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Tout est un peu emmêlé, on passe du présent au passé en un quart de seconde et c'est assez troublant au début de s'y retrouver.
Et puis, relater les 3 derniers mois de sa vie en long en large et en travers c'est assez lassant...
On a du mal a rentrer dans l'histoire et à s'attacher aux personnages, de plus les pages défilent sans qu'il y est un réel commencement.
Vraiment déçue, je ne le conseille pas. Si vous chercher des romances sachez qu'il y en a des centaines bien meilleures que celle-ci.
I Know you
C’est un peu dans cet esprit que Julia Nole a conçu son roman, ici nous avons une jeune femme qui est au service de ses patients, une aide à domicile indépendante qui fait tout pour apporter de la joie pour ses patients tout en faisant son maximum pour que sa société ne fasse pas faillite.
Ana est une passionnée, elle donne de son temps et de son énergie pour combler la solitude de ses clients âgés, car bon nombre d’entre eux ne voit qu’elle, isolés de leurs familles. C’est une femme qui garde toujours le sourire même si sa vie actuelle comme à partir en lambeau. Ayant garder la maison qui a vu naître ses souvenirs d’enfance, elle essuie des pannes et réparations en série, de quoi décourager toutes personnes qui dirait que ce logement est un gouffre financier sans fond, mais pas pour elle, non elle redouble d’énergie pour régler chaque dépense et ne flanche pas face aux propositions de son amie immobilière.
Quand un de ses clients se retrouve muré dans le silence, elle va tout faire pour résoudre l’énigme, car oui pas de problème de santé juste un entêtement de M.Lacombe de ne pas décrocher un mot. Alors ni une ni deux elle va contacter le fils de ce dernier pour l’obliger à venir s’occuper de son père car elle est certaine que c’est la solitude et une certaine indifférence de son enfant qui le pousse à agir de la sorte.
Sasha, bourreau de travail, n’a qu’un objectif dans la vie, faire prospérer son entreprise. Pour lui pas question de s’embarrasser de futilités. Alors quand il reçoit un nombre incalculable d’appel de l’aide à domicile de son père, il ne compte pas fléchir face à son insistance de rendre visite à son père. Mais au vu de l’ultimatum qu’elle lui impose par la suite, il n’aura d’autre choix que de faire un rapide trajet jusqu’à la demeure familiale.
Néanmoins une fois sur place il va tomber sur un sacré sac de nœud, entre la fin des contrats de son père pour l’entretien de la maison et la livraison des repas avec cette clause de non re-souscription avant six semaines et l’insistance de Ana, il va devoir changer complétement ses plans. C’est loin d’être la meilleure solution mais c’est la seule possible car oui, même si il est en froid avec son père pour une raison qui les incombes, il n’arrive pas à le laisser aussi seul et démuni.
Alors hop c’est parti pour le télétravail, un mot qui lui colle de l’urticaire et surtout une obligation de réorganisation complète de son agenda et de ses priorités. Car ce n’est pas seulement un changement d’adresse temporaire que Sasha devra mettre en place, non il va aussi falloir qu’il participe à des animations sur le thème de noël, des animations qui n’enchanteront que la jeune femme.
On va donc plonger dans une romance qui va évoluer au fils des chapitres, car un rapprochement va se faire entre Ana et Sasha mais c’est sans compter sur leurs retenues, leurs entêtements et un peu aussi grâce à un autre des clients de l’aide à domicile. Car oui, en bon célibataire qu’elle est, il semblerait qu’une certaine personne la souhaiterait vite en couple. Une partie qui m’a bien fait sourire car c’était bien drôle de voir à quel point la situation était cocasse.
J’aime toujours autant voir le changement d’attitude d’un presque Scrooge face à une adoratrice de noël, on sait dès le départ qu’un certain miracle va opérer mais on trépigne de lire à quel moment le changement arrivera.
Sasha va se rendre copte que passer du temps en famille n’est pas si terrible que ça, que s’amuser en faisant des activités aussi banales les unes que les autres est amusant et que dans la vie il y a plus important que gagner toujours plus d’argent qu’on ne pourrait en dépenser.
Ana va comprendre que dans la vie on peut chérir les souvenirs, se raccrocher à une infime pointe d’espoir mais que notre famille n’est pas forcément celle du sang, les gens qui nous entourent sont plus, pour certains, des membres de notre presque famille que ceux qui nous ont donné la vie.
L’auteure y a incorporé de la douceur, de l’intensité et une envie forte de faire réaliser à ces deux êtres que le bonheur est juste devant leurs nez. Car oui on aura droit à un évènement des plus destructeur, une conversation qui prêtera à confusion et bien sûr un égo bien masculin qui préfère prendre la fuite plutôt que de demander des explications.
J’aime les romans de noël car c’est l’occasion de prendre un instant de douceur, de lire sous un plaide avec un chocolat chaud et surtout de se détendre en compagnie de personnages amusants, hauts en couleurs et une leçon de vie qui nous fait réfléchir.
Baby, it's Cold Outside
J'ai beaucoup aimé Lili et toute sa famille. Chacun a une histoire particulière avec Madie, la grand mère atteinte d'Alzheimer. La thématique de la vieillesse et de la maladie est très bien traité sans fioriture et larmoiement excessif mais avec justesse et délicatesse. Le personnage masculin est drôle et on s'y attache très facilement.
Cette histoire est remplis de tendresse. On en ressent du début à la fin de l'histoire que ce soit à travers les liens familiaux qui unissent la famille Rivolier ou que ce soit dans la romance elle même.
La thématique des liens familiaux est elle aussi abordé avec justesse. Les personnages secondaires sont aussi intéressant que les prinicipaux : à tel point qu'on aimerait presque un roman centré sur leurs histoires respectives. L'autrice a réussit à me faire aimé son petit village et son ambiance de noël ...
Enfin, une romance où les émotions prennent toute la place. Ici, pas de scène de sexe à rallonge et ça fait un bien fou ! On se concentre sur ce que ressentent les personnages, sur les liens qu'ils tissent les uns avec les autres...
Un petit bonbon à savourer pour l'hiver et se mettre dans l'ambiance de noël ... Préparez les chocolats chauds et les guimauves car "l'hiver n'est jamais froid au café de l'amour"...
L'hiver n'est jamais froid au café de l'amour
Oups, j'ai embrassé mon boss
Les personnages sont attachants mais il m’a manqué un petit je ne sais quoi à l’histoire pour avoir un waouuh. J’ai trouvé la fin bien mais très voir trop rapide et pas assez développée.
Ne me laisse pas t'aimer
L’intrigue est très bien ficelée et bien trouver. Un livre que je recommande vraiment !
Ne me laisse pas t'aimer
Courtney est une jeune femme sans histoire. Beaucoup rêveuse, un peu trop romantique, un peu trop fleur bleue et irrémédiablement attirée par les hommes qui ne méritent aucunement son attention. Courtney rêve de l’homme, du vrai, celui qui sera la rendre heureuse et non pas celui qui l’abonne à son canapé accompagnée d’un (voire beaucoup) pot de glace géant. Courtney, la tête dans les étoiles et le reste sur un nuage duveteux, est le genre de femme que j’adore. Simple, bordélique, maladroite, intelligente … la femme parfaite dans un monde un peu trop macho ! Courtney est attachante et irrésistiblement rigolote. Le plus dur dans sa vie c’est la solitude et les noël chez sa mère qui passe de février à décembre son temps à préparer l’événement majeur de l’année. Une mère un brin trop protectrice et beaucoup monomaniaque, qui ne rêve qu’une chose que sa fille adorée trouve chaussure à son pieds et bague à son annulaire. Oui mais Courtney a un léger problème, ses histoires de cœur ne dépasse guère le troisième rendez-vous, et la bague a beau briller dans ses yeux elle est loin d’être sur son doigt. Et si elle avait mis tous ses espoirs dans son patron hyper sexy au diable, la chute en est bien plus douloureuse. Courtney rêve mais ses illusions virent souvent au cauchemar. Et elle n’en peu plus ! Elle sature, elle débloque, elle rumine, elle mange trop de glace, elle ne va pas bien du tout ! Alors que tout son monde s’écroule comme un vilain château de cartes, une proposition saugrenue vient la sauver : faire un remplacement en Alaska. Ni une ni deux, la voici bagages en main, direction un petit village de rien du tout perdu au fin fond de l’Alaska. Parée à toutes éventualités, elle a oublié de prendre en considération la présence exceptionnelle d’un ours mal léché.
Brad, le barbu et taciturne, tout le temps, n’a que faire de cette citadine venue se perdre dans son monde. Lui ce qu’il aime avant tout c’est : la solitude, le calme, le vide, rendre service, travailler le bois et peut être par la force des choses aller secourir la belle. Peu bavard mais d’une gentillesse sans pareil, Brad fait peur. Sa carrure imposante, son pick-up qui a des allures de guet-apens pour y réaliser un kidnapping voire un meurtre, sa manière de s’exprimer, il y a de quoi flipper pour la brave Courtney. Tout ceci aurait pu continuer sur cette lancée désastreuse, si une bande de mamies olé olé n’avaient pas mis leur grain de sel ou de neige dans cette histoire. Oui parce que toutes les mamies voient ce que nous ne nous voyons pas. Et le pire c’est qu’elles ont raison !
Une chaudière malmenée, une terrible tempête, un blizzard à couper le souffle et la vue et un ours brun mal léché ont suffit que ces deux têtes brûlées se rapprochent. Cela suffira t-il à surpasser leurs erreurs et leurs peurs ?
Une nouvelle fois c’est un sans faute pour Julia Nole. Sa dernière comédie romantique a de quoi vous faire chauffer les zygomatiques. Une histoire aussi douce qu’hilarante. Une histoire aussi charmante que accaparante. Un humour dosé avec suffisance et un personnage sympathique et extraordinaire. J’ai rigolé pour les petits tracas de Courtney, ses déboires et sa manière de les affronter, sa maladresse et sa façon de se les approprier, ses piques non pas assassines mais qui témoignent de sa gêne, sa manière de courir dans la neige et de s’y affaler de toute sa longueur, ses décisions rocambolesques et sa façon de se dépatouiller de sa maladresse, de ses mensonges et de ses peurs. Une aventure exotique au pays de la neige où Courtney va enfin trouver la femme qu’elle est et la fille aimée par ses parents. Un parcours houleux où les ours auront sa peau !
Une comédie romantique pétillante qui enjolivera cette période de noël ! A découvrir et à croquer sans modération ! Julia Nole a su me faire pleurer de rire !
Comment j'ai boycotté Noël (et survécu à l'Alaska)
Comment j'ai boycotté Noël (et survécu à l'Alaska)
Comment j'ai boycotté Noël (et survécu à l'Alaska)
Comment j'ai boycotté Noël (et survécu à l'Alaska)
Ne me laisse pas t'aimer
L'histoire pourrait paraître banale si ce n'est qu'elle se déroule entre Las Vegas et Los Angeles, sur fond de guerre entre petits gangs miteux.
L'histoire d'amour / haine entre William et Rebecca s'appuie sur la description de ce monde sans avenir, à l'ombre des lumières étincelantes du Strip, où la valeur de la vie humaine est proportionnelle à sa capacité à honorer une dette de jeu.
Au-delà des liens qui unissent les deux héros, on s'attache à leur trajectoire difficile ainsi qu'à leurs efforts désespérés pour s'arracher à leur milieu et aux obligations dues à leur clan.
Et bien sûr, l'art de l'auteure est d'instiller en filigrane un secret qui ne se dévoilera qu'à la toute fin du roman, et qui expliquera bien des choses.
L'écriture est serrée, nerveuse, et sert comme il se doit cette intrigue menée à l'allure d'une Mustang lancée sur des routes écrasées par le soleil.
Le caractère des héros s'avère moins convenu qu'on ne pourrait penser : derrière la violence de William se cachent des fêlures émouvantes ; quant à Rébecca, elle est en réalité beaucoup moins lisse qu'on ne pourrait le penser de prime abord.
En bref, une histoire qui se lit d'une traite et un final qui en étonnera plus d'un.
Walking for Absolution
Alors oui on sent bien qu'il va se passer quelque chose, que rien n'est normal dans la situation que subit Alexia après son accident, mais alors je n'ai pas du tout le courage de continuer en espérant que ça se débloque. Très peu pour moi, je resterai sans savoir, et je crois que je m'en remettrai...
I Know you
Gentleman et célibataire
Comment j'ai boycotté Noël (et survécu à l'Alaska)