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Toutes les séries de Joseph Wambaugh

5 livres
5 lecteurs

Pour un flic d'Hollywood, travailler, surtout la nuit, signifie affronter les criminels les plus violents, mais souvent aussi les plus bizarres.

Ainsi le hold-up d’une bijouterie conduit-il les enquêteurs des Vols et Homicides à s'intéresser au Goulag, un night-club de la mafia russe, et à deux drogués aussi ambitieux que niais.

Pour comprendre cette affaire bien étrange, il ne sera pas trop de l'Oracle, le chef de sûreté, des inspecteurs Budgie Polk, la maman d’un petit bébé de 4 mois, Wesley Drubb, un fils de famille amateur de sensations fortes, Fausto Gamboa, le vétéran grognon et râleur, et Hollywood Nate qui rêve de cinéma.

Tous les livres de Joseph Wambaugh

« Je vivais de façon beaucoup plus intense quand j’étais flic », dit un jour le bonhomme. Qu’on ne se trompe pas. Cette intensité, Joseph Wambaugh ne l’a pas totalement abandonnée en raccrochant son uniforme de cops à Los Angeles en 1974. Il la retrouve, avec une étonnante constance, pour la transmettre impeccablement dans tous les romans qu’il sort depuis plus de trois décennies. Et à 72 piges (en 2009), il en garde toujours sous la plume, le bougre. Flic pour toujours, en somme, par amour du métier. Est-ce dans ses gênes ? Joseph Wambaugh est fils de. De flic, of course. Né le 22 janvier 1937 dans le quartier est de Pittsburg (Pennsylvanie), Joseph Aloysius Jr est le fils unique d’un couple de catholiques irlandais. Sans doute ses premières années sont-elles marquées par le boulot de son père, même si ce dernier quitte assez vite le job pour devenir simple ouvrier dans une aciérie. En 1951, la petite famille s’installe en Californie. Joseph est un gamin plutôt sans histoire, gros lecteur déjà. Comme bien d’autres adolescents, il est notamment fasciné par Jack London. Il sait ce qu’il veut. D’ailleurs, à 17 ans, il n’hésite pas à s’engager dans les Marines. L’année suivante, en 1955, il se marie. Et en même temps, il suit des cours du soir à l’université. Quand il quitte l’armée en 1957, il marche dans les pas de son père en bossant lui aussi dans une aciérie, en continuant ses études d’anglais à mi-temps. Il se prépare à devenir professeur de lettres. Pourtant, diplôme en poche en 1960, il s’oriente dans une autre voie. Et passe le concours pour entrer dans la police de Los Angeles. Une grosse parenthèse, croit-il. Il est jeune (23 ans), et se donne une vingtaine d’année dans les forces de l’ordre avant d’embrasser cette carrière de prof qu’il ne met pas de côté. Il poursuit du coup ses études en parallèle, décrochant une licence d’enseignement en 1968. Et il commence à écrire. Ses premières nouvelles sont refusés, mais un des éditeurs démarchés l’encourage à persévérer. En 1971, Joseph Wambaugh sort son premier roman, The New Centurions (Les Nouveaux Centurions). Tout s’emballe alors. Car le livre est un succès, restant huit mois dans le classement des best-sellers. En révélant le quotidien de jeunes flics que le roman suit pendant cinq ans, de leur arrivée à l’école de police aux émeutes de Watts en 1965, Wambaugh propose une vision réaliste qui sort des sentiers battus. Plus d’un vont ensuite s’en inspirer, et la télévision s’en emparer. Wambaugh est embauché comme conseiller technique sur la série Police Story, qui devait faire les beaux jours de NBC de 1973 à 1978. Et Wambaugh enchaîne. The Blue Knight en 1972, et surtout The Onion Field (Le Mort et le survivant) en 1973, œuvre de non-fiction inspirée d’un fait divers réel. La critique applaudit, comparant ce travail au célèbre De Sang Froid de Truman Capote. Un choix s’offre alors à Wambaugh. Continuer son boulot (il est arrivé au grade de Sergent) ou se consacrer entièrement à l’écriture. Mener les deux de front devient impossible, d’autant que sa notoriété complique son boulot sur le terrain. Et si sa hierarchie s’incline devant le succès, elle n’est pas forcément très fan de la vision non édulcorée qu’il véhicule dans ses bouquins. « Les flics dont je parle ne sont pas ceux qui rentrent tranquillement le soir chez eux retrouver leurs femmes et leurs enfants, explique-t-il. Ce sont des flics qui souffrent, qui stressent, qui sont blessés par les émotions qu’ils sont oblgés d’encaisser. Tous mes flics sont désespérés, ce qui ne veut pas dire que tous le sont ». Wambaugh démissionne donc en mars 1974, et peut se lâcher totalement dans ses romans. Le suivant, The Choirboys (Bande de flics), suit effectivement dix flics de patrouilles de nuit assez azimutés, qui ne savent plus comment lâcher la soupape. L’humour noir est omniprésent, nouveauté et future constante de l’œuvre de Wambaugh, mais le grotesque finit en tragédie. Là encore, la presse applaudit. Joseph Wambaugh travaille alors à l’adaptation cinématographique du récit avec le réalisateur Robert Aldrich. Mais les deux hommes ne sont pas d’accord sur la fin et la dimension dramatique universelle à laquelle tient Wambaugh. Aldrich embauche un autre scénariste pour des scènes finales qui changent effectivement le propos global, et Wambaugh refuse du coup d’être crédité au générique. Les choses se passeront mieux avec l’adaptation de son roman suivant, The Black Marble (1978, Un chien dans un jeu de flics). Wambaugh est au scénario et à la production du film réalisé par Harold Becker en 1980. La saga californienne se poursuit ensuite avec The Glitter Dome (1981, Le Crépuscule des flics), The Delta Star (1983, Soleils noirs). Wambaugh délaisse dès lors ses flics du LAPD pour ses romans suivants, The Secret of Harry Bright (1985), Golden Orange (1990), puis, privilégie une veine plus fantaisiste et moins noire avec Fugitive Nights (1992, Les Nuits du fugitif), Finnegan’s Week (1993, Une semaine d’enfer) et Floaters (1996). En même temps que ses œuvres de fiction, Wambaugh sort également plusieurs livres s’attachant à des faits divers réels comme Echoes int the Darkness (1987, Dans la clameur des ténèbres), The Blooding (1988, La Voix du sang) ou Fire Lover : a true story (2002), qui reçoit d’ailleurs en 2003 l’Edgar de la meilleure œuvre de non-fiction. L’année suivante, il est fait « Grand Maître » par la prestigieuse association des Mystery Writers of America. Après une parenthèse de dix ans loin de la fiction, il revient aux affaires en 2006, entre autres sur les conseils de son ami et fan James Ellroy. Pour une trilogie aux basques des agents du commissariat d’Hollywood, entamée avec le sobrement intitulé Hollywood Station (Flic à Hollywood). N’étant plus de la maison, Wambaugh s’applique à enrichir ses collections d’anecdotes foutraques et savoureuses par des longues conversations avec une cinquantaine de flics locaux. Le moins que l’on puisse dire et qu’il tricote là-dessus des romans toujours aussi superbes et uniques. L’occasion de le redécouvrir, car incompréhension totale, Joseph Wambaugh ne connaît pas le succès de ce côté-ci de l’Atlantique, ces premiers romans n’étant d’ailleurs pas réédités. Une royale injustice.

Bill Bradfield est professeur de littérature au lycée d'Upper Merion, dans les environs de Philadelphie. Enseignant au charisme exceptionnel, expert en grec et fanatique d'Ezra Pound, sa passion pour la poésie va de pair avec son penchant à "collectionner" les femmes.

Jay Smith, lui, est le principal du lycée.

Ses manières bizarres et ses étranges habitudes nocturnes lui ont valu le surnom de "Prince des Ténèbres".

En 1979, le feu des projecteurs va se braquer sur ces deux hommes lorsque le corps nu d'une de leurs collègues enseignantes, Susan Reinert, est retrouvé dans sa voiture. Ses deux enfants ont disparu.

Un roman fascinant, ou grondent dans les ténèbres les voix des vivants et des morts.

Pour la première fois dans la littérature policière, un récit fait appel aux techniques scientifiques utilisées dans les laboratoires de biologie moléculaire pour résoudre l'énigme posée par une affaire criminelle.

Il est passionnant de suivre ici le cheminement de l'enquête: les recours successifs à toutes les méthodes classiques d'investigation, leur piétinement, leur échec et l'aboutissement enfin grâce à la biologie qui apporte la preuve indiscutable de la culpabilité d'un individu.

Tous les soirs, après leur service, les flics de l'équipe de jour de la Rampart Division de Los Angeles vont s'abreuver chez Leery, un bar baptisé "La Maison des souffrances" par les policiers assoiffés qui le fréquentent.

Le long du comptoir s'alignent le Tchèque-en-bois, sorte de géant obtus ; Jane, la femme-flic ; Ronald-le-Fripé, à deux jours de la retraite ; Mario Villalobos, l'inspecteur.

Entre deux soûleries monumentales, ils se goinfrent gratis dans les restaurants du secteur, dérouillent quelques délinquants mais s'attaquent aussi à des mystères qu'on ne résout pas à coups de matraque...

Pas de doute, c'est dur, la vie de flic...

Éditions LE LIVRE DE POCHE

Passé le cap de la quarantaine, Winston Farlowe est devenu une épave: il a perdu sa femme, son voilier, son insigne de flic. Alors, il boit.

Au moment même où il va toucher le fond, il rencontre Tess Binder, une des superbes femmes qui fréquentent les clubs huppés, les instituts de beauté et les cliniques de chirurgie esthétiques du comté d'Orange, paradis pour millionnaires de la Californie du Sud.

Entre l'ancien policier alcoolique et la belle dame, ça colle tout de suite. Ce qui n'empêche pas Farlowe de se demander pourquoi elle s'embarrasse d'un nul comme lui pour passer un week-end de rêve dans un ranch luxueux.

Où quelqu'un leur tire dessus...

Durant août 1960,Gus, Roy et Serge, sont trois recrues en train de terminer leurs "classes" pour intégrer le LAPD. Trois jeunes gens, blancs, avec leurs petits problèmes de familles, d'identité parfois, de peur aussi. Trois jeunes blancs qui vont être intégrés à différentes divisions de la ville mais essentiellement, au sud. Là où il se passe quelque chose. Mutés de service en service, pour apprendre le plus vite possible, ils vont travailler en patrouille, au maintien de l'ordre la nuit, rouler dans Florence Avenue, se rendre sur des lieux de cambriolage, des disputes conjugales. Parfois c'est plus sordide, avec des maltraitances d'enfants. Ou alors il s'agit de ramasser des prostituées, des ivrognes sur la voie publique. La violence est là mais l'uniforme est craint, respecté. Jusqu'au jour où Roy se fait tirer quasiment à bout portant.

Ce livre est une ollection de portraits, une dizaine, qui met en scène des équipes de flics qui sont autant de caractères différents et qui se retrouvent au petit matin à faire la fête au Parc MacArthur avec beaucoup d’alcool et de filles.

L’ensemble porte sur la vie quotidienne des flics de Los Angeles, avec ses difficultés et ses petites compromissions.

Los Angeles, 1963. Deux braqueurs minables, Greg Powell et Jimmy Dents-longues, tournent dans les rues, en quête d'un bistrot ou d'un supermarché à dévaliser. A quelques blocs de là, deux policiers en patrouille, Campbell, le joueur de cornemuse, et son copain Karl...

Le drame. Le procès, qui traîne en longueur. Et puis le piège insidieux, imprévisible, qui va dévaster l'existence du survivant. Et dire que Jimmy Dents-longues voulait justement, ce soir-là, fausser compagnie à ce fêlé de Greg !

85 000 dollars ?

Le montant de la rançon est loin d'être négligeable, même si, en l'occurrence, le kidnappé est un amour de schnauzer nain...

Palm Springs, c'est un peu le Monte-Carlo du désert californien.

Du Président à Sinatra, de Jimmy Carter aux ex-rois de la drogue, tout ce qui compte aux Etats-Unis y réside au moins quelques mois par an.

Pour les flics récalés de la Criminelle de Los Angeles, c'est plutôt une sorte du Purgatoire...

Fils de famille déshérité par son père, Jules Temple rêve de devenir riche.

Après avoir fait faillite dans l'immobilier, il se lance dans le transport et l'élimination de déchets toxiques et ne tarde pas à découvrir qu'on peut sensiblement réduire les frais généraux dans le secteur en fourguant n'importe où les produits dangereux qu'on est censé détruire.

Il suffit pour cela de s'arranger avec les clients et les chauffeurs ...

Malheureusement, ces chauffeurs projettent eux aussi de devenir riches en fauchant dans une entrepôt de l'US Navy, où il sont venus prendre des fûts de déchets, quelques cartons de chaussures.

Deux mille paires.

Il suffit de leur faire passer la frontière pour les revendre au Mexique, puis d'abandonner le camion là-bas et de revenir porter plainte pour vol de véhicule.

Fin Finnegan, inspecteur de la police de San Diego, qui rêve, lui, de devenir star à Hollywood, écoute distraitement leur déposition.

Le boulot de flic, il en a ras-la-plaque, il est né pour être acteur et ne commence à s'intéresser à l'affaire qu'après l'entrée en scène de Nell et de Bobbie, des collègues de sexe féminin, respectivement enquêteuse des services du procureur sur les crimes contre l'environnement et inspectrice de la Sécurité de la marine des Etats-Unis.

Le trio insolite se lance à la poursuite d'un tueur en série particulièrement redoutable : un fût de deux cents litres de déchets aux effets mortels.

Los Angeles, 9 marzo 1963. Campbell e Hettinger, due agenti di pattuglia che lavorano da poco in coppia fermano un'auto sospetta. A bordo due delinquenti di piccolo cabotaggio con una lunga storia di reati e carcere alle spalle. I due criminali disarmano i poliziotti, li rapiscono e, dopo un lungo tragitto in auto sulle freeways intorno a Los Angeles, li portano in un campo di cipolle. Ed è nella polvere di una sterrata di campagna, nell'odore pungente delle cipolle, che si consuma la tragedia, tanto più atroce quanto più assurda: Campbell viene ucciso a colpi di pistola. Hettinger riesce a scappare. Nel giro di poche ore, i colpevoli vengono catturati, ma il finale della loro storia è ancora lontano e tutt'altro che consolatorio. Inizialmente condannati a morte, i due assassini affronteranno una serie di processi che, a vent'anni dall'omicidio, li porterà alla scarcerazione. Quanto a Hettinger, lascerà la polizia e trascorrerà tutta la vita in una spirale di dolore, rimorso e autodistruzione. Wambaugh racconta una vicenda vera e terribile da ex poliziotto, scrittore e profondo conoscitore della psicologia umana. Il risultato è una riflessione dolente sulle imperfezioni e i fallimenti della giustizia, e sul retaggio di sofferenze e crudeltà che accompagna ogni fatto di sangue, segnando l'esistenza dei colpevoli come delle vittime in modo irreparabile.

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