Jean De Léry
Auteur
Activité et points forts
Thèmes principaux
Classement dans les bibliothèques
Quelques chiffres
Note moyenne : 5.54/10Nombre d'évaluations : 24
0 Citations 14 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
Livre profondément ennuyant.
Afficher en entierUn livre très enrichissant et rapide à lire qui décrit à la perfection les cultures des américains d'il y a 400 ans. Ce saut dans le temps et le lieu est très intéressant et permet aux lecteurs d'aujourd'hui de s'interroger sur leur propre mode de vie grâce à ce mythe du "bon sauvage", qui offre un œil neuf sur notre monde.
Afficher en entierCe livre est, je trouve d'une nullité incalculable !
C'est tout simplement un somnifère.
-D'abord, la couverture est horrible, et donne tout sauf envie.
-Après les phrase sont hyper longues (au premier chapitre, la phrase fait presque toute la page, à trois ligne près).
-L'histoire est d'un ennuis mortel.
-C'est très mal raconté.
Alors vraiment ne lisez pas ce live qui est zéro !
Afficher en entierEt sachez que c'est dans mon cour de français qu'on ma forcé à lire ce livre. Sinon je ne l'aurai JAMAIS lu.
Afficher en entierCe livre est très difficile à lire, je n'ai pas pu le terminer. En plus d'un récit déjà long et compliqué (600 pages en Moyen français) il y a de nombreuses descriptions. Une lecture interminable et ennuyeuse.
Afficher en entierUn bon récit de voyage, l'histoire d'un homme qui s'aventure dans des terres qu'il ne connaît pas et témoigne de la vie qui se mène là-bas.
Afficher en entierIl s'agit d'un récit de voyage très très court, écrit avec une certaine fluidité qui permet une lecture agréable. L'auteur, Jean de Léry, nous fait voyager lorsqu'il dresse le portrait du Brésil : nature verdoyante et luxuriante, diversité des animaux et des aliments, différence de cultures, et peuple très accueillant malgré leurs pratiques anthropophages. L'auteur tente de contrer les préjugés des Européens de l'époque à l'égard des "sauvages" dont ils ne relèvent que la barbarie. Jean de Léry nous fait réfléchir sur l'opposition entre les Européens et les Amérindiens dits sauvages. Comme si l'Européen était un idéal, un modèle à suivre, alors qu'il fait preuve de cupidité et est dominé par ses désirs de posséder, ce qui amènera à des massacres, de la barbarie, à des guerres de territoires et de religion.
Afficher en entierSi ce livre n'avait pas été au programme du CAPES, je ne l'aurais jamais terminé, d'où le classement que je lui ai attribué. En soi, il n'est pas désagréable à lire, juste terriblement long et convenu. Le regard porté sur ces populations d'Amérique est encore supérieur. Si on apprend des choses intéressantes et s'il y a quelques détails croustillants, c'est plutôt rare. En outre, la plume de l'auteur n'a pas grand intérêt, et manque de sel, même si la langue du XVIe siècle est très belle. Je m'attendais un peu à trouver un récit à la Montaigne, avec beaucoup d'esprit et d'élégance, et ai donc été déçue. J'avoue que je ne parviens pas à cerner d'enjeu littéraire d'importance et m'étonne donc de la présence de ce livre au programme. Peut-être les cours m'éclaireront-ils, mais j'avoue que j'en doute...
Afficher en entierNe pas se laisser amadouer par son récit, Léry écrit, rééecrit à postériori son texte. Il est nécessaire d'avoir un regard tragique et de garder en mémoire l'Histoire à laquelle il est confronté.
Afficher en entierUn récit intéressant et important mais une plume pas très accrocheuse.
Afficher en entierDédicaces de Jean De Léry
et autres évènements
Aucun évènement prévu
Biographie
Jean de Léry, né au alentours de 1536 à La Margelle, terre de Saint-Seine (actuellement Côte-d'Or, France), mort vers 1613 à L'Isle (Suisse) à l’âge de 77 ans, est un grand voyageur et écrivain français.
D’origine très modeste, Jean de Léry apprend le métier de cordonnier. Il se convertit à la Réforme et se réfugie ensuite en Suisse à Genève. En 1557, Jean Calvin l'envoie avec treize autres Genevois rejoindre la « France antarctique » de Nicolas de Villegagnon, établissement français dans l'actuelle baie de Rio de Janeiro. Il y reste du 7 mars 1557 au 4 janvier 1558. La concorde religieuse semble d'abord régner mais, en octobre, les protestants sont chassés de « l'île Coligny » ou Fort Coligny et doivent partager la vie des Indiens Tupinambas, avant d'être définitivement expulsés du Brésil. Ces quelques mois passés dans l’intimité d’anthropophages marquent profondément Léry, déchiré son admiration des « sauvages » et son rejet du paganisme. À son retour, ses amis le prient d'écrire un livre pour conter ses expériences, mais il perd deux fois le manuscrit après l’avoir prêté à des amis pour qu’ils le lisent. Il ne le publie qu’en 1578, sous le titre Histoire d'un voyage fait en la terre du Brésil. L'ouvrage se présente d’abord comme une réponse à André Thevet qui rejetait la responsabilité de l’échec de la colonie en France Antarctique sur les protestants.
À son retour en France, pendant les guerres de religion (France), il doit se réfugier à Sancerre après le massacre de la Saint-Barthélemy, en 1572. Il y connaît la famine lorsque la ville est assiégée par les catholiques l’année suivante. Il est notamment le spectateur d’une scène d’anthropophagie, où un couple affamé en vient à manger son enfant, qui lui rappelle les scènes de cannibalisme qu’il a pu observer lors de son séjour au Brésil. Ces événements sont relatés dans l’Histoire mémorable du siège de Sancerre, que Léry fait publier en 1574.
Longtemps méconnue, l’œuvre de Jean de Léry a bénéficié d’un regain d’intérêt, notamment grâce à l’éloge qu’en a fait Claude Lévi-Strauss dans Tristes Tropiques et à l’étude fondatrice que lui a consacrée Michel de Certeau dans L'écriture de l'Histoire. Frank Lestringant, spécialiste de la littérature de voyage, a accordé une large place aux ouvrages de Jean de Léry comme à ceux d’André Thevet.
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_de_L%C3%A9ry
Afficher en entier