John Irving
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Note moyenne : 7.63/10Nombre d'évaluations : 617
3 Citations 339 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
pas le meilleur des Irving mais des personnages loufoques comme souvent
Afficher en entiertitre énigmatique et beaucoup de jeux sur son sens au cours du roman
Afficher en entiermerci à ma coloc de l'époque qui adorait cet auteur et m'a fait découvrir en commençant par celui-ci qui reste mon préféré
loufoque, mais émouvant, et tous ces indices fils directeurs qui se rejoignent à la fin c'est vraiment époustouflant
Afficher en entiertrès drôle, héros à la fois antipathique (infidèle, menteur...) et qu'on prend en pitié ; personnages secondaires loufoques comme souvent
Afficher en entierJ'avais bien apprécié La quatrième main, et Un mariage poids moyen.
Je n'ai absolument pas reconnu l'auteur avec son humour et son ton décalé qui m'avaient séduite.
J'ai lu laborieusement 130 pages. J'ai fini par abandonner ce roman qui ressemble à une auto-analyse du personnage Billy, personnage que je n'ai pas trouvé attachant du tout.
Le récit de ses amours, sa sexualité, ses interrogations sur son genre...
On passe d'une époque, d'une rencontre à une autre, on fait des allers et retours... C'est totalement décousu, ça part dans tous les sens.
On a toujours les mêmes interrogations, les mêmes réflexions. J'ai eu l'impression de faire du surplace.
Ennuyeux !
Afficher en entierEst-ce qu'on le droit d'aimer qui on veut ?
C'est avec cette question qu'Irving nous (re)plonge dans les années 80, avant, et après l'apparition du SIDA. En suivant Billy, le héros, on y vit puritanisme, politique répressive, mensonges, tragédie, mais aussi ce formidable désir de vie, de découverte, d'amour et de joie... !
Cette fresque (comme sait si bien les faire John Irving) nous rappelle que nous avons tous le droit d'être libre, changeant, multiple, souvent contradictoire, en bref, d'être à nous seul bien des personnages.
Pour moi, ce roman est une lecture salutaire et joyeuse.
Afficher en entierUn magnifique roman à lire et à relire. L'un des plus grands écrivains contemporains, toutes nationalités confondues.
Afficher en entierLe Monde selon Garp n'est pas un livre qu'on abandonne facilement, et ce quand bien même on n'y rentre pas facilement non plus. Cela tient à mon sens au fait que l'auteur y déploie un univers tout à fait personnel et par cela même authentique, même si l'on ne s'y reconnaît pas forcément... Un univers décalé mais poétique, comme les grands auteurs anglo-saxons savent le faire, encore aujourd'hui. Ne serait-ce que pour ce talent-là, Le Monde selon Garp est vraiment un livre à lire.
Afficher en entierJe dois reconnaître que Le Monde selon Garp n'est pas un livre qu'on abandonne facilement, et ce quand bien même on n'y rentre pas facilement non plus. Cela tient à mon sens au fait que l'auteur y déploie un univers tout à fait personnel et par cela même authentique, même si l'on ne s'y reconnaît pas forcément... Un univers décalé mais poétique, comme les grands auteurs anglo-saxons savent le faire, encore aujourd'hui. Ne serait-ce que pour ce talent-là, Le Monde selon Garp est vraiment un livre à lire.
Afficher en entierQuand j’ai vu que le dernier roman de John Irving était sorti, je n’ai pas pu résister : je devais l’acheter. J’ai essayé de me raisonner, mais en accompagnant ma fille pour ses fournitures scolaires, je me suis rendu à l’évidence : il me fallait ce roman.
J’ai adoré.
J’ai aimé le récit d’Adam et de cette famille atypique : sa mère, « Little Ray », ancienne skieuse qui décide d’avoir un enfant seule… Je suis obligée de m’arrêter là. En y réfléchissant, je ne peux pas vous en dire plus. Je ne peux pas vraiment vous expliquer en quoi cette famille est si spéciale, sinon je vous dévoilerais tout. Et j’ai tant aimé découvrir tous ces liens qui unissent cette famille hors norme.
Ce roman m’a bouleversée. J’ai ri, j’ai pleuré. J’ai ressenti une avalanche d’émotions tout au long des 1 000 pages : de la colère, du dégoût, de la joie… J’ai eu l’impression de vivre presque 80 ans aux côtés d’Adam, le personnage principal.
Une chose m’a également surprise : depuis quelque temps, je me dis que notre monde actuel est écœurant, fou, si différent de notre passé…
Eh bien, John Irving m’a ouvert les yeux. Ce monde est fou depuis bien longtemps. Un petit rappel de certains faits historiques ne peut que nous faire du bien.
Alors, vous me direz : pourquoi 4 étoiles ? Eh bien, disons que lorsque Adam va dans l’hôtel Jérôme, tout est raconté sous forme de scénario, comme si on jouait un film. Il m’a fallu un certain temps pour m’adapter.
Un dernier détail qui m’a enchantée : Adam et sa mère voient des fantômes. Cela ajoute une touche inattendue et originale à cette belle histoire.
Bonne lecture !
Afficher en entierOn parle de John Irving ici :
2018-09-22T07:18:29+02:00
2018-01-01T12:42:09+01:00
2016-12-09T20:53:24+01:00
2013-08-01T08:54:50+02:00
Les gens aiment aussi
Dédicaces de John Irving
et autres évènements
Aucun évènement prévu
Editeurs
Seuil : 33 livres
Points : 23 livres
Ballantine Books : 4 livres
Black Swan : 3 livres
Simon & Schuster : 2 livres
E. P. Dutton : 1 livre
Pocket Books : 1 livre
Diogenes : 1 livre
Biographie
Après une enfance passée aux côtés de sa grand-mère dans le New Hampshire, John Irving qui n'a jamais connu son père, comme ses personnages de fiction Garp et Homer Wells, passe le début de son adolescence dans le logement de fonction de son beau-père qui enseigne le russe. Souffrant de dyslexie et d'une très mauvaise orthographe, il fait des études médiocres. Passionné de lutte, il choisit son université en fonction des cours de sport. Mais il s'intéresse vivement à l'atelier de création littéraire, et sa vocation d'écrivain s'affirme progressivement. En 1963, il obtient une bourse d'étude pour aller passer un an à Vienne. Très marqué par ce séjour, c'est dans cette ville qu'il puise la matière de son premier roman, 'Liberté pour les ours'. Il ne peut vivre de son écriture qu'après la publication de son ouvrage 'Le Monde selon Garp' et se consacre depuis lors entièrement à l'écriture. Suit 'L' Oeuvre de Dieu, la part du diable' en 2000. En 2006, il publie un autre roman psychologique, 'Je te retrouverai'.
Ces oeuvres :
- Liberté pour les ours ! (1968, Setting Free the Bears)
- L'épopée du buveur d'eau (1972, The Water-Method Man)
- Un mariage poids moyen (1974, The 158-Pound Marriage)
- Le monde selon Garp (1978, The World According to Garp)
- L'hôtel New Hampshire (1981, The Hotel New Hampshire)
- L'œuvre de Dieu, la Part du Diable (1985, The Cider House Rules)
- Une prière pour Owen (1989, A Prayer for Owen Meany)
- Trying to Save Piggy Sneed (1993); en partie traduit en français sous le titre "Les rêves des autres"
- Un enfant de la balle (1994, A Son of the Circus)
- La petite amie imaginaire (1997)
- Les rêves des autres (1998)
- Une veuve de papier (1998, A Widow for One Year)
- La quatrième main (2001, The Fourth Hand)
- Mon cinéma (2003, My movie Business, a Memoir)
- Je te retrouverai (2005, Until I Find You)
- Last night in twisted river (2009, en:Last night in twisted river)
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