Commentaires sur ses livres

Ce roman et un véritable choc émotionnel en lisant le contenue!
J'en ressors meurtrie et sous l'émotion qu'il sent dégage .
Vous passerez par tous les stades choqués en larmes et j'en passe foudroyant.
Pour finir se livre pourrais être vrai donc terrible.

Je savais que j'allais adoré ces nouvelles sur le thème de la vision. Ma préférée la première de O Norek. Quelle chute ! des récits en quelques pages qui nous glacent, de très grands écrivains.

La nouvelle n'est pas mon format de prédilection mais je dois dire que ce recueil fut un réel plaisir de lecture. Toutes les nouvelles sont bonnes, voire excellente, une seule seulement m'ayant laissé de marbre. Le premier opus, "Écouter le noir" était très bon", ce second le surpasse. Merci à cette panoplie d'auteurs talentueux. La plupart ornent déjà ma bibliothèque. Les autres sont en devenir.

C'est un très beau bouquin, à la fois triste, émouvant... Et il ne manque pas de suspense.
Cette enquête dans la Chine profonde m'a énormément plu, on a affaire à des coutumes différents, une politique différente qui m'a révolté... Mais malheureusement, ce sont des mots imprégnés de réalité, des fois difficiles à avalée.
C'est donc un de ces bouquin qui vous chamboule, qui est bien écrit avec comme petit plus : une enquête bien menée.
Je vous le conseille vivement.

Whouahhh

Ce livre est magnifique j’ai adoré.

Notamment du fait de l’originalité de l’histoire, que je n’ai jamais vu ailleurs dans un autre livre.

J’ai adoré voire le contexte d’un autre pays, le découvrir en lui meme.

Je n’ai pas été déçu et je me suis pas ennuyée du tout !!!

Un recueil de nouvelles "noires" assez inégales dans le traitement du thème imposé. Certaines sont sans surprise dans la chute, d'autres traitent le sujet en nous laissant sans "frayeur", ou sont insipides.
Les moins originales sont celles qui incluent la cécité.

Étant donné la diversité des auteurs, je me suis prise au jeu de noter individuellement les nouvelles, pour au final remettre une note globale au recueil. Cette collection des "5 sens" est en tout cas une excellente initiative, qui m'a permis de découvrir de nombreux auteurs.

5/5 Olivier Norek, Regarder les voitures s'envoler – Une délicieuse plongée dans l'univers sombre de Josh, un ado comme les autres (ou pas), se sentant invisible aux yeux du monde. Une écriture incisive, des images percutantes.

3,5/5 Julie Ewa, nuit d’acide – En Inde, des gangs kidnappent des enfants et mutilent leurs yeux avec la promesse de les réparer s’ils deviennent des petits travailleurs dociles. Voilà une intéressante prémisse, mais qui rentre trop rapidement dans le rang, avec une chute décevante.

4/5 Fred Mars, The Ox – The Ox est un club échangiste totalement plongé dans le noir, un bain de jouissance. L’inspecteur Mooney, lui, tente d’élucider un meurtre. Une chouette nouvelle au dénouement intéressant, dont l’intrigue aurait pu tenir en haleine sur un roman entier.

2/5 Claire Favan, Le mur – Dans un avenir proche entre Waterworld et Blindness, Jérémy vague sur le Havana Bay, contenant les derniers humains. Avec sa romance au second plan, Le mur est avant tout un lore dumping à moral écologiste. Louable, mais pataud.

3,5/5 René Manzor, Demain – Suite à un événement traumatique ayant eu lieu dans sa petite enfance, Chance met la dure réalité de côté pour se plonger dans le théâtre et la duperie, bien plus confortables. Elle vante alors de faux dons de voyance pour la scène, jusqu’à ce que l’une de ses prémonitions parviennent à sauver une vie en plein direct. De quoi attirer l’attention de la police, qui souhaite emprunter son « talent » pour une affaire. Le récit est emballant, tout en faisant preuve de douceur. Dommage que la chute ne soit pas des plus inspirées.

3/5 Amélie Antoine, Transparente – Même si elle n’invente rien, Transparente reste une nouvelle correcte jouant sur le sentiment d’invisibilité aux yeux des autres que chacun peut ressentir.

2/5 Fabrice Papillon, Anaïs – Un récit convenu, avec un narrateur délirant. Malgré le peu d’ingéniosité, elle n’en reste pas moins bien exécutée.

4/5 Gaëlle Perrin-Guillet, La tache – Une courte nouvelle humoristique à la fin satisfaisante, que je n’avais pas vu venir.

1/5 R.J. Ellory, Private Eye – Un journaliste d’investigation expert dans l’art de la filature se sent tout à coup… pris en filature. Le coup de l’arroseur arrosé ? Oh non, Raymond Whyte n’est pas du genre à se laisser faire et décide de prendre en filature celui qui le prend en filature. Vous suivez toujours ? Malheureusement, R.J. Ellory choisit ici de s’étendre en longueur en choisissant une ficelle vieille comme la littérature. Un schéma et une chute ayant déjà été lus des centaines de fois.

1,5/5 Johana Gustawsson, Tout contre moi – Peu de choses à dire sur cette courte nouvelle. Le narrateur s’adresse tout du long en un long monologue au lecteur : son amour impossible. Un exercice ennuyant, appuyé sur la sexualité, qui laisse entrevoir la fin.

3/5 Barbara Abel & Karine Giebel, Darkness – On peut au moins se satisfaire ici d’une fin rondement menée, bouclant la boucle, après quelques légers égarements. Il aura néanmoins fallu attendre quelques temps que sa langue se délie pour obtenir des réponses qui se dessinaient, sans mauvais jeu de mot, sous nos yeux.

Un recueil de nouvelles avec une belle brochette d'auteurs!

Toutes ces nouvelles sont très noires avec pour thématique la vision. 

La nouvelle de Norek est intense, je ne m'attendais pas à cette fin d'une profonde noirceur!

J'ai pris beaucoup de plaisir à découvrir (ou redécouvrir) certains auteurs. 

Surtout que Giebel et Abel font une nouvelle à quatre mains.

Plusieurs nouvelles assez sympathique. De quoi passer un bon moment de lecture

J'ai beaucoup aimé "Le garçon disparu", paru en grand format sous le titre "Le gamin des ordures", titre à mon sens qui était bien plus approprié. Julie Ewa signe ici à nouveau un roman noir et intense. Par ces histoires, elle nous relate de véritables faits sociétaux et le rôle de chacun, des institutions au simple quidam. Nous allons suivre l'histoire d'une famille Rom, originaire de Roumanie ou ils vivent dans la pauvreté. Ils pensent que la France sera leur Eldorado. Alors, Djino, le père, part avec Cybèle, sa fille de 16 ans et Darius, son fils de 9 ans. Mais à leur arrivée, ce sont les bidonvilles, la mendicité et la corruption qui les attendent. Par ce roman, l'auteure réussi à modifier notre regard sur cette communauté que nous rencontrons régulièrement dans nos rues. Cette histoire est prenante et émouvante.Les Roms ou Tziganes sont un peuple rejeté non seulement sur l'ensemble des territoires, mais aussi par leur propre pays. On ressent un véritable travail de recherche et de documentation sur l'ensemble des protagonistes que comprends tout ce système. Tout d'abords, au premier plan la population Rom, leur façon de vivre et leur état d'esprit. Ensuite, les camatari, les passeurs et porteurs d'un espoir qui n'existe pas, les "bulibasas", vieux sages et chef de camps, et la "purie", aussi gardienne de camps, mais ici l'intermédiaire avec l'homme qui dirige tout ce trafic. Pour finir, les autorités locales qui ne pensent qu'à une chose, se débarrasser de tous ces gens là. L'auteure nous parle aussi de la mafia Tsigane, qui forme ces pauvres gosses à voler et des suprémacistes hongrois, groupe de haine qui traque et considère ces Tsigane, comme des chiens. Tout cela forme un roman sincère, sans jugement et d'une force immense. J'ai aussi aimé retrouver Thomas et Lina, les deux personnages rencontrés dans "Les petites filles" qui fut un coup de cœur pour moi. J'ai vraiment envie de découvrir "Jungle pourpre", le dernier roman de Julie Ewa.

La vie des enfants des rues en Indonésie.

Un policier bien mené, on y découvre la dure réalité de ce pays, entre les gangs sauvages, la ferveur religieuse du pays, les bidonvilles le traitement des filles.
Cette autrice vit entre la France et l'Indonésie et a créé l'association Kolibri, pour aider les enfants défavorisés. elle connait bien le sujet

Bof.

Je ne peux pas dire avoir été spécialement emballé par ce projet. C'était globalement moyen. Une ou deux histoires m'ont paru en dessous des autres et une ou deux, m'ont un peu plus intriguée, mais dans l'ensemble, j'ai trouvé ça très moyen.

J’aime beaucoup les écrits de Julie Ewa mais mon préféré reste, très clairement, Les Petites Filles. Je l’ai notamment découverte avec ce livre là.
J’ai donc lu Jungle Pourpre et c’était une assez bonne lecture.
Dans ce livre nous parlons de sujets importants, comme la pauvreté, le meurtre, la corruption et la radicalisation, tout cela dans l’archipel indonésien. Ces sujets font la richesse du livre.
Je me suis malheureusement un peu ennuyée, à quelques moments de ma lecture mais les chapitres courts permettent du dynamisme. J’ai également eu du mal à m’attacher aux personnages. Mais cela reste quand même une assez bonne lecture, notamment grâce aux sujets abordés.
Une autrice de polar à lire sans plus attendre.

La construction est intéressante, la fin est bien trouvée mais qu'est-ce que c'est long ! On tourne en rond une bonne partie du livre, l'enquête n'avance pas et j'ai faillit abandonner. Finalement, je l'ai fini mais en diagonale

lina enquête pour une ong en chine car des petites filles disparaissent. Thriller dépaysant sur le trafic d'organes.