Jean-Jacques Pelletier
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Note moyenne : 7.5/10Nombre d'évaluations : 20
0 Citations 11 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
je n'ai pas vraiment aimé. trop compliqué, trop de personnages vraiment long à lire
Afficher en entierUn bon roman, mais je n'ai lu que les 2 derniers. C'est peut-être pour cela que je les ai trouvé si compliqués.C'est une histoire qui se passe simultanément partout sur la planète , donc avec beaucoup de personnages.
Afficher en entierCe n'est pas le meilleur livre que j'ai pu lire dernièrement. Il faut bien parfois se tromper. Sans saveur particulière. Une déception, je n'ai pas envie d'en parler plus.
Afficher en entierJe n'ai pas réussi à lire ce tome jusqu'à la fin. Je ne dirais pas que c'était une mauvaise écriture ni une mauvaise idée, seulement je me suis rapidement ennuyé. L'enquête, qui était à la base intrigante, n'avançait pas et je n'arrivais pas à m'intéresser aux personnages. C'est dommage parce que je trouvais le résumé et la page couverture tentante !
Afficher en entierJe dois avouer qu’en regardant la couverture du roman, j’étais quelque peu craintive. J’avais l’impression que j’allais plonger au sein d’un univers particulièrement sanglant. Il est vrai que les meurtres donnent des frissons dans le dos, mais dans l’ensemble, l’enquête est loin d’être aussi glauque que je le croyais avant d’ouvrir le bouquin.
D’ailleurs, les personnages apportent un peu de légèreté au sein de ce récit. Que ce soit Dufaux qui échange dans sa tête avec sa femme décédée ou bien ses jeunes au sein de son équipe, ils ont tous su me faire sourire à un moment ou à un autre. Je suis tombée totalement sous le charme de ces personnages.
En ce qui concerne l’enquête, j’ai apprécié suivre les étapes de la résolution de tous ces meurtres, mais j’avoue ne pas avoir été surprise quant au dénouement. J’avais quelque peu l’impression de voir arriver les événements! Par contre, il est intéressant de découvrir les talents de tous les membres de cette équipe hors norme et comment ils en viennent à trouver les liens qui relient le tout ensemble.
Même si la fin était quelque peu prévisible, il n’en reste pas moins qu’elle a su piquer ma curiosité et j’aurais bien aimé lire la suite immédiatement. Je me demande comment Dufaux réussira à gérer ce qu’il vient de découvrir.
Ce premier tome fut une jolie découverte. Je suis tombée sous le charme de la plume de cet auteur et de ses personnages si singuliers. Il n’y a pas deux équipes d’enquêteurs comme celle-ci, c’est certain!
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Afficher en entierVoici le deuxième roman de Jean-Jacques Pelletier que je lis et j’ai ressenti autant de plaisir à suivre la nouvelle enquête de Dufaux.
Quel personnage singulier! Il n’y a pas deux inspecteurs comme lui. Comment peut-on donner la direction d’un département complet à un inspecteur qui discute avec sa femme décédée et qui semble avoir de plus en plus souvent des trous noirs? Sans oublier qu’il passe plus de temps au restaurant, le 3845, qu’à son propre bureau du SPVM. Toujours est-il que cela ajoute un brin d'humour que j'aime bien.
Plus j’avance au sein de cette saga, et plus je suis sous le charme des personnages qui s’y trouvent. Dufaux est entouré d’une équipe vraiment efficace et qui fonctionne relativement bien sans lui. Ils ont des personnalités et des qualifications qui permettent de rendre cette équipe performante. Voilà pourquoi leur réussite fait des envieux!
L’enquête fut vraiment captivante. J’ai bien aimé que l’auteur ajoute ce petit côté écologique associé au terrorisme. Et puis, il est intéressant de voir deux forces policières qui s’associent. C’est à la fois un roman policier et d’espionnage. Cela rend l’intrigue encore plus addictive.
Tout comme lors du premier tome, la plume de Jean-Jacques Pelletier est fluide, simple et cela rend donc le roman agréable à lire. Les chapitres défilent rapidement. D’ailleurs, j’aime bien la structure de ses romans.
Le troisième tome m’attend déjà sur ma table de chevet donc surveillez mes prochaines chroniques puisque je prévois de lire la suite cet été!
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Afficher en entierLe sujet n’est pas banal.
Maître Alexandra Linberg est follement amoureuse de son collègue Jean-Mathieu Ripolle.
Quand Jean-Jacques Pelletier nous dit « follement amoureuse », c’est folle au point d’organiser le meurtre de sa femme. Mais en faisant appel à des professionnels du crime, elle ne pensait pas que cette affaire prendrait de telles proportions.
Elle ignorait qu’un cartel de policiers, aussi fins limiers les uns que les autres, parmi lesquels Jul’, Tom the cat, Monange ̶ des flics prêts à tout pour faire exploser la vérité ! ̶ s’impliquent jusqu'à tomber de fatigue, ne reculant devant aucune difficulté.
Ah oui ! J’allais oublier de vous le préciser : Jul’, c’est une femme ; quant à Monange, ça ne peut pas s’écrire en deux mots, même en rêve !
Une enquête complexe, gore à souhait et tout en rebondissements, jusqu’à la dernière page.
Afficher en entierMaître Alexandra Linberg , avocate de profession a une addiction amoureuse de son confrère Maitre Ripolle. Et quand je dis addiction, la fille est complètement tarée !!
Elle va faire tuée sa femme !! Truc de folie !! J’ai sautée plus d’une fois dans mon fauteuil en lisant cette histoire !! Elle engage un tueur qui va faire un peu plus que son travail pour lequel l’avocate le paie, ça part très vite en cacahuète !!!!
Sauf que les chiens de chasse sont lâchés !! il s’agit de policiers, qui ne « lâchent » pas leur os pour savoir la vérité quoiqu’il en coûte !!
Parce qu’à la crim’, la vérité passe avant tout !!
Une enquête complexe,pas piquée des hannetons !! Qui mérite même un téléfilm , ce n’est que mon avis évidemment. Une ambiance comme j’adore !! Un jeu de « attrape moi si tu peux » se dessine dès la première page et je n’ai plus lâchée ma liseuse parce qu’il ya tout ce que j’aime dans un bon thriller !! Celui –ci en fait parti !! La muse de l’auteur a dû chauffée un maximum pour un résultat d’enfer !! Des personnages hauts en couleur , attachant pour certains, des baffes pour les autres !! Bref, juste un mot : FONCEZ !!
Une super lecture qui fait que j’ai crû y être !! Et quand c’est comme ça , je suis aux anges !!
Allez à plus pour de nouvelles aventures !!
Afficher en entierEh bien, l’auteur a vraiment bien choisi le titre de ce troisième tome puisqu’il y a une multitude de meurtres au cours de ce roman. À mesure qu’on avance, les meurtres deviennent de plus en plus sordides. Comment fera notre enquêteur vedette pour trouver qui se cache derrière tous ces assassinats?
Si vous avez lu mes deux précédentes chroniques sur cette saga, vous savez à quel point Dufaux est vraiment singulier. Maintenant que sa femme ne lui répondu plus, voilà qu’il a un double qui s’amuse à le contredire. Il s’en passe des choses dans la tête de Dufaux! Ces moments où tout se déroule dans sa tête me font sourire à chaque fois! C’est d’un tel cynisme.
Au cours de cette enquête, notre héros est accompagné d’un journaliste Allemand qui doit le suivre partout. Heureusement que ce dernier est là puisqu’il est devenu son garde du corps. Quelqu’un veut la mort de Dufaux et il est difficile de savoir qui se cache derrière cela sachant le nombre d’individus qu’il a envoyé derrière les barreaux.
Au-delà de ce journaliste, plusieurs membres de l’équipe de Dufaux sont absents pour diverses raisons. Non seulement c’est une enquête hors norme, mais il doit réussir à la résoudre avec un minimum de personnel. Heureusement qu’une employée du SCRS vient les aider! Mais je dois avouer que de ne pas avoir l’équipe complète, certains personnages m'ont manqué.
L’intrigue est captivante et additive. J’ai lu le roman en un temps record. Je n’arrivais pas à laisser mon livre fermé. Et puis, les chapitres sont si petits que cela donne non seulement beaucoup de rythme au roman, mais cela m’empêchait d’arrêter de lire. De plus, c’est rebondissements l’un en arrière de l’autre. Il n’y a pas de temps mort au cours de ce roman malgré qu’il ait plus de 600 pages!
J’ai trouvé le sujet central du roman très intéressant et réaliste. Les Ultravéganes permettent au lecteur une certaine réflexion sur la place que les animaux ont dans nos assiettes et la façon dont nous les traitons. Je dois avouer que le sujet est vraiment d’actualité!
Je ne regrette tellement pas d’avoir lu ce troisième volet. J’ai pris plaisir à suivre Dufaux. Il est égal à lui-même et j’y peux rien, le personnage est attachant. L’enquête est addictive, les événements d’un réalisme incroyable, la plume de l’auteur est toujours aussi fluide bref tout est là pour nous captiver!
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Afficher en entierAutant le reconnaitre de suite, les romans écrits au présent, à la première personne, avec de l'humour, c'est ma tasse de thé. Alors, il était assez inévitable que je passe à côté de cette série. D'autant que s'ajoute un élément que j'affectionne beaucoup : l'auteur est québécois. J'adore découvrir cette version du français, remarquer le remplacement d'un mot par un autre dans une locution, des expressions idiomatiques différentes. L'auteur y va léger en plus, je trouve.
J'ai aimé Dufaux et son équipe dans les deux précédents tomes. Les jeunes qui gravitent autour de lui sont tous des cas à part, originaux, un peu excentriques pour certains, mais surtout, cela leur confère une personnalité, un caractère rapidement établi, ce qui est très efficace. Dufaux quant à lui, avec sa/ses voix qu'il entend, son caractère d'ours bien trempé, qui n'est pas sans rappeler John Rebus, est fascinant.
Je conseille aux personnes qui écarteraient ce roman en raison de son sujet de ne pas s'arrêter à cela, il est abordé d'une manière très intelligente et c'est toute la force de ce livre. Qu'on soit pour contre sensible insensible, les opinions exprimées finissent toujours nuancées et l'ajout des extraits de discussions d'un réseau social est une excellente idée en ce sens.
Je ne regarde jamais le nombre de pages avant de me mettre à la lecture (ebook), au tout début, je me suis dit à regret que ça allait être vite plié, au bout de cinq heures de lectures, je suis allé vérifier le nombre de pages papier, joli pavé. On ne s'ennui pas, c'est très rythmé, les chapitres courts nous empêchent de lâcher le roman, le scénario est très bien construit et vaut largement ce volume.
Ce que j'ai regretté, c'est l'éclatement de l'équipe de départ, certains m'ont manqué. Certaines choses pas très utiles à l'histoire (Maltais, et par conséquent la psy) et d'autres qui viennent jeter le trouble (Becky et ses communications) trop clairement dans l'intention de renforcer le suspense, je trouve que c'est de la manipulation évidente du lecteur, une faiblesse de l'auteur. Si les meurtres sont très vraisemblables, certains éléments gravitant autour de l'enquête sont un peu forts de café, trop gros, et d'ailleurs la fin du roman me fait peur pour la suite de la série. Enfin, si on analyse l'histoire, Dufaux ne fait rien ou presque dans cette enquête, il ne la dirige pas, il ne trouve rien, il gère ses supérieurs, c'est dommage.
J'ai passé un excellent moment en lisant ce troisième roman de la série, écrit dans un style léger sans aucune lourdeur.
Afficher en entierOn parle de Jean-Jacques Pelletier ici :
2010-11-09T23:05:50+01:00
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Dédicaces de Jean-Jacques Pelletier
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Editeurs
A Lire : 5 livres
Alire : 5 livres
Éditions Hurtubise : 2 livres
Lemieux Editeur : 2 livres
Instant même : 1 livre
Éditions Ex Aequo : 1 livre
Biographie
Détenteur d’une maîtrise en philosophie de l’Université Laval et d’un baccalauréat ès arts du petit séminaire de Nicolet, Jean-Jacques Pelletier a enseigné la philosophie de 1970 à 2004 au cégep Lévis-Lauzon. Il a également participé à plusieurs reprises, à titre de représentant syndical, aux négociations du secteur public.
Son premier contact avec l’écriture eut lieu au petit séminaire de Nicolet, où il sévissait dans les pages du journal étudiant. Ses activités littéraires de l’époque eurent pour effet de le faire suspendre de la cafétéria du collège… ce qui n’était pas forcément un grand malheur.
Suivirent vingt ans de silence littéraire. Puis ce fut le début de la saga de l’Institut. Amorcée sous la forme d’un roman d’espionnage assez classique, avec L’homme trafiqué, elle s’est progressivement orientée vers des romans à la forme plus complexe, qui mettent en scène des intrigues internationales et qui proposent un regard global sur le monde, axé sur les différentes formes de manipulation ainsi que sur les manifestations et les effets des discours de pouvoir (La Femme trop tard et Blunt — Les Treize derniers jours).
Cette dernière orientation est particulièrement visible dans le cycle des «Gestionnaires de l’apocalypse», dont La Chair disparue, L’Argent du monde, Le Bien des autres et La Faim de la Terre constituent les quatre volets. Pour Le Bien des autres, il obtenait en 2004 le Prix du roman policier de Saint-Pacôme.
Attentif à l’univers des médias, des arts et de l’informatique, les romans de Jean-Jacques Pelletier s’intéressent de façon particulière à l’embrigadement idéologique, à la manipulation des individus et des foules ainsi qu’aux différentes formes d’exploitation.
La passion de l’auteur pour le thriller et la géopolitique ne l’a pas empêché d’explorer l’univers du fantastique – à preuve La Bouche barbelée, nouvelle qui remportait en 1993 le concours de nouvelles de Radio-Canada. Cette recherche s’est poursuivie avec la publication d’une suite de nouvelles déguisée en roman, L’homme à qui il poussait des bouches, et d’un roman déguisé en un montage de nouvelles, L’Assassiné de l’intérieur.
Des études sur Simenon, sur Conan Doyle et sur le polar, publiées dans la revue «Alibis», ont accompagné une réflexion sur son propre travail d’écrivain : Écrire pour inquiéter et pour construire, livre publié aux Éditions des Trois-Pistoles.
Outre ses activités littéraires, il s’intéresse de près à la gestion financière des caisses de retraite, ce qui l’a amené à publier, en collaboration avec Carmand Normand, un livre de référence sur le sujet: Caisses de retraite et placement. Une édition entièrement révisée et largement augmentée de cet ouvrage est parue à l’automne 2008 sous le titre La gestion financière des caisses de retraite. L’auteur travaille depuis plus de vingt ans dans différents comités de retraite et de placement, dont celui du RREGOP.
Jean-Jacques Pelletier réside à Lévis et travaille présentement à un essai, Les Taupes frénétiques ainsi qu’à deux projets de roman. Il collabore également à la revue «Alibis», où il tient une chronique épisodique intitulée: La réalité, c’est pire et où il a publié Radio-Vérité — La radio du vrai monde, une novella ayant pour thème le phénomène de la radio poubelle.
Prix et autres distinctions
2011: Récipiendaire du Mérite du français dans la culture
2010: Invité d’honneur du Salon du Livre de Montréal
2010: Président d’honneur du Salon du Livre de l’Outaouais
2004: Prix du roman policier de Saint-Pâcome pour le roman Le Bien des autres
1993: Premier prix au concours de nouvelles de Radio-Canada pour la nouvelle La bouche barbelée
Editeurs
Alire
Alibis
Béliveau éditeur
L’instant même
Les éditions des Trois-Pistoles
Québec Loisirs
Autres activités
Actuellement
Depuis 1985: Comité de placement du RREGOP.
Depuis 1995: Comité de retraite des travailleurs et travailleuses de la CSN.
Depuis 1998: Différents comités de retraite des employés d’Alstom Canada.
Depuis 2000: Comité de placement de Bâtirente.
Depuis 2007: Comité de placement de la Fiducie Globale des Régimes de retraite de la Ville de Québec.
Auparavant
2000 – 2004 Comité de placement du Fonds de placement des régimes de retraite de l’Université Laval.
1985 – 2004 Comité de retraite du RREGOP.
1978 – 1995 Comité d’assurances et de régimes de retraite de la FNEEQ-CSN.
1978 – 1981 Négociation CSN du secteur public: dossiers de table centrale (salaire et retraite).
[http://jeanjacquespelletier.com/biographie/]
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