Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 333
Membres
1 011 595

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Tous les livres de Jean-Baptiste Baronian

" Toutes les beautés contiennent, comme tous les phénomènes possibles, quelque chose d'éternel et quelque chose de transitoire, - d'absolu et de particulier.

La beauté absolue et éternelle n'existe pas, ou plutôt elle n'est qu'une abstraction écrémée à la surface générale des beautés diverses. l'élément particulier de chaque beauté vient des passions, et comme nous avons nos passions particulières, nous avons notre beauté. " Charles Baudelaire (1821-1867) reste une des personnalités les plus contradictoires de l'histoire de la littérature. Novateur dans sa poésie et dans son approche de l'art et de la musique, défenseur farouche de la liberté des mœurs, il dénigre le progrès et méprise le peuple.

Sa vie, à la fois fastueuse et misérable, dissolue et magnifique, pitoyable et éblouissante, est celle d'un paria de génie.

" Comment ma maman peut-elle m'aimer de tout son cœur ? " se demande Polo, le petit ours polaire.

Il interroge ses amis. La maman de Pinpin, le petit pingouin, l'aime avec ses ailes. Celle de Félicien, le bébé phoque, l'aime avec ses nageoires. Ce qui ne répond pas vraiment à la question du petit ours...

Paul Verlaine (1844-1896) est sinon le plus grand poète français, du moins le plus mélodieux et le plus pur.

Sa vie tumultueuse, ses passions, ses errances et ses fuites à l'étranger font de lui un personnage hors du commun. Né sous le signe de Saturne, qui lui vaut, dit-il, " bonne part de malheur et bonne part de bile ", écartelé entre Mathilde, " la petite épouse ", et Rimbaud, " l'époux infernal ", il tente de percer les mystères du commerce poétique. Qu'elle soit grâce ou dépravation, " crapulerie " ou sagesse, perfection musicale ou violence orageuse, la poésie est avant tout pour lui le moyen le plus sûr de connaître le monde.

Des idées noires. Le coeur en berne. Pas de boulot. Le bureau de chômage tous les jours. Une ville de province où il ne se passe rien. Tel est l'univers quotidien de Jean Malherbe. Il ferait tout pour s'en sortir, pour qu'il se passe quelque chose, pour que les choses changent... Même tuer sur commande... Quitte à en être terrorisé...

"L'intrigue", tableau de James Ensor, indique dès la couverture la présence obsédante et multiforme des fantasmes.

Ici une jeune femme s'inquiète de la non-présence de son mari : tout devient singulier, les coups de téléphone, les visites, les bruits de l'immeuble et de l'appartement.

L'attente fait surgir des hypothèses, plus dramatiques les unes que les autres. La mère veut cacher ses craintes à ses enfants, mais les circonstances la ramènent sans cesse à son problème. Vivement que l'aube et le chant du coq dissipent les mauvais rêves...

Un suspense sur une journée.

Deux amants qui se retrouvent après des années. Un troisième personnage, toujours évoqué et toujours absent. Le roman, réaliste et fantastique, d'une ville, Bruxelles, et de ses mystères. Stevens, détective vieillissant et désillusionné, retrouve Diane, élégante bourgeoise qu'il aima jadis. Leurs retrouvailles ont pour cadre le Cirio, un établissement chic. Mais Diane, agitée, entraîne Stevens au café de l'hôtel Métropole, puis à La Mort subite et, de là, Au Roy d'Espagne, deux autres tavernes célèbres.

Que sait vraiment Diane de la disparition de Frank, son mari ? Pourquoi a-t-elle fait appel à Stevens ? Pourquoi rejette-t-elle toutes ses questions ? Qu'est-ce que fuit vraiment Diane ? Et qui est-elle, au fond ?

Léopold Develde , un peintre bruxellois , se retrouve impliqué dans une série de meurtres.

Toutes les victimes ont un point commun :

elles collectionnent un grand nombre de ses toiles , que le meurtrier s'acharne méthodiquement à détruire à chaque fois qu'il frappe.

Si la musique adoucit les moeurs , il ne semble pas qu'il en soit de même pour la peinture ...

"Il est 10h30, tu es épuisé, tu as la chair de poule, tu trembles, tu as mal à la gorge et à la poitrine, tu as mal au plus obscur de ton âme.

" Pourquoi faut-il que la neige plonge Hoffman dans une dépression profonde au moment où il doit enquêter sur la disparition de la nièce du commissaire ? Comment le livre de Nijinski intervient-il dans cette affaire ? Un mort peut-il tuer ? Pour l'auteur, cette enquête n'est qu'un prétexte pour aller au plus profond des angoisses des personnages, au plus loin dans l'écriture.

Chétif et hypersensible, Alexandre, 12 ans, séjourne en hiver chez sa tante dans une vieille maison de Knokke-le-Zoute. A la recherche d’un trésor, il s’ennuie dans les dunes où il va rencontrer son destin.

Le jour de ses dix-huit ans, Alex reçoit de son père un étrange cadeau : il lui revient de dépouiller toute une cargaison de vieux livres accumulés dans un grenier. Fasciné par une série de Harry Dickson, notre jeune héros se met à la recherche d'un John mystérieux, que son père aurait connu... Avec Alex, nous nous promenons à travers les Bruxelles et Gand des années 60.

L'inspecteur Lapierre, célibataire endurci qui réside toujours chez sa mère, mène une vie monotone d'agent de quartier.

Il attend l'" affaire " grâce à laquelle il révélera son talent. Appelé chez une vieille dame à la suite d'une banale effraction, il la saisit à la gorge et la tue. A moins qu'il ne s'agisse d'un curieux échange de crime...

Place du Jeu de Balle. C’est là que tous les jours se tient le marché aux puces à Bruxelles. Le dimanche quand il fait beau, la foule s’y entasse et chacun a le secret espoir d’y dénicher l’objet de ses rêves.

Sherlock Holmes préside à Bruxelles une réunion à laquelle assistent Poirot, Rouletabille, Charlie Chan, San-Antonio, Nestor Burma, James Bond et Lew Archer.

Réunit cinq contes et nouvelles imaginaires inspirés par Jean Ray, dont l'auteur est un spécialiste.

Mon tout premier souci, en composant ce petit volume, a été d'évoquer des auteurs et des livres qui sortent plus ou moins des sentiers battus - j'entends les sentiers qu'empruntent d'ordinaire les ouvrages généraux consacrés à la littérature française. Toutefois, les auteurs sur lesquels je me suis penché ne sont pas tous forcément des écrivains mineurs ni des petits maîtres, ni même des inconnus (on verra en particulier que je parle de l'immense Georges Simenon), mais pour la majorité d'entre eux des dédaignés, des écrivains qu'on a précipités négligemment dans l'oubli, tantôt parce qu'ils n'ont pas appartenu à un important mouvement littéraire (le surréalisme façon André Breton, le nouveau roman façon Alain Robbe-Grillet...), tantôt parce que le monde officiel de la culture, pour une raison ou pour une autre, a fait et continue de faire peu de cas de leurs œuvres, tantôt encore parce qu'ils sont restés de leur plein gré loin du monde capricieux des lettres et de ses grands boulevards.

Ou, plus simplement, parce qu'on ne s'est jamais avisé d'aller à leur rencontre ni de renverser les jugements sommaires portés à leur endroit. Si tant est qu'on les ait jamais portés...

28 CONTES BIZARRES ET SURNATURELS

Avant Jean Ray

Marcellin La Garde : La pierre sanglante de Nierbonchera

Henry de Nimal : La sorcière

Pol Demade : Débonnaire Milaine

Hubert Stiernet : Le locataire

Charles Van Lerberghe : Sélection surnaturelle

Grégoire Le Roy : L'étrange aventure de l'abbé Levrai

Georges Eekhoud : La danse macabre du pont de Lucerne

Franz Hellens : Le double

Autour de Jean Ray

Jean Ray : Le psautier de Mayence

Henri-Jacques Proumen : Le miroir

Pierre Goemaere : L'homme qui faisait les cercueils trop grands

Marcel Thiry : Simple alerte

Michel de Ghelderode : Le jardin malade

Stanislas-André Steeman : La patience

Thomas Owen : La poule noire

Robert Poulet : Un degré de plus

Après Jean Ray

Albert Ayguesparse : La lumière noire

Albert Dasnoy : Le Ghoum

Jacques Sternberg : Le raccourci

Gérard Prévôt : La taverne des étangs

Jean Muno : La chambre

Gaston Compère : La musique de la nuit

Guy Vaes : L'acrobate

Gabriel Deblander : ... Où fleurit l'étranger

Anne Richter : Le projet

Daniel Mallinus : Un étranger viendra

Jean-Baptiste Baronian : L'ange de pierre

Jean-Pierre Bours : Le peuple nu

Textes réunis par Jean-Baptiste BARONIAN

En France, tout au long du XIXe siècle, le fantastique a séduit et touché presque tous les écrivains, les grands romantiques — Balzac, Mérimée, Nerval, Sand... — mais aussi ceux qui se sont fait connaître par des œuvres réalistes ou naturalistes — Flaubert, Maupassant, Daudet, Verne... — , ainsi qu'un grand nombre d'auteurs que la postérité a oubliés ou rejetés, très souvent à tort, dans l'enfer des bibliothèques — Asselineau, Borel, Jacob, Rivière...

Avec les vingt-neuf contes et nouvelles qu'elle réunit, cette anthologie tend à montrer cette permanence et à situer le mieux possible la vitalité d'un genre trop communément décrié mais qui reste à dire vrai une des formes les plus riches de la création littéraire.

[noosfere]

En partant de Grands Sapins, capitale privilégiée de Petit Singe Gris, planète notoire de la Galaxie Moyenne (juste entre celle de droite et... non, un peu plus loin au zénith...Par là, oui... Jusqu'à... qui peut le dire ? Ou plutôt : quoi peut le dire, vous avez un itinéraire compliqué et serré. D'abord un rendez-vous d'amour... Non, plutôt une expérience car le programme sexuel du Grand Chalababa ne ressemble certainement pas au vôtre. Ensuite, une entrevue avec un homme assez gros qui fume un cigare parfaitement vert et dont le temps, cette fois, est horriblement différent du vôtre. Un bref aperçu de Jules César qui semble avoir perdu toutes ses légions et ses illusions dans un drôle de coin. Et puis un gnougnou, un milliard de gnougnous sur le seuil de votre porte. Un tour au Paradis avec Jeanne la Pucelle. Vous pouvez oublier votre ticket d'astronef mais certainement pas votre plein d'humour pour cette visite mal guidée des lieux extra-terrestres et autres.

Jean-Baptiste Baronian. Né en 1942. Auteur de trois romans, d'un essai sur le Fantastique et de plusieurs anthologies. Dirige des collections romanesques dans d'importantes maisons d'édition.

A travers les nouvelles regroupées dans ce receuil, a cherché à décrisper — sinon à démystifier — la science-fiction bien pensante par le biais de l'humour et du burlesque.

Sous le titre de Histoires fantômes, voici rassemblés Le Grand Chalababa, une parodie facétieuse de la science-fiction, Sept simulacres, La Bibliothèque de feu, Disques fantômes et un inédit : Les Adorateurs de l'oeil, pastiche des aventures de Harry Dickson (de Jean Ray !) qui fut le feuilleton d'un été dans le magazine Le vif/L'Express.

Jean-Baptiste Boranian non seulement commente et critique tout ce que nous comprenons dans le concept de littérature de l'imaginaire, mais de plus en est un des grands auteurs. Connaisseur érudit, il est à l'aise depuis toujours dans ce monde des maîtres de la collection : en particulier avec Jean Ray, dont il organisa une exposition à la Bibliothèque royale de Bruxelles, et à propos duquel il écrivit L'Archange fantastique. Et son goût de l'insolite nous vaut ici une multitude de surprises.

À la fois synthétique et panoramique, cet ouvrage trace l'évolution de la littérature fantastique de langue française, de ses origines à nos jours. Il est aussi et surtout un manuel de consultation et de référence, un indispensable outil de travail pour qui veut mieux connaître le genre et se retrouver dans le vaste labyrinthe des noms, des œuvres, des dates, des influences successives, des courants et des écoles.

Un assassin qui en tue un autre pour se forger une nouvelle identité, ça n'est pas courant... et ça finit mal. Un tueur en série qui compte parmi ses victimes l'épouse d'un commissaire de police, lequel se félicite d'en être débarassé, ça n'est pas courant non plus, mais... ça finit bien. Les 13 histoires criminelles de ce recueil sont toutes sur ce modèle. Ce sont de véritables nouvelles policières dont la chute vous étonnera et dont l'atmosphère souvent sinistrement quotidienne est parfois tempérée par un clin d'oeil.

"Et dès lors, il ne fut plus qu'une machine à tuer. Il saisit d'une main une écaille d'huître, de l'autre la fourchette à huître, se dressa d'un bond et lança ses bras droit devant lui, en visant Marianne au visage. Elle reçut cet assaut avec un hurlement de terreur, chercha à se défendre, les deux mains en bouclier afin de se protéger les yeux, mais il refrappa sur-le-champ. Elle cria de nouveau - un cri étranglé, une sorte de miaulement furieux. Il n'y fit pas attention. Il était tout à sa folie et c'était elle, elle seule, qui l'animait, qui le poussait irrésistiblement à labourer le corps musclé de Marianne, à lui crever les yeux, les joues, le nez, la gorge, la poitrine..." Un tueur triste dans une Belgique lugubre, un policier qui le suit à la trace comme une ombre douloureuse. Et la folie de cette fin de siècle.

Baronian, alias Alexandre Lous, spécialiste du fantastique et du policier, a écrit avec Le Tueur Fou, un roman à la croisée de Jean Ray et Georges Simenon.

Rosalie Clémenti dite la Puce, la secrétaire de mairie d'un village en Provence, est assassinée et c'est le facteur local qui découvre le crime - un facteur assez fantasque qui, à ses heures perdues, réalise de gigantesques sculptures en plein air et adore les énigmes policières.

D'ailleurs, il en parle régulièrement avec un écrivain à succès demeurant non loin du village. Le commissaire Bergman est chargé de l'enquête. C'est un homme vieillissant qui en a déjà beaucoup vu dans son existence et dont la femme, Agnès, est dépressive et malade. Par contraste, son jeune adjoint, Barbeyrac, est encore plein d'entrain et plein d'illusions. En enquêtant, les deux policiers vont bientôt se rendre compte que Rosalie menait une drôle de vie et qu'elle avait notamment des appétits sexuels des plus singuliers.

Et voilà que des personnes qu'elle avait fort bien connues sont assassinées à leur tour... Le coeur de ce grand roman noir de Jean-Baptiste Baronian, c'est le regard désabusé du commissaire Bergman, c'est son errance, son spleen et, surtout, l'idée, l'idée fixe qu'il est la victime d'une étrange manipulation et que, dès le départ, son enquête a été pipée. Une sanglante histoire sous le soleil provençal.

Alors qu'il est à la recherche de la fille d'un producteur spécialisé dans les films X, Rubens, un détective privé vieillissant et mélomane, tombe sur le cadavre d'un violoniste ex-professeur au Conservatoire de Bruxelles et dont l'appartement a été mis à sac. Il alerte aussitôt la police. Laquelle lui apprend peu de temps après qu'on a retrouvé sous le cadavre une lettre pornographique signée d'une de ses anciennes clientes, Jeanne Mansfeld. Cette dernière est assassinée à son tour En cherchant à élucider ces meurtres, Rubens se heurte bientôt à son propre passé et au souvenir d'une amie qu'il a aimée et qu'il n'a plus revue depuis des mois. Mais déjà un nouveau crime est commis. Le roman, nerveux et efficace, plonge dans l'univers sombre de la pornographie érigée en divertissement bourgeois et en produit de consommation. C'est aussi le roman d'une ville, Bruxelles, à la fois très réaliste et très mystérieuse.

source :amazon

Des comptines légères, tendres, un peu folles, qui jouent sur l’univers familier des enfants. On rêve dans les bras de la lune, on s’émerveille devant un flocon de rhume… On écoute les bruits de la pluie, le hoquet du perroquet, le tic-tac de l’horloge… On s’évade au gré des rimes, des rythmes et des images.

A partir de 6 ans.

Moi, Hector, je suis un rêveur. Ma tête est pleine de rêves. Je m'imagine en peintre, en pilote de course, en danseur étoile ou même en dresseur de léopards dans un cirque ! Que j'aimerais aussi partir seul, faire le tour du monde...

ABC

Les lettres de l'alphabet peuvent être très amusantes. Surtout lorsque les animaux s'en mêlent!

Le 10 juillet 1873, dans un hôtel de Bruxelles, Paul Verlaine, complètement hors de lui et comme devenu fou, tire deux coups de revolver sur Arthur Rimbaud et le blesse au poignet gauche. Pour Arthur Rimbaud, obligé de rester "à la disposition de la justice", commence alors une errance de dix jours dans la ville où il fait d'étonnantes rencontres et où, en particulier, il va voir l'imprimeur du seul et unique livre qu'il ait jamais publié, Une saison en enfer. C'est cette errance à la fois mystérieuse, vertigineuse et magnifique, qui a changé le destin d'Arthur Rimbaud, que raconte le présent roman.

Rouletapir, le petit détective, est ravi : le prochain congrès mondial des détectives est pour lui l'occasion de voyager à bord d'un grand paquebot pour la première fois de sa vie. Pourtant, d'étranges disparitions viennent semer le trouble sur le bateau. Rouletapir ne sera pas de trop pour résoudre ce mystère... Dans une atmosphère à la Agatha Christie, un nouvel épisode des aventures de Rouletapir et une vraie histoire policière pour les petits.

Moi, Mélusine, je suis une petite fille du cirque. Mon meilleur ami, c'est l'ours Caramel. Il y a de la tristesse dans ses yeux... Je veux qu'il soit heureux !

Un vrai roman noir: Il y a ici un privé, des meurtres, des personnages tantôt sinistres, tantôt pathétiques qui se croisent et se détruisent, un mystère auquel on s'attache, du début à la fin...

Lorsque Arthur Rimbaud (1854-1891) écrit à sa sœur Isabelle «notre vie est une misère, une misère sans fin. Pourquoi existons-nous?», il est âgé de trente-sept ans et n'a plus que quelques mois à vivre. Mais qu'importe, il a déjà vécu plusieurs vies en une seule : une vie d'écolier précoce, une vie d'adolescent rebelle, une vie éphémère de poète génial, une vie d'époux aux côtés de Verlaine, une vie de grand voyageur autour du monde, une vie de négociant en Abyssinie, une vie d'estropié, une vie de tragédie grecque, de verbe et de silence. C'est l'unicité de cette existence, une des plus grandes aventures poétiques de tous les temps, que nous restitue, année après année, cette biographie.

Lorsqu'on est prof de musique et qu'un après-midi d'été Robert Mitchum enlève votre petite amie dans un mauvais remake de La Nuit chasseur, il y a de quoi rester sans réaction. Dans cette banlieue de Bruxelles coagulée par la torpeur estivale, un drôle de passé revient en force. Et le petit prof a bien du mal à résister à ce maelström où l'amour flirte avec le terrorisme, et à découvrir l'air vicié que cache ce mortel été.

Depuis toujours, les animaux occupent une place extraordinairement importante dans la littérature. Dans le domaine du fantastique, cette place est loin d'être négligeable : on ne compte plus les contes et les nouvelles qui mettent en scène des bêtes de toute espèce, les bêtes sauvages comme les bêtes domestiques. Leur présence est ici si envahissante qu'on peut peut vraiment parler d'une thématique particulière. Cette anthologie se propose de l'illustrer. Elle réunit ici des textes rares ou inédits, curieux, macabres, horribles, déroutants, absurdes, drôles. A lire, bien sûr, entre chien et loup.

Pourquoi, de loin en loin, les morts reviennent-ils dans le monde des vivants ? A quoi au juste correspond leur retour ? Et pourquoi, lorsqu'ils reviennent, cherchent-ils presque toujours à troubler, à bouleverser l'existence quotidienne ?

Il y a trente-six raisons pour revenir - et autant de manières de se manifester à la vie. Un mort peut resurgir sous l'aspect d'un fantôme ou d'un spectre mais aussi d'une façon plus subtile, par un simple bruit par exemple, ou une odeur, ou un objet qui lui a appartenu autrefois, ou n'importe quel autre maléfice...

Cette anthologie propose quinze retours différents. Les uns sont épouvantables, les autres tragiques, certains feront rire, quelques-uns, peut-être, feront pleurer. Mais tous témoignent de l'incertitude de l'être humain devant les choses de la mort.

Treize nouvelles criminelles et passionnelles qui racontent de vraies histoires à suspense où des gens ordinaires sont poussés à commettre le pire dans des circonstances banales.

La Belgique en 250 entrées, soit autant de déclinaisons très sentimentales d’un pays souverainement sans pareil. Ce livre est un vagabondage sentimental à travers la Belgique d’hier et d’aujourd’hui, ainsi qu’une vibrante célébration de ses personnalités les plus connues et de ses figures les plus méconnues. Roland de Lassus, Pieter Bruegel, Pierre Paul Rubens, Léopold II, Félicien Rops, Émile Verhaeren, Georges Simenon, Hergé, René Magritte, Jacques Brel, Eddy Merckx, Jean-Claude Van Damme, Amélie Nothomb, les frères Dardenne, Simon Leys, Justine Henin, Stromae… eux et des dizaines d’autres, ils sont tous là, au même titre que de drôles de personnages comme Clément Doucet, l’énorme complice de Jean Wiéner, ou Louis Hennepin, le premier homme à avoir atteint les sources du Mississipi. Mais la Belgique ne serait pas ce qu’elle est sans ses grands mythes : le surréalisme et le fantastique, les béguinages et les châteaux, les Schtroumpfs et les belgicismes, le chocolat et la bière, les moules et les frites, les vacances au littoral et celles dans les Ardennes, la balle pelote et les courses cyclistes, Quick et Flupke, Anderlecht et le Standard… Et puis toutes ces villes (Bruxelles, Liège, Anvers, Bruges ou Ostende), et toutes ces choses bizarres, parfois secrètes et mystérieuses, qu’on ne trouve nulle part ailleurs : les Agathopèdes, la fête des chats, la guerre de la vache, la pataphonie… Vagabondage libre, passionnel et ardent, auquel sont également mêlés quelques étrangers de renom tels que Victor Hugo, Karl Marx ou Giacomo Puccini, qui ont droit chacun à une entrée.

Le bureau des Risques et Périls est une mystérieuse cellule au sein du ministère de l'Intérieur. Il est composé de trois personnes qui ont pour mission de lire tous les romans policiers qui paraissent afin de relever tous les cas possibles et imaginables de crimes pouvant être commis et de les signaler en "haut lieu".

Or voilà que ces trois personnes, une femme et deux hommes, décident de commettre un crime parfait. Lequel suppose non seulement des meurtriers parfaits et des circonstances parfaites, mais également un coupable parfait. Encore faut-il bien le choisir. Et veiller à ce que rien ne vienne mettre en cause sa culpabilité...

Les rapports entre musique et littérature sont innombrables et ils ont accompagné l'évolution des deux arts depuis leur naissance. La poésie est sans doute la quintessence de ce compagnonnage, où l'écriture se fait musique. Il y a aussi des musiques qui racontent des histoires, et des histoires qui parlent de musique.

Mais il ne suffit pas d'évoquer une œuvre musicale dans un texte pour créer un duo émouvant ; il faut, entre les deux modes d'expression, une imbrication profonde, une symbiose où chacun conserve ses spécificités mais s'enrichit de celles de l'autre. Il faut, pour la littérature, que la musique soit la source intime de l'histoire et de l'écriture.

C'est ce que proposent les douze auteurs de ce recueil, né dans le giron de la "Nuit musicale de Seneffe" organisée par l'asbl Idée Fixe : une dodécaphonie de nouvelles suscitées par des œuvres musicales, couvrant un répertoire qui va de Josquin des Prez à Alban Berg (et même à Johnny Cash). Douze sonates orchestrées par des passionnés de musique et de mots, pour vous donner envie d'écouter et de lire, encore et encore, crescendo vivace...

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode