Jean-François Joubert
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Note moyenne : 6/10Nombre d'évaluations : 1
0 Citations 8 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
ce livre, pendant des années je l'ai porté, de petits textes que valérie bulles m'a permit de polisser, j'invente et j'invite à le lire, le picorer, nous sommes tous des poules quant-on s'évade sur des chemins de traverse, commandez le à lanildut, si vous voulez que je griffonne un petit mot doux sur la page d'introduction
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04/09/11
critique valérie loncle
"Sur la planète Éris, les inspecteurs Pittbull et Basset mènent l’enquête, un matin la petite sirène de Koort est trouvée morte sur la plage, et c’est le début d’une collaboration entre un vieux flic et un novice, à l’aide d’un mage, ils vont trouver des pistes, tourner en rond et chercher la clef de l’énigme, une aventure palpitante aux airs surréalistes, drôle et poétique."
Lorsque l’on met les pieds sur la planète Eris, on entre tout droit dans un monde fantaisiste et surréaliste…
Mener une enquête sur Eris , c’est faire un long voyage avec le chapelier fou de Lewis Carroll ! ça déménage !!!
N’attendez pas de ce livre une enquête en bonne et due forme menée de mains de maîtres par des super héros , l’intérêt se porte à un tout autre niveau .
L’auteur joue avec les mots, le langage .Il inonde son phrasé de couleurs et de poésie , ajoute un brin de philosophie dans un style complètement hors norme qui peut ,par moment , sembler difficile d'accès.
On passe d’un tableau à l’autre sans interlude , comme dans un rêve hallucinatoire ultra coloré.
«Supers» enquêteurs, «supers» intrigues , «supers» enquêtes ? Non , non pas dans ce roman !
Vous y trouverez par contre de la «super» poésie et vous vous surprendrez à sourire des «supers» jeux de langage .
Dans sa dédicace, Jean François Joubert a écrit : «…il faut pour l’aimer se laisser porter par les mots sans parfois chercher à comprendre …» .
Il a raison, il faut se laisser porter par les mots mais accepter aussi d’entrer dans son monde fantaisiste sans se poser trop de questions ….
Jean François Joubert semble être un écrivain doté d'une grande sensibilité poétique, pour en apprendre davantage
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04/09/11
critique de luc doyelle
Attention, ce roman est un OVNI !
Si vous aimez les polars bien structurés, avec un scénario bien ficelé, qui tient en haleine et qui nous mène rigoureusement vers le coupable, passez votre chemin.
Ce roman n'est rien de tout cela. C'est un polar, oui, mais il emprunte plus sûrement à Pierre Dac qu'à Fred Vargas.
Imaginez justement un Pierre Dac sous ecstasy qui succomberait à une crise de delirium tremens (ou très gros, comme vous voudrez). Je sais que c'est difficile, mais imaginez. Vous aurez ainsi une petite idée de ce qui vous attend.
Cette petite sirène pétarade dans tous les sens. L'absurde est de rigueur, à tel point qu'après dix pages de lecture, on ne sait plus si on se trouve dans un polar ou dans un remake d'Alice au pays des merveilles, version commissaire Bougret (cf Gotlib, mélange de Bourel et Maigret).
Après vingt pages, on se fiche royalement de retrouver l'assassin (car il y a tout de même un assassin). Non, l'intérêt ici est de se noyer dans le texte.
Quand vous aurez terminé votre lecture, vous réaliserez que les Monty Python pourraient aisément passer, en comparaison, pour de vulgaires professeurs de macro-économie à la Sorbonne.
Ah, j'oubliais : avant lecture, il est conseillé de prendre deux Dafalgan. On ne sait jamais..
Afficher en entierEst-ce pour la possession de La croisée des chemins - "(...) un traité de magie noire, les illuminations d’un moine du quatorzième siècle…" - qu’Édouard Duret, le Mage du Rumorvan, a été assassiné à l’aide d’une serpe couverte d’or ? Pourquoi a-t-on mis le feu à sa maison, et brulé le cadavre, mais aussi ses chiens-loups et sa bibliothèque ?
L’a-t-on assassiné pour ses livres ou pour d’autres raisons. Magie noire ?
"…Pour lui, l’âme volait et il suffisait de l’attraper, de savoir lui parler. … Lui, ce qu’il voulait, c’était la toute-puissance du Diable."
Crime organisé par des notables soucieux de leur réputation ?
… Savez-vous au moins que la mort du mage fait tapage en haut lieu ?
- Et pourquoi ?
- Les messes noires de ce Monsieur étaient, disons, très réputées dans des stratosphères que, ni vous ni moi ne fréquentons.
Trafic de livres rares, anciens et sulfureux ? "Les nouveaux filons sont connus : les œuvres d’art en général, et le livre au détriment des tableaux, plus facile à emporter, et à voler."
Crime passionnel ? Le mage, marié à Clarisse avait une maitresse. Un scandale éclate lors de son enterrement. "(...) ces deux femmes en noir qui se disputaient le droit de deuil avaient un mobile aussi vieux que la bave du dragon : la jalousie."
Serge Lavigne arrive dans le petit village de l’Abert-Ildut pour y mener l’enquête. Toulousain d’origine, mais Breton d’adoption il s’immerge dans le village, loge chez Suzanne Querné, et fréquente bar, restaurants et crêperies.
Il est accompagné dans son enquête par un stagiaire journaliste qui circule à vélo et porte des chaussettes rouges. Il y a un chat, jamais le même qui passe dans le récit ; Yann, si alcoolique que personne ne tient compte de ce qu’il raconte ; des bouquinistes crapuleux, des jumeaux, des liens de famille qui se découvrent peu à peu ; la mer, les fous de Bassan, les bateaux ; des amours défaites. Plusieurs suspects sont interrogés, puis disculpés.
Le but d’une chronique au sujet d’un roman policier n’étant pas de divulguer qui est le coupable, je ne le ferai pas.
Si Le mage du Rumorvan est bien un roman policier, il est aussi plus que cela. Je vais essayer de montrer en quoi sa lecture m’a troublée et parfois dérangée.
Le roman est construit en deux parties. Dans la première, j’ai retrouvé le plaisir que j’avais eu en lisant Gaston Leroux et Maurice Leblanc. Et pour moi, c’est un compliment. Je suis lasse de patauger dans l’hémoglobine et d’assister à des autopsies en direct. Que voulez- vous, j’aime Leblanc, Leroux, Agatha Christie, Simenon et quelques autres encore.
Plus qu’un roman policier disais-je. Outre que Jean-François Joubert parle merveilleusement de sa région et des croyances qu’elle continue d’abriter, il parle terriblement bien de la maladie mentale, de la folie, de la mort.
Et il travaille une forme d’écriture que l’on ne rencontre pas dans le genre, ce qui est parfois déstabilisant.
D’aventure, si vous croisez son regard, ne soyez pas effrayé par son absence d’iris. Son masque, de beauté défunte, est une blessure superficielle, car son cœur bat toujours. … ne fuyez pas l’étrange, il glisse sur vos principes, prend force, et anticipe les pertes de temps. Devenez cette passion passagère, elle vous attire vers ces délires, le partage des peaux et du lendemain. … N’oubliez pas, vous venez de croiser son regard, ce paradis perdu, cette force de la faux. Vous êtes mort.
La croisée des chemins. C’est bien là que se trouve le lecteur de cette œuvre étrange et, il faut le dire, inégale dans sa qualité. La deuxième partie, intitulée Épilogue, est, de mon point de vue, de trop. Mais elle pourrait donner lieu à un autre roman.
La randonnée que propose Jean-François Joubert sort très largement des sentiers battus de la littérature. Dans ce roman, j’ai trouvé beaucoup d’humanité. Je ne sais comment dire autrement. Il faut simplement accepter de rencontrer une forme de folie. Ce que fait l’inspecteur Lavigne, victime d’hallucinations – messages de l’haut-delà – qui le conduiront sur la piste du coupable.
Afficher en entierIl y a eu – lectures à tout va et battage force 9 – le (regretté ??) Da Vinci code de Dan Brown. Thriller – jeu de piste caracolant de l’église Saint-Sulpice à l’Angleterre, autour d’une quête, et d’un pseudo complot religieux, sectaire, que sais je encore… passions déchaînées dans ce grand bol dégoulinant d’irrationnel particulièrement déjanté. A tel point, souvenez-vous, qu’ont fleuri – parallèlement au livre et à son film – des manuels pour mieux « décoder » l’histoire (grammaire pour analphabètes, en sorte) et – tenez-vous bien – des circuits touristiques pour mémères américaines ! Ouf !
On croyait en être sorti, mais on y revient ! Le mage du Rumorvan a – c’est tout le mal qu’on lui souhaite – en sa besace écolo-policière, les ingrédients qu’il faut pour mitonner un « Da Vinci code français, provincial, bretonnant », mais un artisanal, à la « chez nous » ; pas l’autre machine tonitruante et aveuglante du bouquin hollywoodien…
On peut faire confiance au poète discret et soigneusement présent, qu’est Jean-François Joubert, pour, en plus – j’allais dire : surtout – ne pas se prendre au sérieux. Pas de thèse ronflante, pas de message venu de l’au-delà ; un simple bon moment passé avec ce polar des embruns, juste mélancolique ce qu’il faut.
Mais de fait, la Bretagne – autant dire l’auteur, tant il la connaît – terre celtique, mystères de Brocéliande, amertumes granitiques et non moins romantiques des tourelles de Chateaubriand ; on aurait pu tomber plus mal, comme scène de ce polar, souvent nocturne – ou, au bord – embrumé, pluvieux, comme seul le Finistère sait s’en honorer. « On aurait dit que la lune était rousse et le soleil venait à peine de rejoindre l’autre hémisphère, quand tous les chiens du quartier se mirent à hurler à la mort… ». Image d’Epinal, d’un village breton ; granit, vieilles ardoises, hortensia, demeures nobles (de l’Agatha passe…) ; vieux grimoires, surtout – « Da Vinci », je vous dis – recherche enfiévrée d’un livre – Le Livre – « La croisée des chemins » (ça ne s’invente que dans le sourire moqueur de Joubert !) : « tous les propriétaires de ce livre sont morts de façon suspecte ! ». Mélangez ça à la disparition violente d’un original – le « mage » ; mettez une pincée de sorcellerie, genre Berry de George Sand, quelques chiens, bien loups, une Nolwen Lamour, des flammes d’auto da fe… secouez, dégustez, avec une crêpe bretonne, et sa bolée de cidre. Comme dans le Dan Brown, en moins lourd, en plus joli voyage, on vaque, de Bretagne maritime, en intérieure « Brest était malade de la guerre, mais Quimper sentait l’histoire de ses vieilles pierres »… de page en page « il pleut », non pas sur Nantes, mais, assurément, sur Brest. L’enquête s’annonce aussi claire que les pires cieux bretons, c’est vous dire ! On l’a confiée, et c’est un des bonheurs du livre, à un Lavigne, issu d’un lointain soleil toulousain, « pas breton pur beurre salé, mais tout de même têtu ». Le bonhomme est de ces inspecteurs qu’on aime à fréquenter – en tous cas, moi – dans les séries TV, plus près de Colombo que du héros pistoléro. Il a l’accent d’en bas, des peines conjugales ; carbure à la bière : « avez vous une Coreff ? Juste de la tonnerre de Brest ; blonde ou brune ? Ambrée, aux algues ». Il est harcelé, comme il se doit, par « sa » juge qui l’apostrophe sans ménagements, au bout d’un portable qui chante un vieux Souchon « dans les poulaillers d’acajou, les belles basses cours à bijou… ».
Seulement – et ce n’est pas la première fois que Jean-François Joubert nous fait le coup – il y a, sous le polar tranquille et bretonnant, sous la crêpe et son cidre, un autre livre : celui qui connaît impeccablement sa région qui crève : « regardez ici, plus de boulangerie, les épiceries qui ferment les unes après les autres ; y a pas un jeune qui devrait s’enterrer dans ce coin paumé » ; le livre presque tragique – en tous cas, d’un réalisme noir – qui ouvre les portes de l’hôpital psychiatrique, où l’on compte le temps de dépression lourde en amnésie parfumée à la psychose… il y a aussi de ces faits divers, comme seule la province en fabrique – ceux où tout d’un coup on ne sait plus rien dire, si ce n’est se taire et détourner les yeux ; un homme se perd en mer, et des enfants sont morts…
Il y a enfin – peu de polars ont le culot de finir ainsi – ce rêve triste de poète ou d’oiseau (on ne sait) qui berce la fin du livre : « c’est là-bas que je veux voler, aller plus loin que mon regard, chercher les dernières forces, puiser dans son monde d’énergie la volonté d’avancer, pour être de nouveau saisi par la surprise, ce cadeau de l’enfance, ce temps où chaque pas, chaque battement d’ailes, chaque souffle… »
Un polar poétique aux parfums de Bretagne… Qui s’inscrit pour le voyage ?
Martine L Petauton
Afficher en entier> Le livre : Désirs d’îles, Jean-François Joubert, éditions Edilivre.com, 180 pages, 16 € en format papier, 7,90 € en téléchargement, en vente sur le site de l’éditeur.
> Présentation : Un étudiant de vingt ans quitte Paris pour la première fois de sa vie pour suivre les traces de Pierre, son frère jumeau, parti à l’autre bout de la planète sans laisser d’adresse. Il embarque sur un paquebot en ayant pour seul indice de la destination de son frère, la dernière lettre que celui-ci a envoyée à la famille. Il y mentionnait son désir de rejoindre l’Amérique du Sud. D’escale en escale, il découvre le monde, admire les paysages. Au fil de ses pérégrinations, il apprend à se connaître.
[Cette critique a été réalisée par Camillette02, auteur d'un blog que nous vous invitons à découvrir]
> Ce livre aborde de multiples thèmes : la gémellité, les voyages, la maladie et les sentiments. Lorsque j’ai choisi ce livre, c’est le thème de la gémellité qui avait prévalu. Et à ce niveau, je ne suis pas déçue. L’auteur utilise des mots justes quand il emploie les termes de « double » de «miroir ». On sent bien le rapport privilégié que des jumeaux peuvent avoir.
Le second thème mis en avant est le voyage. Ici, nous n’avons pas à faire un guide touristique mais plutôt à un carnet de voyages intimiste. Le héros du livre nous fait vivre ses voyages en mettant en avant ce qui pour lui est essentiel. A travers ces voyages, l’eau a un rôle majeur. On sent bien que l’auteur s’est fait plaisir en nous narrant quelque chose qui lui est cher.
Le troisième thème est celui de la maladie. Le héros est dans le coma. Ses voyages sont imaginaires mais semblent, en même temps, si réels. D’où des interrogations. Qu’arrive-t-il à une personne dans cet état ? Vit-elle une autre vie ? Son cerveau s’échappe-t-il de ce corps malade ?
Enfin, ce roman laisse la place aux sentiments : l’amour, l’estime de soi et la peur. Le héros a un côté attachant, car c’est un être fragile. La peur le hante : « …comme si je cherchais déjà à fuir le sentiment naissant de peur… De peur ? Oui, de peur d’avoir mal ! ». D’autant plus quand il tombe amoureux.
Mon avis quant à ce livre est assez mitigé. J’ai trouvé tous les thèmes énoncés ci-dessus forts intéressants, mais j’ai en même temps trouvé la lecture de ce livre parfois ennuyeuse. Ce sentiment d’ennui est dû au fait que certains passages sont très descriptifs. En outre, le style de phrases utilisé par l’auteur ne rend pas toujours aisé la compréhension du texte.
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Il y avait eu le « Bleu terre » ; ses petits textes ciselés, parfumés aux embruns ; voilà que Jean-François Joubert nous offre maintenant un roman ? Un récit autobiographique ? Un mystérieux mélange ? Le titre « désirs d'îles », couleur océan, dit presque tout de ce petit livre réussi.
C'est un périple d'île en île, de pays lointain en littoral exotique, presqu'une errance, dans laquelle la mer, le fleuve, l'eau, en tous cas sont l'élément phare ; voyage au sens antique du mot, initiatique, un peu halluciné, dans l'imaginaire bien autant que dans le réel.
Rien dans tout ça, d'une litanie de catalogue touristique.
Pourtant, que ceux qui sont sur le point de partir, le glissent impérativement entre tee-shirt, crème solaire (anti moustiques aussi) et guide vert. Ne pas envisager d'aborder Antilles, Guyane, Madagascar, Maghreb sans ce petit « livre vert et bleu », puisque tout voyage digne de ce nom est bien une île, unique et son désir - peut-être le plus fort - se tapit en soi !
L'homme du récit, Marc, part ; il largue les amarres de sa vie familiale, personnelle, lourde à porter ; et donc, logique, il part sur la mer … Un frère très aimé, fusionnel, jumeau (?) est parti sans laisser d'adresse, abandonnant le rivage, la terre (ferme ?) et laissant désemparée, démembrée la famille et la mère. On se surprend à fredonner le si beau texte de Maxime Le Forestier : « toi, mon frère » … que je n'ai plus ... « depuis notre naissance, Pierre affrontait le monde sans peur ; moi, Marc, je n'étais que l'envers du décor ».
Il part, là où il pense croiser son image ; on n'ose dire, son fantôme ... Quête, un peu comme dans les tragédies antiques, mais aussi, façon de chercher à guérir de ce besoin, qu'il suit dans des rencontres d'hommes différents, mais semblables – à la manière d'un puzzle – à lui, à ce frère . Deuil qui se prépare, sur les hautes vagues atlantiques, sous les Alisées immobiles, sur le Maroni et ses bras tendus dans une forêt amazonienne des origines ...
Livre bâti de remous, de murmures ; recherche sur l'horizon des océans, du dedans de soi ; amateurs de croisières C , s'abstenir . A-t-il, au bout retrouvé son frère ? La fin du récit ouvre d'autres portes ...
Jean François JOUBERT : DESIRS D'ILES – éditions Edilivre / coup de cœur
Tags: Martine L. Petauton
Afficher en entierLes gens aiment aussi
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Aucun évènement prévu
Editeurs
Stories by fyctia : 2 livres
Les penchants du roseau : 1 livre
Editions du Polar : 1 livre
Kirographaires : 1 livre
De l'écriture au livre : 1 livre
Nautile Editions : 1 livre
Syllabaire Editions : 1 livre
Edilivre : 1 livre
Biographie
Biographie et informations
Nationalité : France
Né(e) à : Brest , le 5/08/1969
Biographie :
Jean-François Joubert est né à Brest. Pendant longtemps il a enseigné la voile au sein de différents clubs nautiques.
Un jour il quitte Brest et Recouvrance pour s'en aller rejoindre des amis partis vendre de l'épicerie à Maripasoula.en Guyane. Un jour, lassé peut-être des haricots en vrac et des maquereaux au vin-blanc, il va devenir chercheur d'or
Dans ses tiroirs traînent des tentatives de romans aux airs surréalistes. Le Mage du Rumorvan est son premier polar. Une vieille histoire – un crime non résolu à L'Aber-Ildult – gisait dans l'inconscient collectif de son petit village de Bretagne et se déformait de bouche en bouche en bouche ; elle a été son point de départ.
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