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Jenna Preston-Penley

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Note moyenne : 6.88/10
Nombre d'évaluations : 16

0 Citations 16 Commentaires sur ses livres

Dernier livre
de Jenna Preston-Penley

Sortie France/Français : 2021-11-12

Les derniers commentaires sur ses livres

Les machines ne saignent pas

Je tiens tout d'abord à féliciter le remarquable travail éditorial de la ME. La couverture est vraiment belle, la mise en page est magnifique et le livre est parsemé de quelques illustrations de personnages, toutes superbes ! Un très bel objet livre, bravo !

Cette histoire se déroule en 2170. Aryan Turner, riche et puissant homme d'affaires, Intouchable de surcroît, est à la tête du conglomérat. Dans cet univers, les plus riches ont la possibilité d'être "augmentés", c'est à dire qu'ils bénéficient d'améliorations physiques grâce aux technologies, cela pour palier à un problème de santé ou tout simplement par lubies. Mais son statut et ses actions, font qu'Aryan a de nombreux ennemis, notamment ceux faisant partie de la Rébellion. Il va alors décider de se créer une petite armée d'augmentés (issus du milieu défavorisé of course), qui l'appeleront "père", afin de le protéger.

La première partie du roman est consacrée au recrutement du groupe de "héros" ainsi qu'à la transformation physique de Blayne et Skylar. Des scènes d'expérimentations et de tortures, physiques et psychologiques, y sont décritent. L'autrice nous plonge dans l'horreur, dans un monde sadique et plein de noirceur. Ces augmentations physiques rendent les personnages plus forts, plus sauvages, sans état d'âme. De vraies machines de combat en somme ! Même si c'était trash, j'ai adoré cette partie !

Cela m'amène à vous parler des personnages que j'ai trouvé très bien construits et travaillés. Nous sommes face à des personnages meurtris, écorchés vifs (dans tout les sens du terme), brisés, manipulés, qui ont perdus leur identité, leurs souvenirs et qui en prennent plein la tronche !

Même si je ne me suis pas spécialement attachés à eux, j'ai adoré les suivre ! Par contre petit coup de cœur pour Kayla, cette jeune femme forte émotionnellement mais loin d'être combattante qui va décidé d'infiltrer le groupe pour sauver ce qu'il reste de sa famille.

Pour ce qui est de la narration, je l'ai trouvé parfaite ! Immersive, fluide, très bien écrit ! En bref, un roman à l'intrigue captivante et dynamique où personne n'est épargné. J'ai adoré cette pépite du début à la fin ! Ce livre ne sera pas adapté à tout le monde, mais si vous aimez la hard SF et le transhumanisme, ou qu evous avez simplement envie de découvrir le genre, foncez !

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Commentaire ajouté par anam 2022-04-11T16:31:25+02:00
Les machines ne saignent pas

C’était une très bonne lecture dans un genre que je lis peu: le cyberpunk!

Je dois dire que le début est pour moi un peu plus faible par rapport au reste du roman, car son rythme est beaucoup plus lent. J’avançais sans trop savoir où j’allais, mais j’ai commencé à apprécier beaucoup plus la lecture quand les événements se sont enchaînés.

On suit une bande d’humains modifiés et « améliorés ». Les personnages sont hauts en couleurs et n’ont pas leur langue dans leur poche. J’ai beaucoup aimé les suivre.

Il y a aussi beaucoup d’action pour nous faire vivre cette ambiance géniale de cyberpunk.

Attention, langage vulgaire et violent, si pour vous c’est dérangeant.

J’ai par contre trouvé que les personnages n’avaient pas assez de réactions face à un événement traumatisant qui survient. J’ai vécu ce type d’événement dans ma vie et j’ai été un peu dérangée que les personnages semblent passer si vite à autre chose.

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Les machines ne saignent pas

Je tiens, avant toute chose, à remercier Crin de chimère Éditions pour sa confiance en m’envoyant ce roman, ainsi qu’à l’autrice pour sa jolie dédicace.

Je tiens aussi à préciser qu’il s’agit de mon premier roman du genre et clairement, le Cyberpunk, c’est pas pour moi. Non pas que je n’ai pas aimé mais je n’ai tout simplement pas accroché à l’univers.

Je risque donc de me montrer plutôt contradictoire.

Commençons par la couverture. Honnêtement, elle est classe. J’aime beaucoup. J’avoue avoir eu du mal, au début, à voir le lien entre le titre, Les machines ne saignent pas, et la couverture.

Le résumé de la quatrième de couverture donne, en revanche, déjà une idée de l’univers dans lequel l’histoire va évoluer, ainsi qu’une vision globale de ce qui nous attend. Au final, en lisant le résumé, on peut facilement s’imaginer le genre de récit que l’on va lire. Sauf que… ce n’est qu’à partir de la deuxième partie que le résumé devient évident.

Dès les premiers chapitres, j’ai eu du mal à rentrer dans la lecture. En effet, ce fut plus laborieux pour moi qu’un roman de fantasy, genre auquel je suis plus habituée. J’ai d’ailleurs trouvé la première partie relativement longue. Entre la mise en place du cadre, l’introduction des personnages, les complots, etc., je me demande, au final, si tout était vraiment nécessaire, si l’on aurait pas pu se passer de certains passages.

J’ai aussi eu du mal avec le texte du récit. J’ai trouvé les phrases fort élaborées, de même que le vocabulaire dont certains mots alourdissaient le texte, rendant la lecture moins fluide. Cela m’a freinée plusieurs fois mais ce n’est qu’un ressenti personnel.

J’ai également remarqué certaines répétitions qui m’ont gênée telles que “Comme…”, “moult” ou encore “rester coi”. Utilisées quelques fois, ça va mais trop souvent, cela m’a perturbée. Il y aussi les termes plus précis qui ne sont pas expliqués (tactinote, ComLink, …) mais dont la signification peut être devinée grâce au contexte. C’est dommage car les descriptions sont précises, si bien que j’ai pu visualiser de nombreux lieux au cours de ma lecture. Preuve que l’univers a été travaillé en amont.

Les chapitres ne sont pas longs, au contraire, parfois séparés par l’illustration d’un personnage. C’est ainsi que je me suis rendu compte que j’étais à côté de la plaque pour certains d’entre eux.

Les personnages, parlons-en d’ailleurs. On ressent leurs émotions et douleurs (et on peut dire que certains ont bien morflé) au fil de la lecture. Malgré la lourdeur du récit, les dialogues sont adaptés à chaque personnage qui s’exprime, les rendant plus réels. Les scènes d’actions n’en manquent pas mais j’aurais aimé que certains passages soient plus élaborés et d’autres, moins.

Bref, un avis mitigé pour cette dystopie Cyberpunk. Je ne peux pas dire que je n’ai pas aimé mais je ne pense pas relire un roman du genre de sitôt. Ce fut, malgré tout, une découverte que je ne regrette pas.

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Les machines ne saignent pas

Balade au milieu de robots, d'hommes augmentés et de la misère...

Nous sommes sur Terre en 2170 et celle-ci a bien changé. Les riches sont devenu Intouchables et les apivres vivent dans la misère, les villes ne sont maintenant plus que des bidonvilles et tout le monde ne vit soit que pour la drogue soit pour regarder les Supers à la télé. Ceux-ci sont des hommes et des femmes augmentés, d'anciens drogués et pour certains brisés. Brisés par des multinationales qui veulent en faire des "enfants" qui doivent protéger leur "Père" Ayran Turner.

Au pays des trahisons, des faux-semblants, des jeux de politique les Supers vont devoir affronter non seulement leur fantômes mais aussi des traîtres et des Rebelles.

Mais dans quel monde vivons nous franchement....

Dans sa globalité je dirai que j'ai plutôt bien aimé ma lecture même si j'ai trouvé beaucoup de lourdeur. En effet, beaucoup de longueurs qui ont fait que j'ai trouvé ma lecture très longue pour au final ne pas avoir vraiment de fil conducteur qui me tienne en haleine. Le côté sombre de ce roman m'a rappelé sans conteste la série The Boys dont j'attends la nouvelle saison. En effet nous avons les mêmes sujets ici sauf que nous sommes dans un monde automatisé.

J'ai trouvé la plume de l'auteure très intéressante malgré tout, elle est bien chargée, bien descriptive (peut-être un peu trop) et surtout elle fait de ses personnages des gens attachants malgré leur noirceur.

Côté personnages, je peux dire que j'ai adoré Kayla et je regrette vraiment ce qu'elle est devenue, j'aurai vraiment aimé la suivre dans le tome 2.

Skylar et Centurion sont les deux têtes d'affiches, durs, sombres, loyals, drôles, mais aussi très dangereux.

Les personnages secondaires dans ce roman sont à l'image des principaux, sombres, jaloux, égocentriques mais ils apportent une touche supplémentaire pour que nous comprenions que nous sommes dans un monde qui a sombré dans le chaos et dont il n'est pas près d'en ressortir.

Il s'agissait de mon premier Cyberpunk et je dois dire que j'ai plutôt bien accroché à l'univers, peut-être parce qu'il nous montre un possible futur.

Certaines scènes peuvent choquer les lecteurs, peut-être aurai t'il fallu un TW pour la scène de viol. Perso ça me dérange pas, j'ai même trouvé cette scène plus sale dans sa finalité que par son début.

Par contre j'ai été choquée de la fin que l'auteure nous a donnée, j'aurai voulu une fin heureuse on va dire, du coup elle m'a donné envie de continuer l'aventure avec Skylar et Centurion.

Bien entendu on remarquera le travail éditorial de la maison d'édition avec l'incorporation d'illustrations des personnages, et oui on sais à quoi ils ressemblent mais aussi les en-têtes de chapitres qui sont magnifiques et des citations à chaque début de ceux-ci. La couverture a une partie en relief qui nous attire l'œil direct.

En bref, un premier tome qui fut long à la lecture mais dont j'ai pu apprécié la plume, les détails et l'immersion.

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Commentaire ajouté par JonT 2022-05-23T19:07:10+02:00
Les machines ne saignent pas

Après dix jours de lutte (plus ou moins) acharnée, j’ai fini par abandonner Les machines ne saignent pas, un peu à contrecœur, après avoir lu environ un quart. Si je n’avais pas déjà lutté sur plusieurs livres récemment, par exemple si j’avais lu mes achats dans un autre ordre, je me serais probablement accroché, mais là je n’ai pas eu le courage ^^’ il y avait pourtant un principe de base intéressant (un conglomérat de super entreprises qui fait des expériences sur des cobayes humains pour créer des « héros » améliorés), mais le scénario est fouillis et le style peu lisible, avec en particulier des ellipses mal gérées, bref 🤷‍♂️

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Les machines ne saignent pas

Si la forme ne fait pas tout, je tiens néanmoins à souligner la beauté du travail d’édition que ce soit au niveau des effets sur la couverture, des ornements en début de chapitre et en bas de page, ou des illustrations des personnages disséminées par-ci, par-là. Des petits détails qui enjolivent un récit plutôt sombre, dur et violent, l’autrice n’épargnant ni ses protagonistes ni ses lecteurs.

Pour ma part, j’ai beaucoup aimé me plonger dans cet univers cyberpunk où la technologie est utilisée pour améliorer les humains à moins que ce ne soit, comme vous le verrez, pour mieux les asservir. Je lis peu de science-fiction, mais j’apprécie toujours quand il est question d’hommes et de femmes augmentés comme c’est le cas ici. J’éprouve, en effet, une sorte de fascination envers cette idée de technologie qui se fond entièrement dans l’être humain de manière à améliorer ses performances, ses sens et ses facultés. À cet égard, Jenna Preston-Penley ne m’a pas déçue avec son équipe de super-héros augmentés.

Enfin, des super-héros version The Boys, ceux-ci n’hésitant pas à tuer pour le compte de leur « père », auquel ils sont d’une grande loyauté, quand ils l’estiment nécessaire. Si Aryan Turner n’est pas leur père biologique, il est l’homme derrière leur naissance en tant que super-héros et leur renaissance tout court. On assiste ainsi, dans la première partie, à la manière dont il va transformer différents individus en des héros prêts à se battre pour lui et sa cause. Je vous laisserai le plaisir de découvrir ce que cela implique, mais je peux néanmoins vous dire que Turner ne recule devant rien et encore moins devant le pire.

L’objectif de cet homme d’affaires puissant, déterminé et fortuné semble louable, mais ses méthodes sont tellement cruelles et inhumaines qu’il est impossible de le considérer comme le sauveur de l’humanité. Mégalomane et sans aucun scrupule, c’est l’illustration parfaite de la personne qui estime que la fin justifie les moyens, surtout quand cette fin lui permet d’accroître son pouvoir et son influence. Face à lui, un homme bien déterminé à le contrer se démarquera, avant d’entraîner dans son sillage un autre individu qui se révélera bien plus retors qu’on aurait pu le penser. Une sorte de combat à mort va alors s’engager et nous plonger dans l’horreur des exactions commises au nom de l’intérêt de tous, du moins supposé, de l’amour, de la vengeance et de la haine.

Cela ne constitue pas le fond de l’histoire, mais attendez-vous d’ailleurs à quelques scènes gores, des détails morbides et des morts violentes et choquantes. L’une d’entre elles m’a profondément marquée par sa brutalité, mais j’ai trouvé qu’elle illustrait à la perfection la descente aux enfers, et la plongée inéluctable dans la folie, d’un homme ivre de vengeance. L’autrice a néanmoins réussi l’exploit de me faire ressentir une certaine pitié pour sa douleur quand il n’en mérite clairement aucune. Vous aurez donc compris qu’entre les meurtres, les complots, la manipulation de haut niveau et de masse, le sang et la vengeance, ce monde est loin d’être celui des Bisounours.

C’est pourtant le monde que doivent affronter les Black Vipers, ces hommes et femmes transformés en machines par Turner. Des machines en théorie destinées à protéger le monde de la violence, en pratique, à protéger Turner et ses intérêts. La galerie de personnages est intéressante, mais j’ai très vite développé une préférence pour deux d’entre eux, puis pour un troisième personnage introduit un peu plus tard : une femme qui va consentir à un lourd sacrifice pour retrouver sa famille. En plus d’être courageuse, combative et attachante, cette femme va, petit à petit, permettre à Centurion et Shadow de retrouver un peu de cette humanité dont Turner les a privés.

Vu le monde dans lequel ils vivent, pas certaine que ce soit un cadeau à leur faire, mais cela permet aux lecteurs de s’attacher à ces deux héros aux allures d’antihéros. On assiste également à leurs batailles intérieures, les réminiscences d’un passé qu’on leur a fait oublier venant se heurter à la mission pour laquelle ils ont été programmés. L’autrice évitant l’écueil du triangle amoureux, j’ai apprécié la relation qui va se développer entre elle et les deux hommes-machines. J’ai aimé la voir briser métaphoriquement et littéralement leur carapace et arriver à rapprocher ces deux êtres à la rivalité exacerbée par un père spirituel qui aime à jouer avec ses créatures de chair et de métal.

Le roman ne manque pas d’action et de personnages tordus, avec notamment une femme complètement psychopathe qui m’a donné des sueurs froides, mais j’avoue que ce n’est pas ce que j’ai préféré. Il est bien sûr haletant de suivre les protagonistes dans leurs différentes missions toujours très mouvementées, et c’est un doux euphémisme, mais j’ai fini par me lasser de tout ce remue-ménage. Pour moi, l’atout de ce roman réside avant tout dans la construction de son univers sombre et technologique qui devrait plaire aux amateurs de cyberpunk, tout en restant assez accessible aux lecteurs peu coutumiers du genre.

À moins que ce ne soit la dimension humaine, car si Les machines ne saignent pas, elles finissent ici par ressentir, et par extension, faire ressentir aux lecteurs des émotions parfois très fortes. Cela rend la survenue de certains événements d’autant plus difficiles à vivre, tout en facilitant grandement le sentiment d’immersion. Le roman suscite également quelques réflexions d’ordre éthique et moral intéressantes : le poids et le rôle des souvenirs dans la construction d’une personnalité, le bien et le mal, et la manière dont une science dépourvue d’éthique et de conscience peut vite faire basculer le premier vers le second…

En conclusion, Les machines ne saignent pas est un roman intense qui plonge rapidement les lecteurs dans un univers cyberpunk où la technologie vient souligner la brutalité de ceux qui dominent et qui n’hésitent pas à l’utiliser pour tromper et asservir. Sang, vengeance, meurtres, manipulation, scènes parfois gores et explicites… Ce n’est pas un livre à mettre entre toutes les mains, mais un livre parfait pour les lecteurs appréciant les ambiances sombres et implacables dans lesquelles même les héros ont du sang sur leurs mains. Intense, cruel par bien des aspects, mais aussi étrangement humain, voici un roman aux multiples facettes qui alterne entre action, violence et espoir en une humanité prête à se révéler dans le métal.

https://lightandsmell.wordpress.com/2022/04/22/les-machines-ne-saignent-pas-jenna-preston-penley/

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Les machines ne saignent pas

Un cyberpunk violent avec beaucoup trop de scènes adultes

Un univers riche où il faut être bien concentré pour bien assimiler tout un tas de personnages et de la politique autour

Des génies qui deviennent fous pour le pouvoir. D cobayes torture pour la science. Un sujet qui m'a beaucoup intéressé. Voir ces humains transformés en machine voir que leur fragilité reste malgré tout m'a beaucoup plu.

Par contre certaines choses qui s'y passent dedans m'ont beaucoup interrogé comme la réaction d'une maman.

J'ai malheureusement lu ce livre durant une période où j'avais un manque de temps et de concentration ce qui était une très mauvaise idée, car de ce fait, je l'ai trouvé long et ennuyeux.

Ce livre a énormément de potentiel et peut plaire à beaucoup, il faut juste le lire au bon moment, car il faut une concentration assez importante pour tout assimiler.

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Les machines ne saignent pas

Quand j’ai vu ce roman, j’ai directement été attirée par sa couverture qui, il faut le dire, est magnifique. D’ailleurs, je trouve qu’elle reflète à merveille l’histoire qui nous attend. Ensuite, la quatrième de couverture a fait le reste et je ne regrette pas de m’être laissé tenter car j’ai passé un bon moment.

Il est vrai que j’ai mis un peu de temps à lire ce roman car il fait quand même 551 pages bien fournies mais, à aucun moment je n’ai décroché ou je n’ai été découragée tant j’étais prise par l’histoire. Vous l’aurez compris, ce bouquin est un gros bébé mais tous les éléments sont importants à l’histoire et il se devait de faire cette taille.

Avant de commencer, je tiens à souligner le magnifique travail éditorial qui a été fait sur ce roman, que ce soit au niveau de la mise en page du texte, mais aussi des quelques illustrations des personnages qu’on peut retrouver au fil des pages. Même le titre est magnifiquement bien choisi, on se rendra très vite compte qu’il est tout à fait raccord avec l’histoire que nous allons découvrir.

Au départ, il m’a fallu un peu de temps pour assimiler qui était qui, car les personnages sont assez nombreux, mais ils sont tellement différents et ils ont tous un petit quelque chose qui fait que, très vite, on sait avec qui on se trouve sans aucun soucis. Je serais par contre incapable de dire qui j’ai préféré, car je les ai tous trouvé aussi intéressants l’un que l’autre et c’est l’histoire en elle-même qui m’a le plus accrochée. Bon d’accord, je vous avoue que j’ai aimé retrouver Shadow et Centurion un peu plus que les autres.

Vous l’aurez compris, on est donc ici dans un univers SF, genre que je commence à lire de plus en plus, mais le cyberpunk, c’était la première fois pour moi et j’ai aimé être plongé dans ce monde. Ce roman a aussi un petit côté dystopique très plaisant et le mélange avec le cyberpunk est vraiment très bien dosé. On est dans un univers riche et dense qui ne manque pas d’intensité et c’est un bonheur de s’y plonger.

C’est la première fois que je me retrouve avec des personnages augmentés par la technologie pour les aider, mais pas que, et j’ai beaucoup aimé cet univers. D’ailleurs, ce roman nous amène à la réflexion et on en arrive à se demander si certains passages ne pourraient pas faire partie de notre avenir.

La plume de l’autrice est hyper fluide et on ne s’ennuie jamais tant elle nous entraîne de rebondissement en rebondissement et l’action n’est pas en reste. D’ailleurs, l’autrice ne va épargner ni ses personnages ni ses lecteurs. On va être dans un monde politique où trahison et violence ne vont pas être en reste, mais à côté de ces moments sombres, nous allons voir naître une romance et nous allons également retrouver de l’humour.

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Les machines ne saignent pas

Le monde au XXIIème siècle! Un futur que tout humain aborde avec une once d’utopie ou de cynisme. Comment sera la Terre à ce moment? Que deviendra l’Europe et le reste du monde? Un monde où l’Intelligence Artificielle est en phase de remplacer l’humain. Un humain qui ne pense qu’à refaire le monde et, si possible, recréer, remodeler son semblable. Un monde où un fossé sépare le riche du pauvre. L’élite accède au meilleur et réside loin des autres. Le reste de l’humanité se vautre dans la crasse, le vice et les déchets. Deux hommes (Victor et Turner) sont au coude à coude pour régner sur le monde. Pourquoi ne pas éliminer l’autre? Pourquoi ne pas se créer sa propre armée d’hommes modifiés? Tous les moyens sont bons pour écraser l’ennemi et prendre les rênes de l’avenir de l’humanité.

Dès les premiers mots, le lecteur se rend compte qu’il met les pieds dans un monde de faux-semblants. Un monde où les sentiments, l’empathie, l’esprit sont anéantis au détriment d’un modèle sans âme à l’instar de l’intelligence artificielle. Deux hommes vont faire les frais de la folie des médecins et des chercheurs. Ces derniers tentent de fabriquer des machines à tuer. L’entrée dans ce monde se fait avec fracas. Avec une violence, une inhumanité sans commune mesure avec ce à quoi s’attend le lecteur: fracasser de l’humain afin qu’il devienne une machine à tuer. Est-ce aussi simple? L’humain a toujours été indiscipliné et son inconscient peut réveiller sa conscience à tout moment. Cette cohorte de scientifiques y a-t-elle pensé? Comment finira ce massacre sans nom?

Des chercheurs fous. Des puissants qui rêvent de surpuissance. Des humains en guise de souris de laboratoire. Voilà le monde dans lequel est embarqué le lecteur. Il va à la rencontre d’êtres fracassés, démolis, pour renaître en mode robocop. Les mots sont forts, violents, agressifs. Une infernale et froide puissance enveloppe les puissants. Leurs sens sont exacerbés par le plaisir de torturer, de terrifier ces hommes et ces femmes recrutés pour assouvir leurs travers pervers. Le XXIIème siècle sera-t-il le siècle de l’Intelligence Artificielle? Dans une écriture limpide, l’auteur nous invite à entrer dans un univers de folie. Etes-vous prêts?

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Les machines ne saignent pas

Tout est cru dans ce livre sexe, violence, dialogues, personnages, univers etc... mais j'ai bien aimé. L'histoire et le scénario sont bien conçus Spoiler(cliquez pour révéler)même si j'aurais bien aimé d'autres développements avec les rebelles par exemple ou alors que les créations se retournent contre leur créateur. L'univers est cohérent et on ne s'ennuie pas; les personnages sont réussis même s'ils ne resteront pas forcément gravés dans ma mémoire. J'ai bien aimé

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