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Biographie
Né en 1921, professeur d'histoire de l'art moderne à l'université de Varsovie, conservateur en chef du département Art étranger au Musée national de la ville, Jan Białostocki a réuni en lui les qualités de penseur, d'historien et de connaisseur d'art. De 1938, date de son premier texte sur Matthias Grünewald, à 1981, la bibliographie de ses travaux, rassemblée en un volume de Mélanges, comporte quatre cent soixante-dix-huit rubriques, de l'Antiquité chrétienne au xviiie siècle. Ses recherches sur les « concepts fondamentaux » de l'histoire de l'art, les périodes charnières (le Spätgothik, le baroque), les formes symboliques, ou les artistes (Grünewald, Léonard, Caravage) retiennent d'abord l'attention par une capacité à étendre les problèmes posés à l'ensemble du continent européen, voire au monde entier. De là s'ensuit une redéfinition des hypothèses formulées : sur le gothique classique, par exemple, quand il refuse de se limiter « à l'art de Chartres et de Reims » pour prendre en compte « le rythme différent de réception selon les régions » (Stil und Ikonographie, Dresde, 1966).
Les expositions qu'il organise lui servent à mettre au point un vaste champ documentaire qui fonde ses analyses : en 1956, il montre les Peintures italiennes dans les collections polonaises (XVIIe-XVIIIe siècle) ; en 1960, la Peinture flamande dans les collections polonaises (1450-1550). Dans L'Art de la Renaissance dans l'Europe de l'Est (1976), il explique que ce relativisme géographique lui sert de base pour comprendre les « transferts des principes et des formes », les « confrontations stylistiques », d'une région à l'autre. S'appuyant sur des observations précises en matière d'histoire politique, économique, sociale, culturelle, il s'efforce de saisir les « dénominateurs communs » d'une époque. C'est ainsi qu'il définit une période de deux siècles « coincée » entre le « déclin du Moyen Âge » et l'émergence de l'« âge nouveau ». Cette période est celle du Spätgothik, de la fin du xiiie et des premières années du xvi
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