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Commentaires sur ses livres

Jean Mabire

Par Taipan le 18 Décembre 2023 Editer
Taipan
Invasion de la Crète en Mai 41 par les paras et troupes alpines allemandes.
Témoignage coté allemand légèrement condescendent de la part de l'auteur. Un parti pris pour le IIIème Reich.
Un peu galère à lire car cela ressemble à un journal de marche. Beaucoup de noms, de lieux et de numéros de corps armés.
Curieusement, il y a pas mal de références au corps médical allemand, où on s'aperçoit que les médecins et soignants se sont comportés souvent comme chefs de groupe et combattants.
Par ludwigjeansebastien le 25 Novembre 2023 Editer
ludwigjeansebastien
Le corps des chasseurs qui portait alors le nom de « compagnie de chasseurs d’essai » fut créé en 1837 par le duc d’Orléans, fils de Louis XVIII, qui voulait en faire un bataillon d’élite. Il s’appellera ensuite « chasseurs à pied », puis pour un temps, « Chasseurs d'Orléans », en hommage à leur créateur. Leur premier fait d’armes a lieu en Algérie en 1845, du côté de Sidi-Brahim où ils durent se battre à un contre cent face aux guerriers de l’émir Abd-El-Kader. Retranchés dans un fortin, les derniers survivants vécurent un équivalent de ce que fut Camerone pour les légionnaires. Ils se battirent jusqu’au dernier, jusqu’à la dernière cartouche sans jamais accepter de se rendre. Le 24 décembre 1888, un projet de loi fixe à 12, le nombre total de bataillons de chasseurs à pied, affectés spécialement à la défense du massif alpin. Leur nom officiel sera « Bataillon alpin de chasseurs à pied » que l’usage simplifiera en « Chasseurs alpins » (BCA). Ils s’illustrent dans de très nombreux combats lors de la pacification des djebels marocains. Puis ils se retrouvent dès le début de la guerre de 14 dans les Vosges, en première ligne face aux Allemands. Ils y paient un très lourd tribut. Pendant la seconde, ils sont sur tous les fronts, à Narvik, dans les Vosges, dans la Somme, et les derniers à essayer de bloquer le déferlement de la Wehrmacht avec les Cadets de Saumur. Ils font ensuite partie de l’armée d’armistice. Et quand elle est dissoute, ils entrent dans la Résistance. Ils se battront sur le plateau des Glières, dans le Vercors et dans la région de Grenoble. Ils participeront ensuite aux guerres d’Indochine et d’Algérie en restant toujours fidèles à leur devoir.
« Chasseurs alpins » est une étude historique particulièrement intéressante d’un corps d’élite particulièrement prestigieux au sein de l’armée française. L’ouvrage, parfaitement documenté est illustré de nombreux documents photographiques. Le style de l’auteur est très vivant. Il comporte de nombreux dialogues et se lit comme un roman. L’auteur consacre une très grande partie de son propos aux deux guerres mondiales (les exploits dans la résistance et les batailles inégales et sans espoir aux Glières et dans le Vercors sont particulièrement émouvantes). Le lecteur lambda et pas particulièrement « fana mili » pourra y trouver de beaux exemples de courage, de témérité, de bravoure, d’abnégation, d’esprit de sacrifice au service de la patrie, autant de qualités dont on se demande où elles sont passées aujourd’hui. Les jeunes Résistants des années 40 voulaient égaler leurs pères, les Poilus de 14, quitte à se battre avec des pétoires contre des Allemands lourdement équipés et bien supérieurs en nombre. La liste est longue de tous ces soldats qui y laissèrent la vie. Autrefois, ils étaient considérés comme des héros et montrés en exemple. Cet ouvrage passionnant, mais qui aurait pu s’étendre un peu plus sur les deux derniers conflits, s’achève par un rappel détaillé de tous les combats de chacun des bataillons.
Par ludwigjeansebastien le 16 Octobre 2023 Editer
ludwigjeansebastien
Beaucoup moins connue que les mythologies grecques et latines, leurs homologues nordiques sont assez différentes, tout en ayant néanmoins bien des points communs. (La création du monde, les personnalités des dieux, les incarnations du Mal (Loki) et du Bien (Balder), la fin du monde, le Ragnarok, cette terrible Apocalypse du Septentrion, etc.) Toutes ces légendes commencent par un meurtre. Aidé de ses deux frères Vili et Vé, Odin tue le géant Ymir. Son petit-fils Bergelmir réussit à s’enfuir avec toute sa famille sur un navire voguant sur des eaux écarlates. Il donnera naissance à de nouveaux géants élevés dans la haine et l’esprit de vengeance. Du corps du géant Ymir va naître la terre. Le sol est formé de sa chair, l’océan de son sang, les montagnes de ses os, les forêts de ses cheveux et les cailloux de ses dents. Son crâne donnera le ciel et son cerveau les nuages. Et les dieux fabriqueront à partir de deux arbres, le premier homme Ask (le frêne) et la première femme Embla (l'orme). Ils sont dotés d’un beau teint clair et de cheveux blonds qui les distinguent de la race si sombre des géants. Et pour ne rien gâter, tous deux sont beaux, bons et sages…
« Légendes de la mythologie nordique » est un essai de vulgarisation sur un sujet rarement abordé. Les dieux de l'Asgard ayant été à la fois méprisés et ignorés dès l'arrivée du christianisme, l’auteur est retourné aux sources, les « Eddas » islandaises et les sagas danoises et norvégiennes pour nous présenter une mythologie tourmentée, bien à l’image des peuples et des climats qui en furent la matrice. Le lecteur aura sans doute un peu de peine à s’y retrouver dans la multitude de dieux, de géants (leurs perpétuels ennemis), mais aussi d’elfes, de nains et de monstres en tous genres. Ces histoires pleines de bruit et de fureur n’en demeurent pas moins relativement poétiques, et surtout terriblement symbolique, même si la lutte, le combat, la violence, en marquent quasiment tous les épisodes. Il est aussi noble pour les dieux de brandir une épée que de vider une corne à boire. Ce qui est ignoble, c’est la lâcheté, le mensonge et le parjure. Cet ouvrage agréable à lire pourra servir de référence pour qui veut s’initier aux anciens mystères du Nord. On y trouve d’ailleurs en fin de volume un important index regroupant une courte présentation de tous les intervenants qui sera très utile pour s’y retrouver dans ce foisonnement.
Par VinFuriana le 20 Juin 2023 Editer
VinFuriana
Destins tragiques des français qui ont servi sous les armes de la Waffen SS. Ce livre parle de combats et des soldats et non pas d’idéologie (ce que certains ne comprennent toujours pas).
A propos du livre :
La brigade Frankreich
La brigade Frankreich
Par VinFuriana le 5 Avril 2023 Editer
VinFuriana
un livre à la hauteur des Mémoires de Zeus de Druon.
Par AnG_L le 12 Octobre 2022 Editer
AnG_L
Ce tome couvre deux points importants : les français qui ont aidé ou travaillé pour la Gestapo et ce qu'il est advenu des membres de la Gestapo, à la fin de la guerre. Une lecture intéressante.
A propos du livre :
Histoire de la Gestapo, Tome 4
Histoire de la Gestapo, Tome 4
Par lelette1610 le 10 Octobre 2019 Editer
lelette1610
La Révolution se profile à l'horizon. Chacun va choisir son camp : révolutionnaire ou royaliste.
Le pays se déchire en intrigues de toute part.
A propos du livre :
La Mâove
La Mâove
Par ludwigjeansebastien le 12 Septembre 2019 Editer
ludwigjeansebastien
Né en 1885, le jeune baron von Ungern-Steinberg, noble estonien d’origine germanique, est un enfant difficile, plus intéressé par les bagarres que par les études. Au début de la première guerre mondiale, il déserte de l’école navale où il est élève officier pour s’engager dans les armées du Tsar comme simple soldat. Il combat en Galicie et acquiert une réputation de bravoure. Étant cinq fois blessé, il obtient l’ordre de Saint-Vladimir, de Saint-Stanislas et est décoré de l’ordre de Saint-Georges. En 1917, il combat les armées rouges et remporte quelques victoires avec la division de cavalerie asiatique qu’il a créée de toutes pièces, avant d’être investi d’une fonction officielle par le Bogdo Khan, ce qui l’amène à tenter de créer un empire mongol indépendant à l’est du lac Baïkal. Mais sans base arrière, ni alliés, ni secours possible, son échec est programmé. Ses propres officiers l’abandonnent quand ils comprennent que l’aventure touche à sa fin. Capturé par les Rouges, il est jugé le 15 septembre 1921, à Novonikolaïevsk. Les chefs d’accusation retenus contre lui sont de s’être battu contre la révolution, d’avoir été un agent des Japonais et d’avoir commis des crimes. Il est reconnu coupable sur tous les points, condamné à mort et immédiatement exécuté.
« Ungern, l’héritier blanc de Gengis Khan » se présente comme la courte biographie d’un des contre-révolutionnaires les plus flamboyants et les plus sauvages de l’histoire russe. Il fut surnommé le « Baron fou » et demeura une sorte de mystère pour les historiens. Il se proclamait bouddhiste mais semblait avoir fait partie de sociétés secrètes ésotériques satanistes comme la « Golden Dawn » et avoir eu un rôle d'espion. Il détestait les Russes mais s’était vaillamment et loyalement battu à leurs côtés dans les armées du Tsar. Il était brutal et impitoyable comme seul un ascète et un sectaire peut l’être, mais comme on ne prête qu’aux riches, on lui attribua plus de massacres qu’il n’en commit réellement. Il était capable de galvaniser les foules tout comme de perdre leur confiance. On le disait supérieurement intelligent et pourtant, il commit de grossières erreurs de tactique en se lançant à l’assaut des immensités russes avec un petit millier d’hommes et en voulant se mesurer à un ennemi plus de dix fois supérieur en nombre ! Petit ouvrage intéressant et bien écrit qui donne envie de se documenter un peu plus sur ce personnage hors du commun.
Par Luciole40 le 31 Octobre 2018 Editer
Luciole40
Un livre très intéressant pour ceux qui ont envie de découvrir les légendes nordiques
Par Syracuse le 21 Septembre 2017 Editer
Syracuse
Un des rares - si ce n'est le seul - livre sur la bataille des Alpes de 1944-1945, bataille oubliée et peu - voire pas du tout - connue.
Une plongée au coeur de l'Histoire et au plus près des combats pour des "pitons arides et des paysages désolés" aux côtés des chasseurs alpins, lesquels, la grande majorité venant des maquis de la région, se sont engagés volontairement et sont allés défendre leur pays à 3000 mètres d'altitude, réalisant des combats relevant de l'héroïsme et sont allés jusqu'au bout d'eux-mêmes.
Par Lily-Ann le 15 Février 2016 Editer
Lily-Ann
La passionnante histoire des vikings. Un livre instructif, où on y trouve tout pour comprendre leurs vies.
A propos du livre :
Les Vikings
Les Vikings
Par Adanson le 7 Décembre 2015 Editer
Adanson
Il y a un mois, j'étais allé dans un vide grenier pour trouver des vinyles de collection et je suis tombé sur ce bouquin pour 2 euros.
Passionné par la 2ème guerre mondiale comme beaucoup de gens le savent sur ce site, je suis donc revenu avec deux EP (Elvis et Les Shadows) et ce livre sur la division SS Française Charlemagne.
Peu de personnes le savent sans doute, mais fin 1944, 7 000 jeunes Français ont endossé l'uniforme Allemand et ont formé la division Charlemagne.
Ils sont très vite envoyés sur le front de l'Est et combattent en Poméranie dès le début de l'année 1945 contre les Soviétiques.
Ces jeunes Français aux origines sociales et aux motivations diverses participent sans moyens et sans matériels à la bataille de Poméranie.
Après leur premier combat, on compte dans leurs rangs, 500 tués et 1 000 disparus.
La division Française sera presque anéantie dans la plaine de Belgard.
Le 21 mars 1945, ils ne restent plus que 400 Waffen SS sur les 7 000 du départ.
Les survivants seront tués presque tous lors de la bataille de Berlin.
Ils auront combattus jusqu'au 2 mai 1945.
Ce livre de Jean Mabire que je ne connaissais que de nom, raconte leurs combats en Poméranie.
J'ai vu sur Wikipédia que l'auteur, proche de la nouvelle droite de Alain de Benoist a écrit une suite qui s'appelle "Mourir à Berlin".
Ce livre est réellement passionnant mais est sans doute comme indiqué sur le site précité assez romancé.
De plus tout au long des pages on se rend compte que l'écrivain a une grande admiration pour ces soldats perdus.
Cela peut se comprendre mais semble tout de même un peu subjectif.
Opinion personnelle bien sur.
Ce livre, de toute façon à le mérite de nous faire connaître l'histoire de cette division SS Française.
Mis à part la lutte contre le communisme, la question est: Pourquoi des jeunes Français se sont engagés dans la Waffen SS, alors que l'Allemagne Nazi était déjà sur son déclin pour ne pas dire morte et enfin enterrée ????
Adanson Marco.
A propos du livre :
La division Charlemagne
La division Charlemagne
Par Giles le 3 Novembre 2015 Editer
Giles
"Histoire secrète de la Normandie" n'est pas un de ces livres ésotériques abscons dans lequel, au bout de quelques pages, le lecteur doit abandonner toute rationalité, toute raison.
Ce n'est pas non plus un de ces livres d'espionnage, ou consacré à la guerre secrète, tels que ceux que Jean Mabire a, par ailleurs, pu écrire dans un autre genre.
C'est un véritable livre d'Histoire.
Il est le pendant de "l'Histoire de la Normandie", un de ses autres ouvrage, paru en 1976 et écrit en collaboration avec Jean-Roger Ragache.
Dans ce premier opus, l'auteur se faisait historiographe.
L'Histoire du Duché de Normandie y était contée, de manière passionnante, traditionnelle et classique.
Dans "l'Histoire secrète de la Normandie", parue en 1984, Jean Mabire tente de saisir l'âme normande, de l'extraire du fond des siècles.
Il veut ainsi prouver que, si aujourd'hui elle semble moins apparente, elle ne s'est pourtant pas totalement diluée dans les temps modernes.
Le propos, extrêmement documenté, est instruit.
Il va disséquer et expliquer, au fil des âges, croyances, religions et littératures.
Il repose sur une impressionnante bibliographie dans laquelle le lecteur accroché au sujet pourra puiser avec plaisir et intérêt.
Il y a longtemps existé dans la rivière de l'Aure un piquet qui marquait la limite, la différence entre l'eau normande et l'eau française.
Définie en 911, élargie quelque-peu en 933, la frontière du Duché n'a depuis pas sensiblement bougé.
La région est annexée en 1204 par Philippe Auguste.
Louis XI fait briser l'anneau ducal en 1469.
Mais la Normandie ne se range finalement à la loi commune que durant la Révolution.
La Normandie n'est ni une province, ni un assemblage de départements.
C'est une nation.
Déjà dans la grande nuit des âges anciens, aux temps préhistoriques, des hommes s'y réunissaient près de pierres levées qui dataient peut-être de civilisations précédentes.
Le véritable père de la nation normande est Rolf le marcheur et l'on compte six générations avant que le nom de Guillaume le conquérant apparaisse, entre paganisme et christianisme, dans l'Histoire du Duché ....
Le livre est articulé autour de quatre grandes parties :
1°) Avant les normands
2°) Les vikings
3°) Le moyen-âge
4°) Les temps modernes
L'ouvrage est passionnant et vivant.
Le propos est bourré d'anecdotes et illustré de nombreux détails historiques.
La littérature n'y est pas oubliée puisque on y rencontre Barbey d'Aurevilly, Maupassant, Gustave Flaubert, Alain, Maurice Leblanc, Gustave Le Rouge, Gaston Leroux, Arthur de Gobineaux le grand viking méconnu, Jean de la Varende et bien d'autres auteurs originaux et précurseurs ...
Ce livre est la preuve, s'il en fallait une de plus, que Jean Mabire parle de la Normandie comme personne et qu'il est un historien, un écrivain dont le Duché peut s'enorgueillir ...
Par Giles le 19 Janvier 2015 Editer
Giles
Diélette, Omonville-la-Rogue, Nacqueville, Cherbourg, Cosqueville, Saint-Vaast la Hougue, Barfleur, Morsalines, les noms cités sont évocateurs.
C'est de la pointe-nord du Cotentin dont va nous parler Jean Mabire.
C'est un "pays" qu'il connaît bien.
Les textes regroupés dans ce livre ont été préalablement publiés, entre 1954 et 1964, dans les colonnes du quotidien "La presse de la Manche".
Jean Mabire y a été journaliste durant une dizaine d'années.
Il est aussi le co-auteur, avec Jean-Robert Ragache, d'une superbe "Histoire de la Normandie".
Cette terre du Cotentin, à la fois tournée vers la mer et vers son bocage, est une terre de paysans et de marins.
Chacun, à terre, se fait une idée différente du monde de la pêche.
Les uns en sont restés à la littérature sentimentale et idéalisée du siècle dernier, dans le style des Romans de Pierre Loti, avec marin au grand cœur et promise au pied du calvaire.
Les autres ne raisonnent plus qu'en terme de productivité, d'amortissement, de produit des ventes et de bénéfice.
Le vrai monde de la pêche commence au-delà de la rade....
Paru en 1975, cet album de souvenirs est aussi un livre de rencontres.
Il évoque des noms de marins oubliés, de bateaux disparus en mer ou désarmés.
Paul Ingouf dans l'annexe intitulée "la pêche dans le Cotentin en 1975" nous dit ce qu'ils sont devenus et Christian Letourneur avec "Les pêcheurs, héritiers des vikings" clôt, derrière quelques photos, un ouvrage que j'ai bien du mal à refermer.
Cette dizaine d'anciens clichés, en noir et blanc, est un petit voyage dans le temps à travers la côte nord du Val de Saire, au Nez de Jobourg, dans la baie d'Eculleville, au port de Diélette, à ceux d'Omonville-la-Rogue, de Barfleur et de Saint-Vaast la Hougue.
L'escale à Cherbourg est plus longue. Elle nous ramène au quai de Caligny.
On y voit le port depuis la tour du casino, le bassin de commerce, un lancement aux chantiers Bellot et la criée.
Paul Bertaut, patron du chalutier "Mimi et Charlot" a pris la barre, et quelques marins du cordier "Camarade" préparent, comme avant chaque marée, durant de longues heures, les cordes qu'ils tendront sur les lieux de pêche.
"Normands, n'oubliez pas vos pêcheurs. Horzains, apprenez à les connaître....
A propos du livre :
Pêcheurs du Cotentin
Pêcheurs du Cotentin
Par mr-moustache le 11 Novembre 2014 Editer
mr-moustache
Bon livre, même si je doute que cela se soit passé comme ça...
A propos du livre :
Mourir à Berlin
Mourir à Berlin
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