Jean Ziegler

Un survol de la manière dont s'imbrique le système bancaire, politique et judiciaire Suisse et à qui profite l' l'argent sale des narco trafiquants.

Près de neuf ans après sa parution, le livre de Ziegler reste un repère essentiel dans la déconstruction des rapports Nord-Sud. Et sa lecture est une baffe.

J'ai trouvé ce livre très intéressant. C'est un grand-père qui explique à sa petite-fille ce qu'est le capitalisme.

Il s'y trouve beaucoup de chiffres terrifiants et scandaleux.

C'est du Ziegler, il fait beaucoup de coq-à-l'âne donc il faut s'accrocher, mais mon dieu que ce livre est beau. Un énième essai qui n'a de cesse de nous alarmer sur l'urgence géopolitique de notre monde.

Des peuples se meurent et les dirigeants sont toujours plus avides de pouvoir et de richesses au détriment de tous.

Mais ce n'est pas un livre fataliste, comme l'indique le titre l'homme peut encore retourner la machine et marcher sur le chemin d'espérance.

Livre lu dans le cadre d'un cours de géographie. Difficile à lire mais terriblement intéressant quand on plonge dedans.

Ce livre ouvre vraiment les yeux sur le côté sombre de notre société capitaliste. Je ne lis pas ce genre de livre d'habitude, mais je l'ai vraiment trouvé accessible. Même pas besoin de connaitre la base en économie et en politique, tout est expliqué à merveille.

Un plaidoyer contre le capitalisme par un auteur tout à fait compétent et légitime pour donner ce genre de leçon. Le seul bémol du livre est le pessimisme et le découragement que vous pouvez en ressortir même si le dernier chapitre amène une lueur d'espoir.

Un livre intéressant mais qui a beaucoup vieilli. L'information principale s'arrête vers l'an 2000 or le sujet a beaucoup évolué depuis. Donc à prendre comme un témoignage historique.

En résumé, ce livre m'a agacé. Alors oui la faim dans le monde c'est horrible, on est tous d'accord là-dessus, et certaines des histoires que l'auteur raconte sont absolument révoltantes mais je n'aime pas du tout le ton moralisateur, donneur de leçons de l'auteur. Personne n'est parfait et beaucoup font ce qu'ils peuvent et tout le long du roman l'auteur critique les occidentaux de leur passivité ou en tout cas du manque de soutien qu'ils fournissent fassent à ce fléau.

Un livre qui se lit très rapidement et qui permet de comprendre les fondations de la société capitaliste. Très bien pour approcher ce concept de manière simple et concrète.