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Toutes les séries de Jean-Hugues Oppel

4 livres
72 lecteurs

Sébastien est seul avec Justine, la baby-sitter. Descendue dans la cuisine il y a un long moment, celle-ci n'est pas remontée. Il s'impatiente, va la chercher et... la trouve égorgée, baignant dans son sang. Le tueur au rasoir est toujours dans la maison. Sébastien n'a qu'un atout : c'est un passionné de judo... Une traque sous forme de huis clos : cent pages sans respirer, les cheveux dressés sur la tête. Âmes sensibles, passez votre chemin !

32 livres
23 lecteurs

" Quelque chose bougeait dans l'écurie. Le cliquetis fut soudain remplacé par des grognements, puis par les plaintes rauques et étouffées. Yannick sentit sa nuque se hérisser... ". Au beau milieu de la nuit, une créature immense et difforme déambule dans la forêt. Illusion ? Mais l'énorme pierre qui frappe le Furet est bien réelle ! Et l'orage qui transforme le paysage de la Creuse en décor de cauchemar laisse entendre d'étranges grognements. Le Furet n'aurait pas dû être témoin de ce qu'il a vu. Il ne peut plus reculer, il doit percer le mystère des ombres et des cris qui troublent les nuits d'automne de la maison du notaire.

3 livres
7 lecteurs

Ce matin-là, Simon n'a pas de temps à perdre : il doit se rendre à la poste, chez le cordonnier, à la banque, faire quelques courses... et, surtout, aller chercher son fils Mehdi à l'école à 14 heures tapantes. Mais il y a des jours comme ça où tout va de travers !

____________________________________________________

"Ça commence avec la voiture qui refuse de démarrer. La clé tournée dans le contacteur, rien ne se produit. Mais alors rien du tout..." S'en suit une suite échevelée d'événements, de rebondissements et de contretemps. C'est le cas de le dire pour ce petit mais intense récit. "Aller chercher Mehdi à 14 heures", c'est ce que Simon a prévu de faire, après avoir expédié vite fait quelques courses. Seulement voilà, lorsque le hasard et les événements s'en mêlent, la vie n'est pas aussi simple que prévue.

Rien de tel finalement qu'un bon auteur de romans policiers pour mettre en lumière le sens d'une expression mystérieuse de la langue française. Sachant que l'auteur en question, Jean-Hugues Oppel, est un narrateur plein d'humour et qui a le sens du jeu avec les mots. En outre, on ne révélera rien du dénouement, mais il fournit l'occasion de s'interroger sur certaines incompatibilités entre horloge biologique et horaires administratifs... À partir de 9 ans.

3 livres
7 lecteurs

En Suisse, les spectres des heures noires de l'Histoire hantent le paisible paysage du canton de Neuchâtel.

Derrière la carte postale des banques, des pendules à coucou et du chocolat, la mort rôde. L'adversaire est redoutable, sans pitié ; il ne recule devant rien pour protéger ses intérêts, même le meurtre. La police elle-même semble impuissante à déjouer ses ruses et ses pièges. Alors, l'intrépide Freddy devra déployer toute son énergie s'il veut triompher du sinistre fléau... parce que cette fois, il y a vraiment le feu au lac !

3 livres
4 lecteurs

Mister K est-il un lanceur d'alerte, un escroc, ou un cyberpirate au service du plus offrant ?

LE BARIL DE PÉTROLE BRUT BRENT COTAIT HIER ENCORE 50.65$.

Falcon (pseudonyme) préfère l'appellation "assassin professionnel" pour parler de son métier. Il est quasiment préretraité, car l'avenir est menacé par la concurrence des tueurs à gages à bas coûts qui cassent les prix.

L'ACTION SAMSUNG COTAIT VOILÀ PEU 729$ – EN PROGRESSION DE 5,17% MALGRÉ LA SUSPENSION DES VENTES DE SON SMARTPHONE GALAXY NOTE 7.

Lucy Chan (alias Lady-Lee) est une sémillante analyste encartée CIA, avec la bannière étoilée chevillée au cœur. Elle aime le canard à la pékinoise, mais aussi le T-bone steak au barbecue.

Ils n'ont aucune raison de se rencontrer...

L'ÉTAIN COTAIT EN MOYENNE 19 500$ LA TONNE SUR LE MARCHÉ DES MÉTAUX LONDONNIENS CES DERNIÈRES ANNÉES.

Le temps de l'écrire et ce montant a changé ; le CAC 40 a gagné ou perdu des points ; les actions varient à la hausse ou à la baisse, sans raison logique parfois ; les milliards virtuels valsent au rythme de la Bourse en ligne. À l'heure du trading à haute fréquence que pratique Leonard Parker Chambord, alias Killer Bob : demain, c'est déjà hier.

Tous les livres de Jean-Hugues Oppel

La Zone. Un territoire au-delà du périphérique. Des pavillons entassés, des achélèmes tristes et des parkings sans printemps. Des usines et des humains en ruines. Des loubards, des flics et des malfrats. Un gros paquet de blanche et des dollars en coupures de sang. Et Zaune. La fille cuivre et or. Qui n’a pas vingt-quatre heures pour sauver son frère. Pour donner un sens à sa vie. Si cela a encore une signification dans la banlieue qui bascule.

Source Amazon.fr

Sujet : Un soir, dans une banlieue sensible, une voiture force un barrage de police. Des coups de feu éclatent : 1 mort, 3 blessés. Que s'est-il réellement passé ? Les versions des jeunes conducteurs et de la police ne coïncident pas. Le commissaire Balagan de la police des polices est dépêché sur place pour enquêter et tenter de calmer cette banlieue qui s'embrase rapidement.

Commentaire : L'auteur prend pour son roman le cadre des banlieues, sujet sensible et d'actualité. L'histoire décrivant une police défaillante est très réaliste et captivante, mais faut-il pour autant traiter ce sujet de façon si abrupte et si vulgaire uniquement pour être "dans le ton" ? Les jeunes des banlieues prennent certaines de leurs responsabilités après avoir commis des actes illégaux ce qui peut les rendre par moment attachants. Malheureusement, de nombreux actes répréhensibles ne sont absolument pas condamnés et par là même banalisés. --Ce texte fait référence à une édition épuisée ou non disponible de ce titre.

Brocéliande sur Marne... Royaume de banlieue coincé entre rivière glauque et forêt de vingt chênes, entre passé de guinguettes et futur caterpillé.

Que vont devenir Martin le chanteur, l'éternel entubé, et son restaurateur de papa, Leroy Arthur, patron de la Table ronde ; Morgane Laffay l'ensorcelante, ni fée ni à faire ; Lanchelot Dulac, les promoteurs promotant sans pitié ; Lehc et Vallier, l'immigré et les vieux syndicalistes, qui dépriment à l'imprimerie... ? Tout un petit monde promis aux affres du béton dévoreur d'horizon : hun pour tous, tous dans le pétrin.

Brunes, blondes ou rousses, cinq victimes toutes différentes, massacrées en autant de lieux différents.

Cinq victimes dépareillées que rien ne relie en apparence, sinon le même maniaque assassin au processus meurtrier salement répétitif.

Pas de témoins, jamais. Dix millions de suspects au bas mot - peut-être même plus en comptant large...

Enquête poisseuse aux frontières crépusculaires de l'âme inhumaine pour l'inspecteur Saverne, mis au pied du mur de ses fantasmes au risque de se perdre, corps et âme.

Et, variante de chercher une aiguille dans une meule de foin : traquer un sale tueur en évitant les miroirs, et peut-être le trouver au fond d'un verre de bourbon. On the rocks.

Le recueil s’articule autour des quatre éléments fondamentaux : la terre avec Ippon dans lequel un garçon est enfermé chez lui avec un tueur ; le feu avec Nuit rouge où le héros se retrouve pris au piège dans une forêt en flammes ; l’eau, qui Dans le grand bain va réunir un requin blanc et une jeune fille terrifiée ; et l’air avec Tigre ! Tigre ! Tigre ! où l’héroïne doit en découdre avec une bande d’espions en plein ciel. Une dernière nouvelle inédite réunit enfin tous les éléments contre Daphné et Julien.

Un beau format pour découvrir ou redécouvrir quatre polars plébiscités par le grand public, dont le célèbre Ippon sélectionné par le ministère de l’Éducation nationale.

Jean-Hugues Oppel traite ses histoires avec un incroyable suspense et les peuple de jeunes héros qui, grâce à leur sang-froid, se sortent de situations pourtant inextricables.

Un inédit explosif, Au fond du puits n°5, où deux adolescents se retrouvent piégés dans une mine par les quatre éléments réunis !

Quand, dans la même soirée d’horreur et de sang, on vous massacre votre femme, vos enfants, Papy et Mamy et vos meilleurs amis, il y a de quoi devenir fou… Jérôme Dieudonné Salgan, lui, est devenu complètement barjot !

Dans le port d'Ambernave, il y a des marins, ce qui en soi n'a rien d'étonnant... Il y a aussi Émile, l'ancien docker misanthrope, qui boîte et qui boit. Qui a trop lu Steinbeck. Qui cherche un homme sur les quais sans le savoir, au hasard de ses errances portuaires. Et le trouvera dans l'haleine glacée des brumes océanes, pour vivre enfin le livre à sa manière... Des petits chiens et des ombres. Un roman noir insolite et envoûtant par l'auteur de Brocéliande-sur-Marne.

L'ennemi du sniper, ce n'est pas l'abus d'alcool qui fait trembler la main ou celui de nicotine qui fait tousser, ni la conjonctivite faussant les perspectives, pas plus que la myopie qui empêche d'accommoder à l'infini sur le réticule de la lunette de visée ; l'ennemi du sniper, c'est le brouillard. celui que toutes ses cibles potentielles attendent et espèrent. Mais l'ennemi de mon ennemi n'est pas forcément mon ami... Du pont de Bihac embrumé aux sables brûlants du désert irakien en passant par le quatorzième arrondissement de Paris et quelques autres lieux plus ou moins exotiques, ces vingt nouvelles mettent en scène des personnages qui se débattent dans un quotidien sombre ou drôle, mais toujours humain.

Agent : nom de code "Phalène". Sexe : féminin. Mission : se dévouer corps et âme au locataire de l'Élysée - mais comme on dit dans le métier, la protection rapprochée d'un chef d'Etat ne saurait être garantie à 100%. A sang pour sang, c'est une autre paire de manches. En ce moment même, les régiments blindés de l'Eurocorps rugissent au pied de l'obélisque devant les officiels massés dans la tribune d'honneur. Le vacarme est assourdissant. L'index du tireur se coule sous le pontet; épouse la détente... Nom : inconnu. Sexe : masculin. Nationalité : indéterminée. Profession : tueur à gages. Date du contrat : 14 juillet 1994. Lieu : place de la Concorde. Cible : le Président de la République française.

Après deux textes très noirs, Six-Pack et Ténèbre, Jean-Hugues Oppel signe un roman qui s'apparente au thriller de politique-fiction, dans l'esprit de Chacal de Frederick Forsyth. Un duel dans les allées du pouvoir où tous les coups sont permis. Où il s'agit peut-être plus de sauver l'humanité qu'un homme.

Dix cadavres, dont un sans mains ni tête, sont retrouvés dans un pavillon de banlieue anonyme. Vu leurs armes, et surtout le laboratoire de chimiste clandestin découvert à la cave, tout porte à croire qu'il s'agit d'un classique règlement de comptes entre trafiquants de drogue rivaux. Chargée de l'enquête, la commissaire principale Valérie Valencia va en fait mettre au jour la croisade vengeresse d'un homme trahi, sur fond de manœuvres politico-financières douteuses qui remontent jusqu'au sommet de l'Etat. Tâche difficile pour la commissaire qui a du chien (un labrador sable) ; l'ennemi serait plutôt chat : mystérieux, insaisissable. Et sans pitié.

Un livre captivant où Jean-Hugues Oppel donne toute la mesure de son talent.

Un an pour préparer les élections présidentielles, point culminant de la vie politique française. Dans le camp du pouvoir, une seule certitude : le candidat sortant doit être réélu. Alors tous les coups sont permis.

Un commissaire controversé, un "spécialiste" très méticuleux, un lieutenant de police ordinaire, un solitaire parano et des professionnels de l'information qui savent ce que manipuler veut dire, autant de personnages qui ont rendez-vous avec l'histoire sans le savoir. Ou, pour certains, en le sachant trop bien.

French Tabloïds ou comment Oppel propose une explication étonnamment crédible du résultat qui secoua la France au second tour de la présidentielle de 2002. La présence du candidat d'extrême droite était en fait une manoeuvre savamment orchestrée.

Acerbe, drôle, mené tambour battant, ce thriller diabolique rend hommage à la méthode du maître Ellroy et semble toujours d'actualité. Il a reçu le Prix Mystère de la critique en 2006.

« Une explosion nucléaire génère par effet thermique une température de plusieurs millions de degrés (alors qu’une bonne vieille bombe peine à dépasser les cinq mille). Elle crée une boule de feu plus brillante que le soleil qui, même à très grande distance, brûle la peau, éblouit ou aveugle définitivement la rétine, et allume des incendies spontanés dans un large rayon. Ce rayonnement de chaleur intense vaporise tout au point d’impact et dans ses environs immédiats... »

Dans les profondeurs du Pentagone, deux généraux américains tiennent conciliabule et sont plus que perplexes. Le système d’écoute Échelon leur a transmis des informations stupéfiantes : la France se trouve actuellement en alerte Rouge, autrement dit en alerte nucléaire. Les Français sont-ils gravement menacés ? Se préparent-ils à lancer une attaque ? Faut-il réveiller le président des États-Unis ?

De l’autre côté de l’Atlantique, la ministre de la Défense française a déjà été réveillée pour apprendre les mêmes nouvelles hallucinantes. Les forces aériennes et sous-marines stratégiques sont prêtes à frapper... Au milieu de ce chaos, une seule certitude au ministère : la France n’est en guerre avec personne. Alors ? Bouffée délirante du chef suprême des armées ? Piratage informatique ? Virus dans le système ? Seul le président de la République (nom de code " Véga ") peut mettre fin à cette panique mais il semblerait qu’il soit aux abonnés absents !

À l’heure où la paranoïa des grandes puissances le dispute à la volonté obsessionnelle de certains pays d’acquérir l’arme atomique, la fable grinçante imaginée par Jean-Hugues Oppel a des accents de plausibilité troublants. Quelque part entre Octobre rouge et Docteur Folamour, ce thriller palpitant nous rappelle à d’inquiétantes réalités internationales, mais aussi hexagonales.

L'inspecteur Jacques Novembre est fatigué. Fatigué de vivre, fatigué de souffrir. Il ne se remet pas de la mort de son fils, ni du coma dans lequel végète sa femme Virginie depuis son accident, il y a dix-huit mois. Et quand les médecins lui annoncent qu'elle souffre également d'une tumeur au cerveau, il estime que ça suffit et part en guerre. Contre les médecins, contre les inconnus qui ont déposé le cadavre d'un Maghrébin sur une voie de chemin de fer, contre tout ce que la vie compte de pourri et d'injuste, sans savoir que toute cette pourriture a une origine commune. Sa croisade l'amènera jusqu'aux portes d'une secte particulièrement diabolique.

Si Canine était un animal, ce serait un berger belge. Si Gunn était une femme, il ressemblerait à Canine. Les pompes funèbres bénissent le jour où Canine et Gunn se sont rencontrés. Pourtant, ils tuent rarement. A vrai dire, ils n'aiment pas ça. Heureusement, lés cadavres qu'ils enjambent ne rapportent pas qu'aux croque-morts.

À Santa Cruz de Natividad, la Mort vient toujours par le fleuve. Avec les ouragans et les cyclones nés au large de l'océan, les piranhas voraces rôdant entre deux eaux, les pirogues des champions de la fléchette au curare, les nefs des conquistadores aux chimères assassines et des trafiquants d'âmes missionnaires...

Un jour, Jorge-Luis Alfaquès est arrivé à Santa Cruz de Natividad. Par le fleuve.

"Planqué dans un hangar délabré, Jimmy reprend son souffle. Dans la mallette à ses pieds : Venise, l'Australie et toutes les plaines du Far-west réunies. Des paquets de dollars rangés comme des mille-feuilles en vitrine à la pâtisserie; aussi alléchants. A partir d'une certaine épaisseur, on ne compte plus, on jouit de l'aubaine. Jimmy jouit." Roulent les boules sur le tapis vert, mais c'est Jimmy qui plonge. Mauvaise trajectoire, descente de la dalle jusqu'au trou, pour les yeux de la belle. Petite frappe de la cité, montée trop vite dans les sphères brutales du business, Jimmy ne touche plus les bords, et file au tapis. La vie, c'est pas du billard. Jean-Hugues Oppel fait basculer le destin sur un carré de feutre tandis que Joe G.Pinelli affûte ses pastels.

Depuis l’attentat contre le président John Fitzgerald Kennedy à Dallas (Texas, USA, 1963), le plus difficile n’est pas tant de trouver son Lee Harvey Oswald-bouc émissaire que de s’assurer de la discrétion du véritable assassin.

Il s’agit bien évidemment d’argent, et de confiance. Surtout de confiance : on peut être un tueur professionnel tout en ayant de l’éthique.

Pour l’avoir oublié, les commanditaires de l’assassinat de Jean-Pierre Duchesnes, homme d’affaires (dans tous les sens du terme) aux connaissances embarassantes dans certains dossiers de vente d’armes, apprendront à leurs dépens que le silence d’un homme trahi n’a plus de prix.

Un cadavre encombrant dans la malle arrière, une petite annonce relationnelle très conviviale, des négociations syndicales à haute tension, un sculpteur antipathique mais doué, un carnaval ensoleillé et gourmand, un espion qui a des migraines, une bavure policière, un tueur au bout du fil, une autopsie plus que minutieuse, des liaisons dangereuses (contre nature ?), une maman trop sûre d'elle-même, les aléas de la vie téléphonique moderne, un professionnel consciencieux, un endroit banal pour une rencontre qui l'est moins, un vieux peintre chinois monomaniaque...

Chiroux, le chien de la famille Montembert, a disparu. David ne croit ni à une fugue ni à un accident : son chien a été enlevé pour servir de cobaye, il en est sûr ! Avec sa soeur Nathalie et leurs copains, il décide d'enquêter du côté des laboratoires Fronaz.

Trois garçons se rendent dans une grange car un d’entre eux a découvert un coffre plein lingots. En arrivant, ils découvrent un homme pendu qui n’est, en fait que suspendu à une corde et prendra les enfants en otage, les obligeant à transporter les lingots, résultat d’un braquage, jusqu’à sa voiture.

Heureusement, un des garçons réussira à s’enfuir et reviendra avec les gendarmes …

Pierre a un sens très particulier des affaires ; pour tout dire, il arnaque ses copains sans se gêner. Mais quand l'arnaqueur tombe sur plus fort que lui, adieu les rêves de fortune !

Trois histoires dans lesquelles le jeune Medhi donne bien des émotions à ses parents :

il disparaît, prend de l'argent dans le porte-monnaie de ses parents ou se trouve au mauvais endroit au mauvais moment.

"- Tu es un lâche ! Claude avait confiance en toi parce que tu étais l'aîné, l'ancien... La figure du père, quoi ! Quand on n'a plus le sien depuis l'enfance, tu mesures tout ce que cela veut dire? [...]

Roger se tait. Il repique du nez. Lazzari bondit pour venir lui coller le canon de son pistolet sous le menton, le forçant à relever la tête.

- Regarde-moi dans les yeux, Roger. Je veux te voir et t'entendre me dire que tu regrettes.

- Je regrette...

- Mieux que ça ! Je ne te demande pas de faire le perroquet ! Je veux entendre des regrets sincères !

Le canon du Beretta se rive au front de Roger.

- Tu dois partir l'âme en paix, tu comprends ?"

Un polar admirablement construit sur le deuil, la culpabilité, la haine qui aveugle et pousse à se faire justice soi-même. Un roman engagé qui dit sans détours la violence de l'univers carcéral.

C'est enfin la saison des vacances... On s'installe sur les rives d'un lac, on s'étend sur la plage ou on monte à bord d'un voilier. Après avoir plongé dans les vagues, on somnole sous la caresse du soleil au rythme du tube de l'été.

Mais soudain le ciel se charge de menaces. Le paysage vire au rouge. L'été resserre autour de sa victime son étau de rencontres fatales, de rancoeurs inavouables, de hasards funestes et de frissons... En pleine canicule, certains sont prêts à tout pour un crime glacé...

Treize auteurs vous invitent à passer un été de sueurs froides sous un soleil assassin : Brigitte Aubert et Gisèle Cavali, Yves-Marie Clément, Stéphane Daniel, Gilles Fresse, Christian Grenier, Guy Jimenes, Sarah K., Jean Molla, Jean-Paul Nozière, Jean-Hugues Oppel, Anne-Marie Pol et Alain Surget.

Morgane et Lola se sont inscrites au stage de danse jazz proposé par la base de loisirs. Salsa, hip-hop, smurf, breakdance... aucun rythme ne les arrête ! Pendant ce temps, Juliette dite Juju, la petite soeur de Morgane, travaille avec enthousiasme les pliés et les sauts de chat dans la grande salle du cours de danse classique, dont les baies vitrées ont une vue plongeante sur les box du poney-club. Lorsqu'un incendie se déclenche au centre équestre, les petites en tutu se précipitent, n'écoutant que leur coeur – au mépris du danger...

Un tiers-temps d'une partie de hockey sur glace dure vingt minutes. C'est court ou interminable, selon qu'il faut maintenir le score ou absolument marquer pour gagner. On peut alors commettre (volontairement ou non) une faute majeure et se retrouver expulsé du jeu pour cinq minutes. Cinq minutes, c'est trois cents secondes ; cela peut être très long quand on découvre que le drame rôde dans la patinoire sans rien pouvoir y faire...

Le carton : bleu pour les uns, blême pour les autres. Le déficit de la Sécurité sociale étant abyssal, tout citoyen âgé d'au moins seize ans est astreint à un contrôle médical semestriel. En cas de problème relevant du Code pénal (cambriolage, agression, etc.), quel que soit le statut social des victimes, la Police portera assistance aux citoyens en bonne santé titulaires d'un carton bleu et refusera légalement tout secours aux souffreteux possesseurs du fatal carton blême : bienvenue dans le futur du troisième millénaire.

Devenir héros de polar, vous en rêviez ? Marlowe ou Maigret, ce livre-jeu vous offre l'occasion d'incarner l'un et l'autre, et bien des personnages différents encore.

Vous allez mener l'enquête, après avoir déterminé vos aptitudes physiques et mentales, et complété votre équipement - à vos risques et périls, car attention : l'ennemi est partout. ruse, force, perspicacité, il vous faudra user de tous vos atouts pour triompher.

alors... à vous de jouer !

Source : Payot

Quelque part en Afrique, sous une chaleur étouffante, la société Métal-Ik exploite les terres rares, ces métaux stratégiques nécessaires à la haute technologie. Certaines multinationales, on le sait, ne sont pas très regardantes en matière de droit du travail. Aussi, lorsqu'une agence de l'ONU dépêche Tanya Lawrence sur place, elle n'est clairement pas la bienvenue. Face à l'hostilité générale, elle ne peut compter que sur Tony Donizzi, le guide que lui a assigné le consortium. Le climat s'alourdit vite dans la colonie minière de Métal-Ik, alors qu'une autre menace bien plus grande et moins perceptible, se profile... Auteur de thrillers politiques féroces, Jean-Hugues Oppel (Grand Prix de littérature policière, Prix Mystère de la critique) signe son grand retour après plusieurs années d'absence.

Source: Rivage Noir

Suspens !

Énigmes !

Citoyenneté !

Justice !

Le meilleur du polar pour les petits et les grands !

Ce recueil rassemble dix courts romans policiers à lire dès 10 ans.

Voici le projet littéraire modeste et ambitieux d'un groupe d'auteurs farfelus.

Depuis des années, ils se réunissent en Creuse à l'occasion des Nuits Noires d'Aubusson.

Aux premiers jours du printemps, ils complotent, fomentent.

Presque-papoutent.

et partagent leur écriture avec collégiens et lycéens le temps d'une semaine folle et salvatrice.

Ce recueil de textes courts est leur première collaboration.

Il y a des professions qui n’offrent pas de garantie en matière de retraite : tueur professionnel par exemple...

[...] — Tu peux tomber la veste, tu sais.

Marvin tombe la veste. Ici, il peut. Ce n’est pas Albert qui se formalisera de voir le Colt à canon long dans le holster qu’il porte sous l’aisselle droite, crosse en bas, revolver maintenu en place par une languette de cuir à velcro épousant le percuteur. Marvin est gaucher, déteste les automatiques et ne cherche plus à défourailler express depuis belle lurette - depuis qu’un plus rapide que lui a démoli sa rotule.

— Je me doutais que ce serait toi qui viendrais, Marv’.

— Mieux valait pour toi, non ? Un autre serait venu en bagnole, discrètement...

— J’aurais été averti quand même ! Depuis le temps, je me suis fait des amis dans la région. Les têtes inconnues sont vite repérées. Les gens d’ici ne sont pas méchants, seulement curieux... Tu as fait bon voyage ? [...]

Jean-Hugues Oppel continue à jouer avec les situations archétypales du polar : le tueur fatigué, le contrat de trop, et en quelques pages vous offrent un condensé d’humanité très noire... Pourquoi se pastiller 300 pages alors qu’un shoot de 20 pages d’Oppel vous offre un pied identique ?...

Quand les temps sont durs, faut-il renoncer aux grandes fêtes conviviales ? On trouve toujours une solution pour remplacer le traditionnel cochon de lait...

Le gendarme s’encadre dans le pare-brise sitôt passé la pancarte souhaitant la bienvenue au village. Il a surgi de nulle part pour venir se planter au milieu de la route.

La signorina Pescatore lève le pied et freine en douceur, le cœur léger : l’aiguille du compteur de sa Fiat Panda n’a jamais dépassé le 90 (et le 50 fatidique en agglomération), sa ceinture de sécurité est mise, et le dernier verre d’alcool (une grappa à réveiller les morts) qu’elle ait bu remonte au dernier réveillon familial en Emilie - bientôt Mardi-Gras, elle a eu le temps d’assimiler. Vitre baissée, elle pointe son nez à la portière. Le gendarme se penche et salue vaguement. [...]

Avec l’humour décapant bien connu de ses lecteurs, Oppel raconte comme personne les expédients d’une municipalité qui ne manque pas d’idées macabres. Dans un texte parsemé d’allusions cinématographiques et digressions cyniques, on hésite entre rire et frisson d’horreur.

Tueur professionnel, sacré métier, qui s’accorde mal de migraines troublant la vue. Et les arrêts maladies ne sont pas forcément bien vus...

Il pleut.

Stanley relève le col de son imperméable. Chasse une goutte qui lui pendait au nez.

Il a plu hier. Il pleuvait déjà la veille, et le jour d’avant. Stanley s’est résigné : il pleut depuis qu’il a mis les pieds en France, sur tout le pays d’est en ouest et du nord au sud pour ne pas faire de jaloux. Pas des pluies d’orage noyant la campagne sous des trombes diluviennes ni même des averses subites et répétées, mais de l’eau brumisée en crachin lancinant qui tombe du matin au soir pour ne cesser que durant de brèves heures peu avant l’aube. Stanley n’en est pas vraiment sûr : à ces heures-là, il dort. Enfin, il essaye. Quand la douleur se fait oublier dans sa tête. Alors, somnolant dans un état semi comateux proche du sommeil, il ne veut pas prendre le risque de se réveiller tout à fait en allant vérifier la météo par la fenêtre de sa chambre d’hôtel. [...]

Une mission chasse l’autre, mais rien ne chasse la solitude et la douleur. Le tueur se sait en danger, il en deviendrait presque humain... La plume d’Oppel, une atmosphère de totale noirceur.

En attendant l’assaut, le soldat Rillans rejoue le Désert des Tartares à la sauce franco-américaine en Irak...

— Tu n’as rien vu, à Bassora.

Le soldat Rillans sourit en catimini. Son sergent est cinéphile ; plus personne ne l’ignore dans la brigade. Tout lui est prétexte à citations en rapport avec une pellicule projetée sur grand écran. Pas une brute épaisse qui sort sa culture dès qu’il entend le mot revolver, le sergent, puisqu’il cite à égalité l’art et essai européen (avec une certaine prédilection pour la Nouvelle Vague française) en noir & blanc et les grosses machines hollywoodiennes au standard cinémascope couleurs dolby stéréo. La fréquentation des ciné-clubs n’empêche pas le port de l’uniforme pour motifs professionnels, cela pourrait surprendre ; le soldat Rillans n’est pas surpris. Ses connaissances cinématographiques sont purement télévisuelles, colorisées, et limitées. Aussi limitées que sa conscience politique.

Et pour le temps qu’il y aura passé, à Bassora, il ne risquait pas d’y voir grand-chose.

L’humour mordant de Jean-Hugues Oppel n’épargne rien ni personne. La gloire militaire paie son tribut à un cynisme sous lequel, en grattant un peu, on trouverait sans doute du désespoir.

Nuit.

Ennuis. Pluie. Vessie. Pipi. Bibi.

Association d’idées sans but lucratif régie par aucune loi sinon celle du plus fort - la plus forte en l’occurrence : sa vessie.

L’inspecteur César Blagnac (c’est lui, bibi) a envie de pisser immanquablement dès qu’il pleut, qu’il est dehors en service commandé et qu’aucune toilette publique n’est à proximité. Pas plus qu’un bistrot accueillant, voire un tronc ou un bosquet propices. C’est le cas de le dire.

Il fait froid. Un méchant crachin glacial vous plante ses crocs polaires jusqu’aux os. Le vent forcit. Des cars partent de la gare routière et grondent au loin.

La vessie de plus en plus compressée, César Blagnac donnerait un empire pour une vespasienne. Pourrait à la rigueur se soulager entre deux voitures, mais il n’y en a pas de garées dans l’impasse où un poivrot noctambule a découvert la victime, les divers véhicules de police mis à part. Fourgonnettes pies, ambulance, berlines à gyrophares tournoyants, tous engins motorisés bourrés de flics mal réveillés qui lorgnent leurs collègues moins chanceux obligés d’arpenter le bitume sous l’averse, comme des macs à dames relevant les compteurs dans les bars à putes qui ne payent pas de mine...

Quand une sœur veut venger son frère sacrifié sur l’autel de la rentabilité...

[...] Ses souliers vernis couinent sur les tomettes. Il rajuste machinalement son nœud de cravate. Il se trouve emprunté. Il se sent mal à l’aise depuis qu’il est entré dans la salle du restaurant perdu sur la lande au bord de la mer. La cliente solitaire et blonde assise à côté de la cheminée sans consommation devant elle l’a salué d’un hochement de tête. Il a répondu de même, avant d’aller s’asseoir près de la fenêtre aux rideaux jaunis. Le silence s’est établi. A duré. Il s’en est accommodé, n’étant pas liant de nature. La situation vire à l’étrange, mais un coup de téléphone remettra vite les choses en ordre. Sauf que la porte au fond, après le bar, est fermée à clé.

Il dit :

— Merde !

Le mot juste, le sens du détail et de l’ambiance, un regard aigu sur la société et les hommes. Deux textes noirs d’Oppel, courts et percutants. Glaçants de noircitude...

M et Mme Craignos ont un enfant. Comment vont-ils l’appeler... Il n’y a qu’à demander à JH Oppel... Aristos sans entrailles, chômeurs abrutis, fratrie dégénérée, il faudrait pleurer de tristesse ; on hurle de rire. Quatre nouvelles noires sans pitié pour les personnages. Extrait de « Tour de table »...

[...] Rapide : ils sont venus, du nord et du sud, ils sont tous là, les de Fourchaume du Pléneuf-Cambronne, et la mama se porte à merveille – bonnes roues (de son fauteuil d’infirme) bon œil (myope il est vrai), sourde comme un pot depuis une dizaine d’années, percluse d’arthrose et l’Alzheimer en phase terminale, mais à part ça tout va bien. Assise à la droite du chef de clan, dodelinant de la perruque, elle serre la main de son mari dans la sienne autant que faire se peut entre ses articulations grippées.

Absorbé, le Patriarche ignore son épouse.

Il dévisage tour-à-tour le troupeau rassemblé autour de la longue table de chêne massif où ses glorieux ancêtres à particule décidaient du sort de l’Occident Chrétien entre deux orgies, levaient des armées de gueux contre-révolutionnaires quand les privilèges étaient menacés, et troussaient à l’occasion l’ancillaire sur la commode en méprisant la lutte des classes (qui finira de toute façon par leur tomber sur le coin du râble).

On connait l’art de Jean Hugues Oppel pour la nouvelle : style rythmé, humour décapant. Ils sont au rendez-vous pour ce recueil sur le thème de la famille. Evidemment chez Oppel, on sera plutôt du côté de chez M et Mme Deglingos. Le sourire est d’office au rendez-vous, comme le plaisir devant les trouvailles de langage et de situation.

On ne peut jamais tout prévoir en matière de crime, parfois le hasard fait bien mal les choses...

Moon Martin cherche à joindre sa belle au téléphone et l’explique sur sa Stratocaster à l’accent texan. L’autoradio coûteux feule le rauque du Sud profond en douze mesures bien balancées. Une tranche de vie au fil des trois accords mythiques.

Marquer la cadence sur l’ébonite du volant.

Come on operator gimme Rolene on my line...

Ruban noir et mouillé, l’autoroute s’étire dans la nuit.

Kilomètres clones. Phares fantômes éblouis, feux de position lucioles furtives, dépasser et se rabattre, file de gauche pied au plancher, file du milieu pour la croisière et la moyenne, file de droite inconnue au bataillon. Bande d’arrêt d’urgence – croiser les doigts : pas de panne, surtout. Touchons du boa, comme disait l’herpétologue farceur. [...]

Qui ne connaît Jean-Hugues Oppel dans le monde du noir ? Il confie dorénavant à Ska un certain nombre de nouvelles qui toutes portent la marque de son talent teinté d’un humour très grinçant. Une écriture nerveuse comme le rire qui vous prend parfois. À ne rater sous aucun prétexte.

Même les cireurs de pompes rêvent de gloire...

[...] En-dehors des hautes sphères administratives, du personnel d’encadrement de quelques entreprises dynamiques et des marécages médiatico-mondains de la société civile, le cirage de pompes est une activité en forte régression. Tout le monde possède chez soi de quoi entretenir ses chaussures, petit matériel rituel rangé dans un carton, une boîte, un quelconque contenu relégué au fond du placard à balais. Généralement. Ajoutez à cela les effets “mode” pervers : tongs (très portées par les mamans), sandales à marguerite en plastique, socques de bois (indispensables avec le futon du salon), santiags en peau de requin pas-touche-c’est-fragile, godillots caterpillés et godasses façon randonneur de-la-graisse-de-phoque-et-rien-d’autre, baskets, tennis, espadrilles... [...]

Personnage transparent au quotidien sans relief, le cireur Touchet cherche tous les moyens d’échapper à sa condition modeste. Mais la succes story se fait attendre, pour le plus grand plaisir du lecteur de ce conte cynique. L’écriture alerte de Jean-Hugues Oppel fait invariablement mouche : humour noir et rire jaune au rendez-vous !

Aucun mystère, quel qu’il soit, ne saurait résister à un détective de la Pinkerton. À peine embauché par la célèbre agence, le jeune Dash est vite mis dans le bain : ses premières missions le mènent dans les bas-fonds de Baltimore et de Washington ou dans des bourgades perdues de l’Ouest américain… Des milieux hostiles où se côtoient criminels, politiciens corrompus et même quelques fantômes.

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