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Ivo Andrić

Auteur

23 lecteurs

Activité et points forts

ajouté par Biquet 2012-04-16T15:03:02+02:00

Biographie

Ivo Andrić, né le 9 octobre 1892 à Travnik en Autriche-Hongrie (aujourd'hui Bosnie-Herzégovine), et mort le 13 mars 1975 à Belgrade, est un écrivain yougoslave. Né en Bosnie dans une famille croate, il se déclare serbe après la Seconde Guerre mondiale 1945, et s'installe définitivement à Belgrade. Il est lauréat du prix Nobel de littérature en 1961, et a été membre de l'Académie serbe des sciences et des arts. Il a reçu le titre de docteur honoris causa de l'Université Jagellonne de Cracovie en 1964.

Rédigés avec un grand souci de vérité historique, ses récits ont pour cadre la Bosnie. Diplomate avant la guerre, il se consacre à la littérature dès 1945. Il a été un certain temps président de l'Union des écrivains yougoslaves. Il est l'auteur le plus connu et le plus traduit (40 langues) de la littérature serbo-croate. La mention sur Ivo Andrić des études à l'Université Jagellonne à Cracovie avant 1945, à l'époque, il se déclarait encore de nationalité croate. Sa famille quitte très vite sa ville de naissance de Travnik. Il grandit à Višegrad, dont il rend célèbre le pont. Après des études à Vienne, il est fait prisonnier par l'Autriche-Hongrie, après l'attentat de Sarajevo de Gavrilo Princip. Membre de Jeune Bosnie, il milite pour le rattachement de Bosnie à la Serbie. En 1918 à Belgrade, il devient éditeur et adhère au milieu littéraire de Belgrade, la capitale de la première Yougoslavie, où il fréquente des personnalités comme Miloš Crnjanski et Miličić. Ils se réunissent régulièrement à l'hôtel Moskva. Mais très vite, il se fait remarquer par le gouvernement de Belgrade, qui a une totale confiance en lui, de par son passé de militant dans Jeune Bosnie, ainsi qu'en ses compétences intellectuelles. Il débute alors une carrière de diplomate dans plusieurs capitales européennes, où il défend avec une grande efficacité les intérêts du royaume de Yougoslavie. Avec un sommet entre 1939 et 1941, lorsque il est nommé ministre plénipotentiaire de la diplomatie à Berlin.

Lorsque la guerre éclate, et que les Allemands bombardent Belgrade le 6 avril 1941, il refuse de gagner la Suisse, mais rentre à Belgrade où il vit chez son ami Milenković. Dans une petite chambre, il écrit ses deux plus célèbres romans, La Chronique de Travnik puis Le pont sur la Drina.

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0 Citations 6 Commentaires sur ses livres

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de Ivo Andrić

Sortie France/Français : 2023-03-03

Les derniers commentaires sur ses livres

Commentaire ajouté par Missmucha 2010-09-29T11:11:49+02:00
Le pont sur la Drina

Je n'ai pas apprécié du tout. Trop lourd à lire et histoire un peu trop plate. Je n'ai même pas su le lire jusqu'au bout.

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Mara la courtisane et autres nouvelles

A travers ses courtes nouvelles, Ivo Andric dresse, à travers des portraits d'une rare précision, un tableau très réaliste de la société bosniaque des 19ème et première moitié du 20ème siècles.

Mara la courtisane et L'esclave sont deux nouvelles qui s'attachent plus particulièrement à retranscrire la condition féminine dans cette société. Toutes deux sont des victimes de la gente masculine, comme le seront également une fillette de dix ans violée et une femme régulièrement battue par son mari. De là à croire que toutes les femmes bosniaques de cette époque subissaient plus ou moins le même sort bien peu envieux, il n'y a qu'un pas que l'auteur nous aide ici à franchir. Il dénonce ainsi les pratiques sans scrupules de ses compatriotes durant l'occupation ottomane.

Ce recueil de nouvelles constitue réellement une réflexion très approfondie des rapports humains en fonction de leur sexe, de leur religion ou de leur condition sociale. Un ouvrage qui me donne personnellement très envie de pousser un peu plus loin ma découverte de cet auteur...

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Commentaire ajouté par Hathor13 2017-03-05T15:51:40+01:00
Visages

Cette série de nouvelles se révèlent plus poétique que narrative et se situe souvent entre souvenirs et anecdotes transmettant la dureté de la vie, la pauvreté dans une région du monde oublié. L'auteur se fait parfois conteur cherchant à envouter le lecteur avec de petits contes triste.

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Commentaire ajouté par roslin81 2017-12-21T06:51:47+01:00
Le pont sur la Drina

c'est un bijou ; trop actuel : la drina sépare aujourd'hui la Serbie de la Bosnie et hier l'orient de l'occident ; sebrenica est à 30kms ; un immense écrivain qui fait comprendre l'Histoire par le histoires banales ou héroiques, quotidiennes ou extraordinaires de tout un chacun ; une histoire de petits hommes que la grande Histoire sépare ou rapproche ; ce pont magnifique a été construit par un grand Vizir d'origine bosniaque ; il symbolise la coexistence des communautés ; il tient toujours debout ! Kusturica ultra nationalste grand serbe a tenté de récupérer Andrich... mais les amis serbes que j'ai rencontrés là bas rigolent : on ne récupère pas comme ça un grand écrivain ; bon c'est une sorte de grande saga sur " siècles sur la coexistence des cultures et des religions, avec un constat que nous sommes impuissants à endiguer ls violences et que le vaste monde nous brutalisera toujours sans raison apparente, mais qu'entre deux trourmentes (c'est Princip un jeune serbe de bosnie qui déclencha la 1ere guerre mondiale) les petite.s femmes et hommes n'aspirent qu'à la paix , qui les endort un peu (paradoxe de la tranquillité) ; j'ajoute juste que ce pont très spacieux est le centre de la vie du bourg de Visegrad , des générations de chrétiens juifs et musulmans jouent , flirtent, se défient et commentent tous ce changements absurdes venus des empires bousculer leur quotidien

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Commentaire ajouté par Parthenia 2019-01-25T12:44:19+01:00
La Chronique de Travnik

La Chronique de Travnik retrace la vie quotidienne et les déboires diplomatiques du consul français Daville envoyé en 1806 à Travnik, petite ville de Bosnie alors sous domination ottomane. Il vit son arrivée comme un véritable choc des cultures : effaré par la brutalité du pouvoir en place et par l'état d'arriération du pays, il se sent complètement dépassé par la complexité des codes protocolaires, et isolé dans ce pays hostile à toute présence étrangère. D'ailleurs, le trajet qui le mène de son ambassade au Konak pour y être présenté au vizir Mehmet pacha s'effectue sous les jurons et les crachats.

C'est donc avec soulagement qu'il apprend l'arrivée prochaine d'un secrétaire, le jeune des Fossés, pour le seconder dans sa mission. Malheureusement, leur caractère se révélant incompatible, Daville devra renoncer au réconfort moral qu'il escomptait de leur collaboration.

En effet, le jeune des Fossés, parfaite incarnation de l'esprit de la Révolution, est toujours parti par monts et par vaux, à se mêler à la population et à s'imprégner de son histoire. Contrairement à Daville, il fait montre d'ouverture d'esprit, ne condamne pas l'immobilisme du pays mais cherche à en comprendre les raisons :

”L'inébranlable des Fossés affirmait que ces régions, bien qu'endormies et coupées du monde, n'étaient pas un désert, mais constituaient au contraire un monde varié, intéressant de tous points de vue et pittoresques à sa façon; le peuple était, certes, partagé entre trois confessions, terriblement superstitieux, soumis à la pire administration au monde et de ce fait très en retard et malheureux, mais il était en même temps riche de trésors spirituels, de particularités intéressantes et de coutumes insolites ; en tout cas, cela valait la peine de faire un petit effort... "(page 148)

Daville, désabusé, considère le peuple bosniaque comme arriéré et animé d'une malveillance innée, et se réfugie dans l'écriture d'un poème épique dédié à Alexandre le Grand pour oublier les nombreux tracas de sa fonction et l'inutilité de ses rapports.

Les jours se suivent, monotones et ennuyeux, dans cette ville isolée du reste du monde de par la volonté même de ses habitants. Réfractaires à l'ouverture de leur pays à l'étranger, les autochtones, qu'ils soient chrétiens comme musulmans, ont sciemment négligé l'entretien des voies de communication : les chrétiens pour décourager les Turcs officiels de venir, les musulmans pour limiter toute influence occidentale.

Malgré tout, quelques échos des événements en Europe parviennent jusqu'aux oreilles des consuls français et autrichien (et par ricochet jusqu'à celles du lecteur) : là, une victoire militaire de Napoléon, là, une rébellion en Serbie, ici, l'assassinat de Selim III à Istanbul.

Durant 8 années, Daville voit défiler 2 consuls autrichiens, 1 secrétaire français, 3 vizirs dont le dernier fait régner la terreur parmi les fonctionnaires et la population, des aventuriers de tout poils qu'il soupçonne d'être des espions stipendiés par l'Autriche...

A chaque destitution de vizir, éclate une révolte de plusieurs jours, fermentant la haine envers les Français : leurs domestiques sont molestés, on refuse de leur vendre de la nourriture, puis tout finit par rentrer dans l'ordre, "comme au lendemain d'une beuverie" (page 191).

Les faits les plus banals de la vie quotidienne s'égrènent sans passion dans cette chronique, à peine dérangés par le tumulte de quelques émeutes, et pourtant, à aucun moment l'intérêt du lecteur ne faiblit, soutenu par les différents points de vue que dresse l'auteur sur cette contrée inhospitalière, aux hivers rudes et glacés, ou les portraits des divers protagonistes.

Le consul autrichien Von Mitterer, envoyé par son pays à Travnik, quelques mois après Daville pour y contrer l'influence de ce dernier, partage les mêmes sentiments que lui vis-à-vis de ce pays, la même mélancolie ; ils s'estiment sans pouvoir se l'avouer, s'épient pour le compte de leur patrie respective, se rendent malade des efforts mesquins qu'ils déploient pour se neutraliser l'un l'autre.

Mais finalement, la solidarité resurgit quand le deuil ou une naissance frappent l'une des familles.

Les scènes avec Anna-Maria, la femme du consul autrichien, sont également drôles : c'est une femme fantasque et nerveusement détraquée, qui se déclare pro-bonapartiste, mettant ainsi dans l'embarras son époux ; elle fait également tourner la tête du jeune des Fossés sans jamais lui céder, désespérée de découvrir chez lui "ses véritables intentions" au lieu de l'" élan platonique et spirituel" qu'elle avait fantasmé...(page 125)

Tandis que Mme Daville, femme pragmatique et dévouée à sa famille et ses 4 enfants, provoque au contraire l'admiration secrète des Bosniaques pour son courage et sa piété.

C'est donc à travers les yeux de ces expatriés que sont dépeints les rapports et la coexistence difficile des différentes communautés de la ville (musulmane, juive, orthodoxe, catholique), qui se vouent un mépris et une méfiance profonds, et s'excluent mutuellement.

Des Fossés donne d'ailleurs une vision prophétique de l'avenir de la Bosnie, dont les habitants sont incapables de construire leur vie commune sur la base de la tolérance, la compréhension et l'estime mutuelles:

” ... un jour ou l'autre la liberté devra bien venir aussi dans ces régions. On sait cependant depuis longtemps qu'il n'est pas suffisant d'acquérir la liberté, mais beaucoup plus important de devenir digne de cette liberté. Sans une éducation plus moderne et des conceptions plus libérales, vous ne gagnerez rien à être libérés du joug ottoman. Au cours des siècles, votre peuple, s'est tellement assimilé à ses oppresseurs que cela ne lui servira pas à grand-chose si les Turcs l'abandonnent vraiment un jour, en lui laissant, en plus de ses propres tares, tous leurs vices : la paresse, l'intolérance, l'esprit de violence et le culte de la force brutale. Ce ne serait pas une libération, en fait, car vous seriez indignes de la liberté et incapables d'en jouir, et, à l'instar des Turcs, vous ne sauriez qu'être asservis ou asservir les autres. Il n'y a pas de doute que votre pays, lui aussi, sera un jour intégré à l'Europe, mais il se pourrait bien qu'il y entre divisé et ployant sous l'héritage de conceptions, d'habitudes et d'instincts qui n'existent plus nulle part ailleurs et qui, tels des spectres, l'empêcheront de se développer normalement et en feront un monstre archaïque, la proie de tous comme il est aujourd'hui celle des Turcs. Pourtant ce peuple ne mérite pas cela."

(page 352)

Au milieu de ces quatre communautés en vit une autre, encore plus méprisée, celle des Levantins, ces Occidentaux déclassés, considérés comme des parias et traités comme tels, "poussière humaine" ballotée entre l'Orient et l'Occident dont ils constituent "le troisième monde où se sont retrouvées toutes les malédictions dues au partage de l'humanité en deux mondes".

Des Fossés est touché par la conversation qu'il a avec l'un de ses représentants, l'obscur médecin Cologna, plein de sagesse et de résignation :

” Oui, Monsieur, vous pouvez comprendre cette vie qui est la nôtre, mais pour vous elle n'est qu'un mauvais rêve. En effet, vous vivez ici, mais vous savez que cela est provisoire et qu'un jour ou l'autre vous retournerez dans votre pays pour y retrouver une vie plus facile et plus digne. Vous vous réveillerez de ce mauvais rêve et vous en libérerez, mais nous pas, jamais, car il est la seule vie que nous ayons."

(page 317-318)

Ce vieillard digne vit dans l'espoir et la conviction que "pas une pensée humaine ne se perd, pas un élan de l'esprit. Nous sommes tous sur le bon chemin, et nous serons surpris lorsque nous nous rencontrerons. Mais nous nous rencontrerons, et nous nous comprendrons tous, où que nous allions maintenant et aussi loin que nous nous égarions. Ce sera une joyeuse rencontre, une surprise grandiose et salvatrice."

Car La Chronique de Travnik n'est pas seulement la fresque d'un monde sombre, étouffant et cruel, c'est également une ode à la tolérance, dans laquelle, au-delà des différences culturelles et des clivages religieux, les hommes se souviennent, parfois, de l' humanité qu'ils ont en partage.

Quand Ibrahim pacha, le 2è vizir, est destitué, il laisse tomber le masque rigide du protocole pour exprimer toute l'amitié affectueuse qu'il ressent à l'égard d'un Daville éberlué.

De même, le consul français, lorsqu'il se retrouve démuni au moment de repartir pour la France, reçoit l'aide financière du vieux juif Salomon Atijas, dont la communauté vient pourtant d'être rudement mise à l'amende par le 3è vizir, Ali pacha, un homme cruel et brutal. Il faut dire que Daville a été le seul à s'inquiéter du sort des juifs emprisonnés lors de sa prise de fonction et à user de son influence pour les faire libérer ! D'ailleurs, le vieux Salomon lui exprime sa reconnaissance dans un discours véritablement poignant :

” Monsieur, vous avez vécu plus de sept ans ici parmi nous et vous avez pendant tout ce temps montré pour nous de l'attention comme ne l'avaient jamais fait ni les Turcs ni aucun autre étranger. Vous nous avez traités en êtres humains, sans nous distinguer des autres gens. Peut-être ne savez-vous pas vous-mêmes quelle bonté vous nous avez prodiguée. Maintenant, vous partez. Votre empereur a été contraint de céder devant des ennemis plus puissants. Votre pays connaît des événements tragiques et de grands bouleversements. Mais votre patrie est un pays noble et puissant pour lequel les choses ne peuvent que bien se terminer. Vous aussi vous y trouverez votre chemin. C'est nous qui sommes à plaindre, nous qui restons ici, cette poignée de juifs séphardims de Travnik dont les deux tiers sont des Atijas, car vous avez été une source de lumière pour nos yeux. Vous avez vu la vie que nous menons, et vous nous avez fait tout le bien qu'un homme peut faire à un autre homme. Mais on attend de celui qui fait le bien qu'il en fasse toujours plus. Aussi, nous nous permettons de vous faire encore une demande : soyez notre témoin dans cet Occident d'où nous sommes nous aussi venus et qui devrait savoir ce que l'on a fait de nous. En effet, il me semble que si nous savions que quelqu'un n'ignore pas et admet que nous ne sommes ni tels que nous semblons être, ni faits pour la vie que nous menons ici, il nous serait plus facile de supporter tout ce que nous devons supporter."

(page 499-500)

Pour conclure, cette lecture a été dense et ardue. J'ai avancé lentement dans cette histoire où il ne se passe grand chose, mais paradoxalement, je l'ai trouvée passionnante et très instructive. C'est une fresque chaotique et grandiose, préfigurant le destin tragique de ce pays où les 4 communautés condamnées à vivre ensemble semblent irréconciliables. Certains passages, où l'auteur laisse parler tout son humanisme, sont véritablement bouleversants.

Je me rends compte que j'avais encore plein de choses à dire sur ce roman, tant pis ! En tout cas, je remercie BouQuiNeTTe pour l'organisation de ce challenge sans lequel je n'aurais jamais pensé à emprunter ce livre à ma médiathèque !

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Dédicaces de Ivo Andrić
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Editeurs

Le Serpent à plumes : 4 livres

Belfond : 2 livres

LGF - Le Livre de Poche : 2 livres

Stock : 1 livre

Robert Laffont : 1 livre

Phébus : 1 livre

L'Age d'Homme : 1 livre

Éditions des Syrtes : 1 livre

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