Jussi Adler Olsen
Auteur
Activité et points forts
Classement dans les bibliothèques
Quelques chiffres
Note moyenne : 7.87/10Nombre d'évaluations : 1 510
0 Citations 645 Commentaires sur ses livres
Les derniers commentaires sur ses livres
Un tome que j'ai moins apprécié. Les relations entre le quatuor du département V sont un peu distendues. Les ressorts de la partie de l'enquête qui se déroule hors du Danemark sont peu crédibles, avec de nombreuses lenteurs. L'écriture est moins fluide. Heureusement, le rythme s'accélère pour le final qui rend honneur à la série.
Afficher en entierUne bouteille jetée à la mer, repêchée et oubliée dans un commissariat des Highlands. À l'intérieur, un appel au secours en danois, écrit en lettres de sang. Lorsque le message échoue au Département V de la police de Copenhague, chargé des dossiers non élucidés, les années ont passé. L'imprévisible Carl Mørck, Assad, son assistant syrien au flair infaillible, et Rose, la secrétaire punk, vont-ils prendre au sérieux ce SOS ?
Totalement convaincue par les deux premiers tomes de cette saga, j'ai retrouvé l'équipe du Département V avec un immense plaisir. En effet, malgré son côté "tête brûlée" et sa fainéantise légendaire, j'apprécie énormément Carl et le duo qu'il forme avec Assad. Néanmoins, Rose m'a un peu agacée, et son histoire de sœur jumelle n'a rien arrangé... Heureusement, l'équipe dans son ensemble est très performante et particulièrement amusante ; entre incompréhensions et personnalités discordantes, j'ai souri plus d'une fois. En outre, le récit alterne entre l'enquête des policiers, entrecoupée de scènes de leur vie quotidienne, et les déambulations du tueur dans différentes communautés religieuses. J'ai trouvé cette intrigue extrêmement originale, tout comme la retranscription de la lettre peu à peu complétée. Pour terminer, j'ai également adoré la double enquête au passé, la présence de mots danois et le suspense exaltant... Probablement mon tome préféré jusqu'ici !
Afficher en entierMais quel tome, alors oui, c’est un peu long on met en place tout un univers, on découvre le duo Assad- Carl qui se découvre également. Mais qui, tout les deux vont mené une enquête. J’ai commencé l’univers du Département V par Délivrance. Et c’est avec le challenge Académia que je me lance vraiment dans cet univers. Et je ne regrette pas. J’adore l’univers, les paysages danois, et les différentes enquêtes. La plume est immersive.
Afficher en entierEn plus des nouveaux protagonistes de ce roman haut en couleur et bien développés, l'histoire personnelle des personnages principaux s'étoffe et s'éclaircit au fil des tomes. L'histoire met un peu de temps à se mettre en place, puis elle va crescendo, ou pour une fois on suit une histoire qui mêle crimes passés et présents. :)
Afficher en entierL'histoire se passe à Bornholm, une île danoise de la mer baltique en novembre 1997. Une voiture percute une jeune fille, nommée Alberte, roulant à vélo. Son corps brisé est retenu prisonnier par des branches d'arbre et son vélo broyé reste au bord de la route. Elle meurt sur place. Aucune trace du chauffard : affaire classée. Dix-sept ans plus tard, un policier local se tire une balle dans la tête après avoir demandé de l'aide du Département V, spécialisé dans les cold cases. L'inspecteur Morck et ses assistants Assad et Rose débarquent sur l'île de Bornholm pour reprendre l'affaire.
Un cold case sur fond du culte solaire.
Un suspens jusqu'au bout. 8/10
A voir " L'arme fatale " avec Mel Gibson.
A écouter " Yesterday " des Beatles, " River " de Joni Mitchell
A savourer
- un filet mignon au piment d'espelette mariné au vinaigre balsamique servi avec une salade de chou chinois aux graines de sésames.
- des oeufs brouillés.
Afficher en entierJ'ai apprécié la lecture de ce livre. Le sujet des hôpitaux psychiatrique pendant la 2ème guerre en Allemagne n'est pas un sujet facile, et plutôt rare à lire. On s'attache aux deux personnages principaux et on admire leur courage pour survivre, malgré les méthodes employées.
Afficher en entierCe premier tome est extraordinaire. Le début est long a ce mettre en place mais cela n'empêche rien. J'ai souhaité savoir la suite. Carl est topissime dans sa manière d'être, son sang froid, sa reparti.... bref hâte de continuer la suite
Afficher en entierL'histoire se passe au Danemark à Copenhague à deux périodes différentes. Novembre 2010, le Département V rouvre un cold case (Dossier 64) sur une disparition inexpliquée d'une prostituée, Rita Nielsen, en novembre 1987. Cédant à des pressions, il exhume une macabre affaire datant des années 50. Au fur et à mesure de l'enquête, il découvre d'autres disparitions à la même date que celle de la prostituée.
Intéressante découverte de l'histoire de l'eugénisme scandinave.
Encore du suspend jusqu'au bout dans ce 4ème Tome.
A écouter du Sting, Sade et Madonna.
Afficher en entierJ'aime cette série et ses personnages imparfaits, proche de la vraie vie , mais en étant toujours exceptionnels. Certains passages un poil rapide , notamment comment Assad est retrouvé aussi rapidement et comment Carl ne succombe pas ( on s'en doute , vu que c une série et que je la lis a posteriori des sorties des différents tome); après le propos historique est intéressant à connaître ou à rappeller pour mémoire et malheureusement très d'actualité.
Afficher en entierJ'ai pas lu les romans précédent mais peu importe on suit l'histoire quand même.
Un roman un peu long mais très bien construit, digne d'un film policier.
Beaucoup de personnages évidement que je connaissais pas mais qui n’empêche pas de suvire l'enquête.
Afficher en entierOn parle de Jussi Adler Olsen ici :
2020-01-12T08:11:52+01:00
2017-05-01T09:57:34+02:00
2012-01-10T09:54:35+01:00
Les gens aiment aussi
Dédicaces de Jussi Adler Olsen
et autres évènements
Aucun évènement prévu
Editeurs
Albin Michel : 12 livres
LGF - Le Livre de Poche : 10 livres
France Loisirs : 2 livres
DTV Deutscher Taschenbuch : 1 livre
Dutton : 1 livre
Audiolib : 1 livre
Biographie
Auteur Danois né le 2 août 1950 à Copenhague, il a étudié la médecine, la sociologie, le cinéma et la politique. Il a été éditeur.
Il a été élevé dans un hôpital psychiatrique où travaillait son père.
(source Albin Michel)
Afficher en entier