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Tous les livres de Jacques Aumont

Deux des auteurs d'Esthétique du film, publié dans la collection Nathan Université, Jacques Aumont et Michel Marie, se sont à nouveau associés pour présenter un bilan clair et synthétique des analyses de films publiées depuis 1970, principalement en France et aux Etats-Unis.

Sans prétendre apporter une méthode universelle permettant d'analyser n'importe quel film, les auteurs se sont efforcés de décrire et de commenter les meilleures analyses et d'en retenir les acquis méthodologiques.

Après avoir défini l'activité analytique, l'ouvrage aborde l'analyse dite " textuelle ", l'analyse narratologique appliquée au film, l'analyse de l'image et du son ; il étudie les rapports entre analyse et histoire et pose la question des fondements de ce type de recherche.

Éditions 2001 et 2005 :

Près de 400 articles sur les notions relevant de l'esthétique, de la sémiologie ou encore de l'histoire de l'art, avec des notices sur des réalisateurs, des critiques ou des genres. Ils permettent une approche critique et théorique du cinéma, et témoignent de l'état actuel des études cinématographiques, de leur richesse, mais aussi de leur histoire déjà séculaire.

Édition 2008 :

500 notions relevant de l'esthétique, de la sémiologie ou encore de l'histoire de l'art, avec des notices sur des réalisateurs, des critiques ou des genres. Elles permettent une approche critique et théorique du cinéma, et témoignent de l'état actuel des études cinématographiques, de l'évolution des techniques et des politiques patrimoniales. Nouvelles notices et une bibliographie mise à jour.

" Metteur en scène ", " cinéaste ", " réalisateur " : trois désignations à peu près interchangeables dans la langue courante, mais qui s'enracinent en réalité dans trois conceptions bien différentes, voire opposées, de la création cinématographique, dont le présent ouvrage précise la nature et examine la confrontation.

La notion de " mise en scène " vient du théâtre et perdure dans une option toujours présente de soumission de l'art du film au verbal (au récit, au texte) ; mais, à l'opposé, les cinéastes n'ont cessé de chercher les moyens d'oublier cette origine, et d'inventer une approche proprement cinématographique de la scène et du scénique. Au point que la " mise en scène " a pu être brandie comme l'étendard d'un cinéma qui se vouait à recréer le monde à partir de ce qu'il est " (M. Mourlet). Enfin, la mise en scène est aussi une technique, sous-tendue par des éléments théoriques et incarnée dans une pratique majoritaire; l'auteur met en évidence son lien fondamental avec la fiction. Ce livre de référence, où la réflexion s'appuie constamment sur des exemples les plus variés possibles, propose une véritable grille de lecture de la création cinématographique.

" Metteur en scène ", " cinéaste ", " réalisateur " : trois désignations à peu près interchangeables dans la langue courante, mais qui s'enracinent dans trois conceptions très différentes de la création cinématographique.

La notion de " mise en scène " vient du théâtre, et perdure dans une option toujours présente de soumission de l'art du film au récit et au drame ; à l'opposé, les cinéastes n'ont cessé de chercher à inventer une approche proprement cinématographique de la scène et du scénique au point que la " mise en scène " a pu être brandie comme l'étendard d'un cinéma qui se vouait à " recréer le monde à partir de ce qu'il est " (M. Mourlet). Enfin, la mise en scène est aussi une technique, dont on met ici en évidence le lien fondamental avec la fiction. Ce livre de référence, où la réflexion s'appuie constamment sur des exemples voulus les plus variés possible, propose une véritable grille de lecture de la création cinématographique, de ses visées et des choix qui s'offrent à elle pour relever les défis du " montrer à l'écran ".

Ce manuel est devenu un classique des études cinématographique. Il offre aux lycéens de classes terminales, aux étudiants et aux cinéphiles un panorama de l'esthétique de cet art visuel et sonore sous tous ses aspects : le cinéma comme langage et comme écriture, le cinéma comme récit, la question du personnage et du réalisme, le cinéma comme art du montage et le cinéma comme spectacle, avec les problèmes d'identification qui en découlent. Cet ouvrage est résolument interdisciplinaire, s'appuyant sur l'histoire de l'art, la théorie littéraire, la sémiologie et la psychanalyse. Il est conçu comme une introduction à ces disciplines et ne nécessite aucune connaissance spécialisée préalable. Illustrations, bibliographie détaillée, commentée et actualisée.

Le pari de ce livre est que, non seulement les cinéastes ont en général une réelle conscience de leur art et de leur métier, mais que beaucoup d'entre eux ont donné à cette réflexion la forme d'une véritable théorie. On s'aperçoit à la lecture de cet ouvrage que les théories des cinéastes sont souvent très rigoureuses, toujours imaginatives, et que les entreprises théoriques des années vingt à nos jours, proposées par des cinéastes de tout genre, donnent une ouverture extrêmement suggestive sur les principales questions liées au cinéma.

Ce livre est une synthèse originale des savoirs contemporains sur l'image, moyen d'expression et de communication, mais aussi, manifestation de la pensée.

Les grands problèmes que pose l'image sont exposes autour de six approches successives : l'image est un phénomène perceptif (physiologie de la perception), mais aussi l'objet d'un regard de la part d'un sujet spectateur (psychologie) ; elle établit un rapport avec ce spectateur par l’intermédiaire d'un medium et d'un dispositif spécifique (sociologie, médiologie) ; elle peut être utilisée a plusieurs fins et a des valeurs variables (anthropologie) ; son importance sociale a connu de grands moments de mutation (histoire) ; enfin, elle a des pouvoirs propres, qui la distinguent du langage et des autres manifestations symboliques humaines (esthétique).

Toutes les images - faites a la main ou produites automatiquement, immobiles ou mouvantes - sont prises en consideration dans cette enquete qui s'est efforcee de n'oublier aucune theorie, aucune approche, et qui prend en compte les developpements les plus recents.

Tout le monde a vu au moins un film de Bergman - différent selon l'âge et le degré de cinéphilie. Son œuvre, commencée après la guerre sous le signe du réalisme et pour filmer la fièvre de la jeunesse (Monika, Jeux d'été), devenue plus sophistiquée et plus grave avec Le Septième Sceau ou Les Fraises sauvages, trouve son allure la plus personnelle avec des chefs-d'œuvre comme Le Silence, Persona ou Une passion; après Fanny et Alexandre, il revient à une forme plus classique mais reste indépassé dans l'expression des sentiments. Un essai sur Bergman doit affronter la variété de cette œuvre - mais pour en souligner l'extraordinaire obstination et la cohérence quasi obsessionnelle. Comme beaucoup de grands créateurs, il ne parle au fond que de lui-même, puisant dans une enfance extraordinairement nourrie en sensations et en affects le matériau de ses scénarios, et les images qui les traduisent. Des premiers films du jeune débutant, parfois maladroits mais souterrainement habités, aux grands films de la maturité et au classicisme flamboyant de la dernière période, une même tension se retrouve : celle du directeur d'acteurs (et d'actrices), bien sûr, mais aussi, celle du visionnaire, de l'homme qui a toute sa vie voulu accueillir, comprendre et expliquer par son œuvre les images qui le hantaient. Auteur de fables romanesques mariant le documentaire et le fantastique, inventeur d'images qui marquent l'esprit, il est aussi et surtout l'un des grands représentants du cinéma d'art à l'européenne - quelqu'un qui, dans chaque film, songe à affiner, à améliorer ou à changer la définition même de son art, le Cinéma. Bergman n'a peut-être jamais été " moderne ", mais à coup sûr, il a toujours été le contemporain de ses spectateurs.

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