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Tous les livres de Jean-Paul Demure

Le minable Jean-Mi, vendeur de bibles illustrées, débarque chez madame Raymond, trésorière de la paroisse locale, chaudement recommandé par l'abbé robert, un curé de choc qui fait dans la réinsertion sociale. Mais Jean-Mi, qui n'a pas les yeux dans sa poche, s'aperçoit que derrière le fatras de vraies fausses antiquités du salon, se dissimulent des choses bien étranges. comme, par exemple, une monumentale armoire blindée. Et quelles sont ces "recherches" que monsieur Raymond est censé mener dans son " laboratoire"? Tandis que le père robert soigne les drogués et autres misères de ce monde, ses paroissiens les plus respectables se livrent à de drôles de trafics. Publié pour la première fois en 1983, ce roman de Jean-Paul Demure est, selon le dictionnaire des littératures policières, " une rocambolesque expédition digne des meilleurs burlesques américains ". c'est aussi une satire virulente de l'hypocrisie et du cynisme des sociétés libérales qui abritent leurs turpitudes derrière la vitrine d'œuvres de bienfaisance.

A force de se faire passer pour ce qu'on n'est pas, pour quelqu'un d'autre, tout se déglingue et tout s'embrouille. Et il se passe des choses vilaines, choquantes. De ces choses dont on dit : "ça n'arrive qu'aux autres".

Traîner sa conscience dans un commissariat, c'est comme faire du jogging avec un boulet de forçat. La dé arche s'alourdit. Surtout quand on découvre le menu : deux horribles cadavres sur les bras et quelques autres, dans la réserve. Avec pour tout secours un Tzigane rétif et muet, l'inspecteur Puymichel se hâte lentement sous le regard excédé de son chef.

Il y a de la buée sur les vitres.

Dehors, la pluie, le froid. Tcholine joue avec ses cheveux. Tit-Flip engrange du bonus. Sylvette regarde Jeannot. " Si on se mariait ? " demande-t-il. Sylvette ouvre de grands yeux. Si on se mariait ? Pas si facile...

Elle était jeune et belle et apprenait le métier de "fliquesse". Elle avait aussi du courage et un cerveau bien fait. Son stage aurait donc dû bien se passer. Mais tout commença à se gâter quand un flic macho- et par ailleurs amoureux de la belle apprentie- connut, en sa présence, la pire des humiliations dans un repaire de malfrats.

Dans les rues on se cogne pour des affiches, sur la scène on chante Mozart, au fond des caves on torture à mort, la salle applaudit en délire, dans les coulisses on assassine. Un festival bien ordinaire, ma chère!

Ce n'est pas parce qu'il manque de bonne volonté, Victor. Ni de capacités. Il en faut pour se tirer hors de galère tout seul, sans rien ni personne. Il en faut pour quitter la jungle et supporter chefs et cheftaines. Il réussit même à se trouver une active Julie qi l'initie à l'amour convenable et aux arcanes du commerce. Il apprend un métier avec un maître, comme à la télé. D'où vient-il que le beau programme tourne au tragique ? C'est qu'au débutant échoient toutes les corvées, même les plus improbables. On ne peut pas toujours se résigner...

Dans la première moitié du XIXe siècle, une armée de huit cents hommes, Piémontais pour la plupart, s'épuisa à creuser le canal de la Durance, pour conduire l'eau aux portes de Marseille. Une toile de fond pour un cortège de drames et de passions...

Parce qu'il a gagné sa vie au prix de la mort des autres, Milac est devenu un homme "qui pose sur le monde un regard fatigué". Retraité volontaire d'une société de recherche sous contrat avec le Ministère de la Défense, il mène désormais, avec son épouse Adrienne, une existence de reclus. Un jour, par hasard, il achète un magnétoscope et reçoit en cadeau la vidéocassette d'un film de Belmondo... Qui se révèle être une annonce alléchante pour rencontres spéciales. La rencontre sera en effet très spéciale : au lieu de la call-girl attendue, Milac se retrouve face à une énigmatique jeune femme qui n'a pas fini de croiser sa route. Et, petit à petit, il comprendra qu'on ne peut échapper à son passé.

Un paisible facteur abat froidement un de ses concitoyens lors d'une partie de chasse, faisant croire à un accident.

Sur les pentes abruptes des monts d'Ardèche se dresse une ferme solitaire, forteresse d'un temps aboli. un père et sa fille y tracent les gestes ancestraux de la survie.

En bas au village, les langues vont bon train, surtout quand Cédric, jeune et séduisant étranger, débarque sur sa moto rouge pour se retrouver au coeur d'une tragédie dont il sera l'un des acteurs involontaires.

Jean-Paul Demure évoque d'une plume caustique et souvent drôle l'univers impitoyable de la paysannerie où, à force d'isolement, les individus finissent par se détruire.

Ce livre a reçu le grand prix du roman noir français au festival de cognac en 1999.

"Claquements de portes, claquements de verrous, tintement de clés, tout s'enfuit, coule entre les doigts, s'accumule, étouffe. Quand vient le jour, on voudrait pouvoir retirer la toile défaite, rassembler les éclats de vie inaccessibles. On reste immobile, impuissant, cramponné à des mots qui ne représentent rien..." La résidence Plein Azur est une forteresse solidement bétonnée. Elle en a l'aspect impressionnant, mais aussi les points faibles. Et voilà que la présence d'une "étrangère" - la femme de ménage intérimaire - les attaques des voleurs de poubelles et des voleurs tout court, sans compter les clochards, donnent à la forteresse des allures de bunker assiégé. De là à engager des gardes qui ont tout de la milice, il n'y a qu'un pas. Au milieu de ce chaos, Guillaume le jardinier et Elodie la femme de ménage, unis contre les autres, unis contre la haine. Mais chacun d'eux a ses faiblesses et ses démons...

Après Fin de chasse, tragédie rurale, Jean-Paul Demure nous propose la terrifiante chronique d'un monde prétendument "civilisé".

Une ville portuaire. Près du collecteur d'égout où survivent les épaves rejetées par la société, le cadavre d'un homme riche. Max, le dernier des clochards, fouille le corps et trouve le portefeuille de la victime, sa carte d'identité, ses clés. C'était un drôle de type, un trafiquant, un spécialiste des combines louches. Avant qu'on ne le découvre, Max pense à faire une razzia chez lui. Maison impeccable, cave bien garnie. Alors forcément, Max boit et finit par sombrer dans l'inconscience. Pour être réveillé par la fille du mort, une belle étudiante nommée Aurélie. Elle le questionne, le soustrait à la police, veut savoir pourquoi son père a été assassiné. C'est à contrecoeur que Max accepte de l'aider, il faut dire qu'elle a des tueurs à ses trousses... Pour la cacher, Max l'emmène dans le monde de la cloche, là où pauvreté, crasse, famine sont la règle. Il voudrait bien se débarrasser d'elle, mais Aurélie s'accroche à lui comme une bouée de sauvetage.

L'Occupation tisse son lien de grisaille. Rue Vermenouze, Léone et Antoine Lachaux tiennent une épicerie-café-popote fréquentée par les travailleurs du quartier Rabanesse. Une amitié se crée avec " Monsieur l'Ingénieur ", personnage haut en couleurs et sa femme, Agathe. L'ardoise du premier s'allonge... mais qu'importe ! les Lachaux le prennent comme un privilège, flattés par l'amitié de ces gens étranges. La naissance du petit Lachaux bouleverse le quotidien des deux couples. Agathe devient une mère de substitution, captatrice et frustrée. " Faux orphelin à double famille ", l'enfant grandira tiraillé entre ces deux foyers...

On ne devrait pas laisser deux flics vivrent ensemble. Ça prête à confusion (et à combustion). On ne devrait pas refiler une petite vieille fragile à un gros macho et à un long flandrin. On ne devrait jamais faire confiance à des machines-outils. On ne devrait pas oublier que les mères-grand ont une cervelle sous le chapeau à fleurs et plus d'un tour dans le sac à main.

Des corps morts, raidis ou sanguinolents, d’autres qui basculent d’une terrasse ou par-dessus une balustrade, ou encore dans un ravin. Dix-sept nouvelles dans lesquelles Jean-Paul Demure explore la violence qui sommeille en chacun et étire, telle la corde de l’arc, cet instant fugace et fatal où la vie quitte le corps, « poussée par la main glacée de la mort ». Ces sombres et saisissants tableaux sont rehaussés d’un trait de plume acerbe ou ponctués d’un rire sarcastique, signature d’un auteur certes pessimiste, mais aussi enclin à une dérision drôle et salutaire. Ce qui laisse au lecteur le plaisir de vaciller lui aussi au bord de l’abîme, avant la chute.

À 26 ans, Jean-Mi vit toujours chez maman, qu’il désespère, et ne fait pas grand-chose de ses journées. Mais ce n’est pas un mauvais bougre : pour emménager avec sa petite amie Isabelle, il décide de répondre à une annonce et de devenir jardinier. N’ayant pas le diplôme requis, il demande à son copain Fernand de lui en fabriquer un, à son pote Marcel de lui prêter le scooter de son père - une ruine qui n’est pas assurée - et le voilà parti. Sur place, monsieur Girkas est le contremaître d’un domaine à moitié à l’abandon peuplé de molosses féroces et ne semble rien connaître au jardinage. Même Jean-Mi fait illusion. Très vite, Jean-Mi est abordé par un inconnu qui lui propose de l’argent pour jouer à l’espion. Mais bien qu’exploité et pris de haut par Girkas, il sent le coup foireux et refuse.

Fondamentalement, Jean-Mi est un looser : le défaut d’assurance de son scooter dégénère ; victime de brutalité policière, il est obligé de recourir à l’aide de l’homme qui avait tenté de le corrompre, faisant du coup vaciller ses principes. Il faut bien aussi éblouir Isabelle.

C’est évidemment le début d’un engrenage…

Jean-Paul Demure est également scénariste. Lauréat du Grand Prix de littérature policière pour Aix abrupto (Série Noire, 1987) et du Grand Prix du roman noir de Cognac en 1998 pour Fin de chasse (Rivages/Noir 289), il affectionne les chroniques sociales sans pitié. Après La Culotte de la mort, Cher payé est son septième titre chez Rivages.

« Un goût très sûr pour une cruauté parfaitement maîtrisée. »

Le Soir (A propos de La Culotte de la mort)

« Je les connais les morts, depuis le temps. Mon père était déjà gardien ici, avant l’extension. Les morts sont rancuniers. Ils ne vous passent rien. C’est pour ça que ces vieilles viennent laver, épousseter, porter des fleurs. Pour leur dire : repose en paix. Mais les morts n’écoutent pas. Ils chantent une autre chanson. »

Dans un petit village de Provence, Brett, un Anglais retiré, a racheté la villa Cybèle, une folie d’architecte dont personne ne veut car « elle porte malheur ». Un jour, après un violent orage, il voit émerger de la terre lessivée de sa haie un crâne aux orbites vides. Le comportement des villageois envers lui change radicalement…

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