le choix de la narration non plus, un coup c'était Sibylle, un coup c'était un narrateur extérieur, comme ça, ça changeait sans prévenir au milieu du chapitre. Ce qui faisait que j'étais obligée de relire certaines phrases plusieurs fois pour comprendre qui parlait ou pensait...😕

Et puis il y a un autre gros point négatif, il y a une histoire d'amour entre une ado et un majeur... Bon, même si le gars était très bienveillant et qu'il faisait attention, il faut arrêter de banaliser ces situations donc ça m'a gênée aussi.

Bref j'ai été un peu déçue mais cela reste une lecture très correcte, je ne la recommencerait pas forcément mais peut être que ce n'est qu'une histoire de goût !? 🙃

Aïcha a quinze ans. Le même âge que moi quand j'ai lu ce livre pour la première fois.

Les phrases s'enchaînent, les émotions, les scènes, on est pris dedans dès le début. On a l'impression de vivre à travers les yeux d'Aïcha, sa façon de s'exprimer, sa façon de garder pour elle tous ces non-dits, ces tabous...

Comment un simple baiser peut causer autant de problèmes ? 🤣 Je me le demande encore 😆

Un roman poignant que j'ai pris plaisir à relire et à redécouvrir.

« Très vite dans ma vie, il a été trop tard. »

A nouveau un super Tome d'Isabelle Pandazopoulos que j'aime beaucoup.
Cette fois-ci on change et on embarque dans la mythologie Indienne.
J'ai beaucoup aimé et ca fait voyager culturellement.

Mon fils a dû lire Les douze travaux d’Hercule pendant les vacances de la Toussaint et il a apprécié.
Voici ces mots : J’ai bien aimé car il y a de l’action, des monstres de tous types et des surprises auxquelles je ne m’attendais pas. J’aime quand le devin Tirésias apprend à Hercule son destin et quand Hercule effectue ses 12 travaux en acceptant des missions, parfois en combattant des monstres et aussi en faisant preuve d’intelligence car il n’y a pas que la force qui compte.
Au début, Hercule est jeune et ne sait pas maitriser sa force. Il finit par tuer quelqu’un et il devra s’exiler. Quand il revient, Tiresias lui raconte sa destinée mais il veut qu’on le laisse vivre en paix. Mais Héra est très méchante, elle veut le voir souffrir et prouver à Zeus qu’Hercule n’arrivera pas à accomplir sa destinée. Ensuite, il va effectuer ses 12 travaux avant de rejoindre l’Olympe mais il devra encore et encore franchir des obstacles dans sa vie.
Comme monstre, j’ai préféré Cerbère, le chien à 3 têtes crachant du feu et gardien des enfers.

C'est un très beau livre sur la mythologie, j'ai beaucoup aimé ce livre, je le relirai avec plaisir.

Un roman épistolaire très bien écrit, qui suit trois jeunes femmes en période d'après-guerre et de mai 68. Une bonne lecture

J'ai apprécié l'immersion dans l'après-guerre avec 3 situations bien différentes : l'une en Allemagne avec le mur et la lutte de ses parents, une autre en Grèce dans cette partie de l'Histoire moins connue ici, et la dernière comme épargnée dans la bourgeoisie française qui vit ses soucis insouciants d'adolescente.
La forme épistolaire est bien rendue et agréable à lire.
Cependant je termine cette lecture avec un goût d'inachevé que je ne saurais expliquer.