Joseph Bédier
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Note moyenne : 7.14/10Nombre d'évaluations : 95
1 Citations 53 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres

J'ai eu du mal à accrocher. Ce roman montre un amour artificiel (celui de Tristan et Iseut) qui est visiblement plus fort que l'amour sincère (celui du roi pour les deux protagonistes).
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Le plus gros point fort de cette lecture a été, je pense, le vocabulaire enrichissant et moyenâgeux. Des mots assez drôle à lire et complètement inconnu me sont apparus, et les décoder a été assez instructif (des "hoirs", par exemples).
L'histoire est prenante (quelque peu longue vers le milieu-fin, non ?) malgré l'image très, très différente des rapports hommes/femmes et tout le tintouin.
Comme je ne connaissais pas du tout l'histoire, ou du moins les pourquoi du comment, j'ai apprécié chaque actions, déroulements et rebondissements. Par exemple le côté assez "mythique" avec les dragons ou autres animaux fantastiques, grande caractéristique des contes du Moyen-Age (on dirait une prof quand je dis ça de cette façon ^^)
Le livre est relativement rapide à lire, émouvant... j'ai beaucoup aimé ^^
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Un livre classique qui est agréable a lire, celui comporte certaine annotation et questionnement pour l'école.
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Une histoire vraiment splendide. Victime d'un charme Tristan et Iseut sont condamnés à s'aimer, ce qui est à la fois si romantique et si tragique... Un récit magnifique empreint de tristesse et de douleur.
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Cette aventure au temps du moyen âge est distrayante à lire, mais j'ai eu beaucoup de mal avec la moralité des deux héros. Ils sont extrêmement égoïstes. Spoiler(cliquez pour révéler)Ils mentent, trompent et tuent sans arrières pensées pour assouvir leur bon plaisir, et j'ai trouvé malaisant que le roman essaye de me convaincre que tout ça est justifié puisqu'ils en sont les héros. Pas un seul instant ils ne semblent éprouver de remords pour leurs agissements. Et si encore le roi Marc avait été cruel, j'aurais pardonné certaines de leurs frasques, mais il n'aura cessé jusqu'à la fin de profondément aimer son neveu Tristan et sa femme Iseult alors que ces deux là passent leur temps à le cocufier et à lui mentir. Mon manque d'empathie pour les deux héros fait que je risque surement de ne pas garder un bon souvenir de cette histoire.
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Un classique à découvrir !
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un classique des plus classique, une romance dramatique mais belle
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Nous voilà plongée dans un récit d’un autre âge.
Un récit romanesque mais néanmoins fort.
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Orphelin de père et de mère, Tristan, fils du roi Rivalin, est élevé par son maréchal, Rohalt le Foi-tenant. Sa mère lui avait donné ce nom, car elle était triste à mourir d’avoir perdu son cher époux. Puis à l’âge de 7 ans, il fut confié au bon écuyer Gorneval qui lui enseigna tous les « arts qui viennent aux barons », ceux de la guerre, mais aussi le chant, la harpe et la vènerie. Mais un jour, il fut enlevé par des marchands norvégiens qui l’abandonnèrent sur le sable d’une plage suite à une tempête qu’ils crurent créée par lui. Il se retrouve sur les terres du roi Marc lequel doit payer aux Irlandais un très lourd tribut. Il doit leur fournir 100 chevaliers une année et 100 jeunes filles la suivante à moins qu’un volontaire courageux ne provoque en duel leur envoyé, un géant invincible nommé Morholt. Tristan parvient à le tuer non sans peine. Mais c’est l’oncle de la très belle Iseut la blonde que le roi Marc veut demander en mariage. Tristan réussit à la convaincre de prendre le bateau avec lui pour l’emmener se marier à la cour de Tintagel. Mais un peu par mégarde, alors qu’il fait très chaud, tous deux se désaltèrent en buvant un étrange philtre d’amour concocté par sa mère et destiné aux deux futurs époux…
« Le roman de Tristan et Iseut » est une extraordinaire histoire d’amour impossible comportant 19 chapitres rassemblés au début de l’autre siècle par Joseph Bédier à partir de textes anciens datant de plusieurs époques. Il a principalement pris pour sources Eilhat d'Oberg, Béroul, Thomas d’Angleterre et quelques anonymes, ce qui lui a permis de reconstituer cette affaire assez compliquée, pleine d’amour courtois, de sorcellerie, de combats chevaleresques et de luttes contre toutes sortes de monstres et de dragons. L’ensemble est passionnant bien qu’un peu hétéroclite, chaque auteur ayant mis l’accent plus sur le fantastique, sur les combats et le côté « chevalier sans peur ni reproche » ou sur les amours contrariés. Une liaison légendaire pleine de rebondissement finissant dans la peine, la souffrance et le désespoir comme tout amour impossible. Avec Roméo et Juliette et Héloïse et Abélard, Tristan et Iseut sont certainement les amants légendaires les plus connus et les plus attachants de la littérature ancienne. Leur histoire, malgré une prose un peu « médiévale », reste fort agréable à lire quand même, car totalement intemporelle.
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Ce roman est vraiment l'exemple parfait du plaisir du romanesque face à la marginalité des personnages.
L'histoire est intéressante, rempli de péripéties surnaturel comme réel, tout cela avec une ruse des amants présente du début à la fin.
Par ailleurs, le livre est facile à comprendre, si vous aimez les livres de chevalerie, vous allez l'aimer. Cette légende est vraiment bien !
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dédicaces de Joseph Bédier
et autres évènements
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Editeurs
Hatier : 3 livres
Gallimard : 1 livre
ERPi : 1 livre
Kontre Kulture : 1 livre
Les Éditions CEC : 1 livre
12-21 : 1 livre
Classique & Patrimoine : 1 livre
BiblioBazaar : 1 livre
Biographie
Bédier a consacré sa vie à l'étude des œuvres les plus importantes de la littérature française du Moyen Age.Son travail est axé autour de l'un de ses soucis constants:le problème des origines.Mu par cette ardeur,Bédier soumet à un examen attentif tout le corpus des contes étudiés, les classe,les compare.Finalement il arrive à une conclusion surprenante-face aux théories communément acceptées-que la tradition est moins riche est moins variée qu'on ne l'avait cru jusqu'alors et que les textes les plus anciens possèdent un fonds commun d'éléments disposés selon un ordre constant,qui pourraient remonter à un même origine.
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