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Par Rahan le 1 Avril 2011 Editer
Rahan
Jean Dufaux naît le 7 juin 1949 à Ninove. Passionné de cinéma, il s'inscrit à l'Institut des Arts et Diffusion (Bruxelles). De 1969 à 1973, il s'y familiarise avec les procédés cinématographiques qui influenceront son écriture en bande dessinée. Sorti de l'I.A.D., il devient journaliste à Ciné-Presse, revue destinée aux professionnels du cinéma.

En 1983, il décide de se consacrer en priorité à la bande dessinée. Le journal Tintin est son premier port d'attache. Il effectue de nombreux travaux de commande. Rien de tel pour faire ses premières gammes. En 1983, il co-scénarise (avec Vernal) la série Brelan de dames dessinée par Renaud. Les deux hommes n'oublieront pas cette première collaboration.

En 1985, il conçoit les aventures de Melly Brown (dessin : Musquera).

En 1986, il fait son entrée chez Dargaud Benelux avec La toile et la dague (dessin : Aidans) et, surtout, Beatifica Blues. Griffo assure le dessin de cette série post-atomique qui lorgne vers Bilal (il y a pire comme référence). Renaud et Griffo formeront rapidement le "noyau dur" de la "bande à Dufaux" qui fait également son apparition dans le catalogue des éditions Glénat avec Les maîtres de la brume (dessin : Eric). Les éditeurs savent désormais que Dufaux a terminé sa période rodage. Ses grands personnages vont naître.

1987 est une grande année. Il crée Jessica Blandy avec Renaud. La belle demoiselle, derrière un physique parfait, cache une faille que Dufaux révèle par petites touches. Pour la première fois, il donne une étoffe psychologique à un personnage. Cette épaisseur psychologique sera désormais la marque de son travail. Dans la foulée, il lance Giacomo C. Griffo illustre ces aventures vénitiennes librement inspirées de Casanova, donc fort galantes.

En 1988, Les enfants de la salamandre (dessin : Renaud) voit le jour et les tendances "fantastique" qui hantent Dufaux sont mises en scène progressivement et à chaque fois sous un angle différent. Il considère ces tentatives comme un gigantesque puzzle où chaque album, chaque série, est une pièce nouvelle. Dans un autre registre fantastique (tendance Vaudou), il concocte pour Paape et Sohier Les jardins de la peur.

A l'aube des années 90, Jean Dufaux met le turbo jusqu'à bientôt mériter l'étiquette de "Jean le prolifique". Chelsy (dessin : Joris), né en 1990, se déroule dans le monde des arts, cuvée sixties (à l'I.A.D., il avait particulièrement apprécié les cours portant sur la psychanalyse de l'art). L'année suivante, il lance trois nouvelles séries : Avel (dessin : Durieux), Fox (dessin : Charles) et Santiag (dessin : Renaud). Il publie le premier volume de sa série consacrée aux écrivains qu'il aime : Sade (dessin : Griffo), Pasolini (dessin : Rotundo), Balzac (dessin : Savey), Hemingway et Hammet (dessin : Malès) suivront.

En 1992, Sang de Lune lui permet de lancer Vivianne Nicaise. Il réactive Beatifica Blues, univers qui lui tient à coeur, dans un second cycle : Samba-Bugatti. Un an plus tard, outre le lancement du cycle Les Voleurs d'Empires (dessin : Jamar), il réalise enfin un vieux rêve en travaillant avec Rosinski. Complainte des Landes Perdues est le résultat de leur union.

En 1994, il fait une incursion dans Aire Libre (Dupuis) avec un « Monsieur Noir » développé en 2 volumes illustrés par Griffo.

En 1997, pour Dargaud, il explore l'Amérique des années '20 avec « Dixie Road » (dessin : Labiano), puis revisite l'Antiquité romaine et remet à l'honneur le peplum bédessiné avec la série « Murena » illustrée par Delaby.

En 1998, pour Glénat, il crée « Les Révoltés » (dessin : Malès) et « Ombres » (dessin : Rollin). La même année, il publie le 1er tome de la saga vampiresque « Rapaces » (dessin : Marini) chez Dargaud.

En 1999, Jean Dufaux revient au Lombard et y participe au lancement de la collection de thrillers contemporains Troisième Vague Lombard avec la série « Niklos Koda » mise en images par Olivier Grenson et dont le héros est un séduisant espion-diplomate.

En 2001, pour Dargaud, il crée « Djinn », un polar érotico-fantastique qui a pour cadre le Proche-Orient (dessin : Mirallès)... Primé de très nombreuses fois dans les grands festivals de BD, Jean Dufaux est un des rares scénaristes à pouvoir mettre en scène des univers variés tout en garantissant au lecteur une écriture originale et reconnaissable. Très sollicité par les éditeurs, le scénariste se veut toutefois désormais moins prolifique pour polir au mieux les nouvelles pièces de son puzzle. ne écriture originale et reconnaissable. Les éditeurs sont à présent demandeurs du "style Dufaux". Mais le scénariste se veut désormais moins prolifique pour polir au mieux les nouvelles pièces de son puzzle.
Par MlleAnastasia le 5 Novembre 2010 Editer
MlleAnastasia
Né à Charleroi en 1962, Olivier Grenson (dessin) a su, dès l'âge de dix ans, qu'il ferait de la bande dessinée. La découverte des aventures de Lucky Luke et de Tintin constitue, pour lui, une véritable révélation. Aussi suit-il, dès que ses études classiques lui en laissent le loisir, les cours de Vittorio Leonardo... avant de s'initier aux secrets du métier chez Eddy Paape. Puis il étudie le graphisme et l'animation à l'ERG (Ecole de Recherche Graphique) à Bruxelles pendant 4 ans. Il publie ses premières séries dans les années 80, dans le Journal de Tintin ("Aldose et Glucose"), la revue Circus ("Jack et Lola"), parallèlement à ses débuts à la télévision : chaque semaine, il anime jusqu'en 1985 la rubrique BD de l'émission Clip-clap, pour RTL. Son premier album, "Le Golem" (Ed. Claude Lefrancq, 1989) avec le scénariste Michel Oleffe rencontre un succès inespéré. L'intérêt suscité par le détective Cartland Cross lui vaudra de signer avec la société de dessins animés ODEC-KID Cartoons un contrat portant sur la réalisation de 26 dessins animés pour la télévision, diffusés sur TFI, Canal +, en Belgique (RTBF, BRT), en Suisse et au Canada. Suivront, de 1991 à 1995, "Le Dossier Carnavon", "Tunnel", "Le Mystère du Loch Ness 1 & 2", "La Goule de Shadwell". Puis "Les Pendus de Manhattan" en 1998, septième épisode des aventures du "Détective de l'Impossible", qui renoue avec l'atmosphère angoissante des premières histoires. C'est en 1998 qu'Olivier Grenson entame une collaboration avec Jean Dufaux sur la série "Niklos Koda" . En plus de son enseignement et de son travail de dessinateur, Olivier Grenson travaille régulièrement dans la publicité (SPACIX ...). Passionné de cinéma, Jean Dufaux (scénario) fait ses études de scénariste à l'Institut des Arts et Diffusion (Bruxelles) : de 1969 à 1973, il s'y familiarise avec les procédés cinématographiques qui influenceront son écriture en bande dessinée. Il devient alors journaliste à Ciné-Presse, revue destinée aux professionnels du cinéma et se met à écrire pièces de théâtre pour enfants et nouvelles avant de se lancer définitivement dans la bande dessinée. C'est au journal Tintin qu'il fait ses premières armes, avec la série "Brelan de dames" (1983, avec Vernal comme co-scénariste) dessinée par Renaud. Les deux hommes n'oublieront pas cette première collaboration. En 1986, "La Toile et la dague" (1986, Aidans au dessin) marque sa première collaboration chez Dargaud. Il y fait sa deuxième rencontre décisive lors de son travail avec le dessinateur Griffo sur "Beautifica Blues", série post-atomique qui lorgne vers Bilal. Renaud et Griffo formeront rapidement le "noyau dur" de la "bande à Dufaux" qui fait également son apparition chez Glénat avec "Les Maîtres de la brume" (dessin : Eric). Les éditeurs savent désormais que Dufaux a terminé sa période de rodage. Ses grands personnages vont naître - "Jessica Blandy" (1987) avec Renaud, "Giacomo C." avec Griffo - ainsi que ses grandes sagas fantastiques chez Dargaud : "Les Enfants de la Salamandre" (Renaud au dessin, Ed. dargaud, 1998), "Les Jardins de la peur". A l'aube des années 90, Jean Dufaux met le turbo jusqu'à bientôt mériter l'étiquette de "Jean le prolifique": "Chelsy" (dessin : Joris, 1990, Ed. Glénat), puis trois nouvelles séries en 1991 (" Avel", "Fox " et "Santiag"). En même temps, il débute sa série consacrée aux écrivains qu'il aime avec un premier volume sur "Sade" (dessin : Griffo). "Pasolini" (dessin : Rotundo), "Balzac" (dessin : Savey), "Hemingway et Hammet" (dessin : Malès) suivront. Il réactive "Beautifica Blues" en 1992, univers qui lui tient à coeur, dans un second cycle : "Samba-Bugatti"( Ed. Glénat). Toujours chez Glénat, il entame le cycle "Les Voleurs d'Empires" (dessin : Jamar). En 1993, il réalise enfin un vieux rêve en travaillant avec Rosinski : "La Complainte des Landes Perdues" est le résultat de leur union (Ed. Dargaud). En 1994, il fait une incursion chez Aire Libre (Dupuis) avec un "Monsieur Noir" développé en 2 volumes (récit romantico-fantastique nuancé de burlesque). Au dessin : Griffo. Dufaux a décidément la collaboration fidèle. Mais, surtout, il est un des rares scénaristes à pouvoir mettre en scène des univers variés tout en garantissant au lecteur une écriture origine et reconnaissable. Les éditeurs sont à présent demandeurs du "style Dufaux". En témoignent ses nouvelles associations et le lancement de nouvelles séries de front pour les grands de l'édition BD : "Dixie Road" (dessin : Labiano, 1997), "Murena" (dessin : Delaby, 1998), "Rapaces" (dessin : Marini) chez Dargaud ; "Ombres" (dessin : Lucien Rollin), "Les Révoltés" (avec Marc Malès), et "L'Impératrice Rouge" avec Adamov (1999). Puis il crée "Niklos Koda", avec Olivier Grenson, dans la Collection Troisième Vague aux Editions du Lombard.
Par Lilou le 13 Décembre 2009 Editer
Lilou
Journaliste et scénariste de BD belge
[Bande dessinée]
Né à Ninove le 07 juin 1949

Passionné de cinéma, Jean Dufaux s'inscrit à l'Institut des arts et diffusion de Bruxelles. De 1969 à 1973, il s'y familiarise avec les procédés cinématographiques qui influenceront son écriture en bande dessinée. Sorti de l 'IAD, il devient journaliste à Ciné-Presse, revue destinée aux professionnels du cinéma. En 1983, il décide de se consacrer en priorité à la bande dessinée. Le journal Tintin est son premier port d'attache. Il effectue de nombreux travaux de commande. Rien de tel pour faire ses premières gammes. En 1983, il coscénarise la série 'Brelan de dames' dessinée par Renaud. Les deux hommes n'oublieront pas cette première collaboration. Renaud et Griffo formeront rapidement le 'noyau dur' de la 'bande à Dufaux' qui fait également son apparition dans le catalogue des éditions Glénat avec 'Les Maîtres de la brume'. 1987 est une grande année. Il crée Jessica Blandy avec Renaud. En 1988, 'Les Enfants de la salamandre' voit le jour et les tendances 'fantastiques' qui hantent Dufaux sont mises en scène progressivement et à chaque fois sous un angle différent. A l'aube des années 90, Jean Dufaux met le turbo jusqu'à bientôt mériter l'étiquette de 'Jean le prolifique', avec notamment 'Avel', 'Sang de Lune', 'Niklos Kolda' et 'Djinn'.

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