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Toutes les séries de Jean-Robert Pitte

61 livres
93 lecteurs

Napoléon est à la fois le personnage historique le plus admiré et le plus haï de notre histoire. Il est le fondateur de nos institutions modernes et son nom est synonyme de gloire militaire, mais on lui reproche aussi les morts de la Grande armée et le rétablissement de l'esclavage dans nos colonies.

Difficile dans ces conditions d'écrire à son sujet un dictionnaire amoureux sans être accusé de partialité. Pourtant, l'amour ne rend pas obligatoirement aveugle. On peut parler de Napoléon sans dissimuler ses erreurs ou ses faiblesses ; elles ne l'en rendent parfois que plus attachant. Et puis, il faut détruire une certaine légende noire : il n'y eut pas un million de morts dans les guerres napoléoniennes et elles n'ont pas appauvri financièrement la France. Il faut expliquer les conditions dans lesquelles fut exécuté le duc d'Enghien et pourquoi l'Empereur fut battu à Waterloo.

Expliquer pour comprendre et donc mieux juger. Tel est l'objet de ce livre qui se veut objectif, rigoureux et pourtant personnel sur l'un des héros les plus célèbres de notre histoire.

8 livres
67 lecteurs

Savez-vous que Hugo faisait tourner les tables ? Que Balzac a pensé devenir cultivateur d'ananas ? Que Voltaire appelait ses contes des « couillonnades » ? Que Pascal a inventé la première calculette ? Que Baudelaire se teignait les cheveux en vert ? Ou que La Fontaine a écrit des contes grivois ?

Au diable statues vermoulues, perruques poussiéreuses et pourpoints défraîchis : L'Incroyable Histoire de la littérature raconte, à travers des anecdotes truculentes, la vie et les oeuvres des plus grands auteurs français du XVIe au XXe siècle. Cet album passionnant s'adresse aussi bien aux novices qu'aux férus de littérature. Il transformera à jamais votre vision des écrivains qui, bien que géniaux, restent avant tout... des hommes.

Quand une BD s'empare avec humour des classiques et nous présente les génies français dans leur plus simple appareil... Un livre qui donne envie d'en ouvrir beaucoup d'autres !

Tous les livres de Jean-Robert Pitte

On ne peut plus aujourd'hui comprendre l'histoire de l'alimentation, comme on l'a longtemps fait, au regard des seuls impératifs environnementaux, démographiques, économiques.

Non, la nécessité ne fait pas toujours loi. Les valeurs et les croyances la transcendent toujours. On nourrit ses rêves et ses espérances autant que son corps. Dans ce livre, on découvrira les liens qui unissent de nombreux aliments aux religions. Acceptons l'intrication de la matière et de l'esprit, de la bête et de l'ange qui s'unissent en notre nature et nous permettent la tentation si agréable de vivre pour manger, alors que manger pour vivre est une ascèse qui n'est pas accessible à tous.

Combien sage était l'apôtre de la Réforme catholique du XVIème siècle, saint François de Sales, lorsqu'il écrivait qu'il faut soigner le corps pour que l'âme s'y plaise !

Le bac est devenu une imposture : son niveau baisse chaque année et sa médiocrité est entretenue par le renoncement des responsables de l'Éducation nationale.

L'épreuve stresse les candidats et leurs parents, et ne sert à rien. Jean-Robert Pitte, ancien président de l'Université de Paris-Sorbonne, membre de l'Institut, sort de son devoir de réserve. Il nous alerte sur un naufrage qui, à terme, peut faire sombrer tout un pays. Il est urgent de sauver de la déroute les lycéens, victimes chaque année de ce dévastateur mensonge d'État. Ils sont trop nombreux à se retrouver ensuite livrés à eux-mêmes, dans des universités qui ne peuvent rien faire face à l'afflux d'étudiants qui n'ont ni le niveau ni les aptitudes pour répondre aux exigences des études supérieures.

L'auteur dénonce ici l'inacceptable et propose des solutions pour une école et une université du savoir, de la liberté responsable, de l'égalité exigeante et d'une fraternité sans démagogie.

Bordeaux, Bourgogne : deux civilisations qui s'opposent, deux ambitions rivales de produire les meilleurs vins du monde.

Quoi de commun entre ce Bourguignon tout en rondeur, et ce Bordelais, grand bourgeois raffiné, sinon leur commune passion pour l'excellence . Pour ressouder cette fracture française, Jean-Robert Pitte mobilise toute l'histoire culturelle et économique des deux vignobles et des sociétés qui les exploitent. Car la qualité a bien une histoire, et n'est pas due au seul terroir physique, comme certains se plaisent à l'affirmer.

Elle est surtout le fruit des savoir-faire qu'ont développés au fil des siècles ces professionnels sans qui il n'y aurait pas de grands vins pédologues, agronomes, biologistes, œnologues, sommeliers, etc. Ces talents conjugués n'ont toujours eu pour seul but que la satisfaction de l'amateur éclairé. Aujourd'hui, la concurrence internationale met en question la suprématie des vins français en les attaquant sur un terrain où ils n'auraient jamais pensé être contestés : la qualité.

Les vins de Bordeaux et de Bourgogne ne pourront continuer à s'imposer sur le marché international qu'en affirmant leur spécificité respective, sans céder à la facilité d'un goût mondialisé.

L'ouvrage fait le lien entre la géographie de la France et l'histoire de la nation. L'accent est mis sur le rôle fondamental de l'État dans l'émergence de la réalité culturelle française. Des traits communs unissent les français et leur territoire : les diversités régionales se maintiennent ; elles sont fondées sur les contrastes environnementaux.

L'ouvrage traite l'ensemble des champs de la géographie : démographie, aménagement, réseaux de villes, voies de communication, répartition des productions, espace vécu, place de la France dans l'UE et dans le monde.

Les conquêtes culturelles sont à la fois les plus anciennes et les plus durables.

À de très rares exceptions près, celle que le vin a amorcée depuis le vie millénaire au Proche-Orient se poursuit: ne voyons-nous pas s'ouvrir à la consommation de vin des pays comme la Chine ou l'Inde, suivant en cela le Japon ? Breuvage des peuples païens mais aussi du peuple hébreu dans l'Antiquité, boisson sacrée du christianisme, il a accompagné l'expansion de cette religion sur la planète entière (jusqu'au Nouveau Monde et en Océanie avec les premiers évangélisateurs), et n'a rencontré qu'un seul obstacle, certes de taille, l'islam.

Là où il a perdu son caractère religieux, il est resté une boisson de haute culture et de sociabilité. Aujourd'hui, on en boit et on en produit un peu partout, et comme les façons de cultiver et les méthodes de vinification font davantage les grands vins que la nature, l'Europe (et singulièrement la France) doit rester vigilante et imaginative. Avec l'arrivée du vin dans les pays les plus inattendus, c'est à une autre mondialisation que nous assistons, non pas celle des délocalisations et des pertes d'emploi dans les pays riches, mais une mondialisation heureuse qui favorise la chaleur humaine et le dialogue entre les peuples.

L'humanité n'a pas fini d'épuiser les bienfaits du vin!

Depuis longtemps, les géographes contestent le catastrophisme qui s’appuie sur les constats et prédictions de certains savants, souvent enfermés dans leur spécialité et refusant d’admettre la réalité de l’évolution de la planète. Ils ne nient pas les changements environnementaux qui se produisent en ce moment, en particulier dans le domaine climatique, ni la part de responsabilité qui revient aux sociétés humaines en la matière. Ils constatent en revanche que la rapidité des progrès techniques donne beaucoup plus de moyens aux hommes de s’adapter aux évolutions naturelles ou anthropiques en cours et d’en tirer profit, d’enrayer certaines de leurs conséquences fâcheuses et de restaurer des dégradations que l’on qualifie trop rapidement d’irréversibles. Attachés aux faits, ils constatent que la population de la planète atteindra bientôt les 7 milliards, vivant plus longtemps et dans de meilleures conditions que les 3 milliards d’il y a 40 ans.

Voici quelques thèmes qui seront abordés, chacun par un géographe. Maîtriser les risques environnementaux, Yvette Veyret, Université de Paris X-Nanterre. Que faut-il penser du réchauffement climatique ? Martine Tabeaud, Panthéon-Sorbonne. Les océans sont-ils déréglés (niveau des eaux, pollutions, richesses halieutiques, etc) ? Alain Miossec, Recteur de l’Académie de Rennes. Va-t-on manquer d’eau douce ? Loïc Fauchon, Président du Conseil Mondial de l’Eau. La biodiversité est-elle en péril ? Georges Rossi, Université Michel de Montaigne, Bordeaux. Une bonne forêt est-elle une forêt bien exploitée ? Paul Arnould, ENS Lyon. 7 milliards d’hommes : la terre est-elle surpeuplée ou vieillissante ? Gérard-François Dumont, Paris-Sorbonne. Peut-on nourrir correctement la multitude humaine ? Les défis du développement, Sylvie Brunel, Paris-Sorbonne. Pour une vision optimiste de la croissance, Frédéric Teulon, directeur de la recherche à l’IPAG...

La géographie est la science qui permet de mieux habiter la planète, de mieux en partager les richesses, de mieux vivre ensemble dans la diversité des cultures ouvertes sur l'échange, d'être un meilleur citoyen du monde. Elle est l'antidote du choc des civilisations, de la fin de l'histoire et de toutes les peurs millénaristes.

C'est en outre le plus sûr moyen de réenchanter le monde.

Un sage chambertin qui évoque un sous-bois de feuillus un soir d'automne, un bandol qui nous fait sentir la garrigue chauffée sous le soleil du Midi, un muscadet qui nous rappelle le corps frais et iodée d'une femme parfaite. Il est peu de matière, d'aliment qui suscite un tel émerveillement, une telle passion et qui présente un tel ancrage dans notre société.

Le vin fait partie de notre histoire, de notre civilisation et de notre culture.

Face à la montée de la prohibition qui privilégie le principe de précaution plutôt que l'apprentissage d'une consommation responsable, il paraissait indispensable de revenir sur notre relation complexe et paradoxal au vin, sur ses origines, ses liens avec la religion, la santé, l'éducation. Et sur sa contribution éclatante au rayonnement de la France dans le monde.

Une publication de référence, faisant appel à des spécialistes de l'histoire, de l'onologie de la gastronomie ou de la littérature, dans le droit fil de l'Histoire de la vigne et du vin de Roger Dion, réédité par CNRS Editions en 2010. Un ouvrage indispensable pour comprendre l'histoire et l'infinie subtilité du breuvage des dieux.

Le concert de louanges décernées par l'ensemble du monde à notre gastronomie, ajouté à l'intérêt des Français pour les plaisirs de la table, pose un réel problème historique et géographique: quand, comment et où a germé, fleuri et rayonné la haute cuisine à la française? Pourquoi dans l'Hexagone et non dans les autres pays européens (par exemple l'Italie), alors qu'il existe partout des produits de qualité, des mets de choix et des amateurs éclairés?

Il importe de comprendre le processus séculaire qui _ à la faveur de l'aimable laxisme de l'Eglise en ce domaine et grâce aux modèles proposés par la Cour et la haute aristocratie puis la bourgeoisie _ a permis, depuis la Renaissance, à cette réputation de s'établir.

Aujourd'hui, quelque peu endormis sur leurs lauriers, les Français auraient pourtant tort de se croire à jamais les meilleurs. Quelques douzaines de chefs de génie ne sauraient faire oublier ni la banalité et la pauvreté gustative qui menacent bien des tables familiales ni les assauts venus d'outre-Atlantique. Il faut éduquer le goût, inciter le secteur agro-alimentaire à rechercher la qualité et l'authenticité, faire reculer l'uniformité qu'engendre une productivité dévoyée. Que les Français se persuadent à nouveau de manger vrai, et ils guériront peut-être de la maladie de langueur qui les atteint parfois.

Élysée, Matignon, ministères, ambassades, préfectures : à la table des institutions se jouent les épisodes décisifs de la vie politique du pays.Les plats qui y sont servis expriment toute la diversité de la gastronomie française. Leurs recettes peuvent être reprises par tous les gourmets.En voici un florilège, sélectionné par Guillaume Gomez, chef de l’Élysée.

Aux côtés de Guillaume Gomez, des convives de choix évoquent l’importance des tables de la République : la ministre et journaliste Roselyne Bachelot ; le géographe, président de la Mission française du patrimoine et des cultures alimentaires, Jean-Robert Pitte ; l’ambassadeur, co-directeur du Paris food forum, Philippe Faure.

Dans la capitale comme en Province et à l'étranger, des femmes et des hommes accueillent et restaurent les hôtes et les représentants de la France. Tous ont le souci de pérenniser le patrimoine culinaire de leur pays et de défendre la réputation de sa gastronomie comme celle de leurs différents métiers.

L’association Les Cuisiniers de la République française a été créée en 2011 sous le haut patronage du président de la République, du ministère de la Culture et du ministère de l’Agriculture. À travers les concours culinaires qu’elle organise, les chefs membres s’assurent de la transmission d’un héritage tout en découvrant les talents de demain.

Très démocratiquement, quelques-uns d’entre eux nous font partager cinquante de leurs recettes signatures, servies à l'Élysée, à Matignon, au Quai d’Orsay, aux ministères des Finances, des Outre-mer et de l’Agriculture, dans les ambassades de France à Rome, au Caire et au Canada, au consulat de France à New York, dans les préfectures des régions Bretagne et Alsace, et à la préfecture des Yvelines.

Le livre est enrichi d'une préface de Brigitte Macron et d'une contribution de Carla Bruni-Sarkozy et de Valérie Trierweiler.

Rares sont les parcelles de notre territoire qui ont échappé à la main de l’homme. Campagnes d’openfield ou de bocage, régions littorales ou massifs forestiers, zones urbaines ou haute montagne sont toutes le résultat de l’aménagement voulu par plus de deux cents générations d’occupants.

Édition Tallandier

Si la gourmandise est vieille comme le monde, la gastronomie telle que nous la connaissons est un art de vivre qu’il est difficile de faire remonter au-delà du siècle des Lumières. Elle a eu ses inventeurs, ses théoriciens, ses propagateurs et dans cette grande conquête de l’humanité, c’est Jean Anthelme Brillat-Savarin (1755-1826) qui a, de loin, joué le premier rôle.

Magistrat issu d’une longue lignée de juristes de Belley (Ain), député, conseiller à la Cour de cassation, poète et essayiste, polyglotte, musicien talentueux, ami fidèle et délicat, il fut un gourmet aux connaissances encyclopédiques et aux curiosités toujours renouvelées, sans cesse désireux d’aller au-delà des habitudes et des conventions, exigeant comme on ne l’avait jamais été avant lui sur la qualité et la fraîcheur des aliments, sur l’assemblage des saveurs, sur l’accord mets-vins, sur l’équilibre des repas et mille choses encore. La publication de sa célébrissime Physiologie du goût juste au moment de sa mort est venue à point pour accompagner un mouvement en cours depuis la Révolution : la bonne chère n’était plus l’apanage de la noblesse, la bourgeoisie désormais aux manettes voulait aussi s’emparer de ce signe extérieur de prestige. Brillat-Savarin, éducateur du goût, est le père de la grande cuisine qui s’est développée en France (et ensuite dans le monde entier) au XIXe siècle.

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