Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
713 422
Membres
1 006 157

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Tous les livres de Jean-Claude Damamme

1812... Pour ruiner le commerce maritime de l'Angleterre, qui finançait toutes les coalitions contre la France, Napoléon avait instauré en 1806 le Blocus continental, auquel le tsar Alexandre, vaincu à Austerlitz et à Friedland, s'était engagé à adhérer par le traité de Tilsit de 1807. Mais depuis longtemps, Alexandre ne respectait plus le traité, et les productions anglaises, arrivant par navires entiers dans les ports russes, se répandaient dans toute l'Europe. Alors, au mois de juin, une Grande Armée cosmopolite de 400 000 hommes se mit en route vers les terres inconnues de la Russie, et, pas à pas, comme si nous en faisions partie, nous la suivons depuis son départ en fanfare jusqu'à sa fin dramatique. Dans cette vaste fresque tumultueuse, qui se lit comme un roman, Jean-Claude Damamme met en scène une distribution éblouissante de soldats, de diplomates, d'espions, de politiciens et de souverains, pris dans le tourbillon de la politique et de la guerre, et menés par deux adversaires formidables : Napoléon et Alexandre. Le réalisme saisissant du récit parvient à faire partager au lecteur les angoisses, le désespoir, les souffrances inouïes de ces hommes, et leur acharnement à survivre coûte que coûte par des températures de moins 30° C, fût-ce au prix, devenu dérisoire, de la vie de leurs compagnons d'infortune. L'auteur fait ici revivre dans leur grandeur, leur misère, leur déchéance parfois, leur abnégation souvent, les personnages qui, pour certains, surgissent, flamboyants, ou, pour d'autres, se glissent, discrets, dans la terrible aventure. Les Aigles en hiver - Russie 1812 est l'histoire, comme on ne l'avait jamais écrite, d'une odyssée gigantesque qui reste sans équivalent.

Vie quotidienne, armement, manières de combattre, autant de thèmes donnant à comprendre l'extraordinaire succès de la Grande Armée de Napoléon.

Le corps à corps a duré dix années. Il a débuté en Moravie le 2 décembre 1805, et il a pris fin dans une plaine de Belgique, le 18 juin 1815. Entre ces deux dates, plusieurs centaines de milliers d'hommes de drapeaux divers ont servi dans les rangs de la Grande Armée, courant de victoire en victoire, chaque fois plus chèrement acquises. Pour ne rien laisser perdre de leurs aventures quelques-uns de ces hommes ont noirci des petits carnets. Grâce à eux, l'auteur fait revivre avec le regard et les états d'âme des soldats le quotidien de la Grande Armée, celui des combattants obscurs comme celui des maréchaux ou des estafettes et des aides de camp : la découverte des champs de bataille, les impressions après le combat, les marches, les bivouacs, la quête de la nourriture et d'un abri ; l'avancement, les décorations, la discipline, les punitions, le courrier, le sort des prisonniers ; le service de santé, les techniques d'opérations. Enfin, le crépuscule de la Grande Armée avec les soldats enfants, les réfractaires, les astuces pour échapper à l'uniforme, le dernier carré à Waterloo. Ecrit à partir des récits d'acteurs et de témoins du temps, ce livre fait passer sous nos yeux la grandeur et la misère, l'obstination de la vie et de la mort qui furent le lot des soldats de la Grande Armée. En eux, Alfred de Vigny voyait romantiquement « les restes d'une race gigantesque ». Ils ne furent pourtant au départ que des hommes comme les autres, que Napoléon et les circonstances placèrent dans des situations d'exception.

"18 juin 1815. Dans le champ clos de Waterloo, Napoléon et Wellington sont face à face. Avec eux, 140 000 hommes. Ce livre raconte l'histoire d'une bataille qui a changé le cours de la France et le destin de l'Europe. A l'aide des témoignages de combattants des deux camps, des souvenirs rapportés par les anonymes du champ de bataille - médecins, cantinières, villageois -, l'auteur brosse heure par heure la fresque du combat, vu à hauteur d'homme. Il plonge au cœur des carrés anglais hérissés de baïonnettes, charge avec les cuirassiers, accompagne les vétérans de la Vieille Garde dans l'attaque contre Mont-Saint-Jean, suit les fuyards pourchassés par les Prussiens et parcourt une plaine jonchée de 50 000 victimes. Il analyse les trahisons, les défaillances et les incertitudes qui font de Waterloo une bataille légendaire."

Je crains la guerre, je l'ai dit à l'Empereur le premier bruit me fait frissonner mais ensuite quand j'ai fait le premier pas, je ne pense plus qu'au métier." Ainsi parlait Jean Lannes, que Napoléon tenait pour l'homme le plus brave de son armée. De sa naissance obscure dans le Gers au sommet des honneurs à la cour impériale, du jeune volontaire au maréchal d'Empire, de l'officiel républicain au duc de Montebello, cette vie au destin tragique fut à l'image d'une époque tourmentée. Le mérite de cet ouvrage est bien de sortir de la pénombre ce personnage fascinant, acteur essentiel et témoin privilégié de la grande aventure napoléonienne. A partir d'innombrables correspondances, de documents d'archives et de la famille, souvent inédits, l'auteur nous entraîne d'Arcole à Essling en passant par l'Egypte, Montebello, Marengo, Austerlitz, Léna, Pultusk, Friedland, Saragosse, dans le sillage tumultueux de ce «diable de Lannes». Mais loin des champs de bataille, ce jeune général couvert de gloire et de blessures est aussi un époux tour à tour malheureux et volage, puis comblé auprès de l'énigmatique Louise de Guéliéneuc et un ambassadeur de choc dans le guêpier anglo-portugais de la cour de Lisbonne. Impavide sous le souffle de mort des boulets, violent jusqu'à l'emportement, soldat redoutable mais sensible à la détresse des hommes, fidèle dans ses amitiés comme dans ses haines, fasciné par le génie de Napoléon mais jamais dupe, il se disait «bien à plaindre de la passion qu'il portait à cette catin», l'Empereur ! Mais en apprenant sa mort, Napoléon bouleversé, murmurera «Quelle perte pour la France et pour moi.»"

Princesse de la Renaissance aux idées médiévales, catholique sévère transfigurée en Diane chasseresse, implacable-politique en même temps que gracieux emblème de toute une civilisation, Diane de Poitiers se dresse au carrefour de deux époques dont elle symbolise les contradictions. Après avoir été l'épouse irréprochable d'un infirme de quarante ans son aîné, elle devint, une fois veuve, l'amante d'un adolescente - le futur Henri II - qui l'idolâtra jusqu'à la mort et sur qui elle exerça, pour le malheur de la France, une influence absolue. Pourtant, en faisant entretenir par des artistes de génie le mythe de son éternelle beauté, elle nous a légué certains de nos plus grands chefs-d'oeuvre. Son destin inspira poètes, romanciers, dramaturges et pamphlétaires, mais la réalité dépasse leurs évocations.

De 1920 à 1933, l'importation, la vente et la consommation d'alcool ont été strictement interdites en Amérique du Nord. Popularisée par la littérature et le cinéma, la "prohibition" fut l'un des plus grands désastres de l'histoire des Etats-Unis. Elle y causa une quantité effrayantes de meurtres et de détentions, y engendra le grand gangstérisme et la corruption généralisée. Elle eut, bien sûr, ses tristes héros, tel George Remus, le plus célèbre des bootleggers. A l'inverse, elle accéléra les progrès dans les domaines du chiffre, des services d'écoutes et de l'infiltration des réseaux. Sa sanglante histoire éclaire l'Amérique d'aujourd'hui.

Leur épopée s'achève le 18 juin 1815 à Waterloo. Depuis dix ans, par centaines milliers, ils ont servi dans les rangs de la Grande Armée. Ils ont couru des sierras espagnoles aux neiges de Russie. Ils ont acquis, aux prix d'inouïes souffrances, leur immortalité dans la mémoire humaine. Volant quelques heures de repos aux haltes et aux veilles, certains ont noirci de petits carnets. Ils y décrivent, au jour le jour, errances, combats, tragédies, brefs bonheurs. A partir de ces précieux témoignages, voici reconstituée leur extraordinaire aventure.

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode