Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 700
Membres
1 013 436

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode
Lire la suite...

Commentaires sur ses livres

Jonathan Coe

Par Biquet le 20 Février 2012 Editer
Biquet
Un très bon "Coe", m'avait dit une vendeuse à l'achat du livre dans une librairie parisienne.
Comme "Coe" avait déjà mis la barre très haut, cela me paraissait difficile et pourtant.....
Ce mec a une patte, on te ferait lire un texte non signé que tu reconnaitrais du "Coe". C'est pas toujours très gai mais ça pétille d'humour. Avait-elle raison ou tort la vendeuse parisienne? Ce n'est pas son meilleur livre car il y a quelques longueurs, mais cela reste très bon.
Le summum de l'humour, le dialogue avec le GPS. Le final sur une plage près de Melbourne explose comme le bouquet final d'un feu d'artifice, une apothéose. Moi qui suis amateur du réalisme magique sud-américain, ce britannique m'a transporté. L'argentin Cortázar n'aurait pas fait mieux.

Commentaires à destination de l'éditeur:
On aurait dû s'en tenir à la traduction littérale du titre anglais "The terrible privacy of Maxwell Sim" et non en éliminer tout l'humour par un très plat "La vie très privée de Mr Sim".
Je fais sans doute une fixette sur le subjonctif mais, placés dans une proposition principale, certains verbes requièrent un subjonctif dans la proposition subordonnée et en outre le temps de ce subjonctif s'accorde avec celui de la principale. Il me semble que pas mal de traducteurs aient oublié cette règle. Je lirai donc mon prochain "Coe" en anglais où, aux dernières nouvelles, le subjonctif est absent.
A propos du livre :
La Vie très privée de Mr Sim
La Vie très privée de Mr Sim
Par x-Key le 12 Octobre 2015 Editer
x-Key
Jonathan Coe faisait de partie de mes auteurs "à lire" mais dont je trouvais toujours le moyen de repousser la lecture (je trouve de toute façon TOUJOURS le moyen de ne jamais lire ce que j'ai sous la main). C'est désormais chose faite ! Et pour une première lecture de l'auteur britannique, je suis totalement convaincue.

La maison du sommeil est un roman complexe à l'histoire mystérieuse et à la structure intrigante. Grâce à sa construction très travaillée, Coe nous fait jongler d'une époque à une autre (passant des années 1983-84 à l'année 1995), enchaîne les stades du sommeil pour découper son roman (état de veille, stade 1, stade 2, stade 3, stade 4 et sommeil paradoxal) et manie habillement les mises en abîmes. On est pris dans la toile, intrigué par les histoires de tous ces protagonistes dont on découvre au fur et à mesure le passé et le présent avec toutes les liaisons qu'ils peut exister entre les deux temps... et entre les différents personnages. Car c'est un aspect du roman que j'ai beaucoup aimé : cette habileté à tout mélanger, à établir des connexions entre chaque élément, aussi insignifiant qu'il puisse être. Du coup, si le déroulement de l'histoire m'a semblé un peu difficile à suivre au début, une fois prise dedans, j'ai vraiment apprécié ma lecture.

J'ai aimé découvrir les liens entre ces morceaux de plusieurs vies, comment le passé explique le présent dans les parties de 1996, comment les personnages que l'on découvre en 1984 ont évolué une dizaine d'années plus tard. Et si l'histoire et d'autant plus intéressante à suivre, c'est parce que Jonathan Coe nous propose un récit dans lequel les différents personnages ont des psychologie établies avec beaucoup de finesse et de maîtrise. L'amoureux transit, la narcoleptique, l'excentrique, le savant fou, ils sont tous fascinant à découvrir, dans leurs personnalités, leurs névroses, leur certitudes, leurs rapports aux choses et à eux-mêmes. J'ai adoré le personnage de Terry, déjà pour ses transgressions constantes sur le cinéma, et puis pour ce côté ironique que l'auteur utilise si bien à travers ce personnage. Jonathan Coe ne se gêne pas pour donner à sa plume un ton grotesque dans les choses dont il cherche à se moquer ouvertement. Et j'ai trouvé les passages concernés (l'histoire de l'article mal corrigé, le séminaire des médecins) vraiment amusants, je les attendais avec impatience à chaque fois.

Avec son histoire alambiquées, ses coïncidences qui ne semblent jamais tout à fait en être, et son ton souvent ironique, La Maison du sommeil est un roman maîtrisé que j'ai aimé découvrir. Coe a de la suite dans les idées et sait parfaitement où mener son lecteur. Si on peut lui reprocher un traitement peu approfondi du thème du sommeil (on apprend deux trois choses, c'est vrai, mais le sujet reste superficiel) et une intrigue qui se devine sur la fin, on prend tout de même plaisir à en lire le dénouement qui, fait à partir de documents annexes (lettre, retranscription) est une façon originale de clôturer cette histoire. Quoiqu'il en soit, ce n'est sûrement pas le dernier roman que je lis de l'auteur.

http://desmotsenvrac.blogspot.fr/2015/10/la-maison-du-sommeil-de-jonathan-coe.html
A propos du livre :
La Maison du sommeil
La Maison du sommeil
Par dadotiste le 2 Octobre 2015 Editer
dadotiste
« [S]on scénario, ainsi raconté, n'était pas aussi impressionnant qu'il l'avait imaginé. »

Un résumé prometteur mais bien loin de la vérité. Si vous vous attendez à de grands mystères, à une intrigue palpitante et à de curieux événements se déroulant à Ashdown, vous risquez d'être déçus.
En effet, avant de dépasser la moitié du roman, il ne se passe strictement rien. Néant ! On attend que cela démarre mais... sans succès. Seulement de longues et interminables descriptions qui ne servent à rien !
Lorsqu'enfin on finit par deviner les prémices d'un mystère, on imagine que cela ira plus loin, surtout vis-à-vis des mystérieuses expériences se déroulant dans la clinique. Autant vous le dire tout de suite, là-dessus, même à la fin, cela reste très superflu.

Les seuls mystères à découvrir sont ceux de l'amour d'une romance... pathétique. Non, franchement je pèse mes mots. C'est vraiment ridicule.
J'aimerais pouvoir qualifier ce livre de roman de gare mais, ce serait trop lui donner d'importance.

En conclusion, je ne vous recommande pas absolument cet ouvrage que je qualifierais comme étant un Marc Levy de bas étage. (Et autant le préciser, je n'aime pas du tout Levy, ce qui vous donne une bonne échelle d'où je place celui-ci)
A propos du livre :
La Maison du sommeil
La Maison du sommeil
Par Audreyy le 20 Novembre 2011 Editer
Audreyy

J'ai adoré ! Je ne trouve pas d'autres mots. C'est un vrai bonheur de lecture !
Livre tiré sur deux époques dans un même lieu, Ashdown : Anciennement une université où se sont rencontrés des étudiants et aujourd'hui, une clinique du sommeil dirigé par Grégory Dudden, étudiant dans ce lieu autrefois.
Au fil des pages, on va découvrir ce qui s'est passé par le passé entre 5 étudiants et on va les rédecouvrir aujourd'hui, ce qui leur est arrivés, les voir se recontrer de nouveau etc.
L'écriture de Jonathan Coe est un plaisir. Un reproche à ce livre : Qu'il ne soit pas plus long, composé pourtant de 426 pages.
Quelle tristesse de devoir quitter Sarah, Terry, Robert, Veronica, Grégory !
A propos du livre :
La Maison du sommeil
La Maison du sommeil
Par dalecooper le 4 Juin 2011 Editer
dalecooper
Sauts temporels, univers hitchockien bercé entre éveil et réveil, a marqué la fin de mon adolescence et mon entrée dans l'âge adulte
A propos du livre :
La Maison du sommeil
La Maison du sommeil
Par freddo18 le 7 Avril 2011 Editer
freddo18
Né par accident , abandonné par sa mère et sa fille , Sim est devenu un solitaire qui mène une existence sans histoires. Il n’est pas parvenu à devenir adulte et ses seuls amis sont ceux anonymes qu ‘il retrouve sur Facebook.
Dans sa voiture il s’éprende de passion de celle qui le guide via son GPS et qu’il nomme Emma avec laquelle il discute tout le long de ses trajets.
Dépressif il quitte son boulot dans un grand magasin londonien pour devenir représentant en brosses à dents.
Au cours de son voyage le menant aux îles Shetland , les rencontres et les haltes se multiplieront le ramenant toujours vers son passé.
Dans ce roman il y a aussi la nostalgie de l ‘Angleterre dont la culture a été engloutie par la mondialisation.
Le roman est divisé en quatre parties qui donne chacune la parole à un autre personnage à travers ses écrits.
On ne dévoilera pas la fin du roman aboutissant à une situation inattendue.
Ce roman a pour sujets essentiels la solitude , la perte de repères de la société britannique et la création romanesque.
A propos du livre :
La Vie très privée de Mr Sim
La Vie très privée de Mr Sim
Par bloodymarie le 12 Juin 2023 Editer
bloodymarie
J'ai aimé la narration de ce livre, axée sur 7 temps forts de l'histoire contemporaine du Royaume Uni, à travers les souvenirs et l'évolution d'une famille. Comme toujours l'observation est pertinente et l'humour caustique . Juste une petite frustration /incompréhension : un chapitre est bien sûr consacré à l'Europe mais finalement de façon assez indirecte et j'aurais aimé voir davantage les arguments pour et contre le Brexit exprimés par les personnages. On quitte le livre avec l'impression frustrante que ce thème a été minoré.( Et ce n'est pas une question de chronologie par rapport à la date de parution puisqu'un chapitre entier traite de la pandémie)
A propos du livre :
Le royaume désuni
Le royaume désuni
Par chanchandestras le 20 Avril 2023 Editer
chanchandestras
Une histoire familiale bien anglaise, sur plusieurs générations, se mélange avec bonheur à l'histoire du pays : politique, famille royale, migrants, rupture avec l'Europe, ...Des points de vue très différents pour chacun des protagonistes de cette famille, reflétant très bien la société anglaise sur presque un siècle. Superbe et très prenant !
A propos du livre :
Le royaume désuni
Le royaume désuni
Par MSNordlys le 22 Mai 2021 Editer
MSNordlys
Un roman tendre et parfumé de douce amertume, sur la rencontre de la jeune Calista et d'un Billy Wilder vieillissant, sur fond du tournage de son avant-dernier film, "Fedora", véritable chant du cygne du réalisateur et scénariste. En compagnie de ce roman, on dit peu à peu adieu à ce qui fut l'âge d'or d'Hollywood, avec un gros pincement au cœur.
A propos du livre :
Billy Wilder et moi
Billy Wilder et moi
Par francesca21 le 26 Septembre 2019 Editer
francesca21
On retrouve dans ce livre les personnages des précédents roman de J. Coe Bienvenue au Club et Le Cercle fermé, qui ont atteint la matûrité : Benjamin Trotter, sa soeur Lois, ses amis Douglas, Philip, etc.Nous sommes dans l'Angleterre de 2016 qui réclame, à la surprise générale, la sortie de l'Europe. C'est en fait le roman du Brexit. L'auteur se plonge dans l'Angleterre profonde pour tenter de comprendre ce référendum qui a été décidé par des politiques inconséquents et trop sûrs d'eux. Ce thème pourrait paraître ennuyeux, mais le talent, l'humour de l'auteur, la véracité de ses personnages, en font un roman passionnant et plein d'enseignements.
A propos du livre :
Le Cœur de l'Angleterre
Le Cœur de l'Angleterre
Par Auchama le 14 Mars 2018 Editer
Auchama
J'ai acheté ce livre sur un coup de tête (comme ça m'arrive souvent d'ailleurs), juste parce que le titre me plaisait et sans lire le 4ème de couverture (heureusement car je ne le trouve pas très vendeur par rapport à l'histoire). Finalement, il fait partie de mes très très bonnes lectures, sans être un coup de coeur mais pas loin. J'adore notamment l'humour noir à l'anglaise qui fait le charme de ce livre.
A propos du livre :
Testament à l'anglaise
Testament à l'anglaise
Par merediana le 29 Janvier 2018 Editer
merediana
J'ai eu énormément de mal à entrer dans ce roman, beaucoup de mal à situer les personnages. Ensuite, la lecture des cassettes audio démarre, et je n'ai plus su le lâcher avant la fin. L'histoire de cette famille était assez triste. J'ai beaucoup aimé ces descriptions de photos et les souvenirs qui y sont associés. Seul petit bémol pour moi, j'aurais apprécié en savoir plus sur les personnages du présent.
A propos du livre :
La pluie, avant qu'elle tombe
La pluie, avant qu'elle tombe
Par Cathy2909 le 10 Janvier 2018 Editer
Cathy2909
D’une voix affaiblie par la maladie et empreinte de nostalgie, Rosamond raconte le récit de sa vie (ses amours avec Rebecca et Ruth) de sa cousine Béatrix, de sa fille Théa et de sa petite-fille, Imogen Elle commente vingt photographies choisies par ordre chronologique. Par leurs descriptions soignées, elle dévoile les tranches de vies de plusieurs femmes sur trois générations. Le fil de sa vie se brise, elle s’épanche, tente de s’excuser d’être restée le témoin passif des souffrances d’êtres aimés.Elle tente d’expliquer l’histoire familiale à Imogen, ses origines, son identité, son pathétique accident qui l’a conduit à la cécité. Ses confidences d’outre-tombe mettent en scène des portraits féminins marqués par l’absence d’amour maternel et ses conséquences dramatiques. Histoire personnelle et grande histoire se rencontrent. Le Blitz à Londres, la vie rurale dans le comté du Shropshire, la perception de l’homosexualité appuient la destruction psychologique annoncée dès l’enfance transmise de génération en génération. Une influence innée guiderait les destinées des personnes malgré elles, assujettissant et façonnant. Les moments de joie s’accompagnent de musique, inlassablement écoutée « Les chants d’Auvergne » de Cantelouble, avec un air en particulier « Bailero » une région de France visitée, prétexte à des épisodes de bonheur inoubliable ou bien à une pause dans une existence remise en cause.
Un album de famille, toute simple en réalité : une caravane, une remise de diplôme, des disputes amoureuses, des vacances, une plage au bord d’un lac, des fêtes de fin d’année et sous-jacent des drames en veilleuse. Sur le bande son, les confessions donne le la au fil du temps qui passe inexorablement. Une touche de mystère surnaturel accentue le côté fataliste de l’existence. De fugitives visions et interprétations d’incidents, de coïncidences favorisent la sensibilité naturelle et certainement génétique de Gill. Elle tente aussi de trouver une explication aux tragédies familiales.
D’une plume fine et intimiste, Jonathan Coe nous offre un mélodrame poétique et sombre ; une lecture touchante et inoubliable.
A propos du livre :
La pluie, avant qu'elle tombe
La pluie, avant qu'elle tombe
Par D0d0 le 7 Mars 2017 Editer
D0d0
Ce livre est une excellente critique sociale de l’Angleterre de cette époque. Une histoire façon polar très prenante! L'humour british y est aussi pour beaucoup!
Et alors la fin un véritable festival...
A propos du livre :
Testament à l'anglaise
Testament à l'anglaise
Par btizlit le 6 Octobre 2015 Editer
btizlit
J'avais un aprioris très négatif au moment des votes sur ce livre et je dois avouer que j'ai été déçue qu'il soit choisi pour la lecture commune d'octobre... Mais je me suis plié à la règle et je l'ai lu... Grande idée!!! Ce qui m'a conforté dans mon envie de suivre ces lectures communes de façon assidue!!

La narration est au début très déroutante bien que l'auteur ai défini dès le début clairement les règles: chapitre impair = année 1983, pair = année 1996. Puis très vite je me suis prise au jeu et j'ai trouvé que ces sauts en avant/arrière permettaient de rythmer le récit qui aurait été un peu monotone sans ça. La plume de l'auteur a un charme certain même si ce n'est pas non plus de la haute qualité littéraire.

L'intrigue qui au début me semblait "basique" s'est vite étoffée et m'a complètement accaparée, j'étais frustrée de reposer le livre... La chute est assez inattendue, je n'ai commencé à la sentir arriver que très tard, pas avant le chapitre 15-16 (ce qui est assez rare pour moi).

Je n'irai pas jusqu'a recommander ce livre "chaudement", mais en tous cas pour passer le temps il m'a semblé très approprié!!

Spoiler(cliquez pour révéler)
le seul point négatif: cette histoire d'amour bas de gamme et sommes toutes très pathétique entre Sarah et Robert... J'ai du mal avec les histoires niaises et égoïstes du genre ...
A propos du livre :
La Maison du sommeil
La Maison du sommeil

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode