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Ton absence n'est que ténèbres
D'ailleurs, les poissons n'ont pas de pieds
Lumière d'été, puis vient la nuit
Ásta
Trilogie romanesque, Tome 3 : Le Cœur de l'homme
Trilogie romanesque, Tome 2 : La Tristesse des anges
Trilogie romanesque, Tome 1 : Entre ciel et terre
Trilogie romanesque, Tome 1 : Entre ciel et terre
« Attachez vos ceintures » un avertissement qui dépote !! Le texte va raconter tout et n’importe quoi, en gros ; -) Des Beatles qui se cachent de la célébrité, de grandes conversations qui se préparent…
« Dieu n’aurait jamais pu faire partie des Beatles. Avec des titres pareils, il n’aurait pas même pu jouer avec les Rolling Stones. »
Notre héros va se plonger dans la lecture de la Bible, même si on nous en explique les côtés malsains (génocides, etc…)
« Nous sommes tous séduits par le Christ, c’est notre héros et il ne ressemble pas du tout à son Père. Alors que l’Éternel est impitoyable, Jésus n’est que miséricorde. Dieu ne pardonne pas, Jésus n’est que tendresse. Dieu ordonne aux enfants d’Israël d’exterminer leurs ennemis, Jésus affirme qu’il faut tendre l’autre joue. Tandis que Dieu exige qu’on lui apporte des mets et de l’or, et ordonne aux enfants d’Israël de tuer leurs voisins, Jésus nous enjoint de nous aimer les uns les autres et de donner nos biens aux nécessiteux. »
Je trouve que la comparaison Jésus/Dieu est judicieuse …
Jésus, Lui, aurait pu être un Beatles.
Phoenix
++
Mon sous-marin jaune
Certes les personnages et le lecteur ne sont pas épargnés par les drames qui émaillent le récit, les pertes ou les désillusions qu’ils rencontrent au cours de leur existence, seulement nous n’avons pas la moindre envie de les quitter, bien au contraire. Le récit est brumeux mais le narrateur nous l’annonce dès le premier chapitre : il vient de se réveiller dans cet église, perdu dans les fjord de l’ouest de l’Islande, et ne se rappelle absolument plus de rien. On ne peut donc que lui pardonner et se laisser porter comme lui par les êtres qu’il croise et qui semblent, eux, bien le connaître. (En particulier Soley et Runa, deux sœurs dont il semble particulièrement proches.)
Si sa mémoire semble belle et bien perdue, des personnages du passé semblent jaillir sous ses yeux et notre narrateur ne peut s’empêcher de coucher leurs mots et leurs existences sur le papier. Non linéaire, le récit fait donc de constants allers-retours entre ce présent nébuleux et ce passé étonnamment limpide comme si notre héros avait échangé ses propres souvenirs contre ceux des défunts de son entourage / contre un don de prescience. Aurait-il passé un pacte avec ce vieil homme croisé dans l’église qu’il prend tantôt pour un prêtre, tantôt pour le diable ? Un pacte faustien qui nous permet toutefois de brasser les époques, les personnages et de comprendre petit à petit les liens qui les unissent.
Une saga familiale islandaise de haute volée, portée par cette étrange atmosphère fantastique, ces histoires d’amours sublimées par la plume unique de Stefansson dont le talent est tel que l’on se surprend à relire plusieurs fois certains passages pour mieux s’en imprégner, s’en délecter. Peu importe que l’on pleure finalement car le sourire n’est jamais loin.
Un roman lumineux et bouleversant, aussi fort qu’Entre ciel et terre, qui prouve encore une fois que Stefansson sait parler du deuil et de l’amour comme personne.
Jessica
Ton absence n'est que ténèbres
Ton absence n'est que ténèbres
Trilogie romanesque, Tome 1 : Entre ciel et terre
Ton absence n'est que ténèbres
Notre imaginaire peut se réjouir d'etre acteur de ce qui arrive aux uns et aux autres, tellement l'auteur sait nous faire découvrir senteurs, émotions, lumières ou ténèbres.
On a envie de suivre le gamin mais aussi ces femmes magnifiques si fortes, si présentes dans la vie difficile des pécheurs.
Un livre et une écriture qui se mérite.
La traduction est exemplaire pour tous les ouvrages de J k Stefansson..
Félicitations à E. BOURY.
"Quand (le vent) se tait et que nous pouvons mettre le nez dehors sans mourir, les rues sont recouvertes d'algues, comme si la mer nous avait éternué dessus."
Trilogie romanesque, Tome 1 : Entre ciel et terre
Voilà donc un joli livre sur le deuil, la recherche d’un sens à sa vie, la place de la poésie dans notre existence et la beauté du monde, malgré tout. Malgré l’oubli d’une vareuse. Il se passe peu de choses dans ce livre, à travers ces 250 pages, mais la plume emplit le papier avec une écriture tout en justesse, une douce sensibilité de la nature et de l’intériorité des Hommes. C'est tout simplement beau.
Les dialogues sont inclus dans le texte, renforçant le silence avec la neige et le froid qui étouffent les sons, malgré le printemps qui apparaît doucement. Ceci s’explique aussi par la nature de ce livre, qui se place sous l'égide des contes. Un homme (des hommes ?) nous raconte cette histoire qui s’est déroulée sur leur terre d’Islande. Quelques fois nous sommes directement interpellés par le conteur, pour nous impliquer dans l’histoire que l’on nous raconte et nous toucher, nous faire réfléchir.
Tout en suivant la même histoire, et avec le Gamin en personnage principal, nous découvrons aussi les personnages secondaires et des fragments de leur vie. Comme le style d’écriture, le narrateur se perd, et en suivant le garçon dans les rues, dans les maisons, s’accroche sur un passant pour nous parler de lui avant de revenir, pour nous faire découvrir des vies de rien, et en faire des vies de tout. Jon Kalman Stefansson nous propose une écriture dans un souffle, avec de longues phrases pour un conteur parlant au fil de ses pensées, tout en naturel, avec simplicité.
Suite à cette lecture, j’ai hâte de découvrir les autres romans de Stefansson et continuer cette trilogie.
Trilogie romanesque, Tome 1 : Entre ciel et terre