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Des filles et des garçons
À la suite, juste après l’avoir terminé une première fois quoi. Je sais pas, je fais pas souvent ça, mais là j’avais envie, ou besoin j’en sais rien.
J’ai trouvé que l’histoire était simple. Par contre, c’est vrai, c’est tellement bien écrit, tellement de mots justes, ça permet de se rendre compte à quel point derrière les gens qu’on exclue, derrière des personnes auxquelles on ne fait plus forcément attention - parce qu’elles ont tellement l’air de pas faire partie du même monde (ou parce qu’on veut pas d’elles dans le notre), que.
Que parfois, il semble y avoir encore plus de vie dans la leur que dans celle qu’on pense remplir. Ça m’a rendu triste, mais du triste positif, tu vois ou pas ?
Et surtout, j’ai eu des tortillons dans le bide à cause du fait que bien sûr, bien sûr oui, c’est à l’enfant de décider s’il veut apprendre ou pas. Ça m’a fait penser à mon petit frère quand il avait décidé de soigner les oiseaux ; des fois tu as beau tout essayer parce que tu penses avoir le rôle du sauveur et que ça fait bien pour le karma mental, des fois l’oiseau il veut pas vivre alors il se laisse crever.
Et bien là c’est pareil, avec Madame Solange.
Et Jeanne Benameur elle éclate tellement tout, avec sa plume, je jure.
Les demeurées
L'écriture de Jeanne Benameur restera gravée en moi pour longtemps; la structure de ses phrases, la poésie de ses mots, l'émotion dégagée...
Tout cela résonne encore dans ma tête et ce livre restera le premier à m'avoir fait aimer les mots plus que le scénario...
Il a ainsi été mon compagnon lors de ce que je considère comme mon "passage à l'âge adulte littéraire".
Laver les ombres
L'Enfant qui
Samira des quatre routes
La force d'un lien mère-fille indestructible malgré les silences.
La force d'un amour amoureux qui cherche à rejoindre l'autre sans cesse.
La force d'un secret de famille qui traverse les années et les évènements.
La force du corps qui se souvient de tout.
La force d'un amour manipulateur qui efface toute dignité.
La force de la danse qui exprime les mots qu'on ne peut dire.
La force des larmes qui soulagent en profondeur.
La force des mots qui libèrent. Enfin.
C'est la première fois que je découvre la plume de Jeanne Benameur. Et elle m'a conquise ! Entièrement. J'ai été émue aux larmes, bouleversée.
J'ai lu et relu certains passages tant ils éveillaient en moi des émotions profondes, cachées et insoupçonnées.
J'ai relevé quatre pages de citations. Pour m'en imprégner. Pour que ces mots libèrent certaines choses en moi.
Pourquoi la danse me bouleverse-t-elle à ce point ?
Pourquoi les mots suscitent-ils en moi autant de passion ?
Pourquoi les rencontres me touchent-elles autant qu'elles soient filiales, amicales, amoureuses ou – plus difficile à comprendre – tarifées ?
Trois scènes vont rester particulièrement gravées en moi :
La rencontre de Romilda avec cet homme, inconnu, perdu, victime lui aussi de cette guerre avilissante et destructrice, est bouleversante d'humanité et d'intime.
La scène de la pose de Lea sous le regard et le pinceau de l'homme qu'elle aime, est d'une intensité rare. Souffle coupé, j'ai contemplé cette lutte intérieure de la femme qui s'offre en souffrant.
Les mots d'une fille et de sa mère qui osent finalement braver les peurs, les non-dits, les doutes, les maux ancrés au fil du temps pour permettre à chacune de vivre au lieu de survivre…
Un immense coup de coeur et des émotions troublantes et profondes pour ce petit roman au pouvoir décapant ! N'hésitez plus ! Foncez ! Et n'ayez pas peur d'en prendre plein le coeur !
Laver les ombres
Et bien, j'ai adoré.
Au début j'ai eu peur, que l'on tombe dans le stéréotype du chirurgien qui sauve des vies façon Grey's Anatomy avec des rides en plus, et évidemment non.
Parce que ce personnage est attachant, avec la découverte au fur et à mesure de sa vie, de ses pensées...
J'avais également peur pour ceux qui l'entourent, notamment en ce qui concerne Marc, qui pouvait également devenir le " militaire qui voulait sauver des vies", alors qu'au final, on a juste une personne cabossée qui vient comme les 3 femmes trouver quelque chose qu'il n'a jamais eu, un refuge, une maison.
Seul regret, c'est l'écriture, que j'ai parfois trouvée un peu lourde, mais cela reste un Diamant, un point c'est tout.
Profanes
Profanes
Profanes
C'est presque une première pour moi car habituellement j'ai un peu de mal avec ce genre de littérature, tout en nuances qui laisse place à l'imaginaire. C'est d'ailleurs quelque chose que j'ai lu lentement, sans frénésie, sans hâte et qui, lorsque la dernière page fut achevée, me laisse comme un sentiment de continuité dans la douceur et la lenteur du récit.
On ne se refait pas, j'ai besoin à présent d'une belle grosse histoire, un roman historique ou peut-être un policier. Ce fut malgré tout une expérience intéressante.
Profanes
Vivre c'est risquer
La deuxième histoire, j'ai été un peu déçu par l'attitude des enfants qui croient que leur père va revenir, ok c'est triste, les pauvres mais de là à insulter les médecins...il m'énerve !
La troisième histoire était un peu difficile à suivre, d'ailleurs à la fin j'ai décroché...mais j'aimais bien La Boutique jaune et le garçon avait l'air timide mais si mignon avec Marion.
La quatrième histoire est ma préférée ! Ah chaque nouveau trajet en train, une nouvelle histoire qui l'a soulage, parce que au fond c'est ce qu'elle ressent vraiment même si ses émotions sont intensifiés. La fin était superbe, j'y aurais jamais pensé. Elle était courte mais la qualité de l'histoire compensait.
Vivre c'est risquer
Les mains libres
Une heure, une vie
Des filles et des garçons