Tous les livres de Johanne Pronovost
Après mes études, je me voyais déjà comme la plus grande designer en aménagement paysager de Montréal ! Bon, je vous l'accorde, je visais haut. J'ai frappé un mur, aussi... Malgré l'offre incroyable que me faisait ma directrice de stage, j'ai décidé de suivre mon beau Louis dans un trou perdu... en Outaouais !
Ah, l'amour, ce que ça peut nous pousser à faire.
Résultat : trois ans plus tard, je suis juste bonne à shaker des gallons de peinture dans un ProRéno pis à chialer contre ma vie plate.
Mais j'ai pas dit mon dernier mot ! Avec ma persuasion légendaire, je parviens à convaincre le boss de Louis de m'engager sur son projet, où je commence en bas de l'échelle, à clouer des planches de patio.
Maintenant, malgré que je respire le bonheur, mon chum, lui, n'est plus capable de me sentir. Pas question que j'accepte notre rupture si facilement ! Même si je dois dormir dans une tente, me laver sur le chantier et cruiser en caps d'acier, je vais réussir à le reconquérir.
D'ici la fin de l'été, Louis verra à quel point je suis exceptionnelle, parole d'Élizabeth Morin ! Mais qu'arrivera-il si mon charme ne fait pas effet sur la bonne personne ?...
À l’âge de neuf ans, Benjamin Archambault déclarait que prendre son bain le moins souvent possible, triper sur les Nordiques de Québec et ne jamais avoir de blonde étaient quelques-unes des règles de base pour être heureux dans la vie. Évidemment, dix ans plus tard, il a revu ses priorités et depuis, il croit fermement que le cash et le sexe sont des éléments essentiels au bonheur. Illuminé par cette nouvelle philosophie, il se lance en affaire et part à la conquête de son premier million au cœur d’un centre-ville dont il prétend être le King.
Inexplicable mais vrai : le coup de foudre amical existe ! Élizabeth et moi en sommes la preuve vivante. Elle a réussi à convaincre son chum de m’engager moi, Julianne Bournival, chez Côté cour, Côté jardin, même si je suis incompétente en aménagement paysager.
J’aime bien mes nouveaux collègues, mais pour Bertrand, le chef d’équipe, on repassera ! Il me tape royalement sur les nerfs à toujours vouloir que j’enfile d’horribles pantalons Big Bill et des bottes Kodiak pour travailler. Qu’est-ce qu’il a contre mes robes soleil et mes bottes de pluie ?!?
De toute façon, moi, un blond aux yeux bleu ciel – bronzé, musclé, haut de six pieds – qui pourrait être quart-arrière, ça ne me fait ni chaud ni froid !
C’est connu : un beau gars, ça te brise le cœur comme un sauvage pis ça t’abandonne en larmes, soûle morte avec ta bulle de morve au bord du nez, pour aller rejoindre une Christina siliconée.
Je préfère m’en tenir à ma théorie des gars « laittes »… hum… MOYENS. Mathis en est l’exemple parfait. Celui-là peut sacrer son camp si ça lui chante, j’en aurai rien à cirer. Il peut même triper sur une Christina… elle voudra jamais rien savoir de lui. Économie de kleenex et de rhum-punch pour moi !
Six jeunes trentenaires composent une gang qui s'aime, parfois d'amour, parfois d'amitié. Mais, lorsqu'un couple se brise, qu'un autre se forme et que des rénovations forcent certains à trouver refuge ailleurs, on peut s'attendre à ce que le chaos naisse rapidement. Et on ne sera pas déçu !
Les ménages se déchirent et deux clans sont créés. Les filles s'approprient le deuxième étage d'un duplex, et les gars se rassemblent dans un shack au bord de l'eau. A partir de là, tous les moyens sont bons pour passer le temps et rafistoler les coeurs brisés. Alors que les filles se lancent corps et âme dans le travail, le potinage et les manigances, les gars sortent les marteaux, les casseroles et la PlayStation.
En amour comme à la guerre, tous les coups sont permis. Voilà le dicton que nos six amis appliqueront à la lettre ! A travers les rires, les pleurs (et les insultes, évidemment), leurs relations seront mises à rude épreuve. Mais une chose continuera de les unir : la folle envie de retrouver l'amour, peu importe son adresse…
Après mes études, je me voyais déjà comme la plus grande designer en aménagement paysager de Montréal ! Bon, je vous l'accorde, je visais haut. J'ai frappé un mur, aussi... Malgré l'offre incroyable que me faisait ma directrice de stage, j'ai décidé de suivre mon beau Louis dans un trou perdu... en Outaouais !
Ah, l'amour, ce que ça peut nous pousser à faire…
Résultat : trois ans plus tard, je suis juste bonne à shaker des gallons de peinture dans un ProRéno pis à chialer contre ma vie plate.
Mais je n'ai pas dit mon dernier mot ! Avec ma persuasion légendaire, je parviens à convaincre le boss de Louis de m'engager sur son projet, où je commence en bas de l'échelle, à clouer des planches de patio.
Maintenant, malgré que je respire le bonheur, mon chum, lui, n'est plus capable de me sentir. Pas question que j'accepte notre rupture si facilement ! Même si je dois dormir dans une tente, me laver sur le chantier et cruiser en caps d'acier, je vais réussir à le reconquérir.
D'ici la fin de l'été, Louis verra à quel point je suis exceptionnelle, parole d'Elizabeth Morin ! Mais qu'arrivera-t-il si mon charme ne fait pas effet sur la bonne personne ?...
Quoi ? Mon grand-père va donner son immense maison de campagne à ma cousine Adèle ?! Mais pourquoi ? Parce que son homme et elle projettent d’avoir des tas d’enfants ? Pfff… Être matché et rêver de fonder une famille ne devrait pas peser dans la balance, il me semble ! Je crie au SCANDALE !
Moi, la fille de party endurcie, obsédée en secret par les princes de Disney, je mérite autant cet héritage. Tout comme Léa, ma constipée de sœur, toujours pucelle à vingt-cinq ans.
Ayant vécu une injustice similaire dans le passé, maman a juré que, cette fois, ça ne se passerait pas comme ça. Voici le plan : Léa et moi devons nous dégoter de faux chums et jouer aux couples amoureux lors de l’anniversaire de grand-père. À force de nous voir, celui-ci reviendra peut-être sur sa décision…
Le problème ? Mon bum de voisin est le seul qui accepte de m’accompagner, et ma sœur n’a pas pu trouver mieux que son collègue hyper geek… Je suis surprise de constater à quel point ces deux-là sont prêts à se donner pour la mise en scène. Peut-être même trop !