John Wyndham
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Note moyenne : 7.05/10Nombre d'évaluations : 39
0 Citations 27 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres

Je l'ai lu alors que le titre était "les coucous de midwich" et non le sous titre. Intense et mystérieux... A lire
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Une excellente histoire d'anticipation, personellement je n'ai pas trouvé cela vieillot au contraire, on pourrait presque penser que cela à été écrit seulement il y a quelques années.
Les personnages sont vraiment bien et assez charismatique, les triffides eux sont flippant.
Très bonne lecture.
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Une grande majorité de l'humanité devient aveugle suite au passage d'une comète.
C'est intéressant d'observer le comportement des voyants face à ce drame.
Pitié, dévotion ou lâcheté, quelle attitude adopter ? Il faut penser à l'avenir, s'organiser et perpétuer l'espèce malgré tout.
Pendant ce temps là, les triffides gagnent du terrain...
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Trois petites histoires pleines de mystère!
très agréable.
Ma préférence va pour la première...
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Un bon livre (j'ai seulement lu la première histoire, celle du "Village des Damnés"), j'ai bien aimé, cependant je reste sur ma faim....
Les nombreuses questions que je me suis posé n'on pas trouvé de réponses !! Et je me suis ennuyé, il ne ce passe pratiquement rien.... je n'ai pas non plus réussi à comprendre qui est le personnage principal, bref, ce livre était prometteur, mais il est gâché par un manque d'action et de réponses à nos nombreuses questions...
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Ce livre est basé sur une idée géniale seulement les personnages passent leur temps à parler! Et à parler! La plus part du temps c'est pour ne rien dire! Certains discours sont bons, comme celui des enfants sur leur façon de voir le monde ou celui de la femme à l'église etc... Mais d'autres sont ennuyeux à mourir c'est juste pour décrire la situation qui a déjà été décrite. Du coup un très très mitigée sur ce livre.
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Une histoire qui m'a tenu jusqu'au bout, j'ai passé un très bon moment.
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Bien qu'écrit en 1951, le livre a bien vieilli.
Pas d'inventions qui auraient pu être révolutionnaires en 1951 et totalement désuètes aujourd'hui.
Un style fluide, une lecture facile.
Un traitement original de la fin du monde, aveugles et poursuivis par des plantes. On aurait pu glisser dans le grand guignol, il n'en est rien. le récit est crédible.
On se bat avec nos héros pour survivre dans ce monde.
A lire.
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BEAUCOUP DE LONGUEURS !
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Le style est excessivement lourd, ce qui rend la lecture d'autant plus laborieuse. Est-ce la traduction ? le style de l'auteur ? De plus, quelques petites remarques misogynes ne rendent pas toujours le livre très sympathique. L'histoire a de l'intérêt -du moins en ce qui concerne Le village- ainsi que les développements autour de l'humanité et de son évolution. Wyndham fait référence à Wells et à sa guerre des Mondes et c'est vrai qu'on ne peut éviter d'y songer. Excepté le style, le Village des Damnés mérite lecture. Chocky -qui lui fait suite- beaucoup moins.
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de John Wyndham
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Editeurs
Denoël : 13 livres
France Loisirs : 4 livres
Fleuve Noir : 2 livres
Terres de Brume : 2 livres
Gallimard : 2 livres
J'ai lu : 2 livres
Opta : 2 livres
Pocket : 1 livre
Biographie
John Wyndham Parkes Lucas Beynon Harris est un écrivain de science-fiction britannique, né le 10 juillet 1903 à Knowle dans le Warwickshire à quelques kilomètres de Birmingham, en Angleterre et décédé le 11 mars 1969 à Londres.
Son père, George Bennon Harris travaillait comme avocat et sa mère, Gertrude Parkes, était la fille d'un riche quincailler.
La famille vit à Edgbaston jusqu'en 1911, date à laquelle ses parents divorcent.
John Wyndham et son frère, le futur écrivain Vivian Beynon Harris, déménagent avec leur mère dans Edgbaston, puis, à partir de 1915, logent dans des hôtels. John Wyndham fréquente un grand nombre d'écoles britanniques, dont la Blundell's School dans le Devon pendant la Première Guerre mondiale.
Sa plus longue scolarisation se fera à la Bedales School (1918-1921) de Steep dans le Hampshire.
En novembre 1919, il publie son premier récit de science-fiction intitulé Vivisection dans The Bee, le journal de l'école.
Après avoir quitté l'école, John Wyndham fait des études agricoles pendant quelque temps, songe à étudier à l'Université d'Oxford, puis exerce différents métiers pour gagner sa vie, tout en restant dépendant de l'aide financière que lui octroie sa famille.
Il commence à écrire des récits gothiques en 1925, mais sans succès.
Il continue de tenter sa chance dans différentes voies comme le droit, le commerce et la publicité.
En 1929, il découvre le magazine américain Amazing Stories qui lui donne envie d'écrire dans le genre de la science-fiction et de proposer ses textes à différents périodiques.
Son premier succès est Worlds to Barter, publié dans la revue Wonder Stories en 1931.
Pendant les années 1930, il écrit de nombreuses nouvelles destinées aux périodiques américains, aussi bien des histoires policières que de la science-fiction.
Entre 1940 et 1943, John Wyndham travaille officiellement pour le gouvernement britannique sur le système de censure en temps de guerre.
Il entre ensuite dans l'armée et sert comme caporal des opérations de chiffrage dans le Royal Corps of Signals et participe à la Bataille de Normandie.
Inspiré par le succès de son frère (qui publia quatre nouvelles avant même que John Wyndham ne se soit fait un nom) il modifia son style pour son roman intitulé Le Jour des Triffides (titre original : The Day of the Triffids). Le roman fut un énorme succès et contribua à établir la réputation de John Wyndham comme auteur de science-fiction.
En 1963, John Wyndham épouse Grace Wilson qu'il connaît depuis plus de vingt ans et habite non loin de Petersfield, dans le Hampshire, juste à côté de la Bedales School.
John WYNDHAM a commencé sa carrière d’écrivain dans les années 30, mais c’est après-guerre qu’il a écrit les romans "cataclysmique" qui ont marqué la SF britannique par leur audace et leur imagination catastrophistes.
Il collabore avec des revues comme Wonder Stories et Tales of Wonder, et pioche dans son impressionnant état civil pour se composer de nombreux pseudonymes comme John HARRIS, John BEYNON, Lucas BEYNON, Lucas PARKES ou Johnson HARRIS...
Ses premiers récits, beaucoup de nouvelles et deux romans, ne sont pas inoubliables, proches du space opera ou de l’esprit des pulps américains.
Après la Deuxième Guerre Mondiale, son style se fait plus humaniste, mais aussi plus sombre : il met en scène la fin de notre civilisation face à des dangers monstrueux. L’attaque vient au choix de plantes agressives, d’enfants extra-terrestres, de créatures aquatiques ou de retombées nucléaires.
Systématiquement Londres est en ruines et les humains sont contraints de retourner au stade primitif pour se battre et éventuellement survivre.
Mais WYNDHAM ne fait pas dans le grand spectacle : il se concentre sur les états d’âme de ses personnages face à la menace.
Les Humains, plein de préjugés, donnent d’ailleurs souvent autant de fil à retordre aux Héros de l’Histoire que la Menace...
Ses romans rencontre un vif succès populaire dans les années 50, y compris auprès de non-lecteurs de SF, grâce à cet écho qu’il donne aux craintes suscitées par la bombe nucléaire.
Ce genre de romans "cataclysmiques" très britannique a fait des émules entre autres chez J.G.BALLARD ou Thomas DISCH.
WYNDHAM s’est toujours dit inspiré par l'œuvre de H.G.WELLS qu’il cite dans certains récits.
Son œuvre est assez restreinte mais chacun de ses romans est un plaisir d’émotion et d’intelligence.
Dans ses deux dernières œuvres, WYNDHAM s’est intéressés aux enfants, en particulier à ce qu’ils peuvent avoir d’effrayant...
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