Jacky Goupil

La couverture est sympathique ainsi que les dessins.

C'est une BD assez agréable à lire, avec des situations cocasses que l'on a tous déjà vu dans la vie.

Il y a certains passages qui font sourire. C'est une gentille façon de se moquer des retraités. Bref, une lecture agréable.

Bonjour à toutes et tous,

Je viens de terminer le roman de Jacky Goupil« Sacrées Mémés ».

Comment vous parler de ce livre sans vous le dévoiler. Oui je sais vous allez me dire « Et bien déballe !!! » OK ne vous énerver pas, j'arrive...

Une petite précision que je me dois de vous faire l'auteur ne m'a pas payé pour écrire ceci et je ne suis pas non plus sous stupéfiant et autre produit alcoolisés. Je ne subis aucune menace ni pression...

Donc je me lance et certifie être pleinement consciente de ce que je raconte ( enfin je crois).

J'ai retrouvé à travers ces pages l'esprit de certains films que j'aimais regarder, jouer par Jean Gabin, Bernard Blier, Francis Blanche, et tant d'autres... Ceux que nous avons aimés avec leurs répliques cultes dans « Les tons flingueurs » ou encore « Cent mille dollars au soleil ». Et oui ces dialogues à la Michel Audiard qui nous manque tant.

J'ai pendant ces quelques heures de lectures, fait travailler mes abdos, mes zygomatiques, et tous les autres muscles de mon corps, il me semble.

Rire, rire fait tellement de bien par les temps qui courent.

Les personnages sont formidablement décrits, les scènes cocasses à souhait bref tout y est pour passer un véritable bon moment.

Comment vous dire simplement que je compte déposer une requête auprès du ministère de la Santé afin que l'auteur Jacky Goupil soit reconnu comme antidépresseur et remboursé par la sécu (Oui je sais... On peut rêver).

Pour terminer, je voulais remercier infiniment l'auteur, pour sa plume, son humour, sa joie de vivre qu'il nous donne à travers ces écrits, pour cette belle découverte et on en redemande.

Merci Monsieur, Jacky Goupil

Inhabituel, insolite : deux adjectifs qui me sont venus spontanément à l’esprit.

Préparez-vous pour des rencontres improbables, à la queue leu leu. Des rencontres qui divertissent, mais il y a plus que ça.

Un très bon moment de lecture avec ce « romanouvelles » différent des autres livres de l’auteur, mais tout aussi agréable à lire. Atypique, déroutant, amusant et même parfois déstabilisant.

On part d’un patron d’entreprise complexé par sa taille, qui refuse de donner une augmentation à un employé. Ce même patron, en sortant du restaurant, aperçoit une femme dans la rue. On embraye alors sur cette femme qui, à son tour, va nous emmener dans son univers puis nous fera rencontrer un 3ème personnage. Et ainsi de suite.

Des univers à chaque fois différents. On s’amuse et on sourit bien souvent, jaune parfois. Les personnages sont quelque peu déjantés, les situations rocambolesques ou même volontairement « absurdes ». Parce que sous couvert de l’humour, l’auteur nous pousse à une réflexion plus profonde.

Je me disais que oui, c’est bien le reflet de certaines façons de penser, de certaines situations. Bien sûr, c’est exagéré, outré pour mieux faire ressortir les défauts des personnages (et donc les nôtres…).

L’écriture est piquante, acidulée et acérée. 25 personnes, 25 situations abracadabrantes. Des chapitres courts, des situations inattendues.

Prêts à rencontrer un loueur de mari, un vendeur de mort ou encore un docteur expert en bonne santé ? Je vous aurai prévenus ! « Le contraire de l’inverse : Une histoire insensée pour lecteurs déraisonnables »

Un tome dans la lignée des deux précédents, avec de l'imagination (la Mangrove), du mystique (pourquoi cette emprise, et ce meurtre?), et une épopée avec des chemins séparés. Hâte de lire la suite !

Marre de ne pas être surpris par vos lectures? Ne cherchez plus, j’ai le livre parfait pour vous. Vous allez être surpris, perturbé,vous allez sourire, rire, perdre pied mais à aucun moment vous ne serez déçu. L’inverse et son contraire est un OLNI (Objet Littéraire Non Identifié). La construction de ce livre est complètement révolutionnaire (en tous cas je n’en ai jamais lu de tel).

On ne peut le qualifier ni de roman ni de nouvelles et pourtant il est un peu des deux (comme quoi, il porte très bien son titre). A chaque chapitre (nouvelle?) vous suivrez deux personnes (parfois plus), mais l’un des deux se retrouvera dans la nouvelle (chapitre?) suivante. Ma lecture m’a fait penser à un domino. Un domino d’histoire absurde avec un petit air de l’humour absurde d’Ionesco (et c’est un compliment de ma part).

Je ne peux pas trop en dévoiler car le but n’est pas de divulgâcher ce petit bijou. Je ne peux que vous inviter à le découvrir et à vous faire votre propre idée. Mais retenez qu’il ne faut pas avoir froid aux yeux, qu’il faut avoir un brin de curiosité et une bonne dose d’humour (noir ou non) pour vous plonger avec délectation dans cette lecture.

Je l’ai lu par un beau temps gris d’octobre (en juillet…) mais il m’a apporté soleil et bonne humeur. Des histoires sans queue ni tête qui pourtant nous délivrent des messages. Alors maintenant, il vous reste à le déguster et pas de danger, c’est à consommer sans modération.

Pas à mon goût, même à prendre au 36ème degré, cela reste assez mal vieilli et sexiste.

Les blagues sont parfois un peu lourdes ou clichées, mais dans l'ensemble l'auteur réussit son pari de donner un peu de détente.

Un monde loufoque, des personnages déjantés, des situations improbables.

Roman ou nouvelles ?

Ce livre comporte 24 chapitres et presque autant de personnages.

Certes cela fait beaucoup mais on ne s'en rend pas vraiment compte.

La particularité de ce récit est la transition d'un chapitre à l'autre où chaque personnage introduit le suivant.

Une belle plume qui jongle autant avec les mots qu'avec les situations où l'imagination de l'auteur s'en donne à cœur joie.

Des dialogues à l'humour décapant, je trouve d'ailleurs que le 1er personnage est assez caricatural dans ce genre.

Jacky Goupil se lance dans une critique sarcastique de notre société et cela pour notre plus grand bonheur.

Pour apprécier pleinement cette lecture il faut aimer le décalé, l'originalité, l'absurde, la satire.

Un livre qui se lit très bien et très vite parce que chaque fois on se demande ce que le personnage suivant va bien pouvoir nous réserver.

Quand au final ... je vous laisse le découvrir, mais il vaut son pesant de cacahuètes !

"Merci monsieur l'auteur, ce fut une belle aventure, avec du sentiment, du rire, de la musique, des surprises, de l'humour, tu nous as gâtés".

Aujourd'hui je vous cause de LE CONTRAIRE DE L'INVERSE de Jacky Goupil paru en auto édition en mai 2023

Allez pour moi un pied dans l’absurde pour changer des thrillers car le titre du livre étant le premier lien avec l’auteur il me faut entrer dans la réalité parallèle de Jacky Goupil. Entrer dans un univers qui n’est pas le mien avec ces nouvelles fantaisistes portées par une bande de personnages improbables, caustiques et drôles sautant d’une histoire à l’autre secoue les neurones dans un autre genre.

Le contraire de l’inverse c’est un regard vif sur notre société, des situations insolites, des mini histoires où l’on croise un policier qui verbalise la non vitesse, l‘hôtel sans étoiles, un médecin qui n’aime pas les gens pas malades, un comédien appelé Poquelin, une femme très commode, une belle engueulade au club des Pouilles et les autres par ce que je ne vais pas tout raconter !

Ce livre ne se raconte pas ce sont des nouvelles qui deviennent une histoire inclassable servi par une écriture impertinente tout droit sorti du cerveau infatigable de JJacky Goupil aime raconter des histoires

Donc je résume inclassable, impertinent, drôle, caustique alors vous n’aimerez pas entrer dans cette histoire ? ou peut-être que ce sera le contraire ?

Censé proposer un humour de dérision drôle, j’ai trouvé cela plutôt dégradant… Je suis pourtant adepte de l’autodérision d’ordinaire mais avec le respect. Là, le trait est trop gros pour me faire rire. Le Lion a tous les torts…

Je suppose que je ne suis pas dans le bon état d’esprit. Toutefois, je pense que cet ouvrage a de quoi amuser les adeptes du ridicule, ceux qui aiment rire d’un rien. C’est présenté d’un ton bon enfant, quoique clairement pas destiné à de jeunes yeux. Une lecture rapide et légère.